Ok, j'ai trouvé ça sur Rate Your Music. Pour les petits curieux.

"4AD art aficionados may know that Spleen and Ideal's front cover is a photograph taken by Colin Gray, quite on the spur of the moment, as he and his girlfriend were driving through Trafford Park. For years I assumed that the snapshot had been taken at the very moment of detonation - but in fact what we see is essentially a botched demolition. The huge warehouse so typical of those in Manchester and Liverpool had failed to collapse following the initial explosion, and was thus caught in this bizarre, tilted stasis - almost as though it was forever falling (it stayed this way for several weeks, apparently). The white plastic star was lying around on the neighboring wasteland, and the red cloak just happened to be in Gray's car at the time. A few moments of faffing later and an intriguing and very memorable image had been captured. No superimposing, no airbrushing, and no darkroom trickery - just getting out there and making the most of whatever the camera finds."

Kiffant comme histoire.

Difficile à dire. C'est une pochette très énigmatique. Personnellement, ça me fait penser à cette famille de Chinois qui refusait de quitter sa maison qui devait être détruite pour laisser place à je ne sais quel immense projet de construction dont nos amis de l'Empire du Milieu ont le secret. On voit la maison sur un promontoire de terre, en plein milieu d'un immense trou ou terrain vague. Mais ça ne peut pas être cette histoire sur la pochette, qui date de 1986.

Qui sait si c'est une histoire du même genre. Mais là, je n'ai pas trouvé l'origine...

GLADIUS ne cite que les artistes ultra vendeurs et connus, certainement pas les meilleurs, jette une oreille sur des groupes comme : Above the law, Geto boys, Bone thugs and Harmony, The roots, Dead prez, killarmy, Do or die, The dogg pound, Naughty by nature, pour commencer c'est déjà pas mal.

Je dirais "paid in full" d'Eric et Rakim. .D'ailleurs, à quand une chronique ?

J'en profite pour rajouter ma réponse à cette question que j'avais pas remarquée.

Ta question est sacrément vaste, l'ami... mon collègue SEIJITSU a bien fait de te donner un classement de ce genre qui, même s'il est facilement contestable car subjectif, donne une bonne idée des grosses perles que l'on peut trouver.


Dans un premier temps, les deux emblèmes des années 90 sur cette rivalité East/West sont respectivement Notorious Big et 2Pac. Leur discographie que j'ai chroniquée sur le site est imparable, de grands classiques du rap. Après si tu veux fouiller plus, les plus grands activistes de cette époque sont :
West cost : Ice Cube, Dr Dre, Snoop Dogg, Nate Dogg, Warren G, ...
East cost : Mobb Deep, Ja Rule, Puff Daddy, De la Soul, Nas, DMX, Jay Z, ...

Bonne découverte à toi ! ;)

Il y a tellement de disques considérés comme des classiques dans le hip hop que faire une liste serait vite barbant.
Le top hip hop du site Rate Your Music donne une bonne vision d'ensemble de ces albums cultifiés:

https://rateyourmusic.com/customchart?page=1&chart_type=top&type=album&year=alltime&genre_include=1&include_child_genres=1&genres=hip+hop&include_child_genres_chk=1&include=both&origin_countries=&limit=none&countries=

A titre personnel, je pense qu'il y a aussi bien du grandiose que du surestimé dans cette liste. Mais si je devais citer un seul album de rap East Coast capable de supporter cette étiquette "classique" sans souffrir de la moindre critique, ça serait The Sun Rises in the East de JERU THE DAMAJA (et ça change des habituels WU-TANG CLAN et autres NAS).

En terme de west coast, difficile à dire. The Iceberg d'ICE-T, Death Certificate d'ICE CUBE ou encore The Chronic de DR. DRE sont des mets de choix.
L'idéal reste de fouiller soit-même le genre pour y trouver son bonheur, tant il y a de choses à découvrir.

En terme de rap East Coast il y a bien évidemment les classiques de Notorious B.I.G ("Ready to Die" et "Life After Death"), mais il y a surtout LE classique, l'incontournable "The Infamous" de Mobb Deep !

Paul Whitehead, le même qui a fait celles de Trespass, Nursery Cryme et Foxtrot de Genesis. Il a également dessiné celle de H to He pour VdGG, ainsi que celle de Fool's mate de Peter Hammill.

Tu trouveras cette information dans la biographie des Scorpions signée Martin Popoff. La source étant une interview de Rudolf.

Quelques pépites oubliées:

- A New Stereophonic Sound Spectacular de HOOVERPHONIC: leur seul album indispensable et la rencontre idéale entre les COCTEAU TWINS et le trip hop.
- Radar de EARTHLING; très hip hop et inspiré. Cet album annonce la tournure sombre et urbaine que prendra le genre par le suite avec le 1er PORTISHEAD.
- Sinking de THE ALOOF: bien plus dub et planant que ses voisins, cet album n'en n'est pas moins intense grâce à ses rythmes énergiques piqués au breakbeat.
- Beat de BOWERY ELECTRIC: ténébreux, mystérieux, urbain... Une très belle fusion entre ce genre et le shoegaze.

J'ajouterai également DJ SHADOW en plus hip-hop, Morcheeba en plus bluesy et les Français d'Orange Blosso en plus world/oriental.

Tu peux essayer Tricky, qui a collaboré avec M.A et qui joue "Karmacoma".
Unkle, Peeping Tom me viennent en tête, question connexions.

Il semble qu'ils aient d'abord flashé sur le nom d'un cheval de course, "Archduke Ferdinand". S'étant renseignés sur le personnage, ils ont choisi son nom autant à cause de son importance historique que pour l'effet d'allitération.

Précision historique nécessaire : en 1914, François-Ferdinand n'était pas "empereur d'Autriche", il était simplement "archiduc d'Autriche", c'est à dire prince héritier d'Autriche-Hongrie. L'empereur régnant était alors son vieil oncle François-Joseph.

Pour en revenir à nos moutons, dans les années 2000 j'ai lu dans un canard rock que Franz Ferdinand avait choisi ce nom parce que l'assassinat de l'archiduc à Sarajevo avait été le point de départ de conséquences historiques brutales, que l'on connait évidemment.
Ils auraient alors estimé qu'en prenant ce nom là, ils marqueraient eux aussi l'histoire à leur manière.

Massive Attack existe toujours et tourne encore régulièrement de part le monde !
Del Naja a confirmé il y a quelques temps déjà : un nouvel album serait un projet, en réunion avec un certain ... Tricky !

Après lecture des exposés de RED ONE et GEGERS, j'aurai tendance à définir cela comme étant de la variété internationale avec des guitares rock. Ou supposées l'être.

En France, on a plutôt tendance à employer le terme "rock FM", mais à l'international c'est le terme "A.O.R." qui est souvent préféré.
On trouve également les termes "melodic rock" ou "classic rock", mais ce sont des appellations un peu trop restrictives, qui ne prennent pas en compte certains aspects de l'A.O.R.

Car problème : cette appellation peut parfois englober tout et son contraire. On y retrouve donc souvent beaucoup d'artistes de variété internationale (comme Phil Collins ou Chris Rea), des groupes de rock progressif qui se sont mis à faire de la musique plus "accessible" (le YES des années 1980, ASIA), des groupes issus du hard rock qui ont fortement édulcoré leur musique au fil des années (JOURNEY, WHITESNAKE...), et un certain nombre de groupes plus orientés "fusion", comme TOTO par exemple.

Bref, l'A.O.R. est un genre musical aux contours souvent flous, mais cette appellation est parfois assez pratique pour définir la musique de certains artistes.

AOR, pour Adult-Oriented Rock. Un terme créé de toutes pièces par les medias américains à la fin des années 70 pour caractériser ces morceaux entre rock et hard rock, portés par des mélodies immédiates et des refrains taillés pour séduire les foules, et donc dotés d'un intérêt commercial relativement important. Boston, Foreigner, Journey, Survivor ou Toto sont généralement considérés comme les premiers groupes rattachés à cette dénomination.

Je te renvoie à Rateyourmusic pour un listing plus complet d'artistes et albums : https://rateyourmusic.com/genre/AOR

La référence est en effet évidente. Il s'agit simplement d'un clin d'oeil humoristique sur le visuel. La référence n'est pas utilisée dans les textes.

Breton haut-cornouaillais du secteur de Carhaix (Glomel, Mael-Carhaix...). C'était sa langue maternelle.
Toutefois, il faut dire que la plupart de ses (plutôt) rares textes en breton sont écrits et chantés dans un breton assez, voire carrément littéraire ("Viviana", "pa vin maro"...).
Un contre-exemple ? Peut-être "Gouel Sant Yann", chanson paillarde sur, si je ne m'abuse, "E dibenn miz Gwengolo".

Je suppose que ta question porte sur le "dialecte" breton que parlait Glenmor au quotidien ... Et bien étant donné qu'il vient des environs de Rostrenen, la logique voudrait qu'il parle la variante locale du breton cornouaillais. La frontière avec le breton vannetais n'étant pas très loin, il est possible qu'il en possède également quelques notions ... Je ne suis pas spécialiste en géographie dialectale bretonne, mais cela me semble être la réponse la plus probable.

Vu qu'il a également énormément tourné dans toute la Bretagne pendant des années, écumant les villes, villages, concerts et fest noz, il a été exposé aux différents autres parlers du breton et il est possible qu'il puisse se débrouiller en breton léonard, trégorrois, vannetais et autres variantes cornouaillaises.

Je n'ai pas souvenir que ce détail soit abordé dans les biographies qui ont été écrites sur lui, peut-être faut-il y rejeter un coup d'oeil ...

C'est écrit dans la chronique !

Merci de ta réponse.

C'est en effet sur ma todo list.

Après une activité incessante, des tournées gigantesques, le groupe a pris une pause, Mercury en a profité pour poursuivre en solo puis l'enregistrement de "The Miracle" et la maladie de Freddie qui a stoppé toute velléité de tournée.

Je dirais plutôt que c'est OASIS qui sonne comme le Coop' en précisant-toutefois- que les deux ont biberonné aux BEATLES et au rock 60's dès leur plus tendre enfance. Sinon il suffit d'écouter les classiques du Coop' pour s'en apercevoir et je te les recommande chaudement si tu ne les connais pas encore.

Merci !
Bonne nouvelle que la parution prochaine d'autres chroniques ;-)

Tout simplement parce que c'est le premier disque officiel semble-t-il que Pierre Bachelet ait sorti avant-même son premier véritable album solo de 1975 (à paraître très prochainement dans FP).

Si c'est la voix récente de Hft que tu aimes alors le live "Homo Plebis Ultimae Tour" est parfait.

Oui, "Amicalement Blues" est très sympathique, en effet !

Merci à vous trois de ces réponses !
J'ai un peu écouté ses morceaux par le biais du best of Séquelles (histoire de me faire une idée), et je me rends compte que je préfère les morceaux plus récents surtout du fait de sa voix. Quelle voix profonde !

Par ailleurs, j'ai écouté l'album cuisiné avec son bon pote Paul Personne, Amicalement Blues un autre coup de coeur, le blues rock de Personne et les mots et la voix de Thiéfaine (raaaaha quelle voix !) font des merveilles !

Pour les années 70 : "Autorisation De Délirer"
Pour les années 80 : "Soleil Cherche Futur", "Dernières Balises (Avant Mutation)"
Pour les années 90 : "Le Bonheur De La Tentation"
Pour les années 2000 : "Suppléments De Mensonge" et le tout récent (fin d'année dernière) "Stratégie De L'Inespoir"

Enfin, mon grand préféré de HFT : "Alambic/Sortie-Sud", de 1984, un CHEF D'OEUVRE de cold-wave à la française digne du "Play Blessures" de Bashung ou du "Rue De Siam" de Marquis De Sade !

"Supplément de Mensonge" est un super album pour découvrir HFT.
Ensuite "Dernières balises avant mutation" sans hésiter.

Mais chaque album contient d'excellentes chansons, les années 70 étaient plus dans le ton humoristique, les années 80 plus rock et les années 90 plus blues.

Par période :
Années 70 : "De l'amour du lard ou du cochon"
Années 80 : "Dernières balises avant mutation"
Années 90 : "La tentation du bonheur"
Années 00 : "Supplément de Mensonge"

Sinon la compilation "Séquelles" donne un bon aperçu de sa discoà partir des années 80.

A titre personnel, je te conseille de commencer par les albums Soleil cherche futur (1982) ou Météo für nada (1986). J'aime bien aussi Chroniques bluesymentales(1990).

Je dirais que globalement la période des années 70 à 80 est la plus étonnante. D'ailleurs les albums live de 1983 (à privilégier), 1986 et 1988 sont un bon moyen d'en avoir une vue globale.

Le Thiéfaine des années 90-2000 me semble un peu moins intéressant.

La meilleure réponse possible que l'on puisse te faire, je pense, est d'aller faire un tour sur ce site:
http://techno.org/electronic-music-guide/

C'est assez complet, avec des samples à la clé qui tournent en boucle (les titres originaux ne sont pas nécéssairement répétitifs) pour chaque genre histoire de se faire une idée. Par contre, ce guide date un peu, et ne reflète pas vraiment ce qui a pu éclore depuis le début des années 2000. La musique électronique ayant eu une nette tendance à se mélanger au reste depuis.

Non, la femme qui figure sur l'image de couverture n'est pas la chanteuse de Renaissance.