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VANGELIS
HEAVEN AND HELL


Le 01 Mars 2013 par MR TINKERTRAIN


Mon dieu que ça a mal vieilli... A part le theme from Cosmos (assez excellent) et So Long Ago avec Jon Anderson (qui a une voix pas terrible en fait), le reste est relativement inécoutable, dissonant à l'oreille. Ah si... Il y a une belle montée de choeurs sur le titre Aries... qui dure 2 minutes...





KISS
LOVE GUN


Le 01 Mars 2013 par LEO


Je ne serai pas aussi enthousiaste que TOMTOM pour ce qui est de cet album que je trouve en demi-teinte, tant au niveau des compos (plutôt moyennes dans l'ensemble) que du son, axé principalement sur les médiums et manquant de chaleur (c'est particulièrement flagrant sur les criards "I Stole Your Love " et "Love Gun").
Eddie Kramer est pourtant toujours aux manettes (comme sur l'album précédent) mais pour moi la magie de "Rock And Roll Over" a disparu.
"Tomorrow And Tonight", "Plaster Caster" et "Then She Kissed Me" sont les 3 titres que je zappe systématiquement, tant je les trouve exécrables!
"Got Love For Sale" et "Almost Human" ont un bon riff et démarrent plutôt bien, mais hélas elles tournent assez vite en rond et peuvent facilement lasser.
"Shock Me" le 1er morceau chanté par Ace, se révèlent finalement moyen et pas très palpitant en comparaisont de son futur "Rocket Ride" et de son 1er album solo.
En revanche, j'apprécie plutôt le "Hooligan" de Peter Criss, même s'il est vrai que ce titre est d'une extrème banalité.
Bilan donc très mitigé en ce qui me concerne. l'album n'est pas mauvais mais pas réussi non plus et on sent que KISS a poussé à bout sa formule bien rodée et que le groupe est un peu dans une impasse artistique en cette année 77. il faudra donc du changement quitte a perdre quelques fans (et en gagner de nouveaux).
Désolé TOMTOM, mais pour moi "Love Gun" rime bien avec "No Fun" !





LED ZEPPELIN
CELEBRATION DAY


Le 01 Mars 2013 par RAMON


Evidemment l'événement organisé en 2007 à l'O2 de Londres à l'occasion de concert en hommage à Ahmet Ertegun président de la firme Atlantic décédé un an auparavant a fait l'effet d'une bombe dans le landernau rock et bien au delà: Led Zeppelin, ou le retour du dinosaure le plus imposant et le plus sulfureux des seventies allait (enfin) offrir à la planète ébahie un véritable show!!!
Passons rapidement sur les prestations écourtées et catastrophiques offertes par le trio survivant au Live Aide et à l'occasion des quarante ans d'Atlantic Records, il eut bien mieux valu qu'elles n'eussent jamais lieu!
Par contre, pour ceux (dont je fais partie) qui avaient eu l'occasion d'aller applaudir le duo Page/Plant en concert à la fin des années quatre-vingt dix, cette reformation inespérée laissait augurer de belles promesses.
Fin 2007 une mauvaise nouvelle tombe, Jimmy Page se fracture un doigt peu avant le show initialement prévu le 26 novembre 2007, la poisse...Le concert a finalement lieu le 10 décembre.
Il faut tout de même attendre 5 longues années pour que la prestation captée ce soir là soit enfin disponible à l'ensemble du monde, soit pour les 19 millions 980 mille fans qui n'ont pas été tirés au sort et tous les autres qui n'ont pas participé à la loterie.
5 ans un temps très long pour vous mais très court pour Led Zeppelin, résumera laconiquement John Paul Jones.
And so? Was it Worth? Of course (à pieds)!
Jimmy Page s'est érigé en gardien du temple depuis fort longtemps et il veille à ce que chaque sortie soit d'une qualité au-dessus de tout soupçon, pas question de ternir la légende du dirigeable après les lamentables épisodes d suscités plus haut! Le son est ENAURME comme il se doit, pachydermique même.
J'ai bien lu ça et là des réserves émises sur sa production...eh, les gars, oubliez le 5.1 sur le DVD, ça sépare tout et ça gâche la cohésion, repassez au Dolby PCM, vous entendrez la différence. La version CD est super, quant à celle en (triple) vinyle...quel pied!
On peut aussi gloser sur ce qu'il n'y a pas et je ne vais pas m'en priver: La p*** de partie acoustique!!! Où sont passés les Tangerine", "That's the Way" et autres "Going to California" irrémédiablement suivis par un "Gallows Pole" de feu qui jadis ramenait l'électricité ?
Un seul titre du Led Zep III...pourtant l'album s'appelle bien Celebration day?
Bon on peut comprendre que Percy ne veuille plus s'époumoner sur Immigrant song, mais Gallows Pole, il la chante à chacun de ses concerts solo.
Malgré tout force est de constater que malgré quelques défauts mineurs (le groupe peine à se lâcher sur les premiers titres, Plant est à la ramasse au moment du refrain de Good Times, Page, peut-être encore handicapé par son accident préfère assurer, pour assurer, il assure!...), c'est à une prestation de haute volée qu'on assisté les spectateurs de l'O2 ce soir là: Trampled Underfoot, No Quarter, The song remain the same, Misty mountain Hop, Whole lotta love, Rock'nroll, sont autant de tueries...et que dire de ce Kashmir absolument Impérial?
Alors bien sûr tout le monde s'attendait à la suite, c'est à dire à la tournée des stades du monde entier afin de faire partager l'expérience avec les fans qui recouvrent la planète, et puis non...
Robert Plant dans le rôle du "bad guy", n'a pas tardé à faire savoir qu'il était déjà investi dans son projet avec Alisson Krauss, et lui a donné la priorité. Franchement après avoir vécu leur concert magique donné au Grand Rex en mai 2008, je me suis bien gardé de lui jeter un quelconque projectile. Quelques grammys récoltés (et amplement mérités) plus tard et c'est même la profession qui s'est rangée à son avis. Ensuite ce fut l'(encore) excellent Band of Joy qui accaparait son planning.
Pendant ce temps, Page, Jones et Bonham fils, faisaient des essais avec Steven Tyler ou Myles Kennedy, histoire de donner une suite à l'histoire mais choisirent raisonnablement de laisser tout cela dans les cartons, alors que Jones partait rejoindre Them Crooked Vultures.
Janvier 2013, Robert Plant est interviewé par une journaliste australienne qui finit par lui reprocher d'avoir fait capoter la reformation des ex dieux des stades, et que lui répond notre affable bonhomme? Qu'il n'a rien de prévu en 2014!!!
Nom d'une pipe, serait-ce...possible?





Bob DYLAN
TEMPEST


Le 01 Mars 2013 par BAYOU


Pour revenir sur ton analyse RAMON, bien sur que Dylan passe aussi par la case promo via une longue interview à Rolling Stone US, par contre, il répond surtout à un besoin, une curiosité des fans et…des journalistes.
Quand on lit les bouquins, les essais écrits sur lui, on se dit que la légende est nourrie de ceux-ci, lui il est quand même plutôt passif. D’ailleurs la lecture de ses mémoires, qui sont, de son point de vue, destinées à la postérité remet plusieurs choses à leur place, même si là également, on ne peut pas négliger la possibilité de manipulation.
Tu as raison de souligner que chacun s’approprie Dylan, en y incluant ses préférences, sa compréhension du bonhomme, sa propre histoire.
Pour la comparaison entre «avant et maintenant», je suis d’accord que Oh Mercy est plus important que Tempest, tout au moins dans la vision de l’œuvre que nous en avons aujourd’hui (j’ai d’ailleurs fait une chronique de Oh Mercy qui est en attente de publication et qui tente de répondre à une question posé par un autre internaute : pourquoi on dit que c’est un chef d’œuvre?
Pour terminer, certes la citation « si la légende dépasse la réalité, imprimez la légende » a du sens mais surtout pour ses débuts quand il inventait des histoires pas possibles sur son enfance etc.., maintenant je dirais qu’il est plus « dans le réel »
Au plaisir de te lire, ton approche est particulièrement intéressante.





Bob DYLAN
TEMPEST


Le 28 Février 2013 par RAMON


Waoutch... Le retour de service !
Bien joué Bayou !
Cependant à la relecture de mon commentaire, seul le terme "d'imposteur" me disconvient, manipulateur eut été bien plus convenable, car moins connoté et couvrant un spectre bien plus large concernant la vie et l'oeuvre du Zimm. Je m'explique : comme toi, je suis un grand fan de cet artiste bien au-dessus du lot comme tu le rappelles à juste titre, mais reconnais qu'à chaque fois il excelle aussi dans l'art de faire couler de l'encre sur sa personne au moment opportun, comme lors de la sortie de ce nouvel opus.
D'autre part il n'est pas tout à fait exact de dire qu'il ne "commente plus les affirmations sur son compte" ; je le cite : "J'avais en tête de faire un album religieux... cela demande plus de concentration qu'il n'y en a sur la version finale".
Un peu plus loin, à propos de sa "transfiguration" (concept hermétique donc assez peu compréhensible : Dylan fait le lien entre un homonyme décédé lors d'un accident de moto en 1961 et lui même après son propre accident en 1966 ): "quand vous me posez certaines questions, vous les posez à quelqu'un qui est mort depuis longtemps"... et il ajoute : "et les gens se trompent sur moi depuis tout ce temps" (ce qui est probable puisque tu viens de me le rappeler).
Quand Dylan affirme ceci, il fait imprimer sa propre légende par le Rolling Stone US, magazine musical de référence bien connu, c'est très fort, excellemment bien joué même...
Dylan se raconte sur cet album : "Mes chansons sont personnelles, elles ne sont pas vouées au collectif", explique-t-il par ailleurs.
Alors oui, chacun se raconte son Dylan personnel, c'est justement de là que vient la puissance évocatrice d'une oeuvre véritable, cela va bien au-delà des mélodies et des mots contenus dans un disque. Un album est porteur d'un contexte, mais aussi de ce que les Anglais appellent le "background" de l'oeuvre, mélange d'histoire, d'inspiration et de chaos, de fantasmes aussi... Peut-on évoquer un chef-d'oeuvre comme le "Sergent Peppers" des Beatles à la stricte évocation de son contenu ?
Tu n'y échappes pas en faisant référence à Rimbaud et Guthrie,en reliant "Long and Wasted Years" à Suze ou Sara.
Au passage, le terme que j'ai employé de "septième corde de guitare" est une image utilisée par Suze elle même.
Tu regrettes que l'on étalonne les disques du barde du Minnesota sur ses productions sixties (au passage ce n'est pas celles qui me venaient à l'esprit, mais plutôt: Oh! Mercy), pourtant tu évoques le titre "Tempest" en citant "Desolation Row" issu du "Highway 61".
Ce qui est formidable avec Dylan, c'est qu'il nous permet de gloser pendant des heures sur ce qu'il produit,et puisque l'on parle de production, j'avais omis de préciser que Jack (et pas Jake : pan ! sur mes doigts) Frost aka Bob Dylan avait réalisé un formidable boulot de mise en son sur cet ouvrage. Par contre je maintiens que les mélodies ne sont pas renversantes, d'ailleurs tu l'admets implicitement en qualifiant ce travail "d'habillage" pour la (fabuleuse) voix du maître.
C'est justement là où le bât blesse, sur ce disque, et selon moi cela n'a rien à voir avec l'âge du capitaine et sa capacité ou non à pondre de nouveaux chefs-d'oeuvre, mais avec son envie d'y parvenir. Toutefois, je te concèdes ceci : Dylan possède cette faculté de produire des albums qui se bonifient avec le temps, rien n'indique que ce ne sera pas le cas de celui-ci, on peut le souhaiter mais aujourd'hui je me contente (peut-être à tort, ma femme, elle l'adore) de penser que si Dylan est un artiste bien au-dessus du lot, son album Tempest ne l'est pas (et dans roue libre, il y a "libre").

Je finirai en reprenant la citation:"si la légende dépasse la réalité, imprimez la légende". Elle est extraite du merveilleux film de John Ford "L'homme qui tua Liberty Valance", qui est une allégorie sur la construction de l'identité américaine à travers le prisme d'un fait divers.Je l'ai choisie car selon moi, elle est une belle introduction à l'oeuvre Bob Dylan, qui n'a cessé d'utiliser ce procédé pour bâtir son oeuvre, souvent pour le meilleur.
Au plaisir de te (re)lire au fil de chroniques que je découvre sur cet excellent site.





SANTANA
SHAPE SHIFTER


Le 28 Février 2013 par TERRY


Certes meilleur que "Guitar Heaven" et "All That I Am". Néanmoins vraiment raté, ce disque.
Et c'est vrai que, visuellement parlant, on croirait une compilation faite à la va-vite. Entre l'épaisseur ridicule du livret, le lettrage au dos du boitier, la photo... ça fait cheap. Ca n'aide pas !





DIRE STRAITS
ALCHEMY


Le 27 Février 2013 par BAYOU


Un peu dur RAMON ta critique.
Dire Straits n'a jamais cherché à faire du heavy rock, mais des compositions bien léchées, bien jouées.
D'autre part, tous les cadres dynamiques écoutaient Pink Floyd ou Dire Straits sur des sonos hors de prix.
Est-ce pour autant que ces groupes sont mauvais?
Ce live, est un bon résumé de la première partie de carrière, il est conforme aux prestations du groupe sur scène, (moi j'ai vu personne s'endormir à un concert de DS mais bon) et les grands standards du groupe sont magnifiés par la scène.






CREEDENCE CLEARWATER REVIVAL
THE CONCERT


Le 27 Février 2013 par RAMON


Possédant une version vinyle récente de cet album, je ne retrouve pas les défauts pointés par MASTCARD, le public est bien présent, on l'entend clairement entre les morceaux et parfois pendant, le son n'est absolument pas coupé entre tous les titres non plus,chacun arrivant à plein volume, les choeurs sur down on the corner ou sur who'll stop the rain sont bien audibles, même s'ils ne sont pas mixés devant (après tout ce sont des "backings" comme disent les ricains).De même on distingue parfaitement tous instruments sur le final de Keep on Chooglin', avec le public qui rugit avant la fin du morceau...au final pas de doute c'est bien d'un live qu'il s'agit, un excellent live même, à mille lieu du "Live in Europe" alors que le quartette était devenu trio et qui pour le coup pâtissait d'un son épouvantable.
Il est donc probable que l'ouvrage ait été retravaillé depuis sa sortie en 1980, peut-être a-t-on tenu compte en haut lieu de cette chronique de MASTCARD dont la sincérité ne fait aucun doute !


Par Forces Parallèles

Effectivement, cher Ramon, j'ai écouté ce concert sur un CD, sans doute re-masterisé (je n'ai pas fait attention sur le coup). Je suis d'autant plus gêné car cette chronique ne rend du coup pas hommage à ce concert qui devait être infiniment plus palpitant vu votre appréciation...
C'est une énigme que je m'engage à résoudre dès l'acquisition d'une platine.
Bien à vous et merci pour votre commentaire.
Mastcard





DIRE STRAITS
ALCHEMY


Le 27 Février 2013 par RAMON


Dire Straits ou la véritable "grande escroquerie du Rock'n'roll" en live, cela donne ce témoignage poussif où rien ne dépasse, tout est hyper propre, lave plus blanc que blanc, a la couleur du rock mais n'en est pas et ainsi de suite...
Once upon the time in the west , soit...on attend encore Charles Bronson & Co, pas de sueur, ni de tronches pas rasées, encore moins de poussière. Romeo and Juliet, OK mais là encore Capulet et autres Montaigu n'ont rien à craindre, la patrouille veille, bonne nuit les petits, d'ailleurs mon voisin baille à s'en décrocher la mâchoire...Private investigation un peu loin et il est plongé dans un comas profond..c'est à ce moment que je lui mets un coup de coude, y'a Sultan of Swing qui commence et là ça va déménager! Il fait mine d'entrouvrir les paupières mais l'ensemble est tellement mollasson qu'il les referme aussitôt, et puis sur scène il y a bien un guitariste blond fort bien coiffé qui s'agite mais on peine à l'entendre, les autres font tous la gueule et puis Knopfler est impayable avec son look à la Mac Enroe...balles neuves!
Tunnel of Love, c'est votre dernier mot? Pas mieux!Déboule (enfin, façon de parler) Telegraph road, un des pourtant bon titres de la knopfler Company, qui vient rappeler que finalement c'est mieux en studio avec un producteur qui sauve les apparences et insuffle un semblant de pêche à l'ensemble; Solid Rock n'a de rock que le nom et le thème de Local Hero fait office de générique de fin comme une délivrance après le visionnage d'un film d'"auteur" branché ultra prétentieux. Bon il va falloir que je secoue mon voisin maintenant, en même temps c'est lui qui tenait à me montrer la VHS de ce Live...
Dernière anecdote, il y a déjà fort longtemps (once upon a time, donc..); lorsque je demandais à un type bien propre sur lui quelle musique il écoutait, il me répondait:"tout sauf le hard"...oui, mais quoi? Bah...Dire Straits...La Bobosphère peut dormir tranquille.





GBH
CITY BABY ATTACKED BY RATS


Le 26 Février 2013 par JEF DE LA LUNE


Un album culte, sorte de chaînon manquant entre Venom et les Sex Pistols, qui comporte son lot de classiques. Seule la production que je trouve brouillonne (j'évoque ici la version CD remastérisée) est à regretter.





Jacques HIGELIN
HIGELIN à MOGADOR


Le 25 Février 2013 par RAMON


Un des tout meilleurs live qu'il m'ait été donné d'écouter, Indispensable, margé les longueurs (Paris New York...apocalyptique!) Vive la France!





A PERFECT CIRCLE
THIRTEENTH STEP


Le 25 Février 2013 par RAMON


Excellent album, qui m'enchante de bout en bout, Josh Freese est énorme à la batterie, et Maynard...quelle voix! En live c'était tout simplement magique! cependant il y a erreur sur le line-up, si James Iha est bien crédité en tant que membre de ce collectif, c'est Troy Van Leeuwen qui joue sur ce disque.





DEAD CAN DANCE
ANASTASIS


Le 25 Février 2013 par LE STO


En effet, en étant plutôt Perry, je m'accorde pour dire que c'est album est bien mais moyen. Avec l'âge on se dit que c'est surtout un joli cadeau qu'on n'avait jamais vraiment espéré, ayant fait un peu le deuil du groupe. Alors autant bien le prendre.

Je suis juste en désaccord avec votre avis sur "Return of the She-King" qui pour moi est le meilleur titre de l'album, un futur incontournable vu que le groupe est parti pour tourner pendant au moins 12 ans...





TOTO
FALLING IN BETWEEN


Le 24 Février 2013 par PHOTOHALL


Exactement, parler d'album de maturité pour un groupe comme Toto c'est complètement absurde. Vu le niveau des membres du groupe, ils étaient déja matures dés leur premier album, maintenant c'est clair qu'on peut pas être au top tout le temps et ce groupe là a connu des sommet comme pas mal de creux aussi.
Cet album est plutôt un album coup de chance, car maintenant Toto fait partie des groupe 70's et 80's produisant encore pour ses fans et ayant acquit une certaine ancienneté.
Maintenant parler du plus aboutit est un peu déplacé quand on pense au "IV", "7th One" ou le premier ...
Je trouve les voix originales des Simpson pas si terribles que j'aurai pensé, pour certain c'est pas mal, Homer, Marge, les enfants, mais quand on entend la voix de cul de Krusty le Clown, c'est vraiment de la merde, Apu est plus marant en train de baragouiner un anglais à sa façon c'est mieux que la VF mais Burns je la préfere franchement ne VF, avec une fois nasale et fine, qui va mieux pour un type à long nez crochu que la voix originale ne faisant pas cruel du tout.
C'est d'ailleur étonnant pour une version originale ...





DEAD CAN DANCE
ANASTASIS


Le 24 Février 2013 par MADARKA


Emphatique, pompeux, souvent à la limite de l'auto plagiat, Anastasis est l'exemple type du disque qui, artistiquement, n'apporte rien dans le parcours d'un artiste. Si bien entendu, on exclut l'aspect financier de la question...





Bob DYLAN
TEMPEST


Le 24 Février 2013 par BAYOU


RAMON, tu fais exactement ce que tu reproches à DYLAN.
Tu te racontes une histoire, ton histoire de DYLAN, avec tous les fantasmes classiques.
La légende surpasse la réalité ? Et les concerts d'un bout à l'autre du monde sont virtuels?
DYLAN depuis très longtemps, ne commente plus les informations et les rumeurs sur son compte, il fait juste ce qu'il a envie, de toute façon il est en même temps la légende et la réalité.
Après, c'est évident qu'il ne fera plus un nouveau Blonde On Blonde ou Higway 61, mais sommes-nous obligés d'étalonner tous ses disques sur ces bases?
Et DYLAN même en roue libre, ce qui par ailleurs reste à démontrer, demeure quand même au dessus du lot.





DEAD CAN DANCE
ANASTASIS


Le 24 Février 2013 par MAITRE KUROSAWA


Deja la pochette est magnifique. Pour moi il s'agit là de leur meilleur album. La raison principale étant que DCD s'est orienté cette fois vers des horizons electro et Dark Ambient majestueux. Auraient ils écouté Arcana? Du reste la production est devenue juste énorme et donne une puissance émotionnelle à ce disque assez forte, avec en plus un charme oriental qui imprègne l'ensemble des titres. Une oeuvre inclassable et intemporelle.





MSG
ONE NIGHT AT BUDOKAN


Le 24 Février 2013 par RED ONE

@ RAMON :

Merci merci, après je ne sais pas si tu as vu, mais ce n'est pas moi qui chronique le MSG, hein ... ^^





MSG
ONE NIGHT AT BUDOKAN


Le 23 Février 2013 par RAMON

@Red One Le problème du Mc Auley Shenker Group, c'est que les ai vu à bercy en première partie de Def Leppard et c'était franchement pathétique, ce que j'ai entendu par la suite n'a pas corrigé cette impression initiale. Sinon total respect pour tes chroniques.





Bob DYLAN
TEMPEST


Le 23 Février 2013 par RAMON


Bob Dylan grand manipulateur, a compris ceci de l'Amérique: "si la légende surpasse la réalité, imprimez la légende". Ce principe, il l'applique à la lettre sur le très long titre éponyme en narrant sa vision de la tragédie du Titanic. Mais la légende qui est racontée ici, c'est tout même plus celle du Zim devenu légalement Dylan, laissant courir toutes sortes de rumeurs sur ses origines et ne démentant jamais les plus épiques, voire même les entretenant auprès de ses proches. Ce qui froissera beaucoup Suze Rotolo sa muse italo-américaine convaincue d'avoir affaire à un gosse fugueur, initié au blues par d'obscurs autant que mythiques musiciens noirs, parti sur les traces de Rimbaud et de Woodie Guthrie. Dylan est un imposteur, un imposteur de génie auquel on pardonne beaucoup, mais un imposteur quand même, et il s'en délecte, un peu trop parfois...comme ici.
Suze a mis les voiles depuis très longtemps, refusant d'être la septième corde de la guitare de son amoureux mais a permis à Bob de devenir le songwriter que l'on sait, probablement le meilleur parolier du siècle dernier, le dernier prophète encore vivant (les autres: Lennon, Marley, Morrison et même Cobain ne sont plus): une légende, on y revient donc...
Dylan sur cet album très loin d'égaler ses chef-d'oeuvres passés, choisit donc délibérément d'imprimer la légende, recycle le riff du Manish Boy façon Muddy Waters, pond des titres à partir de boucles, tantôt country, tantôt folk en épiçant le tout de blues et chante avec une voix d'outre tombe, seule démarche ouvertement sincère dans l'interprétation de cet album: Dylan ne ment pas sur son âge.
Et puis comment ne pas mentionner Jake Frost, le producteur....Qui n'est autre qu'un (énième) avatar de Bob Dylan: au moins celui-là ne risquait pas demander à son turbulent poulain de s'appliquer un peu plus dans la conception des mélodies de son album, pourquoi donc rappeler le bien moins malléable Daniel Lanois?
Alors avant parution, on laisse courir une rumeur de plus: Le nouveau Dylan sera mystique, voire religieux! Eh puis non, trop fatigant et dans un sens ça vaut mieux notamment quand on se rappelle du naufrage de Saved, autant éviter deux Titanic sur un même album, Roll on John, and no religion too...
En résulte une collection de chansons paresseuses, d'où émergent (que d'eau, que d'eau!) Duquesne Whistle, single pas vraiment représentatif du reste de l'album et ce malgré tout très réussi Tempest, mais comme on est chez celui qui est passé maître de l'illusion, on se laisse bercer et on pardonne cette imposture...une fois de plus!
Conclusion: Un Dylan en roue libre qui se moque des temps qui changent. Note réelle 2,5







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