Le 11 Septembre 2004 par DAVID

Gilmour grand guitariste ? A l'époque où le Floyd ne bénéficiait pas encore d'une production hollywoodienne, son jeu ne valait pas tripette (cf la BO du film More). Bref, avec un entrepôt d'effets, on peut faire de belles choses, c'est sur !
Sinon, oui, ça vole plus haut que les niaiseries d'Atom - Meddle, même si la variété, c'est pas trop mon truc (Wish you were here).

Le 10 Septembre 2004 par DAVID

Bah, le succès de ce groupe est simple : une bonne grosse promo sur rock 'n' folk annoncé comme le "renouveau du rock" !
Après, on se jette sur l'album qui ne tient pas plus de 3 écoutes, et hop, on passe au groupe suivant !

Le 09 Septembre 2004 par SEBTAKY

J'ai du mal à comprendre le succès de ce groupe...je trouve leur musique très fade...

Le 07 Septembre 2004 par ZIGGY

Malgré son côté anecdotique je préfère ce Heavy Horses à son successeur plus ambitieux mais un poil ennuyeux. Ici c’est de la musique de feu de camp plutôt guillerette que nous sert Jethro Tull, et même si ça ne vol pas haut c’est un plaisir à entendre du début à la fin.

Le 07 Septembre 2004 par ZIGGY

Un album qui me laisse dubitatif. Tout à fait écoutable, et avec les ingrédients classiques de Jethro Tull, mais sans réelle saveur. Comme si la diversité et la beauté personnelle des sons produits par le groupe suffisait à retenir notre attention, mais que finalement Stormwatch se résumait à cela. Paradoxalement, Dark Ages est le seul morceau que je trouve repoussant, Flying Dutchman ayant plus mes faveurs pour ce qui est de la longueur.

Le 07 Septembre 2004 par YU NO-WAT

A la réflexion, j'ai sans doute un peu surcôté Manifesto, un 3 aurait sans doute suffit, mais je trouve que le 2 est plutôt vache... je sais que je suis en général bon public, surtout avec Bryan Ferry! Mais réécoutez "Manifesto" (le morceau), à la longue on s'y fait et je le trouve vraiment bon et surtout original.

Le 06 Septembre 2004 par DAVID

Euh pareil pour moi, ce Roxy là, bof bof. A part Stronger through the rain, je ne retiens rien de l'East Side, la faute à une pauvreté musicale inhabituelle chez eux. La West Side contient par contre quelques moments intéressants : Ain't that so et ses superbes choeurs, Spin me round, Cry cry cry. Enfin, la qualité de la production est toujours aussi bluffante.

Le 05 Septembre 2004 par YU NO-WAT

Etonnant! On se fait des idées sur une forme de jazz vieillot, qu'on croit avoir entendu des centaines de fois sur une radio qui grésille, dans un vieux film américain ou un film sur les vieux américains, ceux qui ont débarqué en ... pfui! 44, déjà... Et puis, ce grand couillon de Joe vous repeint tout ça en bleu ciel en foutant des grands coups de pied et en ricanant comme un bossu, et hop, ça ne parait plus si vieux, miracle ou simple intelligence de l'essence réelle d'une musique qui ne mérite sans doute pas plus qu'une autre d'être définitivement oubliée. Chapeau!

Le 05 Septembre 2004 par YU NO-WAT

Un sommet, en effet! Une interprétation parfaite, pour des chansons composées avec une maîtrise totale, et un son d'une fraîcheur dingue, grâce à cette technique d'enregistrement "live" particulier... Mais ce que je trouve le plus remarquable, ce sont les textes: Joe pousse l'analyse politique et socio-économique comme jamais, tout en restant léger et poétique. A cet égard, le "Tango Atlantico" avec Maggie Thatcher et le général Videla (le Pinochet argentin) comme acteurs, est tout simplement savoureux (quant au pauvre "Tommy" qui a sauté sur une mine, tant pis pour lui, plus de foot...). Pareil pour "40 years" (les alliés 40 ans après la guerre), "Jet Set" (pardon, pouvez-vous répéter en anglais?), etc... "Man in the Street" est presque révolutionnaire, en tout cas très bien observé. Pour le reste, impeccable, et j'ai un faible pour le planant "Shangaï Sky", lumineux comme le ciel dont il est question.

Le 05 Septembre 2004 par ZIGGY

Un album injustement inconnu car il mérite en effet d’être sorti de l’ombre d’Aqualung. Si le second contiens quelques uns des plus grands hymnes du groupe, Benefit n’en a pas moins le mérite de mieux tenir la longueur et de ne pas s’appesantir sur des passages vides de feeling ou de mélodie. Ici on touche moins au grandiose dans la folie des compositions, mais Ian Anderson va à l’essentiel sans s’égarer : chant bien construit, guitare variée et flûte captivante.
Les début du rock-prog façons ménestrel écossais…

Le 05 Septembre 2004 par ZIGGY

Ah, tous ces grands morceaux. Le son de l’album est étrangement neutre pour du Roxy Music, sans l’habituelle diversité et la profondeur apportée par les instruments. Mais hormis ce petit point noir Strander offre un niveau d’écriture rarement égalé et jamais dépassé. Il contient surtout la meilleure compo du groupe, A Song For Europe, hymne romantique moderne, ainsi qu’un Mother Of Pearl du même niveau d’excellence.
Et tout ce qui accompagne ces perles est également du très bon Roxy, mêlant comme toujours sa facette déjantée et une douceur poétique ; aussi bien que des textes imaginatifs et des musiques exubérantes qui ravissent sans lasser.

Le 05 Septembre 2004 par ZIGGY

Peut être le moins bon Roxy Music selon mon point de vue. Ca n’est pas mauvais, loin s’en faut, mais je m’ennuie avant la fin de l’album et il n’a aucun titre vraiment transcendants (Dance Away peut être… mais ça n’est tout de même pas très convaincant). Surtout comparé au chef d’œuvre qui lui succédera, Manifesto est bien vide, plein de sons qui lui sont propres ok, mais qui ne produisent pas l’étincelle Roxy. Il n’y a ni cette verve des textes ni cette mélodie inclassable commune à tous les grands morceaux du groupe, juste une accumulation musicale qui colle à la formule habituelle sans que les éléments s’assemblent vraiment.
Tout ça pour dire que je ne suis pour ainsi dire jamais pris de l’envie d’écouter Manifesto, il passe donc pour moi bien après tout le reste.

Le 01 Septembre 2004 par NTZAZ

Un petit bijou de rock prog. Sans doute rien d'exceptionnel et pourtant l'alchimie de l'ensemble fonctionne parfaitement. Des compos efficaces, sans fioritures. Une réelle découverte.

Le 31 Août 2004 par DARK SCHNEIDER

C'est marrant, bien que cet album ne soit pas particulièrement aimé des fans et par Anderson lui-même (pas à cause de la musique mais à cause du contexte difficile, le bassiste étant décédé durant l'enregistrement) j'avoue particulièrement aimé cet album!
Je lui trouve une ambiance assez unique, que je qualifierais presque de mystique parfois (orion, dark ages), et j'apréçie grandement les arrangements aux claviers assez pompeux (comme quoi y'en a qui aiment), bref ça nous change d'un album trés (trop?) acoustique comme "songs from the woods". "Dark ages" est un morceau assez énorme avec toujours ce savant mélange des genres, ici les influences hard-rock sont quand même trés marqués (et c'est un régal!). Et contrairement à David j'aime énormément le refrain de "Orion", clairement mon morceau préféré de l'album avec "dark ages".
Tout le reste de l'album me semble trés bon, que ce soit l'acoustique "Dum ringill" (là encore une super ambiance, qui colle bien avec le côté mystérieux suggérés par la pochette), les instru forts sympathique et entraînant etc..
Par contre j'avoue avoir un peu de mal avec les 4 bonus track de la version remasterisé, ils ne sont pas mauvais en soit mais ingurgités autant de morceaux d'un coup ça fait un peu trop pour moi.
J'hésite pas mal entre un 4 et 4.5/5, allez hop je tranche : 4.25/5 ^_^

Le 29 Août 2004 par YU NO-WAT

Un vrai sacré foutu album, mais c'est aussi un bazar: on y trouve de tout et même des recoins poussiéreux avec des crottes de souris. Impossible de l'écouter sans y dénicher ou y retrouver 3 ou 4 perles, mais aussi être irrité par deux ou trois facilités ou quelques trucs baclés, le tout changeant selon l'humeur de l'auditeur.

Le 29 Août 2004 par ZIGGY

Fort sympathique de bout en bout, mais à part le (fatiguant quoi que beau) classique Bourée ça manque de morceaux mémorables. Je ne reviendrais pas sur le fait que cet album soit une réussite, mais sans rien de plus exaltant j’aurais du mal à le mettre sur un pied d’égalité avec les classiques.

Le 28 Août 2004 par YU NO-WAT

Aftermath est de loin le meilleur album de la première période faste des Stones, à la fois pour la cohérence des titres et (surtout ?) la magie de ce son si particulier qui, outre les échos liés au mixage et sans doute aux studios d'enregistrement, est lié à la basse de Wyman et au traitement des guitares. Going Home est un régal, tout comme Out of Time, essayez aussi "I am waiting" moins connu mais superbe dans la veine dramatique. Beaucoup de groupes actuels se damneraient pour trouver un son comparable, daté ou pas, à défaut d'assurer une telle qualité du contenu!

Le 28 Août 2004 par DARK SCHNEIDER

Ben pas grand chose à rajouter à la chro de David : je suis en tout point d'accord avec lui! alors oui le 1er morceau est tout à fait dans le veine du Black sabbath des débuts (Tony Iommi a d'ailleurs fait quelque concerts avec le Tull) et l'ensemble est Rock-folk (rien de prog ici).
Les robins des bois du rock nous proposent ici un album trés agréable à écouter, et puis de toute façon commment résister à la flute de mr Anderson sur l'instru "bourée"? hein je vous le demande? ^_^
Et en plus la pochette est on ne peut plus sympathique. Bref ça vaut le détour.

Le 28 Août 2004 par ZIGGY

Dans la lignée de Still Life, on sent Peter Hammill s’imposer plus qu’avant mais la rythmique à l’orgue, la présence du saxophone et la guitare très particulière continuent à faire que Van Der Graaf Generator ne sonne que comme du Van Der Graaf Generator (et accessoirement que personne d’autre ne sonne comme Van Der Graaf Generator). On a donc toujours droit à de grands morceaux s’élevant pour donner une vision à très grande échelle d’une musique évoquant plus les problème de dieu lors de la création de fjord de Norvège (mais lequel des 6 jours cela a bien pu avoir lieu ?) que de banales histoires d’amour…

Le 28 Août 2004 par ZIGGY

Un chef d’œuvre très dur à appréhender mais dont on sent le potentiel des les premiers instants. C’est probablement ce son unique et cette approche musicale à l’échelle géologique qui font de Van Der Graaf un groupe si déroutant et si envoûtant.