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RED HOT CHILI PEPPERS
I'M WITH YOU


Le 05 Juin 2013 par MRPIXEL


Les RHCP sont mort en 2002 avec "By the Way"...mais "I'm with You" marque une certain retour aux sources vers la période "Californication" du groupe. De la Pop Funky avec un peu de Metal comme les RHCP le faisait si bien dans les années 90. Certes on est bien loin des années phare du groupe mais c'est bien mieux que les deux déchets "Stadium Arcadium" et "By the Way". Encore un effort et on tient l'album de la décennie !

Note réele : 3,5/5





BLACK SABBATH
MASTER OF REALITY


Le 05 Juin 2013 par RIKKIT

Merci pour la précision Dark Schneider, trop de personne louent le satanisme dans les textes du Sabb', alors qu'effectivement il n'en est rien. Dommage pour le changement de confession du sieur Butler ça aurait encore pu faire une exception confirmant la règle.





The KING
GRAVELANDS


Le 05 Juin 2013 par RED ONE

Waoooouh !!!

J'ai écarquillé très grands les yeux quand j'ai lu cette chronique ! Je n'imaginais pas qu'il puisse exister un tel concept ...
Ca m'a l'air énorme, je m'en vais écouter de ce pas.

Ca me fait un peu penser à BEATALLICA, ce groupe américain qui reprend des chansons des BEATLES à la sauce thrash metal en imitant la voix de James Hetfield...

À quand des reprises de Lorie avec la voix d'Edith Piaf ?





The BEATLES
LOVE


Le 05 Juin 2013 par RAMON

Etonnant de ne pas avoir rectifié cette erreur sur la prétendue mort de George Martin, pourtant un internaute l'avait signalée peu après la parution de cette chronique.
C'est sûr que le chroniqueur finira bien par avoir raison, d'autant que l'homme a 87 ans à présent, tout est dans la notion que l'on accorde à la mention "peu de temps après". L'allusion faite à sa supposée dernière demeure n'étant déjà pas du meilleur goût, en devient carrément déplacée.
Tout comme est signalé que l'ami de George, Guy Laliberté, avait Harrison pour nom de famille. Tout le monde peut se tromper, ce n'est pas un crime, néanmoins s'agissant du décès de quelqu'un cela mérite rectification.
Espérons qu'elle adviendra avant qu'une triste nouvelle, une de plus ne vienne entacher notre quotidien.





BLACK SABBATH
MASTER OF REALITY


Le 04 Juin 2013 par DARK SCHNEIDER

Pour faire suite au commentaire de RIKKIT, précisons que les paroles de "After Forever" sont l'oeuvre de Geezer Butler et non pas de Iommi.
A cette époque, Geezer écrivait tous les lyrics. Et sinon, ces paroles sont clairement chrétiennes, Geezer était chrétien à cette époque (il ne l'est plus), et le groupe n'a jamais fait dans le satanisme (même s'ils parlent de satan). D'ailleurs le texte du morceau "Black Sabbath" est clairement un avertissement contre le satanisme.





The CLASH
GIVE EM ENOUGH ROPE


Le 04 Juin 2013 par RAMON


Le moins que l'on puisse dire à propos du deuxième disque du CLASH (et non des, sinon ce serait CLASHES), c'est qu'on ne se bouscule pas au portillon pour sa défense.
A commencer par les principaux concernés. Exemple ? Paul Simonon dont les mésaventures en compagnie Topper Headon sont narrées dans Guns on the Roof; non mais quelle idée de pratiquer le tir au pigeon sur le toit du studio, je vous le demande ?
Résultat des courses nos gaillards ont commis l'exploit d'abattre des pigeons voyageurs d'une valeur inestimable appartenant à l'armée...et de s'attirer ce qu'il faut comme emmerdements derrière.
Mais ce qui a le plus irrité l'ineffable bassiste, ce fut les séances d'enregistrement.
Depuis quand les Keupons sont-ils censés répéter et enregistrer des milliers de fois le même passage et faire de même sur tous les titres, hein, depuis quand? FUCK!!!!
La spontanéité en prend un coup, pour sûr.
Et puis il y'a Strummer, le roublard, celui qui éructait "I'm so bored with the USA", qui se retrouve à bosser avec le producteur US Sandy Pearlman, un intello soit, mais surtout connu pour son travail avec Blue öyster Cult, groupe de hard Rock Ricain emmené par un guitariste virtuose qui vient de sortir deux albums ouvertement "Radio friendly"; la honte...
Pearlman n'est pas convaincu par les talents de vocaliste du frontman anglais, alors il s'arrange pour mixer sa voix en retrait, pas de quoi flatter l' ego de notre rebelle révolutionnaire ni lui faire ouvrir la boîte à louanger donc.
Exit le Reggae également. Les puristes s'offusquent. Pas le grand public.
Restent Mick Jones et Topper Headon.
Le premier est ici magnifiquement mis en valeur, tant les guitares sont mises en valeur, il ne se prive d'ailleurs pas pour décocher des solos courts, incisifs et inspirés (English Civil War, Tommy Gun, Cheapskate, All the young punks)
Le second, encensé par Pearlman, pensait assurer un court intérim avant de se faire embaucher par un groupe de musique "sérieuse", flairera le potentiel du Clash et choisira de rester.
Quoi qu'on puisse penser du résultat, Joe Strummer savait très bien que la formule "poum/tchack et vlan dans ta gueule " qui avait fait merveille sur le premier opus était sans lendemain, le groupe vise plus haut et plus haut cela signifie les States, pas moins.D'où Pearlman, le piano sur Julie's been working, le saxo sur Drug-stabbing time, la batterie métronomique, le gros son des guitares, le tout impeccablement joué.
Clash a beau avoir profité de la vague punk british (on n'a pas écrit Career opportunities pour rien), il vise l'Amérique tout comme ses aînés, Beatles, Stones et autre Zeppelin... D'ailleurs Mick Jones avait fini par l'avouer après la séparation,quand on lui avait demandé pourquoi il(s) détestai(en)t les Beatles sa réponse fusa: "on ne les détestait pas, on voulait être comme eux."
Clash voulait donc bien du beurre (l'Angleterre) mais aussi de l'argent du beurre (l'Amérique), ce qui ne sera pas vraiment chose faite avec cet album qui ne fera qu'une timide apparition dans les charts outre atlantique en tant que première sortie officielle du groupe sur le territoire de l'oncle Sam.
Le beurre lui, est assuré en Angleterre, le disque marche bien même s'il déçoit les fans de la première heure, le groupe commence à s'émanciper de ses "racines punk" ce qui s'avérera être salutaire.
Safe European Home,English Civil War, Tommy Gun, Julie's been working, Guns on the Roof et Stay Free se détachent du lot et marquent une évolution tout en gardant l'empreinte du groupe, les autres titres ne font pas pour autant office de bouche trou,l'hymne All the young punks clôt naturellement un album remarquablement mis en son.
Give em enough est l'album de la nécessaire transition vers de nouvelles contrées qui apporteront l'argent du beurre et enfin la crémière qui va avec puisque c'est un fait établi, THE CLASH est inscrit au panthéon de l'histoire du Rock, notamment et en majeure partie grâce à l'album qui suivra.
note 4,5/5





ASIA
EXTENDED VERSIONS


Le 04 Juin 2013 par GHOULMASTER

C'est vraiment étrange cette affaire de "schisme"..... Ca fait un peu penser à ce qui est arrivé à Yes à la fin des années 80 avec le side-projet Anderson/Bruford/Wakeman/Howe.
Ca n'est pas très étonnant non plus quand on connait l'égo souvent surdimensionné des musiciens prog (avec tout l'immense respect que je leur dois), mais je m'attendais pas à voir ce genre de chose chez Asia.





The CLASH
LONDON CALLING


Le 04 Juin 2013 par RIKKIT


Oui, London Calling est un chef d'oeuvre, ça fait beaucoup de titres, mais on s'en fout, tout est bon.





DAFT PUNK
GET LUCKY


Le 04 Juin 2013 par AZER


J'ai du mal à comprendre ceux qui crachent sur Human After All, pour moi le meilleur album (oui monsieur !) album des deux frenchies, dans le sens ou ce dernier mariait très bien la techno house et le heavy metal (Robot Rock, Television rules the Nation, Technologic), et un côté sombre le démarquant totalement des deux autres skeuds, bons eux aussi.
Cependant entre la BO de Tron (à chier), et cette bouse nouvelle, on se demande quoi faire....
Car malgré la présence d'un bon chanteur et monstre du funk (excusez du peu), on sort du racoleur et du Easy-listening, prédisposé à conquérir un public qui avait dénigré l'absence du funk sur le skeud précédent (c'est sur que la avec Random Acess Memories, ils ont ce qu'ils veulent !), ce qui prouve la position mercantile actuelle du groupe (au passage, tous les engagements anti-consommation/embrigadement/technologie sur-utilisée nous transformant en légumes, gommés et remplacés par des conneries à la sauce beauf).
Une belle déception.





BLACK SABBATH
MASTER OF REALITY


Le 03 Juin 2013 par RIKKIT


Cet album est juste génial, l'acte de naissance du stoner britannique j'ai presque envie de dire. Et quant à After Forever, Iommi ne fait pas que s'interroger, non, il affirme bel et bien que Dieu est le seul chemin pour aimer, c'est chanter et écrit noir sur blanc n'en déplaise au vieux anti-chrétien qui peuple l'univers du rock.






DR FEELGOOD
ALL THROUGH THE CITY


Le 02 Juin 2013 par ECLECTIC


A cette époque (74-77), Dr Feelgood était le plus grand groupe de rock existant. A chaque titre, on risque l'électrocution par les riffs de Wilko. La section rythmique est une horloge et Lee Brilleaux reste un des chanteurs de rock les plus hallucinants (et accessoirement un harmoniciste furieux). Pas de frime : des amplis, des micros et la rage du rock.
Le jeu de Wilko se rapproche bien sûr de celui de Mick Green (en invité sur le CD 3), qui officiait également à cette période en trio au sein des Pirates. Indispensable à tous les amateurs de Rock'n'Roll. Urgence et électricité...





LL COOL J
AUTHENTIC


Le 01 Juin 2013 par GLADIUS


Chronique bien sympa qui m'a donné envie de me pencher sur l'album.
J'ai écouté en gros sur Deezer, en pleine découverte d'un des artistes majeurs du hip hop aux USA (quelle honte de pas avoir écouté plus tôt!). Ce "Authentic" n'est pas un mauvais album en soit, LL COOL J suit les tendances et ça se remarque, les solos de guitare et apparitions de TOM MORELLO sont franchement originales et bien survenues, on à ici un album sans trop de révélations mais qui reste correct, le titre "Whaddup" est un bon résumé de l'ensemble, il fou la pêche.

Sur ce, je m'en vais découvrir la discographie de ce rappeur charismatique et ô combien emblématique.





LL COOL J
AUTHENTIC


Le 01 Juin 2013 par ANGEL D


LL Cool J, c'est un peu comme Jon Bon Jovi.
Si l'un était le prince du hard fm, l'autre était le prince du hip hop.
Les deux ont apporté dès leur début de carrière une facette "lover" dans leur musique avec un petit pourcentage de ballade tout en proposant du plus heavy.

C'est ce qu'on retrouve dans les 5 premiers albums de ll cool j.
Un dosage entre des titres parfois très puissant, quelques uns plutôt calmes, et beaucoup de titres qui se situent entre les deux.
Un peu comme Jon Bon Jovi avec son groupe ...

Si LL Cool J avait su à ses débuts (1985-1993) proposer quelques titres proches de la ballade, c'est à dire une voix sensuelle sur un bon groove et un tempo lent, le gonze à ensuite versé dans le pur R'nb, dès 1995, avec l'album "Mr smith".
Un peu comme Jon Bon Jovi par la suite...

Difficile de voir vraiment le lien entre ce LL Cool J là et celui d'avant.
Il s'en est suivi une flopée d'albums dans le même genre, totalement inoffensifs et 200% r'nb pour midinettes, totalement imbuvables pour ma part.

Dès 2008, avec l'album "exit 13", il nous avait promis dessus un retour aux sources : le résultat était un compromis entre du rap old school à l'ancienne avec encore beaucoup de titres sirupeux.
Malgré de bonnes choses, le disque était trop long (plus de 70 minutes) et trop hétérogène pour obtenir un album de grande qualité.

Aujourd'hui, Authentic semble, selon son auteur, être une promesse de revenir à un son... authentique, loin de ce qu'on peut écouter à la radio actuellement.

En réalité, l'album reste commerciae avec toujours son lot de titre Rn'b.
Mais, sur ces 12 titres, ll cool j réussi à proposer un album court et éclectique qui se révèle au final assez homogène.
Il est évident qu'on peut toujours se gratter pour qu'il revienne à un style comme sur ses deux anciens classiques "radio" ou "mama said knock you out" mais il y a ici un effort de fait.

Je suis d'accord avec la chronique d'Erwin sur les bons titres qu'il à retenu.
Globalement les plus puissant, ceux qui se rapprochent le plus du vrai hip hop.
Le percutant "bath salt" qui ouvre l'album avec son beat répétitif , le funky "new love" avec son refrain chanté, "whaddup et we're the greatest", deux rap n roll comme on en fesait à l'ancienne avec l'apport de bons guitaristes, le flow qui tue... et un chouïa de modernité dans le son.
"
Même le titre "we come the party" qu'Erwin ne semble pas aimer reste sympa, je trouve.
C'est vrai, ça ne vaut pas un "mama said knock you out" de la belle époque (d'ailleurs le titre en question semble essayer de s'en approcher) mais ça passe plutôt bien avec son groove funky.
"Something about you" et "bartender please" sont bons aussi, taillé un peu dans le même moule et évoque donc la période début 90's de ll cool j avec ce son plus moderne.

Sur les titres les plus mous, en revanche je ne suis pas toujours d'accord avec la chronique.
Notamment sur "not leaving you tonight".
Si le titre est surproduit et un peu facile, il y un coté planant, une ambiance agréable dessus et une collaboration entre trois artistes à l'univers bien différent qui se rencontrent dessus.
Ce qui donne au titre, je trouve, un charme particulier.

"live for you" verse aussi dans la soupe, c'est certain.
Mais je trouve que ça fonctionne.
Pas de quoi se relever la nuit mais ce mélange pop rock mainstream et hip hop , rn'b se révèle plutôt sympathique.
Il y a même quelques belles notes de guitare sèche dessus.

Ensuite, il reste les titres vraiment typés rn'b.
Soit 3 sur 12, une moyenne finalement honnête quand on regarde ce qu'il faisait depuis 1995.
Et je me surprends même à les trouver pas trop mal.
Loin d’être renversants, très sucrés mais suffisamment accrocheurs et enjoués pour pas m’emmerder ferme dessus.

Finalement, en dosant mieux sa musique, LL Cool J à réussit à faire un disque homogène et bien ficelé. Et à nous faire accepter sa facette Rn'b quand elle n'est pas envahissante.
D'autant plus que les titres du genre proposé ici sont loin d’être ses pires.

Bref, pas de titre inoubliable dans l'ensemble mais rien de catastrophique.
Un disque qui oscille entre le bon voir le très bon et le correct.
Son flow versatile (même si il à perdu avec l'age) fonctionne toujours bien quel que soit le type de morceaux.
D'ailleurs, il à toujours été sous estimé à ce niveau là.

Bref, "Authentic" est un album sympathique et agréable à écouter qui montre que LL Cool J est encore là quand il s'en donne les moyens.

PS : Plutôt pas mal le clin d'oeil à Ice T, quand on sait que les deux étaient ennemis à l'époque.

Note : 3 à 3.5

















GORILLAZ
THE FALL


Le 01 Juin 2013 par AZER


Mais quel ennui que cet album...
Demon Days était une sacrée tuerie quand on y repense, de même que l'éponyme, mais à Plastic Beach, ça a commencé à faiblir, bien que restant bon. Mais alors The Fall...
Difficile de faire disque aussi soporifique. Aussi ne retiendrai-je que le sublime "Amarillo", superbement aérien et qui fait légèrement penser à El Manana.
Trop faible pour un album...





EMERSON, LAKE & PALMER
EMERSON, LAKE & POWELL


Le 30 Mai 2013 par KOBAN


Et le panorama ne serait pas complet si l'on ne mentionnait pas que "Touch and Go" figure (dans une nouvelle version studio avec Palmer) dans le coffret "The Return of the Manticore" sorti en 1993 après la reformation du trio.
Il est accompagné de nouvelles versions de "Hang on to a Dream" qui figurait au répertoire de THE NICE, "21st Century Schizoid Man " et "Fire" de THE CRAZY WORLD OF ARTHUR BROWN, chacun des trois musiciens ayant pioché dans son passé pré-ELP.





RUSH
CLOCKWORK ANGELS


Le 30 Mai 2013 par GLADIUS


Ah, Rush... Une grande histoire d'amour entre eux et moi, qui a commencé avec un film des plus débiles (je me souviens plus le nom) dans lequel ils étaient cités une bonne dizaine de fois. Donc hop, réflexe de curieux, j'ai été écouter. Et là, j'ai adoré.
Clockwork Angel est mon album rock de 2012, le plus abouti qui signe le retour du groupe à un niveau bien au dessus de la concurrence, si tant est qu'il y en ait une.
Une référence pour moi, que je réécoute constamment avec beaucoup de plaisir. Je suis 100% d'accord avec toi ARP.
J'attends que tu fasses le live "Time Machine" que j'ai acheté en Blu Ray et adoré.





50 CENT
GET RICH OR DIE TRYIN


Le 29 Mai 2013 par SEIJITSU

Cela ne serait pas honnête de ma part de donner une note pour un disque que j'ai écouté il y a longtemps. Mais je conserve de ce Get Rich Or Die Tryin un souvenir particulièrement pénible.

Premièrement, le flow de 50 Cent est pataud et sans charisme. Sur une ou plusieurs chansons cela peut passer, mais le supporter sur un album de plus d'une heure est un véritable parcours du combattant. C'est assez étonnant le succès qu'a pu récolter ce MC quand on constate la médiocrité de sa voix. Sachant que dans le rap, le charisme et le flow fait au moins la moitié de la qualité d'un album du genre.

Deuxièmement, l'autre gros problème c'est les instrus complétement cheap. C'est justement là où se trouve le défaut le plus grave de cet opus parce qu'il est censé être produit par Dr. Dre ! Le mec derrière The Chronic (excusez du peu). Cela est indigne de ses talents de producteurs car les sonorités sont kitsch et les prods guère mémorables.

Red One n'aime pas du tout The Massacre mais même si mon appréciation diffère assez peu de cet album, je le préfère à ce dernier. Car les instrus ont l'avantage d'être mieux fichus et débarrassés des sons laids peuplant ce Get Rich... Bon la voix la 50 Cent reste bien entendu la même et c'est bien pour cette raison que ce type fera toujours partie de la lie du style pour moi.





ALICE IN CHAINS
DIRT


Le 29 Mai 2013 par RIKKIT


Un album majeur du Rock alternatif, voir du rock tout cour.





50 CENT
GET RICH OR DIE TRYIN


Le 29 Mai 2013 par RED ONE


J'ai décroché 50 CENT dès son album suivant, l'horrible "The Massacre" (qui porte bien son nom), mais rien que pour le tube "In Da Club", je mets 3/5 à cet album culte du rap américain des années 2000 ...

Certes, 50 Cent n'est pas un génie et le contenu de ses paroles est très très pauvre, mais rien que pour les souvenirs ça vaut la peine de le ressortir du placard ...

Je me revois encore en train d'écouter Skyrock le jour de la sortie du single. C'était un vrai tube à l'époque, ça mettait quand même par terre toute la concurrence, tant française qu'américaine.

Du rap de bonhomme, gonflé aux hormones !





COCK ROBIN
COCK ROBIN


Le 28 Mai 2013 par EL PACHENKA

Ayant traversé la génération Top 50 avec ses bonnes choses et ses (hmm... hmm... BEEEUAAARG!), je porte une affection particulière pour Cock Robin, la chanson "The Promise You Made" en tête. Avouons, nous les garçons : nous étions amoureux de la belle Anna Lacazio, hein? A redécouvrir par l'intégralité d'un album, pourquoi pas?







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