PINK FLOYD : A SAUCERFUL OF SECRETS (1968)


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13 commentaires notés [?]

Pink Floyd
A Saucerful Of Secrets

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le 23 Septembre 2008 par MARQUIS

Un bel album qui vacille entre le psychédélisme et le planant, le groupe quitte le monde délirant de Syd Barrett pour les ambiances éthérées. J'aurais préféré "Julia Dream" et "Careful With That Axe, Eugene" à la place de "Corporal Clegg" et "Jugband Blues" mais aucun titre ne devait être extrait d'un album pour en faire un 45 tours, telle était la politique de EMI, dommage.

le 09 Mars 2008 par LAURENT

Mon disque préféré de Pink Floyd, tout un monde à lui tout seul.
"A Saucerful Of Secrets" reste, à jamais, l'album bloqué entre deux mondes: le passé de Syd Barrett et l'avenir (sorte de "space rock" progressif).
Que ce soit dans les titres pop ("Remember A Day", "See Saw"), les titres cosmiques ("Let There Be More Light", "Set The Controls For The Heart Of The Sun") ou encore l'impressionnante pièce éponyme de 12 minutes, cet album est grandiose et il est plongé dans une atmosphère mystérieuse et étrange qui lui donne un charme irrésistible.
Un charme qui n'a pas disparu avec les années qui passent.

le 15 Septembre 2007 par STAN

Pour répondre à AZRAEL, Pink Floyd ne signifie rien de particulier, c'est une association de noms inventée par Syd Barrett. Pink Anderson et Floyd Council étaient deux musiciens noirs de blues inconnus et Barrett a trouvé intéressant de les associer pour former le nom du groupe.

le 12 Septembre 2007 par AZRAEL

Album renversant. Petite précision : Pink Floyd ne veut pas dire 'flamant rose' ; je vois que le chroniqueur, pourtant, appelle le groupe ainsi à un moment donné.
Sinon, un album vraiment exceptionnel, je l'adore, surtout le morceau-titre (le premier long morceau du groupe avec "Interstellar overdrive" du précédent disque). A posséder à tout prix !

le 10 Juin 2007 par TONTONMICK

C'est déja mieux que Piper, Les Floyd commencent à développer leur sens de l'harmonie. Ils évoluent vers le prog: le morceau éponyme me plait beaucoup même s'il n'est pas aussi abouti que Atom heart mother ou Echoes.
Un album de transition donc, Gilmour apporte sa musicalité mais il reste encore des traces du style psyché de Barrett (auquel j'accroche pas perso). Waters compose un grand titre mystique et terriblement prenant: Set the control of the heart on the sun, qu'il continue à jouer de nos jours.

Un Floyd que j'aime bien au final, surtout pour les deux titres ci-dessus, le reste restant plus ou moins anecdotique ou "poppy" (remember a day). Mais il annonce déja comment le groupe va évoluer par la suite (si l'on ne tient pas compte de l'ovni bruitiste Ummagumma).