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Johnny
Par MARCO STIVELL
Le 08/12/2017
Le 11 Décembre 2017 par MUNDT

Merci Marco pour cet authentique édito. A ta liste tubesque, j'aimerais rajouter un morceau immortel et hors catégorie. Il s'agit du "Chant des Partisans" , second titre d'un EP paru en 1998. Si "Le Chant des Partisans" est bien connu, l'interprétation de Johnny est flamboyante, déclenchant une émotion intense. Bien loin des tubes, un de mes titres préférés du Jojo. Peut-être peux-tu en dire quelques mots ? Bien cordialement.


Johnny
Par MARCO STIVELL
Le 08/12/2017
Le 09 Décembre 2017 par PHILIPPE

Merci Marco pour ton édito et tout le travail abattu sur la discographie de Johnny.
Moi aussi sans être fan, je suis touché par la disparation d'un personnage et d'un artiste qui a presque 60 ans de carrière ! 60 ans c'est juste fou.

Mes premiers souvenirs de Johnny remonte à la fin des années 70 et début des années 80 lorsque le week-end nous écoutions RTL , l'émission "stop ou encore" ... des chansons comme Ma gueule, que je t'aime, j'ai oublié de vivre ou Gabrielle...

Un peu plus tard, ce sera l'émission TOP 50 sur canal et Europe 1 , avec Le chanteur abandonné, quelque chose de Tennessee ou Je te promets ...

Merci Mr Smet... on a partagé de bons moments ensemble depuis toute ces années !


Johnny
Par MARCO STIVELL
Le 08/12/2017
Le 08 Décembre 2017 par MR LARSEN

Merci Marco d'avoir rendu hommage - à ta manière - à ce bon vieux Johnny. Tu as abattu un énorme travail pour chroniquer toute la discographie de "L'idole des jeunes", c'est presque triste de le conclure par cet édito pour sa mort, mais bravo quand même et merci.
Enfant des années 1990, j'ai plus connu le Jojo d'"Allumer le feu", "Vivre pour le meilleur" ou "Marie". Je n'étais pas spécialement fan donc, mais j'aimais parfois à me refaire un titre ou deux ; étonnamment, ma préférence s'établissait finalement le plus souvent sur la période allant de la seconde moitié des 70's ("J'ai oublié de vivre", "Elle m'oublie") et bien sûr vers les hits des 80's ("Quelque chose de Tennessee", "L'Envie", "Mirador"). Forcément, ces titres refont surface aujourd'hui, à l'annonce de sa disparition. Avec le désagréable sentiment qu'on n'entendra plus cette voix caractéristique du rockeur au grand cœur. Dommage.
Salut l'artiste !


Le jour de la mort de Johnny
Par GEGERS
Le 15/09/2012
Le 06 Décembre 2017 par POWERBEAUF

Ben voila, on y est...


Let There Be Rock
Par LONG JOHN SILVER
Le 20/11/2017
Le 23 Novembre 2017 par JASPER LEE POP

Ça fait quelque chose. Back in Black a tout déclenché pour moi. C'est mon grand frère qui l'avait acheté à sa sortie et dès qu'il quittait la maison je fonçais en planque mettre la rondelle sur la platine du salon. En planque parce que voulant garder encore secret le plaisir intense que me procurait l'écoute de cette musique-là. L'image que je retiendrai de Malcolm Young, c'est une séquence extraite de Let There Be Rock, ce formidable concert/documentaire captant AC/DC lors d'une prestation au Pavillon de Paris en 1979. Un peu avant de monter sur scène, Malcolm se dirige goguenard dans les sanitaires une binouze à la main. Il se lave les mains puis ôte sa tenue de ville, un maillot de corps bleu pour enfiler sa tenue de scène, un maillot de corps noir. L'homme était simple. Et déterminé. Le capitaine de l'industrie AC/DC (parce que c'en est une), c'était lui et ceux qui ne se conformaient pas à sa vision ne faisaient pas de vieux os (Dave et Mark Evans, aucun lien de parenté). Parce qu'on ne plaisante pas quand on plaque des accords sur une Gretsh semi-hollow montée avec des cordes à tirant 12-58. Brian Johnson qui allait se poster à côté de lui pendant le final tellurique de "Let There Be Rock" confiait qu'il flinguait deux médiators pendant le morceau. Non, Malcolm Young ne plaisantait pas avec le rock.


Let There Be Rock
Par LONG JOHN SILVER
Le 20/11/2017
Le 21 Novembre 2017 par LA GRIOTTE

Ben, ce qu'il y a de bien quand l'un d'eux trépasse c'est que sa musique remplit l'espace pendant de longues heures et que je joue des pinceaux mieux que jamais, histoire de leur faire un petit coucou le temps qu'ils plient vraiment bagage !


L'industrie va bien, réjouissons-nous
Par GEGERS
Le 01/03/2017
Le 03 Mars 2017 par ZEJACK

Je n'écoute pas volontairement la musique à la radio.
Je n'écoute la musqiue quasiment qu'à travers un support "physique".

Il m'arrive de devoir "subir" la radio en étant coincé dans un endroit diffusant NRJ ou je-ne-sais-qu'elle-radio "d'jeunz".

Sans entrer dans le débat qualité, la remarque de Gegers sur le peu de renouvellement et la heavy rotation imposée est effarante. Certains titres doivents quasiment passer toutes les heures sur des radios !

Du coup je m'interroge : quel interêt de les acheter si l'on est quasi sûr de les entrendre presque quand on veut à la radio ?


Leonard, that's no way to say goodbye !
Par SUNTORY TIME
Le 14/11/2016
Le 26 Novembre 2016 par GILLES

j'adore Léonard Cohen , mais vos opinions politiques doivent le laisser de marbre , de là ou il vous regarde !


Musiques folkloriques et musiques traditionnelles
Par JOVIAL
Le 22/09/2016
Le 19 Octobre 2016 par JOVIAL

@Chipstouille : mon édito est une réflexion, je n'oblige personne à être d'accord avec moi !

Mais pourquoi pas la musique "populaire" si elle s'inspire des musiques de tradition populaire, par opposition à la musique savante. La musique traditionnelle peut être dans l'air du temps, ce n'est pas uniquement "la musique des vieux" ! ;)


Musiques folkloriques et musiques traditionnelles
Par JOVIAL
Le 22/09/2016
Le 19 Octobre 2016 par YM

@ Chipstouille :

"populaire" (ou "paysanne", le peuple étant, à cette époque, composé à 95% - à peu près - d'agriculteurs) -




Musiques folkloriques et musiques traditionnelles
Par JOVIAL
Le 22/09/2016
Le 15 Octobre 2016 par CHIPSTOUILLE

Petite question, maintenant que grâce à toi je fais attention avant d'utiliser "traditionnel" ou "folklorique". Dans ma chronique du concerto pour piano n°11 de Haydn, je précise qu'il s'est inspiré de musique "folklorique" pour son troisième mouvement. En me relisant ce jour, je me rends compte de mon étourderie et m'apprète à corriger par "traditionelle". Sauf que non, en 1780, la musique en question n'avait rien de traditionelle et était tout à fait dans l'ère du temps.

Quel terme conviendrait donc le mieux pour parler du passé?


Musiques folkloriques et musiques traditionnelles
Par JOVIAL
Le 22/09/2016
Le 07 Octobre 2016 par JOVIAL

Breton "traditionnel" ... héhé :)

Je suis d'accord avec toi, mais je pense qu'Angèle Jacq soulignait surtout le fait la syntaxe française trop souvent le pas sur la syntaxe bretonne, en reprenant le classique sujet / verbe / COD.

"Deus p'lec'h oc'h ?" = "Deus Rahon/Raozoun/Roazon!" et non pas cette réponse interminable "me a zo eus Roazhon". La réponse doit aller à l'essentiel, pas besoin de rappeler ce que la question a déjà mentionné. Mais tout cela est très français, on apprend l'anglais et l'espagnol de la même façon, à répéter les "this is, there are ..."/"Yo soy, tu eres ..." plutôt que de préférer les réponses courtes.

Et oui, j'ai moi-même appris "Me eo Jovial" ... avant de me rendre que le voisin ne s'embarrassait guère de ces complications grammaticales !

Bref. On va s'arrêter là sur le breton, ce n'est pas forcément le lieu et les lecteurs ont en eux assez avec Glenmor mar'hat ! :)

Pour en revenir au sujet de l'édito, je lisais dernièrement un article sur l'Irlande dont beaucoup de musiciens "trads" s'inquiètent du même phénomène.


Musiques folkloriques et musiques traditionnelles
Par JOVIAL
Le 22/09/2016
Le 06 Octobre 2016 par FRED

Attention : le "me zo" est très employé en breton traditionnel !

"Me zo skuizh !" : Je suis mort de fatigue, crevé, lessivé au bout du rouleau !
sujet + verbe + complément, dans le sens emphatique, très expressif !
"Skuizh on" : je suis fatigué (forme normale, sans emphase)

"Te 'serr an nor ?" ("Toi, tu fermes la porte ?", sous entendu : la personne précédente ne l'a elle pas fait...)


Piv out-te ? ME ZO un den kar-e-vro, hag a blij deha mont war internet...
Ha pe anv 'p eus ? ME ZO Fred (ma anv).
"Me zo", ce qui est pourtant contraire à toutes les méthodes écrites du breton !!!!!!!!!

Bon, sinon, le constat est sévère, mais globalement juste, même si ça fait un peu mal.
Juste un truc, pour préciser : le phénomène décrit par YM est la conséquence de la déculturation des populations concernées (perte des repères de la société traditionnelles) qui, cependant, refusent leur acculturation (assimilation au modèle culturel dominant).... d'où création d'une identité de substitution, souvent faite de bric et de broc... et correspondant au final parfaitement à la logique de marché (business de la 'zique, des produits allal...), d'où, au bout du compte... une espèce d'assimilation inconsciente aux valeurs de la société occidentale de consommation ! Paradoxe !
Kenavo d'an holl !



Musiques folkloriques et musiques traditionnelles
Par JOVIAL
Le 22/09/2016
Le 06 Octobre 2016 par JOVIAL

Merci pour ce commentaire des plus intéressants YM !

J'ajouterais cependant que même chez beaucoup de ceux qui font la démarche d'apprendre la langue, nombreux sont à la massacrer et à s'en satisfaire ... Accent français, mots empruntés au gallois, tournures latines ... Encore récemment j'entendais Angèle Jacq râler contre les "me zo, me zo ...", ces nouveaux apprenants qui ne comprennent que la syntaxe française. Plus étonnant (ou triste) cette réflexion faite à un ami éleveur à Plougastell : "je ne vous comprends pas, je parle le breton moderne" ... (et lui de répondre : "et moi ? Je parle le breton du Moyen Age peut-être ? Chavaj brein !") ...

On retrouve le même phénomène en musique : faire du moderne sur un champ de ruines, en laissant bien apparaître la pierre de taille, mais en prenant soin de cacher la bâtisse entière !


Je serais curieux de savoir ce qu'il en est dans les autres régions de France et d'Europe ... Personne parmi vous les gens ?


Musiques folkloriques et musiques traditionnelles
Par JOVIAL
Le 22/09/2016
Le 06 Octobre 2016 par YM


Pertinent, en effet.
la musique bretonne devient un business, une niche commerciale.
Les "Bretons" d'aujourd'hui s'en contentent, pour la plupart, elle devient marqueur identitaire, ersatz de pacotille dans une société de plus en plus globalisée.
Cela rassure le "Breton", à moindre frais (il évite souvent de creuser la question, par fainéantise, mais aussi parce que, au fond, il n' a pas beaucoup évolué par rapport au regard de ses parents sur la culture du pays... gant ar vezh - concept de la honte inculquée et encore bien présente - ; et puis, aussi, surtout, par manque d'éducation (ses racines ne lui ont pas été enseignées... mais il ne cherche pas vraiment, non plus, à approfondir la question, même si il a désormais, tous les moyens à sa disposition, JOVIAL citait dastum...).
A rapprocher du phénomène "voile et halal" que connaissent les jeunes musulmans déracinés des quartiers sensibles de France. La Forme et l'affirmation extérieure exacerbée (voile et bagad... voire davantage) remplacent le fond et l'authenticité.Pertinent, en effet.
la musique bretonne devient un business, une niche commerciale.
Les "Bretons" d'aujourd'hui s'en contentent, pour la plupart, elle devient marqueur identitaire, ersatz de pacotille dans une société de plus en plus globalisée.
Cela rassure le "Breton", à moindre frais (il évite souvent de creuser la question, par fainéantise, mais aussi parce que, au fond, il n' a pas beaucoup évolué par rapport au regard de ses parents sur la culture du pays... gant ar vezh - concept de la honte inculquée et encore bien présente - ; et puis, aussi, surtout, par manque d'éducation (ses racines ne lui ont pas été enseignées... mais il ne cherche pas vraiment, non plus, à approfondir la question, même si il a désormais, tous les moyens à sa disposition, JOVIAL citait dastum...).
A rapprocher du phénomène "voile et halal" que connaissent les jeunes musulmans déracinés des quartiers sensibles de France. La Forme et l'affirmation extérieure exacerbée (voile et bagad... voire davantage) remplacent le fond et l'authenticité.
Ce phénomène est, avant tout, le résultat de l'acculturation de ces deux populations.
Depuis le départ, on a pu constater que les bagads et cercles "celtiques" (mot galvaudé s'il en est) étaient des vecteurs importants de la francisation de la jeunesse bretonne : on n'y emploie, à de rares exceptions, que le français.
Au-delà, je pense que le "Breton" ne veut plus vraiment l'être réellement : c'est trop fatiguant, sans doute... cela demande trop d'efforts, ce qui n'est plus, vraiment, dans l'air du temps, on se contente du... folklore (sous toute ses formes). L'une des formes de ce folklore, particulièrement lamentable, est cette fameuse relation à l'alcool : "si tu ne bois pas, ne tiens pas l'alcool, alors t'es pas un Breton !". Super !
Mon grand-père me disait qu'avant 14-18, l'alcool était absent des tables bretonnes, au quotidien. L'habitude d'une consommation quotidienne ne s'est développée que suite aux mauvaises habitudes acquises sur le Front et à la nécessité commerciale d'éponger les excédents en provenance d'outre-Couesnon. Confère les Amérindiens et leur fameuse "eau-de-feu".
Fainéantise, en effet ! On préfère désormais lever le coude plutôt que d'apprendre 3 phrases de breton de base. Entreprendrez-vous quelqu'un en "brezhoneg" que ce dernier prendra aussitôt un air effaré en vous répondant un :"heuuuu... je ne parle pas breton (sous-entendu :"et j'ai pas envie de m'y mettre, alors, fous moi la paix et continuons de nous cuiter en langue française"). Et je parle là de gens parfois trilingues (LV1-2-3 !)... qui ignorent jusqu'au premier mot de l'idiome local ! Confère le groupe "celtique" et landernéen MERZHIN, par exemple ? Sacré manque de curiosité, isn't it ? Et manque criant d'authenticité que voudraient palier les décibels de l'ampli'...
Evidemment, je généralise, car on peut encore parler assez facilement breton, et pas que dans les bars... il suffit juste de le vouloir, mais cela demande davantage d'efforts que de coller un BZH au cul de sa voiture (affirmation extérieure de ce que l'on a perdu, cf, encore, voile et halal...)

Je voudrais aussi finir sur une note optimiste : le phénomène Nolwenn Leroy est certes très commercial, mais la fille est très honnête dans sa démarche. Son cœur est pur ! Elle a par ailleurs pu permettre à des gens (pas que des Bretons) de s'intéresser à la culture bretonne, comme TRI YANN en son temps.

N'eo ket aet an taol d'ar c'hleuz ! La messe n'est pas dite, loin de là... Ce sont les Bretons qui, désormais, ont les cartes de leur devenir entre leurs mains... à eux le choix de la découverte ou de l'ignorance !!!

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