Hello,
Comme je l'ai écrit, j'ai arrêté l'affaire ASIA après leur troisième album ASTRA que je connais(sais) bien car un bon pote me l'avait enregistré sur une K7 aujourd'hui disparue, restent les deux premiers que je possède en vinyle donc ça ne fait pas lourd, surtout si tu as déjà le deuxième !
Il se trouve qu'il m'arrive de vendre des vinyles de tas de trucs mais là j'ai bien précisé que je donnais donc, je donne, il suffit de payer le port postal si ça t'intéresse vraiment.
Sinon, oui Foreigner (dont je possède aussi des vinyles) me tombe des oreilles.
Bien à toi.

Bonsoir,

Oui, une vérification sur Discogs permet de dire qu'il s'agit effectivement d'une version officielle, pas de doute là-dessus.

Après, pourquoi changer la tracklist...cela semble arriver assez souvent chez les one-hit-wonders : suite au succès d'un single, on réarrange le LP dont il vient de manière à placer ledit single en premier, comme ça l'auditeur peut l'écouter et zapper le reste, tout en payant un 33 tours/CD plein pot.

Oui, c'est bas.

Sequel est vraiment un album sobre et propre, c'est clair, mais je le recommande pas forcément pour découvrir le groupe.

Le premier album du groupe, Down In Albion est assez bordélique par contre, ça part un peu dans tous les sens. Je te recommande de commencer par Shotter's Nation qui à mon goût est le plus solide, le plus complet, le plus rock et inspiré :)

Bonne découverte

Dans les seventies, Magma tournait beaucoup dans le circuit des MJC très actif à l'époque.
Environ 200/300 personnes par concert, certains se sauvaient en courant mais la plupart rentrait dans l'univers particulier du groupe.
D'autres groupes tournaient dans ce cicuit, Catherine Ribiero + Alpes, Art Zoyd III, Crium Delirium, Gong, Gilles Servat, Colette Magny, en jouant une musique originale, sortant des sentiers battus avec un public très fidèle et connaisseur.
De mémoire entre 73 et 76 j'ai du assister à une douzaine de concerts de Magma, donc le groupe tournait beaucoup.

Si Nous parlons de Magma, n'oublions pas un autre groupe qui mérite amplement de figurer côte à côte avec ce groupe mythique... ZAO... lui aussi plus que phénoménal !!!

Oui, c'est sûr qu'en France MAGMA fut incompris par la majorité ; sauf par ceux qui, plus ouverts, connaissaient déjà ZAPPA, KiNG CRIMSON, SOFT MACHINE, le Free Jazz, la musique Concrète... enfin tout sauf les "Yéyés" de Claude François, Vartan, Johnny et les autres...

Magma ?

Les passionnés de jazz devant l'éternel ont vite déniché ce
groupe... la musique c'est aussi du bouche à oreille.

Quoi de plus normal, de plus naturel !

Il faut souligner que Magma tournait "dans le circuit des MJC" et touchait ainsi un public divers et varié.
Le groupe est passé à Pop 2 L'EMISSION rock de la TV à l'époque.
Mais avec ses interviews délirantes, Vander était un bon vendeur!

Hello,

La musique de magma fut un tel choc que personne ne savait à quoi il avait affaire. Les critiques furent tous complètement perdus, hormis Philippe Paringaux, dans l'édition de Rock & Folk n°40 paru en 1970, qui sera le seul à déceler et à exprimer la réelle personnalité du groupe.

A l'étranger, la première réaction fut l'étonnement, avant de devenir l'enthousiasme.
En Allemagne (on le comprend) et en Angleterre par exemple, le groupe triompha à chacun de ses concerts, et laissait un public totalement halluciné.

Pour ce qui est de sa médiatisation, le groupe fit quelques apparitions télévisées, les radios, elles, restèrent frileuses.

Klaus Meine mesure très exactement 1m68. A partir de cette taille-référence, je te laisse établir toi-même la hiérarchie. Question cruciale en effet...

Je n'ai pas la réponse précise à ta question concernant Klaus Meine, mais pour avoir vu Dio en live en 2009 avec HEAVEN & HELL, un an avant sa mort, je peux te dire qu'il n'est pas si petit que ça (je dirais plutôt qu'il a une taille certes petite mais sans être un nain pour autant).
Cet affreux facho d'Angry Anderson (chanteur de ROSE TATTOO) est encore plus petit que ça, si mes souvenirs sont bons !

Dans la liste des autres personnages que tu cites, concernant le fait de savoir qui est le plus petit, j'aurais tendance à dire Sarkozy : car Gimli fait à peu près la même taille que lui, mais sans talonnettes ! ^^

Okay merci red one.

J'avais cherché, trouvé que Tromsø était une ville de norvège, compris que kultur c'était culture, mais c'eut très bien pu être la société d'un mécène privé, ce genre de trucs.

Ben c'est tout.
Merci pour la mise en sélection de la messe, on va dire brièvement qu'elle est cool.

Pas de soucis, on est là pour répondre aux questions, et ta question n'est pas idiote.

Tromsø est l'une des principales villes de Norvège, qui présente toutefois la particularité d'être situé tout au nord du royaume, au delà du cercle polaire. Détail amusant, on y trouve la mosquée la plus septentrionale de la planète.
Musicalement, la ville est assez réputée, en particulier dans le milieu de l'electro, et des artistes reconnus du genre comme RÖYKSOPP sont originaires de la ville.

La "Tromsø Kulturhus", autrement dit la "Maison de la Culture de Tromsø" ("Tromsø Culture House" en anglais, certains mots des langues germaniques sont quand même un peu transparents...), est le principal organisme culturel de la ville, et est particulièrement réputé pour son investissement en faveur de l'art contemporain, notamment dans le domaine du spectacle. Il commande donc ainsi régulièrement des créations originales à différents artistes norvégiens et ce nouvel album d'ULVER s'inscrit dans ce cadre.

Voilà.

Je sais que tu ne parles pas norvégien, mais à tout hasard, voici leur site :

http://kulturhuset.tr.no/

Pas vraiment de question... ^^ Juste un merci pour l'OST.

Hello... Ravi d'avoir pu t'aider dans tes choix! Du coup... Quelle est ta question?

Ce disque-ci n'a jamais été classé sous le nom Ashra. Il n'est pas hérétique de le mettre sous Ash Ra Tempel car la pochette originale est ambiguë mais il est le plus souvent classé comme Göttsching solo. De toute façon, le style musical n'a pas grand chose à voir avec les quatre premiers Ash Ra Tempel...

Bof! je ne vois pas bien le rapprochement avec la pochette de l'album d'Anathema! ça peut tout aussi bien ressembler à celle du dernier Daft Punk pendant que l'on y est....!
Non, aucun rapport pour ma part.

Salut à toi, fidèle,

Il s'agit de la chanson "Over The Rainbow" tirée du film "Le Magicien d'Oz", chantée par Judith GARLAND.
C'est le passage avant cette chanson qui est utilisé pour l'intro du concert ("Toto, i think we're not in kansas anymore, we must be over the rainbow", quelque chose comme ça).

Mais pourquoi on l'entend pendant "Spotlight Kid", eh bien, la seule explication que j'ai revue plusieurs fois était la suivante : le mec chargé de la sono a remis "play" pendant le morceau sans s'en rendre compte. Je sais c'est un peu gros, mais comme on l'entend s'arrêter d'un coup, comme s'il ne fallait pas qu'on se rende compte de l'erreur (c'est réussi), ça pourrait être une explication plausible.

Bien à toi.

L'intro est identique, elle est jouée un demi ton plus haut sur la chanson de Renaud, mais la suite d'accords est la même et l'accent posé sur celui du milieu est joué de manière identique.
Maintenant de là à parler de plagiat,c'est possible mais il y a quand même un pas que j'hésiterais à franchir, tant ce genre de riff et de rythme semble commun à pas mal de morceaux, par exemple à "all along the watchtower" de Dylan qui peut être considéré comme un cousin pas si éloigné de ce que l'on entend sur ces deux titres.

Bonjour,

Je vais t'avouer qu'à l'époque où cette chronique est sortie, le krautrock n'était pas encore très présent sur Forces Parallèles et ne voulant pas dérouter les lecteurs, j'ai choisi de le classer en "rock progressif". Je ne partage pas totalement ton avis cependant, car si effectivement Hoodoo Man est un disque aux envolés clairement rock, voire hard rock, parfois - tu l'as dit - teintées de jazz, ses sonorités rappelant Atomic Rooster et Deep Purple, voire parfois ELP et ses constructions alambiquées ("Suicide", "Hoodoo Man" en particulier).

Je vais quand même changer ça. Bien à toi !

Tout comme Police et Cream, le groupe eu quelque difficulté d'entente, entre 2 membres, Greg Lake et Keith Emerson, pour les mêmes raisons que Police et Cream, des problèmes d'égo. Ah oui, un groupe qui a en plus une réputation d'être relativement prétentieux, c'est clair que des problème d'égo, de jalousie, de complexe entre membres s'imposent.

Le contexte est pour beaucoup dans le déclin rapide du groupe, mais il n'explique pas tout : d'autres groupes de progressif comme YES et GENESIS sont revenus au premier plan dans les années 80 au prix d'une sérieuse adaptation de leur musique. Or, ELP a toujours reposé sur la surenchère, le pompeux, et le narcissisme de zicos persuadés d'être infaillibles. Après Trilogy et Brain Salad Surgery (ses 2 albums les plus aboutis), le groupe ne pouvait que décliner, puisqu'il était incapable de faire évoluer sa musique. 4 ans plus tard, en publiant deux albums dont le seul titre pue l'autosuffisance (Works), puis un disque à l'intitulé et à la pochette risibles (Love Beach), le trio est aussitôt passé pour une bande de ringards. La dissolution qui a suivi n'a fait que sceller le sort d'un groupe prisonnier d'une époque définitivement révolue.

Le manque de pot. Apès des longues et fastidieuses série de concerts, ils ont décidé de prendre une pause de 3 ans afin de se ressourcer, de revoir leur style, le problème c'est qu'à partir de la moitié des années 70, le rock progressif retourne vite à l'arrière plan, le punk arrive, des styles différents de rock et hard rock naissent, le disco/funk arrive et commence à percer dans le grand public, 3 ans sans vrai retour sur scène du trio, ce fut fatal pour eux. Ensuite dans les années 80 de nouveau, des gros changements avec la new wave, le funk qui est en train de muter, des groupe de rock progressif travaillant très différement que dans les années 70, tout ceci n'arrange pas leur cas.

À mon sens, il est plus proche de Sons and fascination. Les deux partagent un son dance rock riche et propre. Je trouve pour ma part les trois albums à peu près aussi rythmés, Reel to real est juste plus expérimental, moins stable.

Pour la version 2013 j'ai trouvé un lien sur Youtube, je doute que ça soit une version officielle même si c'est mis dans la description n'empeche que c'est drolement plus écoutable :
http://www.youtube.com/watch?v=m87_oxc1vj0

La "guerre du volume" est l'aboutissement d'un processus qui a démarré au début des années 90, après le succès de PANTERA. La majorité des groupes de metal qui ont successivement cartonné au Billboard (KORN, puis LIMP BIZKIT, PAPA ROACH, SEVENDUST et enfin SLIPKNOT et SYSTEM OF A DOWN qui ont atteint les sommets en 2001) se sont caractérisés par des riffs agressifs dans les graves, des rythmiques aussi bourrines que précises, et des mélodies délivrées à doses très homéopathiques. C'est Ross Robinson, en produisant le premier album de KORN, qui a lancé cette mode de l'hyper-compression afin de rendre la musique de Davis & Cie encore plus rentre-dedans. Colin richardson, mais également des producteurs confirmés comme Terry Date, Rick Rubin et Bob Rock ont aussitôt adopté ce procédé, pour le plus grand malheur de nos oreilles.

En 2001, RUSH est dans une situation délicate : en 5 ans, le paysage musical a complètement changé et le groupe décide d'adapter sa musique et sa production à son époque, comme il l'a toujours fait. Le trio se lance donc dans le modern-rock et sort tout simplement un disque ayant le son du moment. A mon humble avis, il ne faut pas aller chercher plus loin. Le producteur Paul Northfield (dont les compétences sont inattaquables) n'a fait qu'obéir au groupe en suivant la mode du temps.

Le cas du "Death Magnetic" de METALLICA relève du foutage de gueule pur et simple. Le mixage de ce disque a été fait par Rubin alors que le groupe faisait une tournée des festivals en Europe. Les 2 parties ne communiquaient que par visio-conférence et il me semble bien que James Hetfield a déclaré ensuite (dans le blu-ray du Big Four, il me semble) que le groupe a approuvé le mixage final de l'album après l'avoir écouté dans une tente alors que d'autres groupes étaient en train de jouer... No comment !

Le maitre actuel du mur sonore sans faille ni variation, c'est bien Rick Rubin suffit d'écouter le dernier Black Sabbath, Slayer et comme tu le notes: Death Magnetic du même producteur.

Pourquoi un son aussi puissant, grande question oui. Comme je le dis dans la chro, j'apprécie pour ma part l'effet de claque qu'on ressent dans Vapor Trails bien qu'il faille avouer que l'écouter en entier est assez éprouvant. Je doute qu'ils se soient totalement laissé embobiner par leur maison de disques. C'était peut-être une tentative qu'ils ont apparemment jugée peu satisfaisante, d'où ce remaster.
J'accueille celui-ci avec intérêt mais je demande à voir si l'album va y gagner ou y perdre...

Hello Séraphin!

Super content d'apprendre qu'un remix de Vapor Trails doit sortir à la rentrée, car je ne l'ai pratiquement jamais réécouté à cause de ce mastering horrible !
Effectivement, en cette fin des années 90-début des années 2000 (Vapor Trails date de 2002), la mode était au son hyper compressé où toutes les fréquences étaient mixées au même niveau. L'album POP (1997) de U2 n'échappe pas à la règle et j'ai toujours eu le même problème avec celui-ci et l'album de Rush.
Je crois avoir lu quelque part que c'était une stratégie des maisons de disque, qui demandaient aux ingés-son de balancer la sauce au mixage ou au mastering (ou les 2) pour que lors des passages radio, les titres de leurs artistes ressortent le plus par rapport aux autres artistes diffusés, d'où une course effrénée à ce type de procédés ! (la "loudness war", comme tu l'as fait remarquer).

Theme From Great Cities et Somebody Up There Likes You ont en commun d'être 2 instrumentaux aux claviers aériens mais la comparaison s'arrête là car le 1er des 2 est un titre plus up-tempo (hormis son intro) que le second, qui lui est bien plus atmosphérique (malgré une rythmique bien appuyée par instants).
Ce sont donc 2 compos dans le même esprit mais sans grande ressemblance malgré tout.

Je n'avais jamais écouté Theme For Great Cities (qui n’apparaît pas sur la version vinyle de Sons And Facination). Bien vu pour le lien.
Je crois que Simple Minds a l'habitude d'avoir des morceaux basés sur les mêmes notes, d'où leur "auto-emprunt qu'ils ont fait à  quelques reprises.

Autres exemples : le plus flagrant tant Scar (sur Real To Real Cacophony) avec New Gold Dream.
Dans un autre genre : Seeing Out The Angels, la mélodie préfigure carrément celle de Mandela Day.

C'est pour le 26 août et ça va s’appeler "Right Thoughts, Right Words, Right Action"