oui c un tandem. comme Lennon-Mc Cartney, Gilmour-Waters, Hogdson-Davies, etc.
Voila un de plus.

@Long John Silver : Incroyable ! Je ne savais pas cela ! D'autant que cette remarque à propos des ressemblances, je l'avais depuis longtemps à l'esprit, sans demander l'avis de quiconque autour de moi, donc cela prouve qu'il y a du vrai ! Et je ne savais pas que Jason Bonham avait remplacé Dennis Elliott pendant un temps, n'étant plus trop au courant de Foreigner après la première période (jusqu'à Inside Information).
Et pour revenir aux ressemblances, je trouve cela flagrant même physiquement ! Jones et Page ont un peu les mêmes yeux en amande, et les 2 chanteurs ont la même coupe de cheveux, un style identique. Ca saute aux yeux !

Eh bien, c'est même explicite dans les interviews données par Mick Jones à l'époque : il cherchait un chanteur à la voix haut perchée, avec pour modèle le tandem Page/Plant dans LED ZEPPELIN. Notons que Jason Bonham a également intégré FOREIGNER pendant quelques temps, Lou Gramm n'était plus là, mais le recrutement du fils du batteur du Zep pose là les références du groupe.

Certes, les années 80 étaient variées musicalement (même si les synthés et boites à rythmes y avaient envahi tous les styles ou presque) mais ce fût aussi le cas des décennies 70 (krautrock, jazz fusion, rock prog, funk puis disco et punk) et 90 (grunge, rap, britpop, techno et tous ses dérivés)

Ha.... sujet intarissable que celui de la qualité ! J'ajouterais à tous les commentaires précédents qu'on parle souvent des "années 80" et on attribue fréquemment,hélas, à cette décennie des clichés souvent les mêmes : déjà musicalement avec la "synth-pop" british : on trouvera dans la plupart des compilations de cette décennie toujours les mêmes groupes avec les mêmes titres (même s'ils sont bons au demeurant) : Visage "Fade to grey", Eurythmics "Sweet dreams", OMD "Enola Gay, Talk talk "Such a shame" (...) Ce qui est dommage c'est d'oublier qu'il il n'y a pas eu plus varié que les années 80 non seulement en terme de styles musicaux de manière "transverse" (ce qui se faisait en Europe était très différent de ce que faisaient les States par exemple, avec la scène "West-Coast" par exemple), mais aussi chronologiquement : le début de cette décennie n'avait strictement rien à voir avec la fin (commencer par la new-wave, à la house/new-beat, en passant par la synth-pop et le hard-FM, ça se pose là en termes de variété de styles !). A mon avis les années 70 ou les années 90 par exemple, étaient plus homogènes artistiquement.

Cher Aigle Blanc

Je crois que ton message était plutôt adressé à Nono, lol. Je ne m'étonne pas de la "piètre qualité" de ce qui carburait au Top 50 car j'ai regardé passionnément cette émission entre mes 8 et mes 15 ans... Et quand bien même il y avait un paquet de daubes, il y avait à mes yeux plus de qualité dans un mois de classement de 1984 (ou 85, 86, 87, 88, 89, ou 90)que lors des 15 dernières années de classement réunies (en toute subjectivité, bien entendu)

C'est sûr, les meilleures ventes sont loin de refléter ce qu'il y avait de mieux en musique. Mais je pense que le temps fait en partie figure de justice immanente : plus personne n'écoute "Ouragan" ou "Holiday Rap", au contraire des exemples que j'ai cités dans mon post précédent.

Bien à vous tous

@Aigle blanc : tout-à-fait : à chaque époque, par n'importe quel canal, on a un peu voulu nous "dicter" (si on peut dire ainsi) quels artistes écouter ou pas. Cela nous ouvre une porte vers un sujet que je pense très spécifique dans la musique : on constate qu'à chaque époque (on calculera en termes de décennies), il y a eu d'une part les artistes "nés" artistiquement dans cette époque, et d'autre part ceux qui ont commencé avant et qui ont, de fait, traversé cette époque. Exemple : Les Rolling Stones ont autant traversé les années 80 que Depeche Mode, par exemple. Mais bizarrement aucun tube des Stones ne figurera dans une compil' 80 ou dans un quelconque "Top 50", alors que c'est le cas pour Depeche Mode. Et ce qui est marrant c'est que, dans le cas des artistes ayant commencé avant (années 70 voire 60), quand les années 80 sont arrivées, soit se sont vautrés car n'ayant pas réussi à passer le cap (rajouter des touches de synthé et une batterie avec réverb n'ayant pas suffi pour s'adapter) soient ils l'ont fait avec maestria en gardant leurs racines musicales sous-jacentes, avec une nouvelle production qui a "enrichi" leur son, plutôt que le détruire (je pense par exemple à l'album 90125 de Yes, ou Chicago 16 de Chicago). Tout ça pour dire que, d'une manière générale, on étiquette tel ou tel groupe/artiste à la décennie dans laquelle il a débuté, et non celles qu'il a traversé (ce qui est très ingrat, considérant que ces artistes ne seraient pas capables de durer plus de 10 ans !!)

Cher Baldrick,

Tu peux t'étonner de la piètre qualité des titres qui carburaient au top 50, mais il est un élément dont tu dois te souvenir : le top 50 était le premier classement français à la télévision qui rendait compte uniquement des ventes de 45 tours. Donc les premiers du top 50 étaient les singles qui se vendaient le mieux.
Alors qu'avant le top 50, la télévision (les Champs Elysées de Michel Drucker notamment) ne mettait en avant que certains artistes souvent ringards (Dalila, Mireille Mathieu, Mike Brant, Michel Sardou) même s'ils ne vendaient plus de disques ou presque plus. Ce qui fait qu'avant le top 50, la télévision imposait au public les artistes qu'il fallait écouter.
Grâce au top 50, on a enfin su quels étaient les disques qui se vendaient vraiment dans le marché populaire.
Mais c'est vrai que les ventes de singles ne sont pas liées à leurs qualités musicales. D'ailleurs aujourd'hui c'est toujours pareil. Les meilleures ventes ne reflètent pas forcément ce qui se fait de mieux en musique.

@Baldrick : .... pendant que, au même moment, culminaient dans le Top 50 des merveilles absolues comme "Les bêtises" de Sabine Paturel, "Ouragan" de Stéfanidemonaco, Bo-le-lavabo de Lagaf, ou "Vous zêtes fous" de Benny-B.... Le Top 50 était décidément une sacrée référence en termes de qualité (grand éclat de rire...)

Vérification faite, "Secret" n'a même pas été classée au Top 50... Mais bon, des tas d'autres tubes de la même époque sont loin d'avoir atteint les sommets en France : (Don't you) forget about me (SIMPLE MINDS), Shout (TFF) et The Power of Love de HUEY LEWIS & THE NEWS ont culminé respectivement aux 24è, 21è et... 38è places !!!

@Baldrick: Ah oui, en effet ! J'ai souvent eu la naiveté de penser que "puisqu'un titre a du suucès radiophonique, c'est forcément un titre qui cartonne", or pas obligatoirement car :
1) Il faut que les ventes (de 45 T. à l'époque) soient proportionnellement satisfaisantes, et,
2) Que l'album dont le titre est issu décolle par la même occasion.
Ce qui n'est pas forcément le cas, d'autant plus s'il n'y a qu'un titre sortant en single.
Je pense par exemple à Elton John avec "Nikita" en 1985. Là on peut dire que ce titre a fait un tabac incontestable. Pourtant, cela n'a pas suffi à faire décoller l'album "Ice on Fire", un de ses plus grands flops au final.
Idem avec l'album "The seeds of love" de Tears For Fears qui a généré, paraît-il, des ventes très décevantes... malgré l'énorme succès du titre éponyme! Comme quoi rien n'est jamais joué (c'est le cas de le dire !)

Je me souviens que ce single avait été classé dans les tréfonds du Top 50 (entre la 45è et la 50è place), mais pas plus. J'ai beau recherché dans la chaine Top 50 sur Youtube, qui retrace le classement semaine après semaine, je ne retrouve pas ce titre. En tous les cas, son succès en France a été bien plus faible qu' "Enola Gay". Sauf erreur de ma part, ça a été le dernier titre classé au top 50 par le groupe dans les années 80.

Quant à savoir si un tube peut mieux marcher dans un pays étranger que dans son pays d'origine de son interprète, la réponse est évidemment oui : COCK ROBIN a cassé la baraque à l'époque en France alors que son succès a toujours été marginal aux States. Comme on dit, nul n'est prophète en son pays.

A l'époque dans les interviews de PG dans Best ou Rock & Folk, il expliquait qu'il voulait que ses albums paraissent comme des magazines, à intervalles réguliers(au début).Mais pour le marché Américain, il fallait un titre pour la vente sur catalogue, par correspondance. Alors Peter Gabriel ou Peter Gabriel? D'où la pression de nommer ses albums. D'abord "Security" puis So (il a déclaré aimer la forme du mot) puis Us, UP et l'album annoncé et jamais sorti I/O...

@ARP2600 : Un peu comme le groupe CHICAGO : ils ont nommé les trois-quarts de leurs albums par leur nombre d'ordre de parution ! Donc difficile de s'y retrouver, d'autant que bien souvent on ne trouve sur leur pochette que leur logo (Chicago) et aucun numéro ! Ce n'est qu'à partir de l'album "16" que le numéro apparaît clairement.

Contrastant avec les titres à rallonge des derniers albums de Genesis auxquels il a participé, les quatre premiers albums solo de Peter Gabriel ne portent aucun titre. Seul son nom figure sur la pochette en plus de l'image.
Notons que les titres de ses albums suivants sont toujours en un seul mot, le plus souvent très courts (So, Passion, Us, Ovo, Up), ce qui m'a toujours semblé vouloir dénoter la rupture totale avec Genesis ainsi qu'une introspection de PG, et sans doute aussi un manque de confiance en soi, en particulier pour ces quatre premiers albums où son visage n'apparaît pas clairement (mais là, on se perd un peu en conjectures).
Les pseudo-titres Car, Stratch et Melt sont justement une simple description de la pochette, employée par les amateurs pour distinguer tous ces albums sans titre : PG dans une voiture, PG qui se déchire le visage, et le visage de PG qui fond.
Pour le quatrième, c'est un peu différent, Security étant un titre donné à l'album pour sa diffusion aux États-Unis, mais sans doute guère voulu par PG. En tout cas, il est resté comme l'identification la plus fréquente de l'album.

Je viens de m’apercevoir que je parlais de "Mark III The Final Concerts" et donc je ne réponds pas à la question, mes excuses...

Sur le booklet est indiqué :

Burn, Stormbringer,Space Trucking et bonus tracks You fool no one, Mistreated : Graz

Gypsy, Lady Double Dealer, Mistreated, You Fool no One, Going Down/Highway Star : Paris

Salut à tous.
Je reconnais qu’à la base la question est intéressante techniquement, mais très destructrice émotionnellement parlant.
Je m’explique: lorsque j’écoute et aime un morceau, je fais avant tout appel à mon ressenti, j’ai les frissons, les bonnes vibrations quand « j’aime » la musique.
Après, pour le même morceau, quand on dissèque l’aspect purement technique (comme ici quand on parle de montage de différents concerts, ou pire de boucles utilisées pour le public) et que l’on met en avant un défaut (un sifflement récurent ici), je n’entends plus que ça, et cela anéanti totalement toute l’émotion que pouvait me donner le morceau, qui du coup devient inécoutable pour moi. Donc je ne suis pas fan de ce genre d’analyse froidement technique.
Laisser libre cours à l’émotion.

Après comparaison entre Made In Europe, les Live Paris 1975 et Graz 1975, j'en tire la conclusion que tous les titres tirés de Made In Europe proviennent du concert de Saarbrucken le 5 Avril 1975 car les versions de ces cinq titres sur Made In Europe ne sonnent pas de la même façon par rapport à ceux des CDs Graz et Paris, donc il ne peut s'agir que de Saarbrucken (qui n'a jamais eu de sortie officielle jusqu'à présent).
Il est à noter que sur Made In Europe il y a un montage fait sur les bruits du public. c'est particulièrement flagrant sur la toute fin du concert ou l'on entend le même sifflement mis en boucle (effet bien peu subtil et pas très malin !). ajoutons à cela qu'il se peut qu'il y ait sur Made In Europe quelques overdubs fait en studio pour pallier à certain 'pains' des musiciens et chanteurs, mais ça reste à voir...

Concernant les dates et lieux des concerts cités, ils sont très probablement exacts, le concert du 5 avril est le plus représenté. Cependant, le disque a fait l'objet de manipulations en post-prod, notamment des coupes. Il était techniquement possible de mixer des éléments de concerts différents (comme pour Absolutely Live des DOORS, Frank APPA aussi utilisé ce procédé), donc ceci n'est peut être pas à exclure.

Désolé Nono, pas de vocodeur a priori sur ce morceau. C'est à la table de mixage que cela s'est réglé avec les claviers...

Vocoder, à tous les coups !

Il s’agit juste d’un mélange de la voix de Waters avec une note de Minimoog et vraisemblablement du VCS3 qui était employé à l’époque

Cette question me fait subitement penser à la fin du morceau d'introduction de l'album "We're Only In It For The Money" de Frank Zappa, ou à la fin, on entends un solo de guitare, qui fini par des hurlements tout en entendant tjs le son de la guitare ou bien un ton qui ressemblait vaguement au son de cette guitare là. L'effet est est saisissant, surtout pour 1968 ou on s'extasiait encore devant les guitare à l'envers des Beatles ...
Bref tout ça pour dire que pour ici c'est peut être pareil, un son du vocoder qui ressemble à la voix de Waters qui est une occasion idéal pour faire ce tour de passe passe.
Parce que honnetement je pense pas qu'un fondu donnerai le même effet de transition.

C'est sûrement la technique du vocodeur qui codifie la voix et permet de la moduler ensuite avec des instruments électroniques. Il y a je pense dans la chanson "Sheep" un fondu entre le chant et le départ de la modulation avec le synthétiseur, ce qui donne cet effet transformation.

Peut-être ont-ils à ce moment-là progressivement diminué la voix de Waters et augmenté celle du synthé. Mais même là, je doute que ça donne le même résultat.

Il est difficile de donner un pourcentage. En effet, les membres du Pink Floyd se partageaient les voix, en double la plupart du temps. Celles qui se mélangeaient le plus étaient celles de Gilmour et Wright. Donc, dire que Wright était à 10% est une erreur flagrante. Il n'y a qu'à partir de Animals qu'on l'entend moins. Et comme par hasard, c'est au moment où Waters prend définitivement le pouvoir sur les trois autres. Or waters chantait peu jusque là dans la mesure où il chantait faux et que seul Gilmour chantait réellement juste, surtout sur les parties hautes, avec, donc, Wright en support. Sinon, premier album et une chanson sur le second, Barrett avec, là encore, Wright en support harmonique.

Il y a un certain Syd Barrett qui chante quelques titres aussi. Je pense que tout dépend de ce que l'on considère comme album de Pink Floyd. Avec les deux derniers sans Waters, Gilmour doit tenir un peu plus le micro que Roger.

N'oublions pas Roy Harper qui chante "Have a cigar" dans l'album Wish you were here.
Le boulot fut bien fait d'après Gilmour quand à Waters il dit que s'il avait persévéré lors des enregistrements et pas si vite donc jeté l'éponge sa version aurait été meilleur. Moi j'en doute, je trouve la version de Roy un rien sarcastique et ça me plait bien.

50 % Waters, 40 % Gilmour, 10% Wright (et encore).

Il n'y a aucune version dite 'originale' puisque même si le groupe envisagea à la base ces albums en Allemand, certains titres furent choisis spécifiquement pour avoir des versions en différentes langues suivant le pays dans lequel le 33 tours paraissait (la base musicale restant la même). mais toutes ses parutions se sont faites simultanément donc elles sont autant d'origine que les versions en Allemand !
Ainsi en 1975 l'album Radio-Aktivität renommé Radio-Activity dans tous les autres pays en dehors de l'Allemagne eu droit à deux titres mêlant Anglais et Allemand ("Radioactivity" et "Antenna"). à noter que le reste de l'album demeure en Allemand malgré des titres renommés en Anglais sur la pochette.
En 1977, le 33 tours Trans Europa Express devenu Trans-Europe Express pour le reste du monde, contient les versions en Anglais de tous les morceaux (excepté sur le pressage Français où le titre "Schaufensterpuppen"/"Showroom Dummies", est chanté en Français sous le titre "Les Mannequins").
En 1978 lorsque paraît l'album Die Mensch Maschine en Allemagne, il est renommé The Man Machine dans tous les autres pays et celui-ci possède les versions en Anglais de tous les morceaux, exceptés "Spacelab" et "Metropolis" qui restent inchangés puisque faisant office d'instrumentaux, bien qu'ils contiennent tous deux de la voix mais ne répétant que le titre des morceaux.
Pour Computerwelt en 1981 les morceaux sont renommés et chantés en Anglais sur les pressages hors Allemagne, cependant il existe des similitudes dans les deux cas pour le titre "Nummern"/"Numbers" qui comporte des voix en Allemand, Anglais, Français, Espagnol et Japonais. idem pour les morceaux "Computerwelt 2"/"Computer World 2" et "It's More Fun To Compute" qui restent les mêmes dans tous les pressages. autre particularité pour le morceau "Taschenrechner"/Pocket Calculator, qui sur le pressage Français devient "Mini Calculateur" (et est chanté dans notre langue) et sur le pressage Japonais devient "Dentaku" (chanté en Japonais).
Electric Café en 1986 garde le même titre dans le monde entier, cependant il y a quelques variantes linguistiques sur le pressage Allemand et dans le reste du monde concernant certains morceaux: "Techno Pop", "Der Telefon Anruf"/"The Telephone Call" et "Sex Objekt"/"Sex Object". pour sa remastérisation en 2009 l'album fut renommé Techno Pop (comme il était envisagé au départ) et possède encore quelques différences notables qu'il serait fastidieux de noter ici.

Bonjour,

Kraftwerk est un groupe allemand qui a toujours eu à coeur de mettre en avant ce côté, il a donc pensé ses morceaux dans sa langue natale en premier lieu. Une écoute authentique se doit donc d'être faite avec les versions allemandes.

Ceci étant, commencer avec la version internationale de Trans-Europe-Express n'est pas un drame, à moins de vouloir jouer au puriste à tout prix.

Pour répondre à la première parie de la question : Pick Whiters est parti tout simplement par lassitude. Il n'aimait pas la direction musicale que prenait le groupe après Love over gold. De toutes façons la période Making movies / Love over gold fut une transition importante mais difficile pour le groupe, qui quittait un certain "cocon" pour devenir un groupe hype à succès mondial. Hal Lindes, guitariste provisoire après le départ de David Knopfler, est d'ailleurs parti en même temps.

Knopfler et Withers jouaient avant au sein de Brewer's Droop.

Après avoir quitté Dire Straits, il s'est tourné vers le Jazz et le Blues et s'est surtout concentré sur sa vie de famille. Mais il sera sideman pour Joan Baez, Rafferty, Robert Plant, Phil Carmen et le Blues Band de Paul Jones.

On ne peut pas aimer TOUT d'un groupe, même quand on est fan. Ce n'est pas un crime de ne pas aimer certains groupes fort connus. Moi même n'aime pas Queen, non parce que c'est ancien, loin de là -j'adore les musiques de l'époque- mais sans savoir pourquoi Queen, ça ne passe pas.

Bien sûr que non :)

Bien au contraire, avoir des bêtes noires parmi les "intouchables" me semble humain et plutôt rassurant. Tant qu'on est honnête avec soi-même, ne pas aimer les "incontournables" me semble plutôt sain, tant que ça ne devient pas un réflexe Pavlovien.

Marrant, j'ai aussi profité du confinement pour lire la trilogie. J'avais essayé quand j'avais 12 ans mais je n'avais pas accroché. J'ai adoré maintenant.

Le film de 2005 est bien minable, la série est très réussie par contre

Merci Duffman pour ta réponse, j'ai pu découvrir ce très beau morceau !

Mouais, mieux vaut ne pas trop parler du film "A La Croisée du Monde", c'est une honte d'adapter un aussi bon livre aussi un casting 5 étoiles pareil et de se louper ainsi (le hasard fait d'ailleurs bien les choses, je suis justement en train de relire la trilogie après avoir dévoré le prequel La Belle Savauge). Pas encore vu la série par contre !

Pour revenir à Kate Bush, cette chanson vaut le coup sous ses deux formes, c'est atmosphérique dans le genre planant et relaxant, parfait pour lire quoi...

Apparemment, la chanson s'appelait Out of the Storm et a ensuite été retravaillée pour apparaitre sous le titre Lyra dans la BO du film "A la croisée des Mondes - Les royaumes du Nord"

Film qui a ausi été un bide. Comme quoi, cette chanson doit être maudite

Super! Je te remercie.

Bonjour Yann,

Le morceau est disponible en téléchargement sur les sites habituels, notamment Amazon : https://www.amazon.fr/dp/B088MKXCHR/ref=dm_ws_tlw_trk1

Bien cordialement

Salut! La discographie des Stones c'est un sacré bordel au début. Pour avoir un maximum de titres je te conseille l'ordre suivant:

England's Newest Hit Makers [US]
12x5 [US]
The Rolling Stones, Now ! [US]
Out Of Our Heads [UK]
Aftermath [UK]
Between the Buttons [UK]
Single Collection - The London Years [Compilation]

Leurs premiers albums sont des disques de reprises. Deux sortent en Angleterre et trois aux USA. Les albums américains permettent d'être plus complets. En plus je crois que les premiers disques UK sont introuvables en CD.

Pour les trois disques suivants, il vaut mieux privilégier les versions UK car les américains remplacent certains titres par les singles. Des chansons disparaissent donc de leur discographie US. On n'a pas ce problème pour les singles car ils sont regroupés (avec leurs faces B) sur la compilation The London Years.

Avec Their Satanic Majesties, les disques sont enfin les mêmes des deux côtés de l'atlantique. Tant mieux!

@Yann : Flower est une compilation et non un album. Une compilation destinée à mettre des morceaux non sorti en 66 et 67 dans les version US de Aftermath et Between The Button. Il contient quand même des morceau important comme Ruby Teusday, Lets SPend The Night, Out of Time, Lady Jane, dont un inédit qui est la reprise de My Girl. Pour les USA à l'époque c'étai pas inutile du tout, l'équivalent d'un nouvel album, mais c'est vria que pour les europeens cette compilation sert un peu à rien.

Cela varie d'un album à l'autre. Aftermath UK est plus long que la version US et contient beaucoup de morceaux bouche-trou, inutiles, contrairement à la version US plus courte mais qui contient aussi "Paint in Black".
En revanche, l'album Flower (uniquement US) n'est pas si terrible.
L'avantage d'avoir les 2 versions, c'est que des morceaux sont présents dans la version U.K et non dans la version U.S et vice versa.
Il y a même, me semble-t-il, des versions allemande ou francaise comme l'album Around and Around sorti à l'épque des 2 premiers albums.

Comme toujours dans ce cas de figure (le pb se pose aussi avec les Beatles), il faut se rappeler que le groupe étant anglais, c'est la version UK qui a été pensée et agencée par le groupe (quand la maison de disque lui demandait son avis, ok... Mais les Stones ont eu assez tôt leur mot à dire), les versions US rajoutant souvent des singles pas prévus sur figurer sur un album. C'est donc les versions UK à avoir, sans hésitation, mais sans oublier une indispensable compil de singles de cette époque ("the complete singles collection" est très bien), vu qu'avant 66, ce sont les singles qui sont vraiment soignés, et on y trouve plus de perles que sur les albums... Ne pas oublier "Flowers", "December's children" et "Metamorphosis", des compiles, mais plus qu'excellentes.

En fait c'est mitigé.
Mais il y a un principe qui fait que les albums US ont été conçus de façon à les rendre ce qui à l'époque devait être plus commercial, accessible, ciblé, puissant, efficace... pour avoir le plus de chance possible de "conquérir" les USA aussi.
Idem pour les Beatles, mais tout ça ne concernait que la première bonne moitié des 60s'. A une époque où on voyait plus un album comme un sac à chansons plus gros que les E.P., plutôt qu'un genre de concept...
C'était un peu comme les Clash dans les années 70 et 80 les groupe enregistraient chansons sur chansons, et après on voyait lesquelles d'entre elles iraient pour tel album, lesquelles pour telle face b, lesquelles serviraient bien de singles...

Enfin tout ça pour dire qu'à cette époque des années 60 où on voulait produire différemment aux UK que aux US, il y a aucune importance, les chansons sont les mêmes. Donc les Stones US, ou les Stones UK, c'est chou vert et vert chou...
De 63 à 65 tout est tellement homogène qu'on pourrait faire un gigantesque album avec la cinquantaine de petites chansons 2 min 30.

En ce qui concerne "Between The Buttons", la version US comporte les deux tubes "Let's Spend The Night Together" et "Ruby Tuesday", elle est plus pêchue que la version UK mais cette dernière est l'album original avec sa couleur bien particulière
Même chose pour "Aftermath" qui exige la version anglaise qui est celle qui a tout révolutionné.

Bonne question ! Les versions sont différentes au niveau des titres (les artworks aussi.) Et te dire la mieux entre US et UK je ne vois pas comment (bon je suis un fan inconditionnel et je possède les deux versions et même pour leur deuxième album j'en ai trois : US, UK et français.) Car si tu apprécies tu désireras peut-être avoir le maximum de titres ... donc je te conseille de prendre, disons, les versions UK et après tu peux compléter avec des compiles de la période Decca qui contiennent pas mal de titres des albums US. Ne pas oublier que les titres qu'on trouve chez l'un et pas chez l'autre ont été édités en singles ou ep donc tu peux aussi en retrouver sur le magnifique coffret Decca "sp et ep".

Je ne vais pas être Chameau avec ma réponse...

La Camel apparait en 1913, un mélange de tabac turc et américain, peu chère et plus douce à fumer. Les soldats y prirent goût et sur les lignes de front, elles permettaient de s'évader un peu... de s'aérer au Sahara.
"À beau chameau, vaste désert" et c'est à partir du silence dans cette mer de sable que la musique monte comme un MIRAGE sous l'oeil bienveillant du CAMEL et de son chamelier.

@Leo pour info beatle veut dire scarabée (peut être reference à l'Egypte antique ...)
mais je suis pas pour le fait de croire que les groupe ont choisit des noms pas hasard entre 2 verre d'alcool pour le fun, c'est un nom qu'ils doivent porter et assumer pendant des années. Certains veulent pas dire pourqoui car ils estiment que ça nous regarde pas. Quand des musiciens créent un groupe qui sera plus tard connu c'est pas sans ambition, et ils vont pas choisir un nom au hasard.

Pour la marque de cigarettes ?

Je n'ai rien trouvé de concret.
Peut-être qu'ils ont appelé leur groupe ainsi à cause des influences orientales qu'on retrouve dans leur musique?

Et pourquoi pas après tout ?
Il y a tout un tas de noms d'artistes et de groupes en rapport avec des animaux: The Monkees, Cat Stevens, Three Dog Night, Crazy Horse, krokodil, Steppenwolf, The Yardbirds, Iron Butterfly, T Rex, The Eagles, Scorpions, et en tout premier lieu The Beatles (même si à la base cela s'écrit Beetles mais le "a" est là pour le jeu de mots).

Pour moi le meilleur de Genesis se situe entre "Selling England" et "Duke", mention spéciale aux deux albums consécutifs "Trick of the tail" et "Wind & wuthering".

Un opus qui me touche à l'instar du Abacab avec leurs titres éponymes qui marquent d'entrée...
Y a des morceaux comme ça qui nous restent accrochés indéfiniment à la bande-son de notre parcours terrestre..

Alors Genesis c'est facile :

1 Peter Gabriel
2 Phil Collins
3 Pas de retour de Gabriel
4 Ray Wilson
5 Pas de retour de Phil Collins

@LEO : Oui, "And then they were 3" possède un charme très particulier, totalement unique. Les mélodies sont absolument magnifiques en général et il y règne une atmosphère intimiste, assez "crépusculaire" (la pochette de l'album y est-elle pour quelque chose ?). Pas crépusculaire dans le sens "triste / glauque", mais dans le sens : romantique, un brin mélancolique, et assez mystérieux. Le seul défaut est le mixage, qui met un peu au même plan la batterie et les claviers ce qui manque un peu de profondeur dans le son. Mais qu'importe; Je n'arrive pas à croire POURQUOI cet album est tant décrié, ça reste un mystère pour moi.

Je suis bien du même avis que toi Nono en ce qui concerne l'excellent ...And Then There Were Three... qui est l'un des disques de GENESIS que je préfère malgré la sale réputation qu'il se trimbale.
Cet album de transition (puisque c'est le premier réalisé en trio) est à réhabiliter car il contient suffisament d'arguments positifs en sa faveur pour qu'on lui redonne sa chance.

Oh, et puis Justyna, j'ajouterais un détail à tout ce qui a été dit précédemment : ne SURTOUT PAS négliger l'album "And then they were three" (sorti en 1978), qui est un TRES BEL album, contrairement à ce que la majorité pense !

Salut à tous!

Merci pour tous vos conseils!
En particulier JC, c’est plus clair maintenant, je vois le tableau

Merci encore!

Bonne journée!

Leo t'a fait une description très complète et pertinente. Effectivement il y a pas mal de "phases" chez GENESIS, avec certains albums un peu à cheval sur deux d'entre elles, faisant office de transition. Je ne ferai pas de meilleur topo que lui mais puisque tu parles de "t'orienter" je peux t'indiquer certains albums clés pour pénétrer dans leur vaste univers.

- Pour la période Gabriel le plus accessible selon moi est "Selling England By The Pound". C'est un peu leur album vitrine, il contient des rêveries progressives de très très haut niveau, tout en restant assez sage et mesuré. Frissons garantis à certains moments ! Cependant il est un poil inégal, alors si les contes musicaux loufoques à multiples rebondissement ne te font pas peur jette-toi sur "Nursery Cryme".

- A Trick Of A Trail est l'autre album vitrine de GENESIS, mais cette fois période Collins. Son chant est assez timide et maniéré mais le songwritting est au top du top, avec une ambiance féérique et des mélodies tout à fait délicieuses. Un must.

- Si tu préfères attaquer par leur période commerciale (qui contient de très bonnes choses) je te suggère Duke. Il a encore un pied dans le prog avec certaines superbes envolées, et comprend aussi quelques morceaux pop qui ne sont pas de mauvais goût, loin de là (espèce qu'on peut trouver sur Abacab ou Invisible Touch).

En espérant avoir été utile !

Hello Justyna !

- From Genesis To Revelation (1969) Ce 1er album est résolument à part dans la discographie du groupe. celui-ci est imprégné de pop orchestrale comme pouvait l'être celle des premiers Bee Gees ou des 2 premiers Cat Stevens à la même époque.
- Trespass (1970) - Nursery Cryme (1971) - Foxtrot (1972) - Live (1973) et - Selling England By The Pound (1973) sont dans une mouvance progressive fortement théâtrale et ambitieuse qui alterne morceaux doux et acoustiques à des compositions électriques et beaucoup plus aggressives. le format des compositions peut varier de courtes scénettes de 2mn à des pièces de 10mn à plus de 20mn comme dans le cas de "Supper's Ready".
- The Lamb Lies Down On Broadway (1974) est le dernier album avec Peter Gabriel au chant. ce double album est encore un cas à part car il s'éloigne fortement des comptines baroques et autres pièces romantiques que l'on pouvait trouver dans les albums de 1970 à 1973. l'inspiration est ici plus en prise avec le réel et la musique plus urbaine, les sonorités et l'atmosphère plus étouffante par moments. les compositions sont toujours aussi ambitieuses et varient d'un titre à l'autre.
- A Trick Of The Tail (1975/1976) - Wind & Wuthering (1976) et le double live - Seconds Out (1977) voient Phil Collins remplacer Peter Gabriel au chant (tout en continuant son rôle de batteur avec GENESIS depuis 1971). on retrouve dans ces albums un peu de l'atmosphère de Selling England By The Pound avec toutefois un son plus moderne et un côté plus mélancolique par instant.
- And Then There Were Three... (1978) est le premier album fait à 3 sans le guitariste Steve Hackett. le son est moins aérien, plus terre à terre. les claviers sont mis plus en avant, cependant même si les morceaux sont moins longs, le côté progressif n'a pas encore totalement disparu. c'est un album de transition, au même titre que - Duke (1979/1980) qui lui est plus recentré sur l'aspect chansons (exception faite de l'instrumental final, la suite "Duke's Travels"/"Duke's End").
- Abacab (1981) - Genesis (1983) - Three Sides Live (1982) - Invisible Touch (1986) - We Can't Dance (1991) et les live - The Way We Walk, Vol I: The Shorts (1992) - The Way We Walk, Vol II: The Longs (1993) sont marqués par l'ascendance de Phil Collins sur le groupe. la musique est très similaire à celle pratiquée par le batteur sur ses albums en solo. c'est à dire une pop fortement synthétique (années 80 oblige!) et dans un format plutôt court.
- Calling All Stations (1997) le dernier album studio du groupe, voit Ray Wilson au chant à la place de Phil Collins (qui se consacre à sa carrière solo). vocalement il est à mi-chemin entre Peter Gabriel et Phil Collins et la musique quand à elle, reste très proche de ce que faisait le groupe sur ses derniers albums (en peut être un peu plus sombre, quoique...).

Il y a donc plusieurs phases dans l'univers de GENESIS, mais tout n'est pas aussi délimité comme tu peux le constater puisqu'il y a des albums de transitions, dont certains peuvent appartenir autant à une période qu'à la suivante !
Chacun a aussi son propre ressenti ce qui ne facilite pas forcément la tâche pour démarquer telle ou telle époque et tu verras que tu auras certainement d'autres points de vue selon les différents intervenants.
En espérant ne pas avoir été trop abstrait dans mes propos !
Bonne découverte musicale. tiens-nous au courant de ton ressenti personnel.

Bonjour,

Chez Genesis, on peut séparer les périodes ainsi :

1 - Période pop 60's (1967-1969)
2 - Période "Peter Gabriel" (1970-1974)
3 - Période progressive romantique (1976-1978)
4 - Période pop-prog (1980-1983)
5 - Période pop/adult contemporary (1986-1991)
6 - Période Ray Wilson (1997-1999)

Bonne journée !

J'ai tendance à penser aux "BBC Sessions" publiées en 1997...

en regardant sur discogs on peut constater le gros basard pour les version des prochettes. Les plus connues sont les originales, mais leurs 3,4 premiers albums ont tous des tonnes de pochettes differentes depuis leur reeditions en cd. franchmenet celui qui s'est occupé de ça ils ont trop écouté gong

Ah voila, celle avec écrit "You" est la réédition CD de 1991 (infos disponibles sur Discogs).

L'originale est celle avec la pyramide. Celle avec les deux visages est une réédition de 1982. Je ne connais pas la 3ème.

Non, il y a aussi "Le grand départ" en 1972
fyp

Le seul truc télévisé ou Gong a participé est sur le film documentaire Continental Circus (Moto GP dans les années 70).

Je rejoins l'avis d'Arp2600.
En dehors de Scotto et des frangins Robert et Jean Cohen Solal, Philippe Beetz a participé à la première mouture musicale.
Pierre Schaeffer, l'un des pionniers de la Musique Concrèten et fondateur d'un Service de Recherche de l'ORTF, a également participé à l'élaboration de certains sons. Jean Dejoux, un proche de Schaeffer, inventeur de l'animographe à lui aussi proposé des idées sonores et des bruitages lors de la première série de 52 épisodes.

A mon avis, c'est faux. La musique des génériques est de Ted Scotto, l'environnement sonore et musical de Robert Cohen-Solal, et ce sont les frères Cohen-Solal qui l'ont interprété. Donc à moins qu'un musicien du futur Gong ait joué les requins pour un des génériques, je ne vois pas... Une rumeur infondée liée à l'étrangeté des Shadoks, sans doute.

En 1969 Felix Pappalardi producteur de Cream décide de créer un groupe, Mountain, lui à la basse Leslie West à la guitare.
Pour moi c'est le groupe qui ressemble le plus à Cream.
Je te conseille:
- Mountain : "Climbing"
- Mountain : "Nantucket Sleighride"
- Mountain : "Twin Peaks" (live) avec un morceau de 35 minutes
- Cactus : tous les albums
- Jeff Beck : "Beck-Ola"

Je pense qu'on peut également citer CACTUS, dont les trois premiers albums sont géniaux.

il y a la bombe vincebus eruptus de bleu cheer

Dans une veine pas très éloignée, outre les groupes précités on peut rajouter Roy Buchanan, Soft Machine, Jamul, Keef Hartley Band, Pat Travers, Jimmy Thackery.

Merci à tous pour vos réponses.
Pas tous faciles à dégotter les CD. Mais je m'y emploie !

Vous pouvez aller jeter un coup d'œil au Live At the Filmore East 70 de "TEN YEARS AFTER".
Le final superbe de "Spoonful" de Dixon est à mon goût supérieur à la version de CREAM.
Une version de 17 min de "help me" du même Dixon avec 95% de pur délire a la guitare.
Bonne écoute.

Il y a aussi la scene Southern Rock avec Lynyrd Skynyrd, Allman Brother Band etc.

Beaucoup de groupes peuvent être cités, pèle-mêle voici quelques suggestions plus ou moins célèbres : Taste, Spooky Tooth, Les Variations, Jeff Beck Group, Pot Liquor, Free et bien sûr Blind Faith et Derek & the Dominos.

@ ZeJack

Fais un essai avec le premier album du groupe Américain NAZZ (dans lequel officiait Todd Rundgren).
Paru en 1968, cet album éponyme fait dans le pop rock psychédélique parfois légèrement bluesy.
On y entend tout à la fois l'influence des Who ("Open My Eyes"), des Beach Boys ("Hello It's Me") que de Cream ( "Back Of Your Mind").

Merci pour vos réponses. J'aimerais fonder leur fan club. Sont-elles mariées à présent ?

La guitariste Marine Neuilly a quitté le groupe et jouait au sein de Tropic REVOLVER.
Katty Besnard et la batteuse se produisent ensemble sous le nom de Arizona Twins.

Le groupe est en pause depuis 4 ans, faute de maison de disques ou boîte de prod'.

Wikipedia est ton ami... :-) En pause depuis 2016...
Pour leur écrire, écrire à leur maison de disque (Because Music) ou voir sur leur site...