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SUPERTRAMP - Breakfast In America (1979)
Par BRADFLOYD le 11 Novembre 2022          Consultée 1000 fois

Petite anecdote :
En 1979, alors que j’étais au lycée, celui-ci a proposé aux élèves de se rendre au concert de SUPERTRAMP au Pavillon de Paris le 29 novembre 1979. Un bus était affrété et une cinquantaine de mes condisciples se sont rendus à ce concert et en sont revenus enchantés, des étoiles dans les yeux.
Pourquoi je vous raconte cette anecdote ? Parce que lorsque je me suis vu proposer de les accompagner, j’ai refusé tout net : pas assez rock. Même si je m’étais découvert une passion pour les FLOYD dès cette année-là, (The Wall est sorti le lendemain de ce concert mythique enregistré pour le double album « Paris », revisité et complété en 2012), les groupes que j’écoutais étaient les STATUS QUO, les BEATLES, les STONES et DEEP PURPLE. SUPERTRAMP était de la soupe au regard de ces derniers. Quel con !!! Mon vrai grand regret musical. D’autant plus qu’en 1983, SUPERTRAMP se produisait au parc de Sceaux, avec en première partie Chris de BURGH et que, par un fait exprès, je n’avais pu y aller pour des raisons de calendrier, jalousant mon frère qui lui avait pu voir la dernière tournée avant le split de la formation historique.

Cet album, Breakfast In America, est la quintessence de tout ce que j’aime chez les superclochards. De l’introduction de « Gone Hollywood » à « Child Of Vision », rien à jeter. Les titres s’enchaînent de manière magique. Je dois reconnaître à ce groupe de savoir agencer les titres afin que le disque soit cohérent musicalement et ne provoque pas de phénomène de lassitude à son écoute. Les titres qui pourraient passer pour les plus faibles (« Oh Darling », Lord Is it Mine », « Casual Conversation ») sont des respirations bienvenues au milieu des mega tubes que sont « The Logical Song », « Goodbye Stranger », « Breakfast In America », « Take The Long Way Home » et « Child Of Vision ».

Est-ce la nostalgie d’une époque révolue pour moi ? Je n’en sais rien. Ce que je sais, c’est que si je ne l’ai pas écouté au moins une centaine de fois, je ne l’ai jamais écouté. Avec toujours ce même plaisir, ce même frémissement de l’âme. Un admirable mix entre la pop la plus simple et la prog dont je ne me lasse pas. Des instrumentistes sans faute de goût, une production au top. Un incontournable de la pop musique, de la musique tout court.
Et quand « Paris » est sorti en septembre 1980, que mon frère a acheté ce double album, je me suis maudit. J’étais devenu moins con, moins obtus… mais c’était trop tard. Et depuis, je m’en veux terriblement.

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- Rick Davies (chant, claviers)
- Roger Hodgson (chant, claviers et guitare)
- John Anthony Helliwell (instruments à vent, chœurs)
- Dougie Thomson (basse)
- Bob C.benberg (batterie, percussions)


1. Gone Hollywood
2. The Logical Song
3. Goodbye Stranger
4. Breakfast In America
5. Oh Darling
6. Take The Long Way Home
7. Lord Is It Mine
8. Just Another Nervous Wreck
9. Casual Conversations
10. Child Of Vision



             



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