Le 25 Février 2007 par MOE

Un des meilleurs albums de rock selon moi. Tout y est parfait, du rock'n roll sans concession des bas fonds de New-York comme on l'aime.
A savoir que les Dolls auraient pu devenir un groupe important des 70's si leur premier batteur (Billy Murcia) n'était pas mort d'une overdose à Londres, leur donnant ainsi une image de junkie qui ne plaisait pas aux maisons de prod' de l'époque.
Un groupe cependant tres influent encore de nos jours et c'est mérité.

Enfin un hommage à Johnny Thunders, excellent guitariste avec son style et son son, et aussi l'une des plus grandes rock stars (oubliée) du XXeme siècle (et l'un des plus grands "losers" aussi). Wayne Kramer disait de lui qu'il aurait cherché la défaite dans la gueule de la victoire.

Le 25 Février 2007 par FREDOUILLE

Rien à rajouter, cet album est superbe de bout en bout et bien meilleur que son successeur.
Psychédélique, hypnotisant, énergique... Cet album est un incontournable, un indispensable du genre. Il a ce quelque chose de plus que les autres, le genre d'album qui surprend de bout en bout et qui ne relâche pas l'intensité, du début à la fin.

Ps : J'ai un petit faible pour shamanix.

Le 25 Février 2007 par KATZENBERG

Un parfum d'enfance...
Cet album me fait penser à mon enfance. C'est un peu ça le son d'Arcade Fire... Un son plein de rêves, de magie, de légèreté, de mélancolie ou d'enthousiasme avec juste ce qu'il faut d'imperfection et de saleté pour nous ramener ce parfum d'enfance si caractéristique.
Cet album est un peu comme un enfant qui reviendrait du jardin, les mains et le pantalon plein de terre, une vieille pièce de monnaie à la main et qui dit à sa mère les yeux pleins bonheur : "maman, maman ! J'ai trouvé la cachette du trésor de Barbe-rouge !"... c'est un peu sâle, mais ça fait sourire et c'est attendrissant.
Voilà ce que cet album est : un concentré d'émotions qui nous ramène à l'enfance.
Le son du groupe est assez caractéristique du son Canadien de ces dernières années...un son brouillon ou viennent se nicher des mélodies oscillants entre la douce mélancolie et l'enthousiasme rock brut. Un peu comme le son de "Broken Social Scene", "Goodspeed you ! black Emperor" ou encore "Apostle of Hustle" (dans une certaine mesure).

Le mélange d'une voix, de choeurs, de 2 violons, une guitare, un accordéon, une basse, un clavier et un piano peut donner de trés beaux moments...Cet album en est la preuve.

Ecoutez la chanson "Wake up" tout en imaginant un enfant qui ouvre les volets un matin et découvre avec émerveillement qu'il à neigé pendant la nuit et que tout est recouvert d'un beau manteau de neige...
Et vous comprendrez ce que je veux dire par "Parfum d'enfance". Voilà ce qui fait la beauté de cet album.

Le 24 Février 2007 par TERRY

Sorti avant "Blonde On Blonde", "Highway 61 Revisited" est presque supérieur au mythique double album (c'est dire si il est bon, car "Blonde On Blonde" est phénoménal, tout le monde le sait). Que dire ? 9 titres intemporels, la palme revient aux 11 minutes du dernier, "Desolation row"...ou à ce "Like a rolling stone" cultissime. LA chanson de Dylan.
Un must-have absolu.

Le 24 Février 2007 par TERRY

Une face électrique (la première - et la première fois que Dylan fait dans le 'plugged') riche en titres emblématiques tels que "Subterreanean Homesick blues" (l'album s'appelle ainsi dans certains pays) ou "Maggie's farm" - sans oublier le long "Bob Dylan's 115th dream" débutant par une hilarante fausse intro, un fou rire qui me fait me marrer moi aussi. Une face acoustique (la seconde) contenant presque deux fois moins de titres, mais ils sont beaucoup plus longs, et mille fois plus ambitieux : "It's alright ma (I'm only bleeding)", "Gates of Eden"...
Même si l'album est le premier à être électrique, il est plus connu pour cette seconde face magnifique. Mais tout est bon. Un grand grand Dylan.

Le 24 Février 2007 par TERRY

Oui, le disque s'écoute bien, mais il n'est en rien un grand disque. Long, plat, sans surprises...
Pas à oublier comme le seront "New Morning" et ses albums des années 80, mais pas un essentiel de Dylan.

Le 24 Février 2007 par TERRY

Sans doute le seul bon live de Dylan si on excepte le live fait avec le Band ("Before The Flood"). Un grand moment live.

Le 24 Février 2007 par TERRY

Pour "Shelter from the storm", "Idiot wind", "Lily, Rosemary & the Jack of Hearts" et "Tangled up in blue", ce disque est un essentiel absolu pour tout fan de Dylan. Il est aussi un disque parfait pour s'initier au Barde ("Blonde On Blonde" aussi peut faire office d'album de lancement, mais plus pour la période folk des débuts, bien sûr). Un album mythique, amer (Dylan venait de divorcer de sa 'sad eyed lady of the lowlands', Sara (une chanson de "Desire" en parle, au fait).

Le 24 Février 2007 par TERRY

J'ai été surpris par la durée du disque, inhabituelle pour un vinyle simple (56 minutes). J'ai été surpris aussi (et positivement surpris) par l'album, un de mes préférés de Dylan, rien que pour "Hurricane", "Isis" et "Mozambique", les trois premier titres. Un album vraiment superbe, qui n'a certes rien à voir avec le précédent "Blood on the tracks", mais est tout aussi essentiel pour moi.
La pochette me fait penser à une vieille blague de Coluche à propos du chanteur français Danyel Gérard : entre le talent de Bob Dylan et le chapeau de Bob Dylan, celui-ci aurait choisi...le chapeau !!
"Desire", un excellent Dylan.

Le 24 Février 2007 par TERRY

Pas d'accord avec la chronique, ce "Great escape" est vraiment bon. OK, il n'est pas AUSSI bon que "Parklife" ou "Think Thank" (ou "13", ou leur album éponyme), mais il se laisse écouter sans mal. Commercial, certes, mais ça n'empêche pas la qualité.

Le 24 Février 2007 par TERRY

Leur meilleur album !!
Que dire de "Girls & Boys", de "Trouble in the message center", de "To the end", "This is a low", "Tracy Jacks", "Badhead" ? Un disque indispensable, LE disque de Blur, et LE disque britpop par excellence et par définition.
Et dire qu'on les a comparés à Oasis. Oasis ? Quoi, Oasis ? La boisson aux fruits, vous voulez dire ?
Aucune comparaison ne peut être faite, même si le disque de Oasis de 1995 ("(What's the story) morning glory ?") est démentiel. Ce sera bien le seul.
Blur, lui, aligne les perles en terme d'albums.

Le 23 Février 2007 par YEC'HED MAT

34 ans (!) après "Renaissance..". Dommage que le reste de la discographie de Stivell ne soit pas prise en compte dans Nightfall.
Assurément, ce dernier disque en date est loin d'être le meilleur de l'artiste.

"Miz tu" (le mois noir: Novembre en français): une référence aux "émeutes" de banlieue de novembre 2005. Plutôt bien vu, niveau titre ("noir c'est noir..." comme disait l'autre).

	Par Forces Parallèles La suite viendra, patience. ;-)

Le 23 Février 2007 par YEC'HED MAT

Un album mythique.

La "réactivation" d'un instrument disparu, la harpe dite "celtique".
L'interprétation d'airs bretons, irlandais, manxois...
Un univers musical créé (plutôt que recréé, à mon avis): "panceltique". Une vision, un souffle...nouveau.

Le 23 Février 2007 par CHIPSTOUILLE

Je suis assez d'accord pour le "style celtique", c'est très varié et difficile à cerner. On note tout de même quelques spécificités, certains instruments étant plus utilisés que d'autres selon les régions. "Celtique" peut prendre plusieurs sens, on peut parler du style musical comme de l'origine. Pourtant on retrouve des élements récurrents comme les mesures en 6/8, l’aspect répétitif des mélodies, le tuilage (ou kan-a-diskan) de mêmes que quelques instruments spécifiques (les différents types de cornemuses, flûte irlandaise, harpe celtique, bombarde, percussions et j’en passe). Mais tu as raison concernant Si Mort à mors, on ne retrouve pas ces éléments (l’utilisation du psaltérion fait en effet plus penser à la musique médiévale).
La question des origines orientales est également régulièrement soulevée, j'ai souvenir en particulier d'un disque d'un Bagad (celui de Lann Bihoué, il me semble) qui s'aventurait un peu plus dans cette voie. Dans le même ordre d'idée, tu trouves pas mal de pruneaux dans la cuisine bretonne (Ragout, Far) et ça n'a jamais été une spécialité de la région. Les marins faisaient en fait pas mal de commerce avec des marchands d'Agen...

Et sinon, question d’optique, le soleil est en réalité blanc et non jaune (comme quoi, la culture et les couleurs…). Dans le cas contraire, on verrai toutes les surfaces blanches en jaune.

Le 23 Février 2007 par YEC'HED MAT

Au sujet de "glaz".

En langue bretonne l'herbe est "glaz", mais le ciel aussi... C'est à la fois le "vert et bleu" du français, surtout pour ce qui concerne les couleurs "naturelles" (non issues de l'activité humaine), avec une palette multiple de nuances: "glaz pour" (poireau) pour cette variante de vert, ou "glaz oabl" (ciel) pour la couleur "bleu ciel", par exemple....
"Une autre façon de voir le monde", ou plus simplement un découpage différent du spectre chromatique. Diversité. Richesse.

La tête de mon grand-père quand il avait appris que, pour Tri Yann, le soleil était "glaz" et non pas "melen" (jaune)... De quoi en perdre son "brezhoneg" (breton)... L'aspect symbolique de l'affaire percutait de plein fouet son bons sens paysan, son regard très réaliste sur les choses de ce bas-monde...

Le 23 Février 2007 par YEC'HED MAT

Ok, sur l'origine de "Si mort...", je ne savais pas, on apprend tous les jours.
J'adore cet album, qui est mon favori du groupe...
Du "folk rock progressif", si on peut dire, et cette étonnante suite: "An heol a zo glas", avec un texte en langue bretonne de P.J Hélias, si je ne m'abuse. Pour moi, cet album était (est) le pont parfait entre la culture bretonne et le rock heavy et progressif que j'écoutais (et que j'écoute toujours).
Sur le terme "celtique": je ne pense pas qu'il existe un style "celtique" en lui même: ce terme générique englobe des traditions et des styles très variés, qui n'ont souvent que peu de points en commun. Exemple: "la dérobée de Gwengamp" serait en fait un air maghrébin parvenu en Bretagne par l'intermédiaire des troubadours occitans...

Le 23 Février 2007 par CYRIL

Un vrai p***** de live ! Une débauche de puissance et d'énergie ! Tout n'est pas parfait, la guitare de Brian se débranche par exemple en plein solo mais Queen montre ici (si on avait encore quelques doutes !) qu'il était un grand groupe de hard rock ! Les classiques sont joués comme il faut et quelques surprises jalonnent l'ensemble, je pense aux morceaux de Hot Space : "Staying Power", "Action This Day" et "Back Chat", qui se révèlent être des bombes !

Sinon, il y a aussi une version géniale de "Dragon Attack", et quelques morceaux survitaminés comme "The Hero", "We Will Rock You fast" et "Sheer Heart Attack", où le groupe verse dans le punk...

Indispensable ! Meilleur que le live at Wembley, lui aussi imparable. A mettre entre toutes les mains.

Le 23 Février 2007 par CYRIL

Un sympathique premier disque avec quelques très bons titres : "Liar", "Keep Yourself Alive" ou "My Fairy King"... Il y a aussi quelques ratés et là je pense à "Jesus", dispensable. Au final, c'est assez réussi sans faire grimper aux rideaux.

Le 23 Février 2007 par CYRIL

Tout à fait d'accord avec cette chronique. ADATR n'est pas un ersatz de ANATO. C'est tout simplement un disque exceptionnel, selon moi le meilleur du groupe ! Pas un seul temps mort, pas un seul mauvais titre et quelques chefs d'oeuvre comme "The Millionaire Waltz", "Somebody To Love" et "Tie Your Mother Down". Et puis il y a "White Man", et là je fonds ! Sombre, puissant, c'est du Metallica avant l'heure !

Le 23 Février 2007 par CHIPSTOUILLE

Si mort à mors est en réalité d'origine irlandaise, médiévale c'est peut-être bien possible, mais bien née sur une terre "celtique" en tous cas.
Je cite Jean-Louis Jossic sur Anniverscène:

"Il y a quelques années on a adapté en langue française une chanson qui au départ était irlandaise. La version originale était en gaélique. On l'a adaptée simplement parceque le texte sonnait bien c'est vrai, mais les paroles étaient d'une profonde dé-bi-li-té. On voudrait quand même, et vous ferez semblant de pas comprendre le texte pour la suite [ndr: ya pas trop de risque...], la faire ce soir en version originale parcequ'on l'aime bien quand même: 'An Cailin Rua'."