On peut rajouter une 3ème pochette, la même que la bleue mais en noir.
Ces différences s'expliquent par les différences de pressages et de distributeurs.

C'est vrai. On dirait que des versions avec les deux pochettes ont coexisté dès 1991, chacune ayant l'autre comme pochette arrière. Je ne sais pas quelle en serait l'explication.

Hello,

Tu ne rêves pas, même si c'était les visages des musiciens au milieu de la pochette originale, très très bleue.
Celle ci est celle d'un remaster.

Il y eut bien 2 variantes de pochette pour Real Life. L'une sur fond bleu marine avec mini-photos du groupe en couleur, puis l'autre sur fond blanc avec une grande photo du trio en noir et blanc. L'une et l'autre, étant leur verso respectif !

Bonjour,

Vous avez raison, je crois bien que cette pochette est celle de la réédition, la pochette bleue étant bien l'originale.

Merci Clansman57.

Exactement, il s'agit du 6 ème Nocturne de Chopin.

@Baker : "Two hearts collide" a en effet à la fois du bon et de l'agaçant ; du bon : mélodiquement (comme je le disais précédemment, avec son art subtil de "contourner" la mélodie), mais aussi agaçant car c'est le titre le plus typé "80s" de la galette avec ses overdubs dans tous les sens et sa batterie ultra-réverbée.
Dans cet album j'adore vraiment "Take a look", "Silence", "Over there" et le plus progressif "Man".
Par contre la très pompeuse chanson-titre me saoûle.

C'est assez rigolo car Staring est mon album préféré des L42, mais la dernière fois que je l'ai écouté, c'est ce titre qui m'a le moins plu. Cependant, à l'époque, j'avoue que je l'adorais, je l'avais même repris. C'est donc qu'il doit bien avoir quelque chose, un truc en plus effectivement.

Il me semble que c'est plutôt Tony suite à la mauvaise performance des concerts en Amérique. Ce qui est un prétexte particulièrement mauvais pour ne pas essayer d'écrire un second album.

On se connait ;) je n'aime pas Ian Mosley de toutes façons, y compris en studio depuis Radiat10n.

Il y en a bien un autre qui me vient à l'esprit : Mike Mangini. Il sort des plans absolument extra-terrestres et je n'ai AUCUN plaisir à le voir jouer.

La dernière chronique de Buddy datant d'il y a plus de 15 ans, la possibilité d'avoir un jour une réponse à votre question est donc très aléatoire. Mais ça ne coûte rien de la poser.

"Faith", "The head on the door" et "Disintegration" sont de bons albums pour commencer.
"Pornography" je le trouve très bon aussi, mais attention à ne pas sombrer dans la déprime car cet album est extrêmement sombre !

Bravo pour votre article qui sort des sentiers battus. En gros, il y a 2 périodes qui, en fonction de notre âge (plus de 50 ans ou moins de 50 ans), sont considérées comme l'âge d'or des Cure. Pour les vieillards cacochyme de mon genre, il s'agit de la trilogie Seventeen Seconds, Faith et l'apothéose Pornography. Pour les plus jeunes, ce sera Kiss me et Désintégration.
The Head on the door signera l'arrêt de mort du groupe pour l'essentiel de ses premiers fans, pour cause de passage chez Drucker et plus généralement parce que l'album contenait des hits susceptibles, crime inexcusable, de passer à la radio. C'était déjà arrivé avec les singles de Japanese Whispers, mais d'une part le côté jazz de Lovecats et le côté encore mélancolique de Lets Go to Be bien que déjà sévèrement pop avaient évité un abandon total du groupe par ses fans, bien que les plus hardcore aient déjà abandonné le groupe dès ces premières compromissions.
Mais, entre les deux, est sorti cet ovni psychédélique qui a largement désemparé tout le monde. The Top. Il n est pas complètement oublié grâce à l'album Live: Concert qui l'a accompagné et qui est convenablement représenté. Mais à l'arrivée, c'est, comme vous l'avez dit, l'album oublié du groupe. Histoire d'être encore plus hardcore que les fans de Pornography, c'est mon album préféré. Autant j'ai un mal fou à me replonger dans Pornography aujourd'hui, trop daté, trop sombre, trop spleen adolescent, autant le bordel de The Top semble beaucoup plus intemporel finalement.
Le son de guitare sur saturé, parfois très hargneux, nous change des chorus et autres flanger qui faisaient tellement le son des 80's. Le côté psychédélique change des ambiances parfois trop éthérés de Robert et de ses potes. Et les chansons sont finalement de vraies chansons plus que des atmosphères ( ben oui elles ont souvent des gueules d'atmosphère leurs chansons).
Un album à réécouter sans à priori, et probablement une excellente surprise pour ceux qui feront l'effort de s'y (re)plonger.

Pourquoi ne pas commencer par le point de départ, surtout que le premier album contient de bien belles pépites, à commencer par la chanson titre Three Imaginary Boys ?
Puis la trilogie sombre, absolument indispensable, la compil' de singles Japanese Whispers est aussi très rafraîchissante, et enfin the Head on the Door (l'album pop par excellence). Kiss Me est aussi bon mais contient pas mal de remplissage, et enfin Disintegration est un album grandiloquent, sensationnel pour certains, pompeux et boursouflé pour d'autres.
Wish est anecdotique, sans originalité, et le reste est embarrassant. Les derniers albums post Wild Mood Swings et Bloodflowers sont ampoulés et ceux des années 2000s sont médiocres.

Pour répondre brièvement à ta question, je te recommande les albums suivants (sachant que pour moi ils sont tous bons) :

Seventeen Seconds, Disintégration, Wish et aussi 4:13 Dream. Il faut savoir que le style musical de Cure a évolué au fil des ans et heureusement. J'ai entendu des tas de trucs sur l'album 4:13. C'est pourtant un excellent album très avant-gardiste comme l'était "A Forest" à sa sortie.

@ François. Smith est maintenant le sosie officiel d'Elisabeth Taylor. Ce n'est sans doute pas le plus important :) Il demeure heureusement ses mots et ses notes. Je peux comprendre que l'on puisse trouver ceci un peu "surréaliste" de crêper ses maigres cheveux façon Gollum et de se barbouiller la bouche comme le chef des Gremlins à 60 ans mais quid de Bowie, Alice Cooper ou Manson par exemple? Même si l'identité visuelle est forte, c'est bien la musique qui demeure l'essentiel. Non ?

@ François :

Je suis bien d'accord avec toi sur le fond, mais il faut juste passer outre l'accoutrement de Robert Smith & co. car de tous temps, pas mal d'artistes ont plus ou moins été habillés et grimés de manière extravagante (Arthur Brown, Alice Cooper, David Bowie, Peter Gabriel...) mais l'essentiel c'est avant tout la musique, pas l'image. C'est le son qui prime sur tout le reste ! Cela dit, je peux comprendre que tu ne sois pas sensible aux groupes estampillés Post-punk/New Wave de cette fin des années 70/début des années 80, mais ça c'est une affaire d'affinité.

Merci à tous pour vos réponses qualitatives (enfin presque...utile man). Grace à vous me voilà avec une ligne directrice pour avancer à petit pas dans cet univers.
François, merci pour votre participation, mais l'habit ne faisant pas le moine, l'accoutrement n'est pas à mes oreilles un frein pour ne pas aller vers un artiste ou groupe. Et j'ai aussi un certain age soit dit en passant et en toute amitié (je suis régulièrement vos discussions, souvent intéressantes, mais aussi marquées de l'air du temps qui est passé).

N'ayant pas réussi à entrer dans l'univers de ce groupe (les premiers sonnent typiquement de l'époque, même "mood" que Joy Division donc assez... austère), je ne saurais vous conseiller, je sais juste que la trilogie Seventeen Second / Faith / Pornography est très prisée.
J'en profite pour placer que j'ai du mal avec l'accoutrement en musique et notamment dans le cas présent. Surtout arrivé à un certain âge...

@ utile man :

Conseil pas franchement .... utile ! .-)

aucun

Si tu as de quoi lire, la compil Staring at the Sea en cassette.

Face A : tous les tubes sans oubli
Face B : toutes les faces B qui te montrent une autre facette, si elle te plait, achète tous les albums sauf le premier ;)

Salut,

Pour moi, du premier album jusqu'à "Wish" inclus, c'est du tout bon, je contourne cependant "The Top" auquel je n'ai jamais adhéré, malgré les tentatives.

Si tu aimes la musique Punk/Pop: "Three Imaginary Boys".

La Pop: "Japanese Whispers" (pas si mal au final, c'est le plus synthétique), mais plus encore le très tubesque "The Head On The Door" ou le schizo/fourre-tout et excellent "Kiss Me...", malgré sa longueur.

La Pop mélancolique: "Disintegration" et ses chansons longues dotée d'une certaine emphase (le plus épique?), le très beau "Wish", plus Rock.

La dépression/introspection:"Seventeen Seconds", "Faith".

Les Ténèbres: "Pornography".

Sinon, la compilation "Staring At The Sea" est chouette également, si tu ne veux pas investir dans les albums.

The head on the door est le plus consensuel, je suppose, mais mes préférés, que j'estime accessibles, sont plutôt Faith et Kiss me(x3).
En tout cas, je ne commencerais pas par Pornography, The Top ou Disintegration (ni par le premier, qui est chouette mais punk donc peu représentatif de leur style principal). Je n'aime pas Seventeen seconds, que je trouve presque aussi ennuyeux que du Smiths, donc je ne le recommanderai pas non plus.

Salut !
Le spectre d'ambiances proposé par Robert Smith étant assez large, il est difficile de faire un choix. Mais les plus intéressants sont sans conteste :

- Seventeen Seconds (1980) disque novateur en tout point.

- Faith (1981), la quintessence sincère de la cold wave.

- The Top (1984) pour constater la vitalité artistique de Smith.

- The Cure (2004) qui offre une synthèse assez réjouissante du monde des CURE.

Salut !

Commence par

- Seventeen Seconds (1980)

Puis tu peux continuer avec

- The Head On The Door (1985)

Et fais un dernier essai avec

- Wish (1992)

Bonjour à tous,
Certaines questions ou réponses n'ont pu être validées récemment. Nous avons un petit bug qui a supprimé le contenu de vos messages. C'est désormais corrigé.
C'est notament le cas pour une question posée à propos de MAGNUM - The Serpent Ring ainsi que BAND AID - Do they know it's Christmas ?

Merci aux intéressés (Bradfloyd?) de renvoyer leurs questions ou réponses!

Chipstouille

Les premiers pressages en version CD ne sont guère intéressants. Les remasterisations actuelles, impeccables, ridiculisent celles des années 90. En conclusion, il faut se procurer les nouvelles rééditions.

nan mais là ho ! qu'on valide pas mes conneries hé ho ! c'est déjà grave hé ho ! mais mes trucs sérieux là c hé ho ! criminel !!
un coup de fil et le site n'existe plus hein ! vous vous rendez pas compte !

Merci à toi Le Merle Moqueur pour ton commentaire très intéressant sur mon interrogation a propos de cet album (label..ect..)
Des albums des Beatles que je possède celui-ci m'intriguais un peu (mais pas à l'époque de mon achat)en tout cas c'est plus sympa d'avoir la pomme comme motif au centre du vinyle pour les renseignements qu'une couleur rouge comme j'ai pu le voir.

Le label HÖRZU est un magazine allemand de radio et de télévision.
D'où vient ce Hörzu ? De l'infinitif Zuhören: Rien de plus normal car ce Zuhören veut tout simplement dire : Écouter. Entendre.
Avec ce Hörzu, nous somme déjà dans un impératif mais qui devrait normalement s'écrire ainsi : Höre zu ! Écoute donc !

Ce magazine (assez populaire) "avait créé une édition record du même nom en 1963, dans laquelle des productions sous licence ont été vendus"

Pour la petite histoire il y a en Allemagne des collectionneurs, car dans ces disques il y a des perles rares qui valent quelques sous à défaut de pesant d'or. Par exemple "en Allemagne est apparu comme Hörzu -Platte 1971, l'album des Beatles Magical Mystery Tour ; en collaboration avec Apple Records , il s'agissait de la première sortie stéréo réelle de l'album dans le monde : il est sorti cinq ans plus tôt qu'au Royaume-Uni."

Je te conseille de garder ce disque. Il y a d'autres labels en Allemagne qui fonctionnaient comme Hörzu. Le journal Stern avait aussi un doigt dans le monde de la musique et sur certains vinyles on peut voir le Label Stern, là aussi il y des collectionneurs... avertis.

Tout simplement parce que le chanteur, Krishna GOINEAU, est d'origine belge (une fois).

Merci pour la question c'est cool de voir des personnes s'intéresser à la musique à ce point. A la différence d'irma je suis curieux de nature je trouve ces questions et réponses enrichissantes.

D'accord avec Chipstouille à propos d'irma, je ne comprends pas que les modérateurs laissent passer ce genre de commentaires désagréables et sans intérêt.

Je souhaitais juste répondre bonjour à la personne qui a posé la question et verbaliser par la même mon soutien, comme Marion Séclin nous y invite tous dans ce genre de cas. J'ajoute également que même si la réponse a été validée ainsi, une partie de l'équipe ne cautionne pas du tout la façon dont Irma s'adresse ici à un inconnu.
Un peu de courtoisie ? Un peu d'entraide ? Est-ce trop demander ?

La curiosité n'est pas un vilain défaut. Discogs est un site bouffé par les publicités. On a le droit de demander. Cette section est faite pour cela. Peace!

Hey !

j'ai ressorti le 33 tours et tu as raison, "Play The Game" est bien présente et le disque s'en trouve amélioré car la chanson est un boogie rock à la STATUS QUO très sympa. Mon 33 est trop vieux, je n'ai pas écrit la kro sur sa base et la pochette recto est dans un état lamentable, le titre de la chanson n'y est pas visible, mais je le vois sur la face A du 33, aucun doute. Merci de ta remarque, je vais adapter la kro.

Bien à toi
Erwin

qu'est ce que ça peut te faire ? regarde dans discogs tu verras probablement qu'il y a plusieurs versions et c tout.

Bon, la question n'était peut-être pas digne d'intérêt, j'en conviens. Mais j'ai longtemps cru qu'elle figurait quelque part dans les choeurs de "Quelle heure est-il Marquise" même si je ne percevais pas sa voix. Je suppose donc que la contribution est d'ordre plus général et que Catherine a apporté un soutien moral à Julien dans son inspiration pour un ou plusieurs morceaux de ce disque.

Comme l'a souligné Jovial, certaines rééditions comportent un titre bonus. En fait, toutes les rééditions cd (du moins chez Bureau B) de ses anciens albums. Une pratique assez courante et toujours appréciable quand le morceau-bonus s'accorde avec l'ensemble, ce qui est le cas ici.

Pour répondre à MARCO sur le terme HEAVY METAL, j'avais lu que ce serait l'invention d'un journaliste essayant de décrire la musique de LED ZEPPELIN "It's like HEAVY METAL falling from the sky".
Je ne sais pas quelle version est la bonne...

Rock...

Voilà déjà une appellation qui permit à Elvis de jouer de la guibole, chevalier gambette par excellence Elvis... Ah le chant de notre drôle d'oiseau à la voix de velours ! Une légende tout un roman...

Bon revenons vers le Rock d'après Elvis, le premier rockeur fut Fats Domino. On ne parlait pas encore de Rock mais de rock'n roll à cette époque. Cette dénomination a fini par rouler sa bosse et dans les premières années des sixties avec des groupes comme les Beatles et les Stones le mot Rock émerge mais pas vraiment encore puisqu'on parle de pop music. Certains disent que le Rock s'implante dans le langage musical comme un roc dans le début des années soixante-dix.

Mais là attention il nous faut accepter la juste et prudente réponse de Marco, car ce ne sont pas les paroisses qui manquent et toutes revendiquent une appellation contrôlée. Incontrôlables toutes ces appellations...

Progressif...

Je veux bien du terme mais si ce rock fait des progrès et se développe graduellement selon la définition générale cela se fait-il dans une seule direction ou assistons nous à une progression qui serait équivalente à celle des branchages d'un arbre ? Branches maîtresses, rameaux et finalement ramilles. Un progressif qui ferait des petits... très certainement.

Soyons méchant, progressif n'est pas une condition de progrès musical, il y a des groupes progressifs qui me font gerber à force de clichés gros comme des tas de m... Dans ce cas il faut affubler ce rock progressif d'un contraire... régressif.

Marrant... Ah ce groupe de rock dégressif... Bon j'arrête sinon on dire que le rock est agressif...

Beaucoup de nominations en musique ne signifient pas grand-chose, à commencer par "musique classique", qui ne concerne qu'un pan du répertoire, à savoir la seconde moitié du XVIIIème siècle (HAYDN et MOZART).
Le mot "jazz" trouverait ses origines dans le jasmin ou dans le "jizz" (le sperme), "heavy metal" est tiré d'un tube de STEPPENWOLF... Sans oublier "rock'n'roll", évidemment !

Les noms de genre sont faits pour caractériser, donner des repères, avec plus ou moins de justesse. "Rock progressif" par exemple, pour des musiciens qui voyaient/voient plus loin que le pop-rock habituel avec des structures de morceaux longues, des échappées d'instruments virtuoses (et pas qu'une seule fois), des développements jouant sur l'effet de surprise...
Un rock en recherche de progression donc, avec différentes illustrations pouvant être données soit par un groupe comme KING CRIMSON, soit par un autre comme GENESIS. Cela vaut ce que cela vaut, notamment aux yeux des détracteurs qui, effectivement, le pointent souvent du doigt, ou même de certains musiciens caractéristiques du genre, comme Steve Hackett (ex-GENESIS) qui dit "permissif, pas progressif".

L'important, je pense, est au moins de savoir un peu de quoi on parle. :)

Salut Guillaume !
Effectivement, on semble avoir perdu la trace de la dealeuse préférée de Marc Almond en 86 avec un titre écrit pour Bananarama. Il nous reste donc ses collaborations avec le duo et un single de 84 sorti sous le nom de Six Sed Red produit par les géniaux Cabaret Voltaire. Pour le reste, mystère total et sans doute définitif.

Les groupes qui sortent trop d'albums, c'est pas bon. Trop, c'est trop, ça sent la recherche du tube à tout prix. Bon, il vaut mieux faire comme Patrick Hernandez : un seul titre qui tue et on est tranquille pour la retraite !

Jette un œil sur la disco d’un groupe comme Guided by Voices

Sans parler du cas cruel de ceux qui "trouvent" le succès après 10 albums de galère, alors que d'autres ont un succès immédiat au bout d'1 seul album. Je pense évidemment à Patrick Hernandez ou bien au groupe Ph-D (LEUR album, contenant "I won't let you down", est une tuerie).

Je crois que Buckethead est bien placé pour détenir le record, il a sorti au total 342 albums !

Quant à ceux qui en ont sorti le moins, je dirais d'emblée Nirvana, Joy Division et Amy Winehouse (et pour cause)...

Telemann a composé près de 6000 oeuvres.
Je crois avoir lu qu'un autre compositeur moins célèbre aujourd'hui a fait plus.

Alice Cooper se fait déjà dépasser par Neil YOUNG et Peter HAMMILL.
Mais je pense surtout aux RESIDENTS qui ont publié un grand nombre d'albums studio et une pelletée d'enregistrements live (ils sortent beaucoup d'albums live de leurs tournées récentes) et pas mal d'albums spéciaux en édition plus ou moins limitée... sans même parler de la série pRESERVEd, réédition de leurs premiers albums avec moult bonus.
Rick WAKEMAN, Steve ROACH et le français Roger ROGER sont bien placés eux aussi. Mais en la matière, TANGERINE DREAM sont les plus gros boulimiques que je connaisse.
Enfin, je pense qu'on pourra trouver toujours plus, et plus, et plus... surtout actuellement où n'importe qui peut publier en ligne autant de matériel musical qu'il le souhaite! Julien MARI alias JUL pourrait bien être le nouveau Stakhanov du disque.

John Zorn est chroniqué 59 fois sur ce site et y a encore du boulot.

Dylan, Status Quo, The Beach Boys doivent être au dessus.
Chez nous Hallyday a largement du dépasser le cap des 50 squeuds

Nous ne sommes pas dans un concours, mais Conrad Schnitzler, Psychic TV, Muslimgauze, Nurse With Wound ou encore Maurizio Bianchi le dépassent très largement.
Sans parler des compositeurs baroques, classiques, romantiques, etc..

Miles Davis ?

À ce petit jeu Prince se pose là.

Sans oublier FRANK ZAPPA ou la liste complète de tous les live officiels publiés par DEEP PURPLE...

Tangerine Dream vient de rire assez sarcastiquement ^^

Et Buckethead n'en parlons pas !

Bonjour,
non , Alice Cooper à sorti 28 albums studios, rien que Hawkwind ou Status Quo, ou même Bob Dylan le dépassent et je ne parle pas de Rick Wakeman qui en à sortis un nombre très impressionnant....
Je pense que certains de nos confrères se feront une joie de compléter la liste.

Yann 77

Subtil, je ne sais pas vraiment Chipstouille, mais je présume qu'à l'instar de n'importe quel style musical, c'est aussi une question d'habitude,de réflexe, d'automatisme auditif. Un amoureux des univers sombres ne pourra naturellement que penser à Asylum Party à l'écoute du LP de French Police. Si on n'y voit ni Cure, ni Joy Division, ni Depeche Mode, ce n'est tu te doutes bien aucunement par esprit de contradiction stérile :) C'est que les 3 noms que tu cites sont dans leur genre l'arbre qui cache la forêt et c'est naturel qu'ils reviennent souvent et s'ils sont l'occasion de creuser un peu plus, alors tant mieux !

Pour ce qui est de la batcave, on tient ici les ambiances les plus folles et théâtrales de la sphère gothique. Plus que le club londonien auquel le genre reste rattaché, ce style est avant tout celui de l'expérimentation, de l'aliénation, de la démence. Il faut évidemment l'apprécier avec une grosse pointe d'humour et de recul car si les mots se veulent sérieux, le décorum à la Hammer avec squelettes, toiles d'araignées, cercueils, etc, insuffle le plus souvent à l'ensemble un joyeux et foutraque second degré.

Une preuve ?

Le premier lien où l'on découvre les cultes irlandais Virgin Prunes à la télévision française (pas frileux à l'époque), le guitariste Richard Evans étant le frère de The Edge

https://www.youtube.com/watch?v=MHZo_b9hcWU

Et un deuxième où l'on découvre les fantasques Américains de Cinema Strange lors d'un concert capté à Strasbourg en novembre 2003, concert auquel j'ai eu la chance d'assister

https://www.youtube.com/watch?v=0hlraO4OD6o

Il y en a un qui est plus rapide que l'autre ? :D
Non bon j'exagère, je discerne vaguement une intention similaire dans la façon de chanter et les sonorités au clavier. Mais c'est subtil.

J'ai toujours l'impression d'écouter The CURE meets DEPECHE MODE meets JOY DIVISION. Je fais bien la différence entre les trois, mais après... J'ai l'impression que ça sonne un peu toujours pareil. Pour moi, c'est du gloubiboulga vaguement pop, vaguement dépressif.

Et Batcave ? J'avais déjà lu le terme mais... WTF ? :D

Après, je sais que les étiquettes, quand on n'est pas habitué, c'est pas toujours facile de mettre le doigt sur la différence. J'en connais qui ne savent pas faire la différence entre MOZART et VIVALDI tant qu'on leur met pas le clavecin, le théorbe et l'archiluth directement dans les conduits auditifs :)

Salut Chipstouille !

C'est certain que chez les corbeaux, les chapelles ne sont pas rares mais elles sont pour moi plus souvent question de sensibilité que de genre à proprement dit.

Initialement, la Touching Pop est un concept tout simplement de communication. Ce terme a été inventé à la fin des années 80 par Emmanuelle Debaussart, journaliste à Best pour regrouper des groupes hexagonaux épris de musiques froides. La Touching Pop se voulait une réponse structurée à la vague alternative façon Mano Negra. La plupart de ces groupes ayant fait dans les années 89-91 des tournées communes développant amitié et appartenance à une même (pseudo) sphère.

Le problème en fait avec cette appellation, c'est qu'elle regroupe des combos adeptes d'univers sombres, certes, mais bien différents sur le plan musical. Babel 17 est batcave. Little Nemo expose une pop froide et élégante. Rise and Fall of a Decade développe entre autres effluves folk, chanson française ou médiéval. Asylum Party quant à lui est l'archétype d'une cold wave classique mais dans laquelle a été injectée une belle dose de pop mélodique.

Le point commun alors à tous ces univers ? Des atours pop plus ou moins prononcés enveloppant les émotions tourmentées. Par pop, j'entends simplement (sans faire œuvre de spécialiste) des titres faciles d'accès qui ne demandent pas une concentration type VIRGIN PRUNES. Alors pourquoi un terme commun pour des sphères relativement différentes ? Tout simplement parce que sur le long terme et par extension, c'est Asylum Party qui a remporté le prix de l'influence musicale par rapport à ses petits confrères. Évoquer la Touching Pop en 2022, c'est reconnaître les fantômes des notes d'Asylum Party dans French Police, Topographies, LowCityRain ou City Gates. La Touching Pop ne s'attache plus maintenant qu'aux groupes qui ont pour influence majeure Asylum Party.


* Une écoute de "Julia" d'Asylum Party et d'"El Miedo" de French Police pourra sans doute illustrer ces quelques lignes.

Coucou
C'est juste du postpunk
Bisous

J'admets volontiers être passé très rapidement dessus, et elle mérite plus de développements. Comme je le précise donc en conclusion, je me laisse quelques mois pour y revenir. 27 titres très courts, que ce soit de la musique sacrée, du punk hardcore ou une BO de film, c'est toujours compliqué à chroniquer (soit on ne dit rien, soit on décortique tout...). Mais il me paraissait important de parler rapidement du film, qui lui traite d'un sujet "chaud" qui ne peut pas se permettre d'attendre.

Toutes mes excuses donc, pour cette chronique qui sort une fois de plus du cadre. Mais comme mon collègue le précise, ce n'est pas comme si je n'en parlais pas du tout.

Il y a 3 autres chroniques sinon, qui traitent en profondeur de cet excellent artiste, et une 4ème en préparation. Et pour une fois, mon texte a sucité une réaction...Peut-être même une écoute ? :)
AURA SHRED n'est encore que trop peu connu. Il en est encore à un stade ou tant qu'on parle de lui, quelle que soit la forme que ça prend, je suis sûr qu'il en est ravi.

Les paragraphes 7 et 8 en sont remplis.

Bonne lecture !

"Feed The World",face B.

Non.

(oubli, pas envie, mauvaises excuses...)
(sinon il y a les commentaires pour qui veut !)

"Brain Salad Surgery" fut enregistré durant les sessions de l'album du même nom en 1973 mais ne fut pas retenu pour l'album en question. Le titre est paru en single promo sur un Flexi-disc au Royaume-Uni à la même époque avec des extraits de l'album puis également aux Etats-Unis en face A d'un single promo en 1974 (avec "Still.... You Turn Me On" en face B).
"Brain Salad Surgery" figure également sur l'album Works Volume 2 (paru à l'Automne 1977), qui est essentiellement une compilation de faces B de singles et de titres rares issus de diverses sessions d'enregistrements.