Le 10 Juin 2010 par SUNTORY TIME

Merci Jovial ;)
Par contre tu es sûr que c'était le seul survivant ?

Le 10 Juin 2010 par SHIRIU

Effectivement j'ai fait une erreur lors du choix. Et effectivement cet album est aussi un must du Rock Prog, et l'ambiance de certains titres est hallucinante. En effet, et je suis d'accord avec Powerbeauf, les atmosphères (ahhh Easter) et les soli sont parfaits et il n'y a aucun titre faible. Le seul bémol pour moi serait plus la pochette, sorte de provocation (cf. pochettes passées) ou invitation à venir écouter cette galette à la portée universelle. Chef d'oeuvre.

Le 10 Juin 2010 par POWERBEAUF

Hé, Shiriu, je crois que tu as confondu avec l'album "Clutching at Straws" !

Sinon, "Seasons End" est exceptionnel et prouve que le groupe pouvait très bien survivre au départ de FISH. A part éventuellement "The Uninvited Guest", chaque titre est un enchantement. Mention spéciale à "Easter" (quel solo de guitare !), "Seasons End" (quelle atmosphère) et à la fin magique de "The Space". Même le très commercial "Hooks in You" passe comme une lettre à la poste.

Si vous craquez pour cet album, alors le double DVD "From Stoke Row to Ipanema" est carément indispensable. Le concert qui y est présenté a été enregistré lors de la tournée qui a suivi, et on sent bien que le groupe venait de retrouver de la sérénité.

Le 09 Juin 2010 par SHIRIU

Cet album est à mon sens un must, une bombe, énormissime quoi. Les compos sont à la fois Rock et mélodiques: les arpèges/accords sont beaux à pleurer. Les soli sont carrément jouissifs, voire démentiels, et ça dès le premier titre (prends donc un Hotel Hobbies dans ta face mon gaillard). Puis ensuite vient un des plus beau titre du Rock Progressif, rien que ça. "Warm Wet Circles" (et tous les titres suivants en fait) est un condensé d'émotion et de feeling musical. Sans rentrer dans le détail, ce disque représente l'apogée du groupe avec Fish, l'apogée d'un style, un monstre de feeling. Et même si je préfère la voix de Hogarth, il faut qu'on s'agenouille tous devant autant de talent. Comme dirait Devin Townsend: "Addicted!!!".

Le 08 Juin 2010 par MR G

Un excellent album qui est pour moi un compromis de tout ce que le groupe sait faire!!! Pas un titre n est moins bons ici!!! C est une ambiance plus intimiste que sur "Les enfants de Saturne", ce qui donne un album plus porté sur les ambiances a l instar de "La vie presque"!!! Bravo les gars pour cet album!!!

Le 08 Juin 2010 par JOVIAL

Une précision :
Je complète l'anecdote de Suntory Time sur la chanson "Estonia" : non seulement cette dernière s'inspire du ferry Estonia qui a coulé en mer Baltique, mais c'est même un hommage au marin Paul Barney, unique survivant du naufrage, que Steve Hogarth avait rencontré 3 ans auparavant.

Le 07 Juin 2010 par M.06

Très bonne chronique ! l'album qui offre enfin la consécration à ce grand artiste !

Le 07 Juin 2010 par GLIMMER TWIN

Absolument. J'étais moi aussi prêt à cracher sur ce faux Gainsbarre, mais un double-album aussi ambitieux m'a calmé. Beaucoup de boulot, d'intensité, des textes qui se tiennent carrément, des orchestrations amples et modernes à la fois, de l'électro intelligente... Félicitations au monsieur.

Le 06 Juin 2010 par SUNTORY TIME

Powerbeauf, merci beaucoup pour ces précisions :)

Le 06 Juin 2010 par POWERBEAUF

Dans une interview donnée lord de la sortie de cet album, Steve H avait expliqué le sens du titre. En Angleterre, un "anorak" est un terme qui désigne un fan absolu de quelque chose, un aficionado. Le sens du titre apparaît lorsque l'on décompose Anoraknophobia en 3 : Anorak no phobia. Autrement dit, MARILLION n'a pas peur de ses fans (sous-entendu : MARILLION n'a pas peur que ses fans détestent ses changements d'orientation musicale).

Voilà pour ce qui est du titre. Je ne donnerai pas d'avis sur l'album pour l'instant, car cela fait trop longtemps que je ne l'ai pas écouté.

Le 02 Juin 2010 par NEMO

C'est magnifique ! Quel bonheur... On ressort de l'écoute empli d'un sentiment de plénitude, apaisé... Merci Loreena, la musique qui rend intelligent.

Le 02 Juin 2010 par ONCLE VIANDE

Un calvaire.

Le 02 Juin 2010 par OLIVIUM211

C'est une sorte d'affinement du style de l'album précédant, et plus commercial, ce qui n'est pas une mauvaise chose.
Ils ont créé leur style de new wave (ou du moins c'était le groupe meneur de ce courant là).

Le 02 Juin 2010 par OLIVIUM211

Je préfère encore mieux cet album que le suivant, l'innovation est plus grande on ressent plus l'ambiance style industriel que les précédents encore fort pop et commercial qui ressemblait à un Duran Duran raté.

Le 02 Juin 2010 par JEF DE LA LUNE

J'ai réécouté quelques titres de cet album récemment.A l'époque, la presse avait plutôt descendu Stiltskin, dénonçant un certain opportunisme musical de la part de ce groupe écossais.Pour ma part, je trouve que l'album est bien produit, que les musiciens sont bons et que quelques morceaux sont efficaces ( Inside-bien sûr-, Scared of Ghosts, Rest In Peace...) mais de là à crier au génie...Rappelons qu'en 1994 est sorti Superunknow de Soundgarden, par exemple, et qu'à côté de cet album sympatoche mais sans plus, il fait figure de classique.

Le 02 Juin 2010 par CLOWNOPHILE

Je suis d'accord avec Marco Stivell. Bien qu'il y ait quelque failles, cet album ressemble assez bien au précédant Wind and Wuthering, ciblé encore plus au pop rock, style qu'il affinera avec Duke, etc. Contrairement à ce que l'on croit, la conversion du groupe du rock progressif vers la pop s'est faite petit à petit. Il y a encore un tout petit peu de rock progressif dans Duke.
Mais cet album-là est loin d'être la mauvaise phase du groupe.

Le 01 Juin 2010 par GLIMMER TWIN

Merci Erwin, enfin Jeff Beck sur Forces Parallèles. Un bonhomme immense comme ça, son absence était à la limite du scandale.

Sur la disque chroniqué, je suis beaucoup plus réservé. C'est l'ennui total, les claviers aplanissent tout (comme sur les récents albums du Maître, même l'extraordinaire Live at Ronnie Scott est un peu gâché par ce Yamaha au rabais qui ôte tout relief), c'est long, chiant, il ne se passe rien. Bien sûr le toucher est unique, mais on était déjà au courant.

Donc pas d'accord, mais tout de même bravo pour l'arrivage de JB sur FP.

Le 31 Mai 2010 par KELTIK

Sacré Carlos!
Je ne vois vraiment pas en quoi la Galice constitue un pays "celtique": on y parle le "galeguo", un dialecte de l'espagnol, langue latine par excellence. Tout cela est vraiment tiré par les cheveux... pour d'inavouables raisons commerciales, touristiques, entre autres, j'imagine. C'est assez lamentable.
Scientifiquement, le seul critère qui permet d'accoler le qualificatif "celtique" à un pays est la pratique d'une langue celtique.
Le reste, c'est du folklore ou de la pseudo-culture pour touriste en goguette. Cauchemard en passe de se réaliser dans la plupart des pays concernés, d'ailleurs... Le monde "celtique" est en passe de disparaitre, et les roucoulades de nos "chers" ménestrels" n'y peuvent pas grand chose. Confère "Daniel Le Grand", infoutu de parler la langue de son pays et qui nous refourgue des berceuses "bretonnes" EN FRANCAIS sur son dernier album! Le brezhoneg abandonné par ses soit-disant "défenseurs"! Sauve qui peut!

Le 30 Mai 2010 par FRANCK

Chef-d'oeuvre devant l'absolu.
Suintant les bas-fonds (new-yorkais ?), l'ambiance de cette galette rend compte de l'appétit musical dévorant et de l'incroyable créativité du bonhomme en ce début des 70s'.
Jouissif.

Le 30 Mai 2010 par FRANCK

Varié, épique, rythmé, d'une grande richesse mélodique malgré quelques longueurs en effet.
Un album de chevet.