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Pink Floyd
The Piper At The Gates Of Dawn
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le 05 Mars 2014 par THIERRY RAOULT


Je suis désolé, je n'y arrive pas. J'ai pourtant loué la version "40 ans", avec 4 CD.

Pour moi, Pink Floyd est trop lié à ses grands albums des années 70.

Je n'accroche pas du tout à cet album. Pourtant, j'ai essayé.

le 04 Avril 2013 par TONTON MICK


Cet album me divise, je peux comprendre ceux qui l'adulent car on a ici tous les éléments du rock psyché et il est vrai qu'on ne peut pas reprocher à ce disque son avant-gardisme et son originalité. Donc il y a une intention forte, une direction artistique affichée, mais ce qui compte c'est le résultat et là je suis partagé: psyché ou pas, certains titres sont au final imbuvables ou sans queue ni tête, Mais à coté on a des morceaux vraiment chouettes, des petites chansonnettes séduisantes et inventives.

Pour moi ce disque c'est le début des Floyd, une sorte de curiosité dans la discographie du groupe, une écriture parfois maladroite ou naïve, un peu légère ou prébubère.
Après le départ de Syd le groupe va murir et proposer des choses beaucoup plus travaillées, profondes et riches. Le disque suivant "A saucerful of secrets" m'enchantera beaucoup plus: c'est le début des compositions passionnantes, profondes et envoûtantes qui s'affineront encore par la suite quand le groupe (encore en quête de son identité) finira par se trouver et proposer son style unique de rock progressif et planant.




le 03 Mars 2013 par RAMON


Concernant Pink Floyd, on trouvera toujours ceux qui pensent que l'après Syd Barrett se résume à une entreprise vouée à tester les enceintes HI-FI et les autres qui ignorent purement et simplement cet album qu'ils considèrent comme n'étant pas encore du "Pink Floyd".
Aux premiers, je répondrai que Pink Floyd n'est pas Dire Straits qui en son temps se fit sponsoriser par un fabricant hollandais de platines CD et contribua ainsi à la grande escroquerie qui s'ensuivra: vente massive du nouveau matériel, alors que l'ancien fonctionnait très bien et plus durablement, ainsi que les rééditions multiples et souvent bâclées des albums (tous artistes confondus) déjà en possession des fans.
Roger Waters était certes, une sacrée tête de lard, mais il peut difficilement être soupçonné d'opportunisme; chaque album auquel il a participé que ce soit en tant que membre du Floyd ou en solo est une véritable prise de risque, après on adhère, ou pas...
Aux seconds, sans aller jusqu'à prier pour leurs âmes, je propose d'écouter attentivement les deux chefs-d'oeuvre que sont "Dark side of the Moon" et "Wish you were here", afin qu'ils se rendent compte à quel point l'ombre de Barrett plane sur sur ces deux disques.
En 1967, les Floyd sont à Abbey Road sous la houlette de Norman Smith ex ingé son des Beatles alors même que les Fab Four sont accaparés par l'enregistrement de ce qui deviendra "Sergent Peppers.." dans le studio voisin.
La mise en boîte du "Piper.." (quel merveilleux titre au passage..) prendra tout de même trois mois, ce qui est à l'époque très long, surtout pour un premier disque. Et le résultat est rien moins que bouleversant.
A ce sujet, beaucoup pensent que les Stones ont cherché à suivre le "Sergent Peppers" des Beatles en éditant "Their Satanic Majesties requests", personnellement je lui trouve bien plus d'accointances avec ce premier effort du Floyd...Et le SF Sorrow des Pretty Things? Pareil...
Ici le maître de cérémonie se prénomme Syd, et il nous livre une collection de perles Pop "acidulées" dans tous les sens du terme, en effet les petits bonbons roses en forme de comptines enfantines contiennent des traces de produits hautement hallucinogènes:Lucifer Sam, Mathilda Mother, Chapter 24, Bike...
Êtes vous prêt pour le voyage à travers l'univers infini? Astronomy Domine pour ouvrir la première face et Interstellar Overdrive pour se crasher sur la seconde, qui a fait mieux ? Un certain Davy Jones, pas encore David Bowie, saura s'en inspirer avant d'entrer dans la postérité.
Syd, on le sait, ne se remettra jamais de l'expérience qu'il a lui même ourdie, laissant ses camarades de jeu tâtonner pendant quelques années avant d'établir leur véritable son, celui qui les a rendu mondialement incontournables mais jamais les rescapés ne chercheront à nier l'apport évident de leur charismatique autant que fragile premier leader.

le 24 Novembre 2012 par JOE LA ROSETTE


Un 1er album qui ne ressemblera pas du tout au reste de la discographie des Pink Floyd, piper at the gates of dawn c'est tout d'abord un poète au chant et dans l'écriture, Mr Syd Barrett qui de sa belle plume nous pond un album concept très inspiré Beatles, il faut bien une inspiration me direz vous...
Il n’empêche que je n'accroche pas totalement à cet album qui diffère un peu trop à mon goût du reste de la discographie.

Néanmoins de cette 1ère ère Floydienne, je retiendrais deux morceaux extras que sont See Emily Play et Arnold Layne mais qui ne sont malheureusement pas dans cet album et pour cet album Astronomy Domine et Interstellar Overdrive tiennent le haut du pavé

le 09 Janvier 2011 par BARNEY


Quoi, les musiques de cet album ressemblent à de la musique des BEATLES, lesquelles ? Interstellar overdrive ? Pow R. Toc H ? à la première écoute, on pourrait plutôt penser à un ensemble d'enfantillages, mais pas les BEATLES (bon c'est vrai qu'il arrivait que LES BEATLES pêtent les plombs dans leur musique), Flaming que je considère comme le sommet de l'album en est l'exemple parfait.

Enfin bref, j'ai envie de répondre à chaque commentaire négatif sur cet album, mais je vais plutôt donner mon impression sur cet album, évidemment j'adore (presque) tout. Les musiques s'enchaînent mais ne se ressemblent pas du tout.

Néanmoins il y a une constante sur presque toutes les chansons, le côté planant, et là pour celui qui comme moi n'a pas commencé PINK FLOYD par cet album, qui a apprécié cet album, qui est un fan de Wright, qui a commencé PINK FLOYD par Wish You Were Here (bon je sais que ça en fait trop comme conditions, vous pouvez rayer la dernière ) est véritablement surpris, le côté planant ne provient pas seulement de la musique (de Wright), mais aussi des vocales. C'est ça qui m'a marqué dans cet album, il n'y a pas que le son qui est Floydien, mais aussi les vocales : Syd et Wright forment un véritable duo choc, qui feront planer ceux qui voudront se laisser entraîner par l'album.

PINK FLOYD avec Syd n'a eu droit qu'à un seul essai, et c'est avec un Gilmour à la guitare qu'après plusieurs essais PINK FLOYD connaîtra enfin un succès fulgurant, et certes The Wall a prouvé que même sans le "son floydien", PINK FLOYD produit toujours des merveilles, mais je ne peux m'empêcher de me demander comment cela aurait pu se passer avec Syd toujours d'appui, car évolution, il y aurait eu.













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