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QUEEN
FLASH GORDON


Le 30 Décembre 2006 par CYRIL


Excellente chronique !

Dieu sait que je suis fan de Queen... mais là ! Comment dire ? Flash Gordon ne sert à rien !

Je sauve tout de même "The Hero" et "Flash's Theme".





VAN DER GRAAF GENERATOR
GODBLUFF


Le 30 Décembre 2006 par LEO

Pour aller un peu dans le sens de David à propos de VDGG, je dirais que j'ai toujours trouvé un manque flagrant d'émotions à la musique de ce groupe! même si j'en apprécie quelques titres, mais jamais un album en entier.
des émotions, il doit peut-être y en avoir, mais en tous cas, pour moi elles sont bien cachées! je n'arrive à ressentir ni le chaud, ni le froid!!! tout au plus, je peux dire "ça me plaît" ou "ça ne me plaît pas", mais je n'arrive pas à en dégager des sensations!
bon, je dois dire que la voix d'Hammill ne m'y aide pas beaucoup non plus (j'ai du mal lorsque ses cordes vocales passées au papier de verre se barrent en tous sens!). j'avoue aussi que je n'ai jamais aimé l'album "Paw Hearts" que je trouve trop délirant à mon goût et que je préfère la formation sur des morceaux plus doux tels que 'House With No Door' ou bien 'Wondering'.
conclusion: je ne suis pas du tout fan de ce groupe, mais malgré tout, certaines compos me parlent tout en ne sachant pas pourquoi elles ne véhiculent pas grand chose en moi.
et pour une fois, je serais même d'ailleurs bien incapable de noter un de leurs albums à titre purement personnel et subjectif(cela va sans dire!). bizarre non?





The BEATLES
THE BEATLES


Le 29 Décembre 2006 par ERWIN

Et oui, Balzac/Tolstoï... même combat.
Juste pour répondre succintement au cd en avion: mon commentaire reflète mon goût, et seulement mon goût, que je ne souhaite imposer à personne... Chacun est libre de ses choix. Les jugements de valeur sont toujours péremptoires... Il n'y a rien de définitif là dedans.
Quand à la culture encyclopédique... Ma modestie souffre... Je ne saurais dire... Disons que ma passion pour la musique va de Lully à Xenakis, en passant par le métal sous toutes ses formes du FM au black viking, le rock des 50's à l'aussie, de Indochine à Bauhaus, de Karen Cheryl -la personne va me prendre au sérieux- à Liane Foly, de Bob Marley aux Bollocks brothers, de Ice-T à Tom Jobim.
Personne ne possède une culture musicale encyclopédique, il y a trop à connaître. Mais je fais de mon mieux pour écouter un max de trucs.
Alors en définitive, cela peut ne pas paraître sympa ou modeste, mais oui, je crois savoir de quoi je parle lorsque je dis que l'album Blanc des Beatles est historique, cela ne veut pas dire que c'est le meilleur, sinon pour moi.





The WHITE STRIPES
ELEPHANT


Le 29 Décembre 2006 par TERRY


J'adore ce disque, surtout le passage calme de "In the cold cold night""I want to be the boy to warm your mother's heart". Mais les titres les plus efficaces sont les plus vifs et violents, notmment "Little acorns", "Black math", "Seven nation army" ou "The hardest button to button". Quant à "Hypnotize" et ce final, j'aime pas trop, désolé...





OASIS
BE HERE NOW


Le 29 Décembre 2006 par CRONO-


Mon album préferé d'Oasis, il ne ressemble à aucun autre, de part la grande longueur des titres. Personnellement, je trouve que tous les morceaux sont bons, voire excellents, et je fonds littérallement devant "All Around The World" qui est une composition fantastique!





TOTAL ECLIPSE
VIOLENT RELAXATION


Le 29 Décembre 2006 par CHIPSTOUILLE

Je me suis également posé la question pour "the furance", mais il est écrit partout ainsi, et je n'ai pas vu d'indice portant à croire qu'il s'agit d'une coquille...

En ce qui concerne ASTRAL PROJECTION, je connais également donc ça devrait venir dans les prochains mois. Par contre, pour Fredouille, à part une compilation récente, je n'ai pas trouvé le moyen de mettre la main sur le moindre album de MAN WITH NO NAME...





VAN DER GRAAF GENERATOR
GODBLUFF


Le 29 Décembre 2006 par DAVID

J'ai jamais dit que la mélodie était indispensable à la musique, merci de ne pas vouloir me faire passer pour plus inculte que je le suis. J'écoute un paquet de trucs non mélodiques par définition : les tambours du Bronx, du death metal, Magma, Can (ok je sors..).

J'ai utilisé les arguments de la mélodie et de la technicité pour le progressif, 2 composantes qui me semblent essentielles dans ce style musical. Même si après on peut toujours trouver du prog pas trop technique, ok. C'est peut être pas les bons critères pour apprécier. Reste qu'on ne parle toujours que de Peter Hammill et jamais (ou rarement) des autres musiciens... chacun peut en tirer les conclusions qui s'imposent :)!

Peut être que ma non-appréciation de VDGG vient de mon jeune âge, encore inculte et qu'un jour, plus vieux, je comprendrais toutes les merveilles qu'a à m'offir ce groupe :)





TOTAL ECLIPSE
VIOLENT RELAXATION


Le 29 Décembre 2006 par MEIKAI


Je crois que le morceau que vous appelez "The Furance" s'appelle en fait "The Furnace" (morceau énergétique à souhait soit dit en passant).

Très très bon album à mon avis. Mais je préfère un peu plus la chaleur "Goa" au cybernétisme "Psy", et Total Eclipse penche plutôt vers le Psy. Mais de toute façon c'est un excellent album, avec des morceaux qui font partie des classiques de la Trance. Je conseille aussi "Diamond Ring Effect" dans le CD Ambient.

Il y a aussi un groupe classique, Astral Projection. J'aurais aimé voir une critique de leur album "Trust In Trance", le seul du groupe qui vaut la peine d'être écouté à mon avis.





Pierre HENRY
SYMPHONIE POUR UN HOMME SEUL / LE VOYAGE


Le 28 Décembre 2006 par MONSIEUR N

Je ne connais pas le disque mais je tenais à te témoigner toute mon admiration pour cette chronique une fois de plus d'un très très haut niveau.

Tu m'as donné envie de m'intéresser à la chose. Objectif atteint, donc.





The BEATLES
THE BEATLES


Le 28 Décembre 2006 par TERRY

En réponse à Erwin et pour donner le mot de la fin concernant ma chronique (car c'est plus une chro qu'un commentaire), je citerai Balzac : 'je n'ai pas eu le temps de faire court'.
Voilà voilà.





The BEATLES
THE BEATLES


Le 28 Décembre 2006 par LE CD EN AVION

Manifestement, les notes et les classements sont les seules façons pour certains de parler de musique. Le commentaire d’Erwin n’échappe pas à la règle. « Cet album est le plus beau de l’histoire ». D’où vient donc cette obsession pour les sentences définitives ? Comprendrez-vous un jour messieurs que ces affirmations ne veulent absolument rien dire ? La musique serait donc un prix de beauté ? Aimer la musique consisterait à décerner des prix et à constituer un podium ? Possédez-vous au moins la culture encyclopédique qui vous permette d’affirmer de telles choses ?
Oui, Le double blanc est un grand disque, personne ne le contestera, pas même ceux qui le détestent, et ce simple constat devrait suffire à votre satisfaction. Laissez la liberté à ceux qui le veulent, de lui préférer « Sgt Pepper’s » ou « Revolver ». Laissez la liberté à ceux qui le veulent, de préférer d’autres disques ou d’autres artistes. Faites nous plutôt part de votre ressenti ou de votre érudition. Personne ici ne contestera vos goûts et chacun de régalera de vos anecdotes. Mais si vraiment, il n’y a que les « plus » qui vous intéressent dans la musique, alors, je veux bien vous offrir une dernière petite vérité biblique sur ce disque : le « white album » est le disque le plus blanc de l’histoire.





The BEATLES
THE BEATLES


Le 28 Décembre 2006 par ERWIN


Ah la la !!! terry! Mais qu'est-ce-qui te prend? Je viens de me farcir ton comment - j'ai cru redécouvrir avec horreur Tolstoï "Guerre et paix" tant c'était long... -.
Ma conclusion: tu détestes cet album?!?!?!
Faire un titre par titre sur le blanc, c'est aussi vulgaire - pardonne-moi -, que d'égrener la liste de tes ex et leurs mérites comparés au lit...
Cet album est le plus beau de l'histoire, il est riche des expériences des fab four à leur pic, le sergent et le revolver peuvent aller se rhabiller. Il y en a pour tous les gouts: de la violente "Helter skelter" à la comptine "Good night" - que je chante à mon fils le soir avant qu'il ne s'endorme, et Ringo assure! -.
A propos Terry: "Martha" n'est pas une nana, c'est la chienne de Paulo...
Je suis incapable d'un commentaire structuré sur cet album, trop grand trop beau trop émouvant...trop fort...Lemmy dirait que je suis trop vieux! Mais il contient des chef d'oeuvres intemporels: "While my guitar" "Revolution" "Back in ussr" "Obladi oblada" -désolé Terry-
"Dear prudence" "Martha my dear' 'Piggies" "Im so tired"... allez je pourrai tous les citer.
Mieux que classique: HISTORIQUE!





The CURE
PORNOGRAPHY


Le 27 Décembre 2006 par TERRY


Dernier (et meilleur, de loin) volet de la "trilogie glacée". 43 minutes de terreur musicale, un monument de rock gothique-cold wave absolument tétanisant de beauté et de violence. Les deux derniers titres ("Cold", "Pornography") sont parmi les plus terrifiants jamais enregistrées dans l'histoire du rock. "A short term effect" et "Siamese twins" (pour leurs intros) sont mes favories sur le disque. Imparable. Ames sensibles, s'abstenir absolument : c'est un voyage sans retour vers l'enfer.





The CURE
FAITH


Le 27 Décembre 2006 par TERRY


Second volet de la "trilogie glacée", "Faith" ne prépare en rien au cataclysme que sera le dernier volet ("Pornography"). Nettement plus sombre que "Sventeen seconds", mais selon moi un petit peu moins bon. 36 courtes minutes sublimées par "All cats are grey", "Faith", "The funeral party" et "The holy hour", à la basse impeccable. Gothique, glacial, noir (pochette plus sombre que "Seventeen seconds", tout aussi floue). Un excellent disque.





The CURE
SEVENTEEN SECONDS


Le 27 Décembre 2006 par TERRY


Magistral album. Je ne me lasserai jamais de "At night", "A Forest", "M", "In your house", "Play for today"...
35 minutes et quelques (trop court) de bonheur glacial. Heureusement que ce disque ne dure pas... 17 secondes !!!
Premier volet de la "trilogie glacée". Le plus léger, normal, ça ira crescendo.





Loreena MCKENNITT
AN ANCIENT MUSE


Le 27 Décembre 2006 par VOLTHORD


Chère Loreena,
Je crois être également d'accord avec mon collègue susnommé THE SOULFORGED. Moi, je n'oublie pas que tu es une harpiste talentueuse, alors pourquoi je n'entends plus une note de l'instrument implicitement mis en question ?

Sinon c'est beau, beau mais déjà entendu. Déjà entendu en version celtique, plus ou moins... Enfin je me comprends. Alors un album moins occidentalisé c'est cool, mais moi aussi, je suis fan de celtique, et puis il faut dire que ce manque que j'éprouve à l'écoute de cet album n'est pas compensé par une quelconque lumière de génie. Enfin je veux dire, la lueur de génie qui faisait de The Book Of Secrets et To Drive The Cold Winter Away des pièces majeures, The mask and mirror et Elemental des albums excellents...

Bon, sinon, bonne route, en esperant que tu reviendras avant moins de 15 ans cette fois ci, hein.





The ROLLING STONES
EXILE ON MAIN STREET


Le 26 Décembre 2006 par BUNGBILL


Pas d'accord du tout concernant le jugement qui est fait sur cet album. OK, c'est un album attachant, il y a quelques chansons qui sont parmi les meilleures que les Stones aient faites, soit dans le genre country ("Sweet Virginia"), soit dans le genre le plus rock. Mais de là à lui mettre une note supérieure à "Let It Bleed", c'est quelque chose que je n'arrive pas à comprendre.

"Let It Bleed" a quand même plusieurs points forts :
- Les chansons sont mieux produites.
- Il est plus varié (entendre 18 chansons à la suite toutes basées sur 3 ou 4 accords, c'est quand même pas toujours le pied).
- Il est bien plus novateur, avec des chansons comme "Gimme Shelter" qui ne ressemblent... à rien d'existant.

J'ajouterai que c'est plus la note attribuée à "Let It Bleed" que celle attribuée à "Exile On Main Street" qui me choque. 4 étoiles pour "Exile", c'est OK : j'aurais mis la même note. Mais 3 étoiles seulement pour "Let It Bleed" ? En sachant que l'âge d'or reconnu des Stones, c'est 68-69 ? Dès le moment où ils ont quitté Londres, ça n'a plus été pareil...


Par Forces Parallèles

Pour rappel, il y a une FAQ qui explique le système de notation. Après, c'est à l'appréciation de chacun.
Cordialement,





The BEATLES
ABBEY ROAD


Le 26 Décembre 2006 par TERRY


Le medley de la face B est sublime, mais la face A est moins convaincante... excepté les deux premiers titres, on a droit à du mauvais Ringo (pléonasme), du Macca assez irritant ("Maxwell's silver hammer", "Oh darling"), et du Lennon tirebouchonné et looooooong ("I want you"), et en plus, virant trop au délire pour être honnête.
Mais, comme je l'ai dit, toute la face B est sublimissimissime. Rien que pour ça, le disque vaut bien 4/5.





CAPTAIN BEEFHEART
TROUT MASK REPLICA


Le 25 Décembre 2006 par INNER SELF


Loin d'être allergique à l'expérimental, je n'ai jamais pu apprécier cet album même après de nombreuses écoutes. On aime ou on déteste, choisis ton camp camarade.





The BEATLES
THE BEATLES


Le 25 Décembre 2006 par TERRY


Parler du "double blanc" des Beatles, c'est s'atteler à une tache gigantesque : parler du disque le plus mythique et le plus "hénaurme" de l'histoire.
Je vais donc le faire, titre par titre - et comme il y en a 30, ça va me prendre un certain temps, ha ha.

Face 1.
"Back in the U.S.S.R." : un excellent titre d'introduction, très rythmé. A ce qu'il paraît, c'est Lennon à la basse, et McCartney à la batterie, Ringo ayant déserté pour quelques temps à l'époque - les frictions étaient malheureusement nombreuses.
"Dear Prudence", composé en Inde par le Walrus (Lennon, pour ceux qui ne comprennent pas l'allusion), en hommage à la soeur de Mia Farrow, qui était aussi en Inde lors de leur pélerinage chez le Maharishi. Une splendeur.
"Glass onion" : titre à écouter, car il s'agit plus ou moins d'une vision introspective d'un Lennon qui revient sur les années psychédéliques du groupe : allusions au "Walrus", "Fool on the hill", "Strawberry fields forever", "Fixing a hole", "Lady Madonna"... titre excellent, un de mes préférés, mais trop court.

On arrive au premier passage pénible du disque (trois titres très moyens) avec "Ob-la-di, ob-la-da". ce titre chanté par Macca est assez pénible et répétitif. Un des titres les plus connus des Beatles, et franchement, on se demande pourquoi.
"Wild honey pie", long de moins d'une minute, quasi instrumental... une nullité affligeante et inutile.
"The continuing story of Bungalow Bill" : refrain répétitif, et chiant comme une pluie froide... mais couplets assez drôles. Moyen, mais amusant. Sans prétention, quoi.

Retour à de bonnes chansons.
"While my guitar gently weeps", un des 4 titres (un par face, logique) de Harrison, le meilleur titre du disque, carrément. Le solo de guitare est de Clapton (première collaboration d'un artiste externe à un disque des Beatles). Paroles subtiles, ce titre aurait pu avoir sa place sur le triple monument de Harrison, "All things must pass" (1970).
"Happiness is a warm gun", chanson sombre de Lennon, sur la drogue. Deux anecdotes :
- tout d'abord, le surnom de Yoko Ono par Lennon était "mother", terme que l'on retrouve dans le titre.
- ensuite, qui a vu le film "TRAINSPOTTING" ? Dans ce film essentiel, le dealer du héros est surnommé "Mother superior", et ce terme est dans la chanson (associé à la drogue, l'héroine - Lennon en a été addict, surtout au moment de l'enregistrement de ce disque - voir "Yer blues").

Face 2.
"Martha my dear" : une chanson aussi stupide que la Martha du titre ("hold your head up, you silly girl"). Fadoche, mais agréable quand même...
"I'm so tired", presque aussi sombre que "Happiness...", très court, assez intéressante. Du bon Lenon.
"Blackbird". Une splendeur de Macca, courte mais essentielle. Une comptine absolument magnifique et pure, ce qui n'est pas le cas de la chanson suivante.
"Piggies", de Harrison, seule chanson du disque que le fou Charles Manson n'a pas comprise de travers : une diatribe méprisante ("all they need's a damn good whacking") sur on ne sait trop qui, mais ceux qui sont visés en prennent plein la gueule. Etonnant de la part de Harrison, généralement plus doux.

Autre passage à vide dans le disque, autre trou noir : jusqu'à "I will".
"Rocky Raccoon", fausse chanson western, narrant une histoire de western. Pas transcendental, honnêtement.
Première chanson du répertoire des Fab Four à être composée par Ringo, "Don't pass me by", décidément ce disque double recèle des surprises. On ne va pas tirer sur l'ambulance : ce n'est pas un grand compositeur/chanteur (sur "Abbey road", il y aura le pénible "Octopus's garden"... là, encore, ça peut aller).
"Why don't we do it in the road ?" de Macca, moins de 2 minutes, tout est dit dans le titre. Une chanson aux paroles tellement courtes que je pourrais les recopier ici (je ne le ferai pas). Indigne des Beatles, selon moi.

"I will", retour à de bons titres. Aussi court que le précédent, mais une belle chanson. De qui parle Macca ? de Dieu... ou d'une fille ?
"Julia", par Lenon, hommage à sa mère : n'y a t-il pas plus bel exemple d'amour d'un fils envers sa mère ? une beauté que ce titre, le dernier du disque 1.

Face 3.
"Birthday" : une variante à "Happy birthday", qu'on pourrait chanter à tue-tête, fringué en Beatle, lors d'une fête d'anniv'. Pensez-y, c'est une bonne idée ambiance. Excellent.
"Yer blues" : un des meilleurs titres du double, un blues violent (dans les paroles) de Lennon, qu'il reprendra avec le Plastic Ono Band. Le disque 2 commence très fort, ça ne durera pas.
"Mother Nature's son", et la platitude revient en force : Macca à son plus creux avec "Honey pie" et "pourquoi on ne ferait pas 'ça' sur la route ?".
"Everybody's got something to hide except me & my monkey" : très court (2 minutes environ) et heureusement, car ce titre lennonien est médiocre, répétitif...
"Sexy Sadie" : enfin un bon titre ! Composé à l'origine pour dénoncer le Maharishi, obsédé sexuel plutôt qu'autre chose, ce titre s'est vu radicalement transformé (pour les paroles) et est devenu ce titre-là. Bon, très bon titre.
"Helter skelter" : création du punk, du hard, du heavy, du grunge. Si, si, je vous jure ! Macca qui braille encore plus fort que Rotten ou Cobain (on est en 68, don't forget it, c'est pas trop équivalent, en fait). Seul point faible : trop de fausses fins à la fin (sic) qui nuisent, et emmerdent un peu. Ringo Starr hurle "I got bisters on my fingers !" ("j'ai des ampoules aux doigts !"), on devine comment il se les ait faites, ha ha... en fait, la prise du disque est la 20ème...
"Long, long, long", par Harrison, très belle chanson. Juste que Harrison ne chante pas très fort, déjà que la mélodie est douce...à écouter fort pour l'apprécier.

Face 4.
"Revolution 1" est une version calme du "Revolution" (face B du 45 tours "Hey Jude"). Splendide, rien à dire.
"Honey pie". Aïe, aïe, aïe. Macca à son plus creux, again. Nullité afligeante et vaine. Selon moi.
"Savoy truffle" : dernier titre de Harrison, une merveille subtile et sucrée. A savourer sans modération.
"Cry baby cry", ou la quintessence lennonienne du double blanc. On retrouve quelques envolées du "Sg. Pepper" sur ce titre, notamment les paroles. L'ambiance générale du disque se retrouve dans ce titre : tour à tour oppressante et légère, enfantine et glaçante. Un bon condensé.
"Revolution 9". Alors là, je vais être clair : 8,22 minutes de délire sans musique, avec un Lennon hurlant des "alright !", Yoko sussurant "if you become naked" (à la fin), plusieurs collages, et une voix répétant inlassablement "number nine, number nine...", je suis OK pour dire que ça peut ne pas plaire à tout le monde. Le morceau est toujours aussi destabilisant, plus de 35 ans après : original, vif, à part. Le morceau le moins aimé du répertoire beatlesien, OK. Mais "Revolution 9" est LE morceau qui dirige l'album...
"Good night" : une affligeante comptine chantée par Ringo (écrite pas Lennon/Macca), que les Stones parodieront sur "Fingerprint file", le dernier titre de leur "It's only rock'n'roll" (74) : 'good night, sleep tight'.

Que dire au final, sur ce disque ?
Trop long (95 minutes : 46 + 47 minutes, sans compter les secondes), boursouflé, mais peuplé de fulgurances, de titres merveilleux.
"Un disque simple n'aurait pas suffi à contenir le best of du disque." : David Fricke, du magazine Mojo.
"Il aurait fallu que cela ne soit qu'un simple noir" : Philippe Manoeuvre.

Un monument inépuisable du rock, malgré ses quelques petites défaillances. Le meilleur des Beatles, assurément.
J'essaierai de faire plus long la prochaine fois, ah ah...







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