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7 commentaires notés [?]
Prince
Purple Rain
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le 20 Mars 2019 par NONO
5 étoiles amplement méritées pour cet album magnifique.
Mais j'aimerais attirer l'attention sur un titre en particulier que j'adore vraiment : "I would die 4 U". Ce titre n'est pourtant pas hyper connu, et il n'est pas parmi ceux qu'on cite d'emblée quand on parle de cet album. Mais j'aime énormément sa production et sa mélodie, toutes deux exceptionnelles.
Titre très court (à peine 3 min.), extrêmement "pop 80s" dans l'âme, ce n'est pas forcément ces qualificatifs qui me feraient d'emblée aimer ce titre. Et pourtant, par la magie des choses, ce titre fonctionne extrêmement bien, même mieux que les autres d'une certaine manière. J'adore.
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le 09 Janvier 2011 par BENNETT
C'est dommage que le Prince de Minneapolis ne soit pas plus représenté sur FP, parce que il y a du bon son à découvrir dans sa disco.
Purple Rain est hyper foisonnant d'influences (comme ça a été dit : le rock comme la disco ou la new wave y passe sans mal) et très accessible même si je ne peux m'empêcher de trouver certains sons très vieillots et de lui trouver moins de charme qu'un For You, un Prince ou même un Sign O' The Times. En tout cas, je reste impressionné par tant de maîtrise à gérer tout seul un album entier à un si jeune âge....
Ma préférée de l'album : When Doves Cry avec sa rythmique venue d'ailleurs qui a bien mérité son succès à l'époque.
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le 02 Août 2010 par ANGEL D
Je l'ai découvert il y a pas si longtemps et il faut reconnaitre qu'au bout de plusieurs écoute,je trouve qu'il est à la hauteur de sa réputation.
Avec prince c'est souvent inégale dans sa discographie mais celui là est vraiment indispensable.
A part le pop funk synthétique "i would die for you" écoutable mais banal et répétitif, le reste est vraiment bon.
Entre le hard rock dansent de "let's go grazy" et son solo final façon jimmy page, le délire new ave "computer blue", les fausses balades "computer blue et "darling nikki" aux sonorités délirentes, le final de purple rain beau à pleurer.
Et cette ambience psyché qui parfois pointe le bout de son nez au milieu de l'album.
Bref, un album accessible et travailler, qui mérite largement son succès en cette année 1984 ou effectivement les "powerslave", "the last in line" et autres "defenders" aurait mérité eux aussi d'ètre un peu plus médiatisés.
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le 23 Juillet 2010 par LEO
Dans un passé bien lointain, j'ai beaucoup écouté (et apprécié) les albums de Prince depuis ses débuts en 1978 jusqu'au décevant "Graffiti Bridge" principalement.
Depuis, je n'ai réécouté que très sporadiquement une partie de sa discographie (dont celui-ci). C'est fou comme les années peuvent changer un jugement de valeur!
À sa sortie, j'avais trouvé ce disque diablement efficace et original, mais à présent je n'y trouve plus du tout mon compte, les sons et la production de cette époque ayant fort mal vieilli. Ces morceaux n'étant également pas de ceux que je préfère chez Prince (en majorité, des titres pop/rock minimalistes plutôt raides et pas vraiment dansants). Ayant rejeté une oreille sur ses albums de 78 à 80: "For You", "Prince" et "Dirty Mind", je dois dire que je préfère carrément ces 3 là à ce que le Kid de Minneapolis fera par la suite ("Controversy" contiendra encore quelques morceaux funky de bonne facture, mais des choses plus rigides comme 'Ronnie Talk To Russia', 'Annie Christian' ou 'Jack U Off" feront hélas leur apparition).
Ce Prince là n'est pas vraiment ma tasse de thé à vrai dire!
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le 25 Mai 2010 par FEELGOOD
A la rentrée 1984, la presse musicale française n'en avait que pour Prince. A peu près au même moment paraissaient The Last In Line et Powerslave. Cette couverture médiatique ahurissante me laissa tout d'abord de marbre.
Je ne tardai cependant pas à succomber au virus princier. Aujourd'hui encore, Purple Rain demeure une oeuvre fascinante, incroyablement riche et variée. Si les tubes étaient absolument irrésistibles, variés et mémorables (When Doves Cry, petite merveille de funk, Let's Go Crazy, rock endiablé et Purple Rain, slow magique et crépusculaire), le reste valait aussi le détour, de la pop de Take Me With U à la nonchalance coquine de Darling Nikki, sans oublier la violence de The Beautiful Ones et le robotique Computer Blue.
L'un des grands classiques des années 80 et un chef-d'oeuvre intemporel...
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