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ECLAT
L'ESPRIT DU CERCLE


Le 22 Février 2013 par ILôNIL


J’ai découvert ce disque il y a quelques mois déjà et l’adhésion fut totale dès la première écoute. Vous avez du connaître ça un jour, ça se passe de mots et de commentaires, ça se ressent tout simplement. Il y a rencontre, fusion, vous écoutez, et vous vous repérez comme si la Méditerranée était votre petit jardin et tout ça vous parle comme une évidence. D’un bout à l’autre de l’album une cohérence et une résonance hors du commun. Vous dire mon titre préféré ? - Impossible ! La quête suscite l’écoute et l’écoute relance la quête, sans cesse sans jamais m’en lasser depuis des mois… Au fil des tranches de vie, un titre l’emporte parfois, j’avoue avoir consolé des chagrins à coups de « médication », retrouvé le calme au « fil de l’eau » et avoir chaviré sur « émotion » ! Vous dire qu’Eclat a été brillant sur ce coup serait céder à la facilité ! Aussi je préfère vous dire, écoutez et faites bien attention, car il se peut que, comme moi, vous preniez, les morceaux d’Eclat, en plein cœur !





SCORPIONS
LOVE AT FIRST STING


Le 22 Février 2013 par RAMON


Il y a bien eu un avant et un après "Tokyo Tapes" : l'avant nous présentait des albums certes imparfaits, sans réelle direction, ni production cohérente, mais son ancrage seventies parfois bordélique recelait de véritables pépites proto-metal(he's a woman, she's a man), ainsi qu'un charme certain de par ses prises de risque(fly to the rainbow).

Rien de tout cela ici, on est résolument dans l'après, le quatrième album de l'après même, d'où seul surnage Animal Magnetism, car Lovedrive et Blackout malgré quelques bons titres lorgnaient outrageusement sur la bande FM, US notamment. Déjà la pochette trop classieuse pour être honnête laisse entrevoir le pire, et le pire on y entre derechef dès l'ouverture de l'album avec des bad boys d'opérette qui n'ont de sauvage que l'odeur frelatée de leur parfum de supermarché. Loin du groupe très permanenté, l'idée d'effrayer les parents des ados qui se ruent à leurs concerts et achètent leurs disques, c'est à croire qu'ils ont inventé à eux seuls le concept du "politiquement correct".

Rock you like a hurricane enfonce le clou de la médiocrité prévisible et ultra formatée. Ce qui suit est à l'avenant, avec un Big City Nights qui ferait passer Beverley Hills pour une série subversive, un Crossfire démago comme pas possible, et puis cette horreur absolue qu'est Still living You prototype de la ballade à déconseiller aux diabétiques, où l'on croit entendre Klaus Meine chanter: "ce soir j'ai les pieds qui puent" (si, si tendez bien l'oreille, c'est à mourir de rire!)

Parlons des musiciens justement : Herman Rarebell et Francis Bucholz sont les deux punis, réduits à assurer la pompe, mais n'est pas AC/DC qui veut. Matthias Jabs, c'est un fait, n'arrivera jamais à la cheville de Michael Schenker ni d'Uli Jon Roth, faute d'inspiration plus que de technique, tous ses soli sont frelatés. Rudolf Shenker se croit lui obligé d'en jouer un de solo, sur l'horreur que vous savez et cet excellent rythmicien joue ici de façon tellement mécanique qu'on jurerait qu'il a été remplacé par un androïde . Klaus Meine enfin n'a jamais été aussi insupportable tant il surchante l'emphase et s'assoit sur toute velléité de simplicité.
Et puis il y a le gourou Dieter Dierks aux manettes qui réussit l'exploit, une fois de plus de rendre la chose encore plus abominable qu'espéré en surproduisant et sursurlignant le moindre battement de cil de ses prorogés, histoire que n'importe quel neuneu puisse assimiler jusqu'à l'indigestion ce produit qui a bien plus à voir avec le marketing qu'avec une quelconque forme d'art. A vomir!





MSG
ONE NIGHT AT BUDOKAN


Le 22 Février 2013 par RAMON


Je me souviens de ce concert diffusé à la radio à l'époque et que j'avais enregistré sur cassette (oui, oui!). Quelques mois plus tard le voilà édité en double vinyle, sans aucune retouche, je peux donc l'affirmer, puisque je possède les deux copies.
A cette période Michael Schenker est au faîte de son art, il produit des titres inspirés, puissants et mélodiques, accompagné par un groupe au dessus de tout soupçons,des morceaux bien supérieurs à ceux de son premier groupe qui à l'époque commence à dériver dangereusement vers des albums ultra-calibrés FM pour midinettes et surpassant également ceux d'un UFO en cours de dislocation. Armed and Ready annonce la couleur d'entrée, il n'y a pas de tromperie sur la marchandise! Energie et feeling à tous les étages emportent tout, portant la voix de Gary Barden vers les cimes... Et puis, il y bien sûr, évidemment la guitare en fusion de maître Schenker, présente comme aux plus beaux jours de UFO, précise,sans jamais être trop bavarde ni démonstrative, et quelque chose me dit que le "petit" Slash n'y est pas resté insensible (Attack of the mad axeman)...Cela au moment même où certains guitaristes de metal commencent à se complaire dans des exécutions (dans tous les sens du terme) de vitesse pure (n'est-ce Mr Malmsteen?), Schenker ne sombre jamais dans le ridicule ni dans la facilité d'ailleurs. Are you ready to rock? Plutôt deux fois qu'une, cet album se pose d'ailleurs très régulièrement sur ma platine et il n'a pas pris une ride.
La suite ne sera malheureusement pas à la hauteur des promesses laissées par ce témoignage, avec la séparation de ce formidable line-up, et l'avénement quelques années plus tard de l'horrible Mc Auley Shenker Group à combiner avec le caractère peu amène du Schenk en proie à de multiples addictions. En visionnant les concerts sur Youtube, on le voit trop souvent jouer en roue libre accompagné par des musiciens peu inspirés et surtout par des chanteurs à la peine.





TRYO
MAMAGUBIDA


Le 21 Février 2013 par BABAR


La chronique est pas mal et il n'y a pas grand chose à y ajouter, en revanche je ne suis pas d'accord pour les paroles.
Je ne conteste pas leur naïveté mais c'est juste que, objectivement, on s'en tape totalement en fait ! Quand j'écoute Tryo c'est pas pour entendre parler de réalisme économique. Ce sont des chanteurs, pas des politiques, leur but n'est pas un seul instant de donner une leçon de politique, juste de dénoncer un système.

Sur le reste, je te rejoins tout à fait ;)





The BEATLES
THE BEATLES


Le 21 Février 2013 par BABAR

Parti comme ça les Sonics l'ont inventé en 66 et les Kinks en 64.
On peut attribuer la création du hard rock (ou de n'importe quel autre genre d'ailleurs) à qui on veut et on aura toujours tort.


Par Forces Parallèles

Effectivement on a tous le droit d'avoir une opinion sur cet épineux sujet de la genèse du Hard Rock. Pour moi, cela se joue en 63 entre Avril ou les KNGSMEN sortent leur version de "Louie louie" et Juillet ou ELVIS sort "Little sister".

Ce qui est sur, c'est que le décès prématuré de Eddie COCHRAN aura retardé son éclosion, le riff de "Somethin else" et l'intro de "Pretty girl" dès 1958 le prouve. Eddie avait une approche sophistiquée et révolutionnaire de l'instrument pour l'époque.

Erwin





The BEATLES
THE BEATLES


Le 19 Février 2013 par RIKKIT

Euh non, ils n'ont pas inventé le hard rock je crois pas en fait, non non. Si on joue à "qui c'est qu'a été le plus bourrin avant l'autre" Blue Cheer l'a été sans comparaison avec son Vincebus Eruptum en janvier de cette même année et il en va de même pour In-A-Gadda-Da-Vida de vous savez qui sortit en Juin 68. Donc, que les Beatles soient des p***** de génies, je le veux bien et je suis le premier à le revendiquer, j'adore ce groupe. Mais rendons le Hard Rock à ses vrais géniteurs. On n'y touche pas à lui, interdit.





Antonio VIVALDI
LES QUATRE SAISONS (IL GIARDINO ARMONICO)


Le 19 Février 2013 par CéDRIC


magnifique une oeuvre grandiose les mots me manquent une de mes préférés avec le requiem de mozart , la cinquième de beethoven et le lac des cygnes de tchaikovsky





Jean-luc LENOIR
OLD CELTIC & NORDIC BALLADS


Le 18 Février 2013 par MR TINKERTRAIN


Marrant ça, on a offert ce CD à ma compagne pour les fêtes (quel bon choix de cadeau !) et je me surprends à l'écouter de plus en plus. Etant fan de musique celte et de dark ambient (Arcana et DCD surtout), je ne peux qu'adhérer au concept, à la musique et aux mélodies, assez magnifiques en fait. Bref, avec un packaging sublime, ce disque mérite la note parfaite. Voyage garanti en Avalon avec votre ami l'elfe.





Mike OLDFIELD
TUBULAR BEATS


Le 17 Février 2013 par VANQUISH


Peut-on encore croire en Oldfield après avoir écouté cet album ? Dure question, et bien que je fasse partie de ceux qui placent la sainte quadrilogie (Tubular Bells, Hergest Ridge, Ommadawn et Incantations) ainsi qu'Amarok parmi les plus grandes oeuvres des dernières années, je suis tenté d'abandonner tout espoir de revoir le véritable Oldfield. Ce Tubular Beats est un massacre de bout en bout, une insulte jetée aux visages de ceux qui rêvent sur Ommadawn et se laisse envouter par les tourbillons d'Incantations.

A oublier et enfouir au plus profond de la discographie d'Oldfield. En espérant que le prochain album studio tienne - enfin - ses promesse !





DIRE STRAITS
LOVE OVER GOLD


Le 16 Février 2013 par MR TINKERTRAIN


Il s'agit là du premier chef d'oeuvre de Prog que j'ai écouté. Quoi?!!? diront les uns, Dire Straits du Prog?!!? Et bien pour moi c'en est : les 2 pièces majeures du groupe et du Rock "Telegraph Road" et "Private..." sont là pour le prouver. Dommage que Mark Knopfler se soit embourbé dans la mélasse qu'il pond régulièrement. Comme dirait son vigoureux (et mauvais) disciple Zakk Wylde: "Hey Dude, what the fuck are you doin'???"





The WHO
TOMMY


Le 16 Février 2013 par RIKKIT


L'album regorge de compos stylées, mais sérieusement qui a déjà pris le temps d'écouter Tommy d'une traite tout en étant concentré ?
Je dit ça et j'ai seulement la réédition CD, la version LP à l'époque devait être d'un soporifique...





Mike OLDFIELD
TUBULAR BEATS


Le 16 Février 2013 par STRANGEMAN


Je n'ai rien à ajouter, excepté qu'à la suite de cette écoute, j'ai encore plus peur pour son prochain album.





TALK TALK
LAUGHING STOCK


Le 15 Février 2013 par EL PACHENKA


Finalement, je reviens sur mon avis. Je suis bien moins réceptif à cet ultime album que je considère d'un niveau en-dessous du précédent. Impossible de ne pas m'empêcher de zapper sans arrêt. Je n'y arrive pas. "Spirit Of Eden", par contre, est toujours aussi bon à passer.





KISS
MONSTER


Le 14 Février 2013 par FREDJ


Bon il est vrai que ce n'est pas avec cet album que Kiss va révolutionner la face du hard rock mais après presque 40 ans de carrière peut on vraiment leur en vouloir ?

Les hymnes et les riffs font toujours mouche, et puis moi je ne résiste pas au timbre de voix de Gene et de Paul !

Pour moi ce sera peut être la dernière occasion de voir ces légendes en concert ! Alors faites comme moi : allez les voir avant qu'il ne soit trop tard !

Morceaux préférés : back to the stone age, eat your heart out, hell or hallelujah, Outta this world et all for the love of rock'n roll !





YES
TIME AND A WORD


Le 14 Février 2013 par BARNEY


Pour ma part, c'est un album que j'apprécie énormément.
Après avoir constaté l'avis quasi-unanime des critiques plutôt en défaveur de l'album,
je m'attendais au pire, en fait j'ai plus l'impression que les gens se sont passé le mot.

Tiens j'ai aussi remarqué que l'une des mélodies de Sweet Dream (vers les 3/4) est réutilisée dans les débuts de The Revealing Science Of God de l'abum Tales From...





DISCHARGE
HEAR NOTHING, SEE NOTHING, SAY NOTHING


Le 14 Février 2013 par LATIMUS


Tout est dit dans la Kro de Red One. Cet album, c'est l'Apocalypse, ni plus ni moins. Des guitares abrasives au possible, une basse bourdonnante et que, miracle, on entend bien, une batterie rapide, punchy et sans fioritures et un chant plus qu'hurlé. C'est ultra efficace, la production, sans être léchée bien sûr, est de très bonne qualité. Les riffs sont accrocheurs et les solos sont courts mais intéressants. Bien sûr il y a eu plus extrême depuis mais en 1982 on est scotchés devant tant de brutalité. En comparaison, le reste de la discographie de DISCHARGE est un (gros) poil moins passionnant.





Paul MCCARTNEY
RAM


Le 14 Février 2013 par RAMON


Vite! Il est urgent de rehausser la moyenne de cet album Incontournable dans toute bonne discothèque qui se respecte! Des points faibles lâchés comme des os à ronger histoire de dire que la perfection n'est pas de ce monde? Allez, je vous en consens deux, qui figurant sur n'importe quel album d'un autre artiste seraient considérés comme des perles: Smile Away et Eat at home, et n'y revenez plus! Sinon comment ne pas succomber à la gniac d'un Too many people parcourus de soli incisifs, à la beauté troublante d'un long haired lady, au charme vaporeux de heart of the country, à la sinuosité de Uncle Albert/Admiral Hasley au délirant Monkberry Moon Delight, à la subtilité de 3 legs, aux choeurs beachboysiens de Dear Boy de The back steat of my car...Cet album est une cathédrale que l'on pourrait rapprocher sans frémir du Abbey road de qui vous savez!
Précisons enfin qu'il existe en version gravée sur vinyle opportunément sortie en l'an de grâce 2012 supervisée par Sir Paul himself! Mais dois-je (encore) préciser que la bonne musique ne peut s'épanouir qu'en vinyle, surtout lorsqu'elle a été enregistrée sur bande...
Ram on, give your heart to somebody soon right away...





EMINEM
THE EMINEM SHOW


Le 13 Février 2013 par ANGEL D


Avant Eminem, en rappeur blanc, il y a eu :

-Les beastie boys (un des meilleurs groupe de rap , mais la qualité était plus basé sur l'inventivité de leur musique que sur la qualité de leur flow)
- Les 3rd Bass (peu reconnu, un groupe des années fin 80 avec deux MC blanc et un DJ noir , très talentueux aussi , mais qui à vite splitté.
D’ailleurs l'un des deux MC à co-produit le 1er album de Nas, ce qui n'est pas rien ).

Et puis il y a eu aussi à l'époque le médiocre Vanilla Ice, l'équivalent blanc du tout aussi médiocre MC Hammer.

Sinon il est clair qu'Eminem est le meilleur MC des année 2000.
Un flow versatile et technique, un répertoire varié et travaillé, un producteur de choix (Dr Dre).
Qui pouvait rivalisé ?Personne à mon avis.

Nas , après un bon début, versait de la soupe commerciale, tout comme jay Z
Snoop dogg proposait des album médiocre
50 cent ne pesait pas lourd non plus.
DMX était pas mal mais moins bon.
Quand au autres : ludacris, Nelly, chingy ..tous médiocre et oublié...

"The eminem" show continue là ou "the marshall mathers lp" s'est arrêté.

"Without me" est un chef d’œuvre du hip hop
" My dad's gone crazy" est délirante avec sa fille en personne sur le morceau
"business" groove à fond.

Le ton est mélancolique et musicale sur "soldier ; "say goodbye hollywood ou encore "cleanin out my closet"
Apocalyptique, sombre, et dépouillé sur "say what you say
Sucré et pop sur hailie's song.

Parfois anecdotique avec "drips" et surfait avec "superman" ou "till i collapse"

Bref un disque varié, puissant et maitrisé à fond dans la même veine que son prédécesseur ou encore dans celui du 1er album de D12, groupe de MC avec comme leader Eminem.


Après, il est vrai que je suis devenu moins client de ce genre de rap un peu mainstream et que je l'écoute qu’occasionnellement.
Mais il est difficile de cracher dans la soupe et renier un artiste et un disque pareil.










ELECTRIC LIGHT ORCHESTRA
ZOOM


Le 13 Février 2013 par SNOWDOG


Tout comme Vassili je trouve cette chronique vraiment exagérée, Jeff Lynne fit un retour plus que probant. Dommage que l'effort ne fut pas continué, je crois simplement que cet album est sorti trop tard pour pouvoir accrocher de nouveaux auditeurs.





ICE-T
HOME INVASION


Le 13 Février 2013 par ANGEL D


Un album que j'avais il y a quelques temps jugé un peu vite, à tort.
Je l'ai réécouté et ce disque ne mérite pas la réputation qu'il se traine depuis sa sorti.

Pour rappeler un peu l"histoire, Ice T avait été viré de sa maison de disque au moment ou il allait publié ce disque.
Surement à cause de la pochette jugé "raciste " et au contenu des paroles...
Ice T avait déjà fait scandale bien avant (cop killer avec Body count par exemple ).

Du coup, "home invasion" est sorti environ un an plus tard que prévu sur un autre label et à une époque ou le rap évoluait à toute vitesse.
Résultat : l'album avait été boudé, jugé trop "old school" et avec globalement un contenu (parole et musique) moins inspiré.

D'autres artiste de hip hop à cette époque comme public enemy avait connu injustement le même sort.

En effet, Ice , ici, n'a pas essayé de copier le son " G funk" de Dr dre et de snoop doggy dogg en vogue à l'époque et c'est tant mieux .

Les sonorités sonne peut être plus daté et alors ?
Au contraire, c'est ce qui fait le charme des anciens disque d'ice T.

De plus, le son sonne ici plus rond, plus groove que "original gangsta".
Mais sinon l'album est un peu trop long , comme "O.G" , et propose beaucoup de moments fort.

"99 problems" qu'Erwin n'a pas l'air d'aimer est une tuerie même si ce titre peut provoquer des mal de crane.
Ambiance de malade et sample de funkadelic archi connu au programme.

Mais ce n'est pas grave Erwin car , "That’s How I’m Livin" est pour moi aussi un joyau.

"message to the soldier" est excellente aussi.
Le titre reste simple et dépouillé mais le flow inquiètent d'Ice T fait encore des merveille.

On a aussi "race war" ou le bassiste Mooseman de Body count est invité pour un titre énergique et accrocheur.
Watch the Ice break" fait également son effet avec ses breaks efficace.

Au final, Ice T livre encore un album très intéressent et sous estimé
La chute, ce sera pour plus tard.
.

3.5 à 3.75 arrondi à 4.









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