Je vous voir venir : « le vieux Erwin, il craque pour miss PERRY, il en peut plus de baver devant ses petites tenues sexy et ses moues aguicheuses »… Ouais bin je ne vous le fais pas dire ! Mais suite aux dernières aventures pseudo discographiques de la brunette aux yeux de glace, un doute s’est subitement infiltré dans mon esprit quelque peu embrumé par les décolletés et autres mignonneries de la jeunette. Se moquerait-elle de nous par hasard ? Si on enlevait les tonnes de fard et ses jolies boucles à la Heddy Lamarr, que resterait-il de Katy Perry ? Ha bah ouais, Katherine Hudson... Petite américaine lambda aux jolies formes mais… Sans plus, non ? Le produit est manufacturé de bout en bout, non ? Sa voix est potable mais pas de quoi en faire un foin, non ?

Alors quand ce « Roar » déboule dans toutes les émissions de télé racoleuses from the states, je regarde, j’écoute, j’étudie… Ouais je me contrôle ! Parfaitement ! Vous en reviendez pas, pas vrai ? Et, tel un Dalaï Lama parfaitement stoïque devant les charmes de Katy –Z’avez vu l’exploit mythologique les gars ? -, j’ai enfin la capacité de juger sur pièces la zique de la miss.

Bon, c’est calibré, c’est fun, c’est très très américain tout ça. La chanson est simpliste, pas vraiment d’intêrèt si ce n’est que les tenues de Katy… !!! Aaarggh ! Vade retro Satanas ! On a dit qu’on parlait pas de sexe par ici ! D’ailleurs son papa, ce digne évangéliste californien l’a lui-même appelé « Devil’s child », ouais comme les vilains méchants metalleux pas beaux de JUDAS PRIEST. Mais je serai fort… Je ne regarderai pas pour la centième fois ses interventions avec son décolleté pigeonnant et sa queue de cheval friponne, même s’il en faut des écoutes pour juger d’une zique si compliquée…

Elle mérite un châtiment pour ainsi se pavaner d’ailleurs… Voyons voir… Une bonne fessée ?