Recherche avancée       Liste groupes




Commentaires :  1 ...<<...<... 816 817 818 819 820 821 822 823 824 825 826 827 ...>...>>... 1133
Comment poster un commentaire ?


Jacco GARDNER
CABINET OF CURIOSITIES


Le 21 Mai 2013 par BUGE


Ecrit par ailleurs : "S'il avait 20 ans aujourd'hui, le jeune Roger Keith (nda : Barrett) sortirait un disque de cette trempe. Shine on !"
Gardner a fait mieux que respecter les Tables de la Loi de la pop, il les a sublimées.





Jacco GARDNER
CABINET OF CURIOSITIES


Le 21 Mai 2013 par GURTU


"N'est nouveau que ce qui a été oublié..."

Un superbe album. Merci pour la découverte A.T.N.





KISS
DYNASTY


Le 20 Mai 2013 par PEOEPOP

C'était la série de hits disco-rock de l'époque, pour rappel "Miss You" des Rolling Stones et "Da Ya Think I'm Sexy" de Rod Steward, voire peut-être d'autres que je connais pas... C'est la partie de la vie d'un groupe détestée par leurs vrais fans, le commercial ... comme ceux qui supportent pas qu'on dise "ah oui j'aime bien Kiss, I Was Made, etc."





Jacco GARDNER
CABINET OF CURIOSITIES


Le 20 Mai 2013 par TERRY


Un authentique sommet, un disque magnifique et un des albums de l'année. Chef d'oeuvre de pur psychédélisme à l'anglaise période 1967/68, et ce, par un Néerlandais de 2013 !





KISS
DYNASTY


Le 19 Mai 2013 par RAMON


Eh bah oui, KISS déconne, c'est d'ailleurs devenu une marque de fabrique (déposée) chez eux.
C'est même quand ils ne déconnent pas qu'il convient de s'inquiéter : que ce soit à travers les déclarations de Gene Simmons, sur le merchandising, dans l'événementiel, KISS enfile les conneries comme les perles, pourquoi leur musique échapperait-elle à ce phénomène?
Le disco rock peut bien partager la tête de gondole avec le cercueil KISS et la conférence de presse à bord d'un porte-avions de l'US Navy.
Les aventures de Buck Danny, ça me parlait quand j'étais petit et mon trépas ne m'obsède pas plus que cela, ne retenons que la musique.
Quoique...
Personnellement, je craquerais bien pour le tourne disque qui crache de la fumée...en y passant à la suite, Dynasty, Unmasked et Music from the Elder, ce dernier provenant d'un concept bien fumeux (donc approprié avec l'objet) imaginé par Gene.
D'ailleurs, mon petit doigt me dit que SPACE TOMTOM ne va pas tarder à descendre les deux successeurs du millésime 79 dans ces colonnes. On se demande même à la lecture de la Kro, où il trouve le moyen d' accrocher une seconde étoile à Dynasty.
Maintenant concernant la retraite de Russie, soyons honnêtes: il convient quand même de rappeler que l'hiver en 1979 fut bien moins rude que celui de 1812, sans parler des conditions de transport.
Il est plus que probable que la seule fois où les quatre membres de KISS se sont croisés pendant la réalisation de ce disque, soit pour la séance photo qui en illustre la pochette.
C'est aussi vrai que Vini Poncia n'était pas le plus fréquentable des producteurs, il n'est qu'à jeter une oreille sur la bouse produite pour Peter Criss en solo pour s'en convaincre, son "influence" sur un autre batteur connu sous le nom de Ringo ne plaide pas pour lui non plus.
En effet les titres chantés par Ace sont bien les plus percutants, sur ce point je rejoins TOMTOM, néanmoins, l'un d'eux n'est "qu'une reprise", des Stones soit, mais il s'agit là d'un obscur morceau issu de Their Satanic Majesties Request, album qui manque de faire recracher sa vodka à l'ami Keith à sa seule évocation (en même temps les Pierres ont fait bien pire par la suite, mais là n'est pas le propos...).
Ace y joue de tous les instruments accompagné d'Anton Fig qui est Le batteur sur tout le disque, excepté Dirty Livin'. Bonjour la notion de groupe...
Gene est bien discret également: Charisma et X-ray eyes; fermez la banc!
Deux titres outranciers, qui dégoulinent de Rimmel, tellement grotesques qu'ils passent comme un cosaque dans la steppe. Pas de quoi crier au scandale, donc.
Paul fait du Paul avec un Magic Touch charmeur bien sucré, le genre de friandise coupable à laquelle il est difficile de résister.
Reste les titres d'appellation contrôlée "Disco-Rock" qui ont le don de tant fâcher TOMTOM.
Dirty Livin' est la dernière contribution avant longtemps du Catman avec le Bisou. Pas une grande chanson, pas une si mauvaise non plus, presque un chef d'oeuvre comparée à celles qui figurent sur son LP en solo.
J'ai bien sûr gardé pour la fin les deux tubes extraits du disque.
Sure know something peut exaspérer ou pas selon l'humeur du moment, la version du titre qui figure sur Unplugged a considérablement fait évoluer mon avis le concernant, en sa faveur.
I was made for lovin'you, enfin que je trouve irrésistible avec son court solo joué par Ace, son break de batterie placé à la fin et sa ligne de basse tout du long qui est me semble-t-il interprétée par Paul Himself. Ce morceau, fruit d'un habile montage effectué en production est consigné par par Paul, Vini Poncia et Desmond Child , un faiseur de ce qui peut se faire de pire en terme de variété/rock américaine pudiquement siglée AOR.
Donc tout cela est effectivement grotesque et en aurait coulé définitivement plus d'un, sauf que KISS n'est définitivement pas un groupe comme les autres, un peu comme Queen ; le grotesque lui va comme un gant, c'est même devenu une marque de fabrique...déposée, donc attention,car Gene ne plaisante pas : Business is Business!





NIRVANA
MTV UNPLUGGED IN NEW YORK


Le 19 Mai 2013 par SEIJITSU

EAZZYRIDR: je crois qu'on ne tombera pas d'accord à propos du concept du live acoustique. Mais même si MTV était une chaîne plus respectable auparavant (je ne me prononcerai pas là dessus), elle s'est toujours contentée de diffuser ce qui marchait (avec certes quelques surprise agréables de sa part) et ce qui était à la mode, c'était justement le grunge et ce qu'on appelait "l'alternatif" à cette époque.

Mais si tu veux continuer le débat, je t'invite à le faire sur le forum. La section des commentaires n'étant pas faite pour cela.





NIRVANA
MTV UNPLUGGED IN NEW YORK


Le 19 Mai 2013 par JOJO



Commercial ou pas, NIRVANA a changé la vie de pas mal de gens. Mais à mon avis, Cobain était un type sincère. C'est d'ailleurs cela qui a touché tant de gens, au-delà de ses limites techniques de musicien, au-delà de la musique. Il était tellement sincère qu'il n'a pas, je pense, supporté son succès. La gloire, le star-system, il s'en foutait. Le reste, on s'en fout un peu, les analyses, les intellos et tout...





NIRVANA
MTV UNPLUGGED IN NEW YORK


Le 19 Mai 2013 par EAZZYRIDR

Cher Seijitsu,

Tu te fourvoies mon ami ! La démarche des Unplugged n'est pas aussi commerciale que tu le prétends. Peu sont les disques Unplugged à être sortis. C'était avant tout une façon d'écouter un groupe sous une lumière nouvelle. Il suffit de voir les groupes qui se sont prêtés au jeu, peu d'artistes commerciaux là-dedans (on aurait bien pu faire un Britney Spears, N'Sync ou Ricky Martin en acoustique).

Maintenant, que ce soit devenu quelque chose de commercial aujourd'hui je ne le conteste pas. De même, MTV est racoleuse à mille aujourd'hui, mais dans les années 90, la chaîne passait beaucoup de musique (je me rappelle même des programmations centrées sur la musique alternative qui duraient tout le week-end), rien à voir avec NRJ12, etc.





Nobuo UEMATSU
FINAL FANTASY IV CELTIC MOON


Le 18 Mai 2013 par CHIPSTOUILLE


Les livraisons plus récentes de Nobuo Uematsu, notamment de par sa colaboration avec Arnie Roth, me font remettre en perspective aujourd'hui les albums plus anciens. Les More Friends, Distant Worlds ainsi que les derniers Piano Collection sont quand même un cran nettement supérieur à ce Final Fantasy IV Celtic Moon, par exemple. Fautes de grives on mange des merles, comme dit l'adage...

Cet album, que je trouve toujours globalement bon, n'est plus celui que je vous conseillerai pour découvrir l'artiste... Chroniques à venir.





RUSH
COUNTERPARTS


Le 18 Mai 2013 par POWERBEAUF


"Un diamant de hard rock 90's" : rien à ajouter, tant ce disque est bluffant de classe !





RUSH
COUNTERPARTS


Le 18 Mai 2013 par POUR RIEN DIRE

La chronique est un peu exagérée, non pas pour la qualité de l'album mais le style reste Rush, ils se sont juste adaptés à l'époque. Rush est un des groupe du style qui a duré le plus longtemps entres autres grâce a leur faculté d'adaptation aux époques (maintenant ils ont eu des haut et des bas aussi).

Pour moi, il y a pas de si grosse rupture de style, ils s'étaient mis à jour.
Maintenant le fait que cet album est moins progressif que les autres, fait évidemment (cf commentaire précédent) que cet album est aimé des gens qui n'aiment pas forcément Rush, et probablement pas des fan du Rush plus "technique" on va dire, qui doivent détester cet album ...





NIRVANA
MTV UNPLUGGED IN NEW YORK


Le 17 Mai 2013 par SEIJITSU

Ce que je ne comprends pas, c'est comment on ne peut pas danser sur une chanson comme "Where Did You Sleep Last Night". Elle est très entrainante et joviale ;)
Il est évident que le terme "sympathique" était qualificatif et ne désignait absolument pas l'ambiance de ce morceau.

En ce qui concerne le caractère commercial de ce disque, je décèle dans ton commentaire de la mauvaise foi. Le concept du live acoustique EST commercial. Comme le disait si bien un de mes collègues en interne, c'est le contraire du rock avec son public bien élevé, ses claps claps polis et son ambiance tamisée...
Il ne faut pas oublier aussi que cette série de disque a été lancée par la chaîne MTV, qui est aussi commerciale et racoleuse que NRJ12 ou Direct 17 chez nous.

Mais que ce live soit commercial ou non, ce qui importe c'est le résultat. Et même si je suis sans doute sévère avec NIRVANA, ce disque est mon préféré du groupe avec Nevermind.





NIRVANA
MTV UNPLUGGED IN NEW YORK


Le 17 Mai 2013 par EASYRIDER

Je cite Seijitsu:

"Where Did You Sleep Last Night" conclue cette atmosphère particulière de manière sympathique (...)Cobain s'assume avec ses approximations et réussit à transformer une musique belliqueuse en ode à la musique intimiste, sans pour autant se trahir avec le caractère pourtant très commercial de ce live".

Déjà, je ne comprends pas bien comment on peut trouver la chanson "Where Did You Sleep Last Night" sympathique. Dès les premiers accords, y a une certaine lourdeur, tantôt blues, tantôt folk, mais surtout grave. Emouvant, touchant, voire pénible je pourrais comprendre, car Kurt Cobain se lâche complètement et on assiste presque à une sorte de suicide vocal, dans le sens où l'énergie transcende les limites techniques et Kurt se déchire presque la voix.

Après, souligner le caractère commercial du disque me semble tout à fait déplacé, voire fantaisiste. Pas de Smells Like, pas de Lithium, je vois pas où est l'appel au cash.





NAS
IT WAS WRITTEN


Le 17 Mai 2013 par ZECTON


Belle amélioration par rapport au premier album, le flow est plus intéressant, la prod bien meilleure et "It was written" aurait mérité la note maximale s'il s’arrêtait à la plage 8, parce que la suite fait vraiment office de remplissage, ennuyeux à souhait et rappelle les travers de "Illmatic", dommage.





NAS
ILLMATIC


Le 17 Mai 2013 par ZECTON


On est en présence d'un album plutôt bien troussé mais quel monotonie !
Mis à part "The world is yours", "represent" et "Memory lane" on s’ennuie sec quand on ne s'endort pas en chemin .
Les instrus sont pour la plupart classieuses et les scratches enlevés mais le flow de Nas est souvent assez chiant et rébarbatif, reste des punchlines qui ont fait date, certainement pas suffisant pour mettre 5/5 à ce disque, faut pas exagérer.





RUSH
COUNTERPARTS


Le 17 Mai 2013 par MR TINKERTRAIN


Je ne connais pas grand chose à Rush à part 2 ou 3 albums des 80's que j'aime à écouter de temps en temps. Mais celui-ci a une efficacité, et dès le départ (Animate), qui le rend au dessus du panier pour moi. A ranger entre Kingdom of Desire de Toto pour le coté Hard Rock efficace, et Holidays in heaven de vous savez qui sorti 2 ans avant pour le coté Prog et technique. Voilà donc un très très bon disque de Hard Rock!





NIRVANA
MTV UNPLUGGED IN NEW YORK


Le 15 Mai 2013 par SEPPU


Dommage que Seijitsu nous donne plus son avis sur le phénomène NIRVANA qu'autre chose, car, vraiment, on s'en fout. En 2013, ne pas comprendre que ce groupe a révolutionné le Rock, c'est n'avoir pas compris grand-chose à cette musique.





Michael JACKSON
THIS IS IT


Le 15 Mai 2013 par ANGEL D


Excellente chronique qui résume très bien le film.
En effet, le réalisateur Kenny Ortega a fait un montage efficace de ses répétitions, visant à rassembler surtout l'essentiel : la musique et la conception du show.

Et c'est bien au niveau du visuel qu'il y a surtout des surprises : Michael réservait de la nouveauté dans les clips de "Thriller", de "Earth Song" ou de "Smooth Criminal". Michael démontrait encore une fois qu'il avait des choses à apporter dans un domaine où il est définitivement inégalable.

Niveau musique, il y a quand même quelques passages de titres inhabituels ("Threatened", "HIStory", ou encore "Shake Your Body") à côté des titres plus classiques. Et puis il y a de jolis moments dans les échanges entre Michael et ses musiciens lors des répétitions que je ne raconterai pas (voir le passage du "solo de guitare" vers "Black or White" ou encore la fin de "I Just Can't Stop Loving You")...

Sur 100 heures de bande, paraît-il, je trouve que le montage proposé est bien foutu, bien dosé. Quant à la qualité de la musique, il n'y a pas franchement à revenir dessus : que des bon titres, du groove, bref, un répertoire varié et joué à la note près.

Si Michael paraît fragile physiquement, il est toujours largement au-dessus de la moyenne sur le terrain (danse, chant) et fait le boulot avec talent et perfectionnisme (en plus il ne s'agit que de répétitions). Pour le reste, professionnalisme, chorégraphies et musiciens de talent sont au rendez-vous.





Kery JAMES
RéEL


Le 15 Mai 2013 par ANGEL D


Kery james : difficile pour ma part de s’intéresser à son "œuvre" musicale. Je dois avouer avoir beaucoup de mal avec le rap français d'une manière générale : moins varié, moins fluide dans la musicalité que le rap US.

Depuis ses débuts, l'homme accorde une importance capitale aux paroles, refusant même par moment d’intégrer des instruments à cordes dans sa musique, prohibés par l'islam.
Soit, aucun problème par rapport à ça. Mais moi, ce qui me dérange, c'est le coté systématiquement moralisateur et le changement de discours à chaque album.

Tantôt "cru" à ses débuts ; très "pieux" sur « Si c'était à refaire » et enfin sur « Savoir vivre ensemble » où il réunit tout le gratin de la scène rap rnb française.
Un album de musique archi-formaté qui atteint un degré de médiocrité rare où on se prétend ouvert alors qu'on se fait donneur de leçons à gogo et on explique même aux gens que l'enfer leur sera réservé si on ne se soumet pas à "sa conception de la religion". N'est pas "prophète" qui veut...

Depuis, Kery James est revenu à un son plus hardcore, comme à ses débuts, histoire d'aller là où le public se trouve et de renflouer la caisse. Musicalement, « Réel » ne se démarque pas franchement du rap français de masse et du bonhomme. Il y combine les deux facette de sa carrière : entre le mièvre et le bourrin.

Sur l'album, pas de soucis : Kerry James sait toujours être moralisateur et verser dans la bonne parole, peut-être un des seuls éléments qui le démarquent un peu de la masse.
Car, pour le reste, rien qui ne le distingue vraiment.

J'avoue que son flow n'est pas non plus le plus mauvais de l'histoire du rap, surtout dans les titres rentre-dedans.
Mais j'ai beaucoup de mal quand même, notamment sur les titres « mièvre » ou Kery James force au maximum chaque mot,
Ne parlons même pas des soit disant passages « chantés ».
Sans profondeur, sans feeling...

A l'image de la musique globalement : "La Poudre aux yeux", piano et violonnade mièvre, « Le Respect du silence », idem, à quelque chose près. Certains titre se veulent épiques, comme le fade « Le Retour du rap français » ou encore « Le Prix de la vérité ».

C'est tuant tellement que c'est linéaire alors que pour les adeptes, ce sont des musiques où il y aurait une instru de folie et du flow à son maximum...

Bref, ce « reel » est le produit attendu pour la masse. Un produit lisse et formaté, qui manque d'envergure et d'ambitions musicales. On dirait un hip-hop de 3ème zone enregistré avec les moyens du bord (toutes ces "instru" fabriquées avec un bon PC) comme il y en a tant dans le paysage du rap français.





NAS
ILLMATIC


Le 15 Mai 2013 par ANGEL D


Dommage que la chronique passe à côté l'aspect "instrumental" et le contexte de l'album lors de sa sortie.

Illmatic est un très bon disque.
Le 1er album du peu connu Nas à l'époque.
On a ici 10 titres, une trentaine de minutes... ce qui évite forcément le remplissage.

C'est du rap new-yorkais ici : pas du G funk façon Snoop Dogg ou Dr Dre.
L'instrumental est donc très soul-jazz que exclusivement funky.
La musique est épurée et atmosphérique à la fois, pas loin des collègues du Wu Tang qui à la même époque, sortaient un peu dans la même veine, Enter the 36 Chambers, mais plus surfait entre ses bruitages de film chinois et ses longueurs inutiles...

Je parle de cet album parce que, avec celui de Nas, il correspond à la relève du rap Est Coast (new-yorkais) qui perdait du terrain en termes de ventes face au rap West Coast (Dr Dre, Snoop Dogg) qui avait balayé tout le rap dit "old school" (l'ancienne génération) dès 1992.

Ainsi, des groupes ou des MC plus anciens (et souvent de la East coast) sortaient de très bons albums à la même époque mais étaient systématiquement boudés et considérés comme vieillots et dépassés par une bonne partie du public "hip hop" (au hasard , l’excellent Buhloone Mindstate de De La Soul ; Muse Sick-n-Hour Mess Age de Public Enemy, Ill Communication des Beasties Boys). Alors que musicalement, les albums était recherchés, ouverts et solides.

Mais, pour en revenir à Illmatic, c'est vrai que l'album mérite ses 5 étoiles.
Rien que l'introduction chaleureuse "The Genesis" avec sa basse bien ronde annonce du lourd.
Ca se confirme : "NY State of Mind", intraveineuse hypnotique et obsédante ; l’entrainante et jazzy "Life's a Bitch" où Nas partage le micro avec "AZ" est excellente.

Et ça ne faiblit pas.
Ca se fait un peu plus costaud sur des titres comme "The World Is Yours" avec ses scratchs.
"Halltime" : peut-être le meilleur titre de l'album : souple, fluide et plombé à la fois.
"Represent" ou une des meilleures prestations de Nas au micro : attention flow d'une qualité remarquable.

Plus doux sur "One Love", très soul jazz avec Q tip du groupe A Tribe Called Quest au micro.
Ou "It Ain't Hard to Tell", limite ballade rap qui sample le titre "Human Nature" de Michael Jackson pour un résultat à la hauteur.

Seul "One Time 4 Your Mind" semble moins marquante dans ce disque en fait...
Voilà. Nas a son classique et l'histoire du rap aussi.
Par contre, jamais vraiment posé une oreille sur la suite de sa carrière.
Peur que ça soit trop "mainstream" et grand public pour mon oreille...







Commentaires :  1 ...<<...<... 816 817 818 819 820 821 822 823 824 825 826 827 ...>...>>... 1133






1999 - 2025 © Nightfall.fr V5.0_Slider - Comment Soutenir Nightfall ? - Nous contacter - Webdesign : Inox Prod