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Igor STRAVINSKY
LE SACRE DU PRINTEMPS (KARAJAN)


Le 04 Avril 2011 par BOLKONSKY


Un classique parmi les classique! Après quatre ans sur le site 0 commentaire c'est une honte! Les Russes prouvent une fois de plus qu'ils sont les maîtres du ballet, et Stravinski réussit l'exploit de nous faire oublier Tchaïkovski (bon d'accord, seulement pendant une demie-heure!)





Dimitri CHOSTAKOVITCH
SYMPHONIE N°5 (MRAVINSKI)


Le 04 Avril 2011 par BOLKONSKY


J'ai découvert cette symphonie grace au site, et je ne m'en remets toujours pas. La dernière partie est magistrale, on ne sait pas trop si on a affaire à une musique grandiose, à une grosse farce ou à un gros coup de déprime. Maintenant je vais être obligé de me procurer la 10 et la 8, mon compte en banque ne vous remercie pas!





MASSIVE ATTACK
BLUE LINES


Le 03 Avril 2011 par TROULULU


Cet album m'a bien piégé ... Dans un premier temps je trouvais cet album superbe et j'étais carrément tombé sous le charme de ce groupe.

Puis malheureusement, je suis tombé par hasard sur une compil "Massive Samples" avec tout les originaux des samples du premier album ... en gros tout ce qui me plaisait dans cet album a été honteusement repris ... bon je connaissais déja avant Billy Cobham avec la ligne de basse de Stratus et Lowrell avec Mellow Mellow (- "Lately") mais beaucoup d'autres emprunts c'est décevant ...

Franchement cet album ne mérite pas tout les compliments qu'on lui fait.





The CURE
DISINTEGRATION


Le 03 Avril 2011 par IEN


C'est clair ! Cet album possède une ambiance fabuleuse.

Personnellement j'adore toutes les chansons, et Robert smith possède vraiment un jeu de guitare très inspiré.

Grand bien m'a pris le jour ou j'ai acheté ce disque 15 frs dans le "CashConverter" de la rue Vaugirard !





CHICAGO
CHICAGO II


Le 03 Avril 2011 par TERRY


Grandiose, même s'il est, pour un double album, vraiment court (67 minutes). Mais il est, aussi et surtout, rempli de chefs d'oeuvre. Un des meilleurs du groupe.





The CURE
DISINTEGRATION


Le 03 Avril 2011 par SHIRIU


Le seul album du groupe que je me suis résigné à acheter. Pourquoi résigné? Parce que j'écoute principalement du Metal et du Jazz, mais étant clairvoyant sur la puissance émotionnelle de ce disque, je l'ai écouté et grand bien m'en a pris. Et puis quoi, Fascination Street et sa ligne de basse démente, Lullaby, tous les titres en fait sont nécessaires. Un must du Rock.





CHICAGO
THE CHICAGO TRANSIT AUTHORITY


Le 03 Avril 2011 par ZOZO LE COCO DE TOTO


Jazz rock ?
Qu'y a -t- il de jazz rock la dedans ?
Pour moi le Jazz Rock de l'époque c'est Mahavishnu Orchestra, Return To Forever, Billy Combham, Chick Corea, Soft Machine, Gong, Wheater Report ...

Dans cet album je repère bien le rock mais où est le jazz ? les accords typique du jazz ? les rythme tordus, les ligne de basse délirante, les solo de claviers, guitare, cuivre déments ?
Cet album sonne tellement rock j'ai même pas envie de dire que c'est du funk... à la limite Blood Sweet and Tears, mais Chicago est beaucoup trop "rockeux" pour y ajouter un autre style... même s'il y a des cuivres...


Par Forces Parallèles

Cher lecteur,

Tu as tout à fait raison.
J'ai classé le groupe comme tel car j'ai instinctivement mélangé les deux styles dans le même mot, sans savoir que cela définissait un style tout à fait différent, ou en tout cas, très éloigné de l'aspect rock de l'album.
Je m'excuse donc pour cette erreur qui n'est due qu'à ma piètre connaisance du Jazz et ses dérivés.
Le terme "Rock-Band" que j'emploie dans la chronique conviendrait mieux, du coup.

Très amicalement,

Mastcard





The CURE
SEVENTEEN SECONDS


Le 02 Avril 2011 par BENNETT


Une vraie référence de la cold wave et aussi l'un des trois meilleurs albums du groupe. A vrai dire, j'ai parfois du mal à choisir entre Pornography qui est plus abouti et ce disque plus spontané, pour le placer sur la plus haute marche de mon podium perso.

Après un album sympatoche mais qui sentait l'amateurisme, place à un univers glacé, froid et mécanique (les beats sont présents sont tout l'album comme un leitmotiv) qui façonne d'emblée le style du groupe même s'il ne feront plus d'album aussi minimaliste sur la forme car mis à part les beats et la basse, les autres instruments sont plutôt discrets. Mais c'est justement ce refus de la mélodie et du son propre à tout prix que j'apprécie sur ce disque même s'il comporte son lot de tubes notamment Play for Today et surtout le légendaire A Forest dont je ne me lasse jamais.






The CURE
BLOODFLOWERS


Le 02 Avril 2011 par BENNETT


Pour moi, le dernier baroud d'honneur de la bande à Robert Smith.

Un album qu'on doit apprendre à aimer, à en saisir ses nuances un peu comme un Pornography en son temps, pour preuve il m'a fallu bien des années avant de l'écouter dans son intégralité. Difficile d'accès donc, car le son est radicalement différent de ce qu'ils nous avaient habitué, exit les tubes taillés pour la radio, place à des sons étirés à l'extrême (Watching me Fall et ses onze minutes au compter !) où Smith se livre comme il ne l'avait plus fait depuis.....Disintegration ! Au final, on se sort de ce disque lessivé, quelque peu blasé mais c'est voulu.

Je voulais mettre 4 mais le fait qu'il passe les années avec brio mérite aisément qu'on rehausse la note.






DEEP PURPLE
IN ROCK


Le 01 Avril 2011 par DARK SCHNEIDER


In Rock est un album un peu problématique pour moi.

Il est évidemment d'une importance considérable dans le dévelopement du hard rock et du heavy metal. A mon sens, peut-être encore plus que Led Zep et Black Sabbath : le chant de Ian Gillan est puissant, agressif, et suraigu, il inspirera nombre de futurs chanteurs de heavy et de hard (Bruce Dickinson en tête). Et les duels instrumentaux virtuoses entre Ritchie Blackmore et Jon Lord inspireront de nombreuses paires de gratteux. Que dire aussi de la rythmique ultra heavy de "Hard lovin' man"?

L'album démarre en trombe, avec le génial "Speed king", le peu finaud mais très efficace "Blood sucker"; et bien entendu le légendaire "Child in time". Ce dernier est vraiment un titre étonnant : fait de bric et de broc que l'on retrouve chez d'autres artistes (Beautiful Day, Wishbone Ash...) il n'en demeure pas moins un titre grandiose et exceptionnel.

Seulement voilà : la suite est nettement moins intéressante. "Flight of the rat" est un morceau raté, peu maitrisé, aux lignes de chant horripilantes. "Hard lovin' man" prend rapidement la direction d'un jam, certes puissant, mais musicalement peu intéressant. Reste "Into the fire" et "Livin wreck", 2 morceaux sympathiques mais pas non plus exceptionnels. Et quoi qu'on en pense "Black night" ne fait pas partie de l'album. Bref, passé les trois premiers titres, In Rock ne propose plus rien d'exceptionnel. L'album manque d'homogénéité qualitative et au final ne s'avère pas tant supérieur que cela au 3ème opus éponyme.

C'est pour cela que je ne parviens pas à lui mettre la note maximale. Malgré l'apport conséquent de Ian Gillan et Roger Glover, et les trois classiques d'ouverture. Mais ce line-up là sortira son véritable classique 2 ans plus tard, avec le fameux Machine Head, un album parfait du début à la fin.





SCORPIONS
ANIMAL MAGNETISM


Le 31 Mars 2011 par AUDREY


Animal Magnetism n'est pas un de mes albums favoris mais en buvant les lignes de mon chroniqueur préféré, je ne peux qu'avoir envie de m'écouter cet opus.
Merci Gegers de me faire redécouvrir cet album avec une nouvelle oreille, bien plus affutée à présent ;)






David BOWIE
1. OUTSIDE - THE NATHAN ADLER DIARIES : A HYPER CYCLE


Le 30 Mars 2011 par BENNETT


Outside ou quand David Bowie se veut créateur d'univers.

Le Bowie des années 90 est underground et inaccessible donc intéressant. Il n'a plus envie de faire marcher le tiroir caisse (du moins c'est ce qu'il dit) et veut s'essayer d'autres sons, si Black Tie laissait présager une prédisposition pour la dance music, c'est finalement la musique industrielle qu'il choisira pour ce Outside sans concession.

Primo, retour au concept-album avec une trame, celle du détective Nathan Adler que l'on suivra tout au long de l'album. Secondo, la structuration des morceaux est à mon sens régulièrement pompeuse avec un son atmosphérique qui ne sied pas aux cordes vocales de Bowie, les seuls morceaux qui parviennent à tirer parti de ses facultés vocales sont ceux qui ont un minimum de "corps" autrement dit ceux que l'on peut écouter en dehors de l'album, les réussites We Prick You, Hallo Spaceboy ou I'm Deranged. Tout le reste m'ennuie, sent trop l'arty et me laisse à penser qu'il a voulu trop en faire.

Intéressant mais beaucoup trop long et plutôt avare en pépites alors que le son electro jungle qu'il a choisi dans les titres que j'ai cité est juste parfait pour lui ! Heureusement qu'il se réveillera avec un Earthling du feu de Dieu deux ans plus tard !





GENESIS
INVISIBLE TOUCH


Le 30 Mars 2011 par BENNETT


L'album de tous les tubes, celui qui fut ma porte d'entrée vers ce groupe au parcours singulier.

Très proche au final des albums solos de Collins, ce qui explique pourquoi je l'apprécie autant, il souffre néanmoins de la comparaison avec les précédents albums qui dégagent une certaine poésie, ici on est dans l'efficacité pure, on fait de la pop mais de la bonne avec des refrains enjoueurs et des synthés cotonneux (In Too Deep, maaagnifique....) on a bien un ou deux titres plus complexes mais ils ne représentent qu'une infime partie de l'album.

Ils ont voulu toucher le grand public, ils ont réussi leur pari haut la main !





GENESIS
ABACAB


Le 30 Mars 2011 par BENNETT


Ayé, j'ai enfin pris mon courage à deux mains pour écouter cet album polémique et je dois admettre que je fais partie des conquis.

Qu'on puisse ne pas aimer l'orientation musicale empruntée soit, mais il est difficile de trouver cet album niais ou même dépassé, je trouve même qu'il est plutot soft au niveau des arrangements éléctros avec une prédominance de la batterie où Collins donne le rythme sur tous les titres avec énergie. Je regretterai juste qu'il manque parfois de génie, mais bon difficile de garder un tel niveau d'excellence en enchainant aussi vite les albums et puis l'esprit Genesis est toujours là avec une dimension prog plus ou moins diffuse.

De vrais bons morceaux (Me and Sarah Jane, Man on the Corner ou Dodo/Lurker), d'autres plus anecdotiques, voilà pas de quoi crier au disque honteux.

3,5/5





DEEP PURPLE
IN ROCK


Le 29 Mars 2011 par TERRY


Grandiose !!!!!





DEEP PURPLE
IN ROCK


Le 28 Mars 2011 par LK


Il y a une erreur, Black Night fait partie des bonus, à l'origine In Rock se termine par Hard Loving Man (ce qui paraît logique). D'ailleurs c'est dit dans un interieux (?) que Black Night avait été créé à la va-vite sur un tube des Blue Magoos parce que leur producteur voulait quand même qu'il y ait un hit pour la promo de l'album.
Ils avaient complètement tord de faire ça à l'époque parce que ces groupes géants des 70s' comme Genesis, Yes, Deep Purple, Led Zep, Floyd etc sortaient aussi des singles hors albums mais qui sont maintenant complètement oubliés, comme Happy The Man pendant la session de Nursery Cryme de Genesis. C'est un peu oublié et le mettre dans l'album n'aurait pas eu de sens ...

Ceci dit très bonne chronique (doublon mais on s'en fout ça permet d'avoir deux avis "retravaillés" de certains albums ce qui est rare sur des sites comme FP/NIME)...





SCORPIONS
TOKYO TAPES


Le 28 Mars 2011 par CLEM

Pour ma part, au contraire ! je trouve très plaisant et amusant même amusant de lire deux chroniques différentes pour un même album. Une du point de vue d'un "pur métalleux" et l'autre d'un "moins métalleux" si je peux m'exprimer ainsi !





YES
FRAGILE


Le 27 Mars 2011 par ATP


Fragile est mon album préféré de Yes, c'est celui qui pour moi a le moins vieilli et qui s'écoute le mieux, tant au niveau du style que des compositions, à la fois riches et tout à fait accessibles. Incontournable pour découvrir Yes, et incontournable tout court !





YES
FRAGILE


Le 27 Mars 2011 par TERRY


Un des meilleurs crus de Yes !





IGORRR
NOSTRIL


Le 27 Mars 2011 par PAURA ALLA SCALA


Qui est le plus fou? Igorrr, le chrrroniqueur, moi?

Igorrr, sans doute. Il fallait oser le mélange baroque et électro cinglée; c'est fait, et bien fait. Je trouve même qu'au-delà du gros délire, il y a parfois une pointe de sensibilité et de mélancolie chez M. Serre, la faute aux choeurs, peut-être.

Il n'y a rien à reprocher à Nostril, sauf sa pochette hideuse, mais c'est fait exprès.







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