Recherche avancée       Liste groupes




Commentaires :  1 ...<<...<... 933 934 935 936 937 938 939 940 941 942 943 944 ...>...>>... 1133
Comment poster un commentaire ?


MANO NEGRA
BEST OF


Le 10 Octobre 2010 par RED ONE


Je partage totalement l'avis de cette chronique : j'ai commencé la MANO NEGRA en 2003 en écoutant l'édition 1998 de ce disque et j'ai sauté sur sa réédition en 2005 lors de sa parution.

Quelle baffe ! Les morceaux sont placés de telle façon que chaque nouvelle chanson est une claque encore plus imposante que la précédente, c'est véritablement le meilleur moyen de saisir l'ampleur de l'importance de la MANO NEGRA dans le paysage rock français et mondial.

S'il ne devait rester que deux disques de la MANO NEGRA, ce serait sans doute "In The Hell Of Patchinko" (forcément) et ce best-of !





BEASTIE BOYS
PAUL'S BOUTIQUE


Le 07 Octobre 2010 par ANGEL D


Avec "it takes a million" et "fear of a black planet" de public enemy, on navigue ici dans le top 10 des meilleurs album hip hop, qu'on se le dise.

Le son reste old school, comme on aime, mais les beasties ont largement évolué.
Le coté rap/rock avec la production minimaliste à la run dmc qu'on retrouvait sur "licensed to ill" est déjà loin.

La prod est largement en avance sur son temps et le disque est hallucinent d'éclectisme .
Les semples ici sont partout, les breaks à la pelle.
On entend du sly stone par ci, du led zep par là et la liste est longue.

Mais je pense que la chronique à déjà tout dit sur ce sujet.
"B boy bouillabaisse", titre en plusieurs partie, résume bien la situation avec ses rebondissements à tout instant.

"Hey ladies" est le meilleur délire funky rap que je connaisse,
"looking down the barrel of a gun " reste dans le style hard rock rap si cher au groupe,
"shake your rump" est bandante avec ses beat et sa basse sursaturé.
"the sounds of science" avec son début anémique et planent, ce break et cette soudaine accélération ensuite.

Bref, rien est à jeter.
"Paul’s boutique" est un hip hop énergique, puissant, fun et expérimental.

On n'en verra malheureusement pu des albums de cette trempe là surtout dans un style de musique qui à malheureusement à mon gout très mal évolué.
C'est un peu comme le heavy métal : heureusement qu'il y a les anciens pour nous faire oublier tout le remassis musical actuel et nous botter le cul.





MY CHEMICAL ROMANCE
THE BLACK PARADE


Le 06 Octobre 2010 par KHEARTSLLDW


Fan de My Chemical Romance depuis leur deuxième album ("I Brought You My Bullets..." étant selon moi bien trop peu varié, même s'il annonce les prémices de ce qui deviendra ensuite MCR), je trouve cette critique de "The Black Parade" (et non pas "Welcome to the black parade" qui n'est que le titre de la 5ème chanson de l'album) assez... sévère. En outre, le chroniqueur ne mentionne pas qu'il s'agit d'un opéra-rock, voilà qui est corrigé.

Faisons un tour d'horizon de l'oeuvre chanson par chanson.

Tout commence par "The end", petit paradoxe amusant. Une introduction qui donne le ton, assez grandiloquente, qui parvient à nous charmer avec ses petits détails intrinsèques (claquements de doigts, choeurs et piano en tête de liste).

On enchaîne sans transition sur "Dead" et son solo d'intro implacable. Un morceau rock ô combien efficace, varié à souhait, dans la continuité un peu pompeuse de "The end".

"This is how I disappear" et "The sharpest lives" sont nettement plus sombres, ce qui n'est pas pour déplaire. L'évolution depuis "Sweet revenge" est palpable. Le groupe a gagné en maturité et Gerard Way ne s'égosille plus à tire-larigot, laissant place à des subtilités vocales qu'on ne peut qu'apprécier et admirer.

"Welcome to the black parade". Sacré morceau... Introduction douce au piano, montée en puissance qui débouche sur une magnifique oeuvre au final. Notons le son purement "queenien" des guitares à la fin de la chanson.

L'intensité retombe un peu avec "I don't love you", ballade très sympathique mais qui n'est pas à marquer d'une pierre blanche. Pas plus que "House of wolves" qui est, selon moi, le morceau le plus faible de l'album (bien que ceci soit plutôt à prendre comme un compliment, ledit morceau finissant tout de même par tirer son épingle du jeu).

"Cancer". Moment chargé d'émotion dans lequel un cancéreux nous livre toute sa détresse. Le mélange piano-batterie fonctionne à merveille et Gérard Way nous offre une prestation tout simplement magistrale.

Place au chef-d'oeuvre de MCR, j'ai nommé "Mama". Difficile de ne pas sentir l'influence floydienne (on pense particulièrement à "The trial" et "Mother" sur le mur) notamment au niveau des voix utilisées par les membres du groupe. Avec la même grandiloquence qu'on retrouvera au final sur la quasi totalité de l'album, MCR nous livre une critique de la guerre et de l'amour filial qui se traduit par un morceau décalé, un son lourd marque de fabrique du groupe et des transitions exceptionnelles. Ahurissant à tous points de vue.

"Sleep" réussit le tour de force de ne pas nous décevoir après la claque auditive reçue quelques secondes auparavant. On se laisse porter par la musique et les envolées vocales de Gérard Way. "Teenagers" est plus anecdotique, et sert de lien vers la fin du CD et "Disenchanted", une nouvelle ballade, la moins réussie des 3 que l'on retrouve sur "The Black parade".

Enfin, "Famous last words" conclut l'album de manière admirable. Construite en trois parties (1ère partie - Transition - Final), elle se conclura par un fondu musical laissant toute la place au choeur, répétant inlassablement le dernier refrain de l'album. Puissant.


Le 22 novembre prochain sortira le 4ème album studio des p'tits gars du New Jersey. On a hâte d'y être.





SANTANA
CARAVANSERAI


Le 05 Octobre 2010 par TRAVELLING COMPUTEUR


Pourquoi, mais pourquoi donc certains prétendent que la période jazz de Carlos Santana, soit de 1972 à 1974 (4 albums : Caravanserai, Welcome, Devotion et Borboletta), est l'une des moins intéressantes ?
C'est la plus riche au contraire ! Non seulement il a su y mettre du rock et de la world-music, mais en plus il a su y incorporer du jazz avec grande prudence et précision, de tel manière à ce que rien ne dérange dans ces innovations, qui, soyons honnête, sont quand même assez importantes.

D'accord le vieux cliché est très bête : qui dit jazz dit intello, et qui dit intello dit pas commercial, et qui dit pas commercial dit pas de top 5 des albums... Mais là soyons honnête. Déjà, quand on compare avec le Mahavishnu Orchestra qui était déjà fort "accessible à monsieur tout le monde", ici c'est encore plus accessible. Santana on le connait, avec sa guitare et ce son tout à fait perso et ces percussions envoutantes : tout est resté, avec un soupçon de jazz en plus. Et après ça, ils ont déjà moins de succès, alors que le groupe est au sommet de son style.

Franchement c'est triste de voir ce que Santana a dû faire pour pouvoir manger tous les jours (façon de parler hein) : pondre des petites chansons basées sur le même principe que ses 3 premiers albums mais en 10 fois plus simple pour que même le dernier des abrutis apprécie. Amigos, qui comme par hasard contient le tube cliché "Europa" qui, selon les vrai fans de Santana, est une vraie bouse.





QUEEN
A NIGHT AT THE OPERA


Le 04 Octobre 2010 par CéDRIC


si vous vous voulez découvrir la musique de Queen débutez par ce A Night at the Opera : un magnifique album ou les membres du groupe nous prouvent qu'ils sont d'excellents musiciens. Mes titres préférés :
you're my best friend , the prophet's song , sweet lady, et bohemian rhapsody avec la voix grandiose de freddie mercury.





Joe JACKSON
NIGHT & DAY


Le 02 Octobre 2010 par STRUCTUREUR DE COM'S


Je préfère celui là car :
1. Les chansons sont plus vivantes que le suivant (second chef d'oeuvre)
2. Il contient pas mal de classiques du chanteur
3. Il a abandonné le rock de ses début qui ne lui allait pas du tout
* a. Parce c'est un musicien de jazz plutôt qu'un rockeur
* b. Parce que son style de rock était mou et mauvais.

Voila un commentaire structuré.





JOY DIVISION
UNKNOWN PLEASURES


Le 01 Octobre 2010 par NEMO


A l'époque, mes potes "corbeaux" adoraient... et moi j'étais dubitatif, plutôt versé dans le Hard. Maintenant, je comprends, j'ai évolué musicalement et les démonstrations stériles à la guitare m'ennnuient. Je dis ça , c'est pour Nono: ses paroles, j'aurais pu les prononcer. Joy Division est un groupe marquant que je respecte. Et c'est de la musique.





JOY DIVISION
UNKNOWN PLEASURES


Le 30 Septembre 2010 par NONO


Alors là il faudra que l'on m'explique. Je veux bien être tolérant envers toute musique (d'ailleurs j'ai des goûts éclectiques), mais sincèrement comment mettre à un tel rang un album dans lequel les musiciens savent à peine jouer de leurs instruments ?
Un chanteur (très mauvais et en plus chantant très faux) sous trois tonnes de reverb est nécessairement un génie ? Pas une seule once de surprise où de breaks, rien, c'est comme entendre un métro parisien. Je reste vraiment perplexe, c'est linéaire à souhait, sans punch, mou, sans variation, pas composé, crade sonorement, bref je ne vois pas ce que ça vaut de plus qu'une demo balancée à l'arrache par un groupe de pré-ados. Avec ça on me fera croire que n'importe qui peut devenir musicien sans savoir jouer de son instrument. Désolé mais moi j'écoute de la MUSIQUE.





The RAMONES
RAMONES


Le 30 Septembre 2010 par JF LE COAD


Il y a 30 ans, ça faisait déjà sourire, mais bon, ça se laissait écouter...
Maintenant un tel minimalisme laisse complètement indifférent.
Même un navet ça vieillit mal.





Alan STIVELL
1 DOUAR


Le 29 Septembre 2010 par NEMO


J'ai bien aimé cet album, certes différent, mais bien enlevé.
Par contre, sur scène, à l'époque, c'était mou et décevant.
Impression mitigée, donc. Grand bravo à Marco pour son effort de chronique de l'oeuvre de STIVELL. Impressionnant. Chapeau bas !





Alannah MYLES
ALANNAH MYLES


Le 27 Septembre 2010 par PORCUPINE 3


Ahhh qu'elle est belle... Mais soyons objectifs, cet album oscille entre le bon et l'excellent (Black Velvet n'est pas vraiment le morceau le plus Rock). l'univers de cette excellente rockeuse est un mélange de Rock de Folk et de burnes... Oui de burnes car à l'instar d'un Bryan Adams, qui officie maintenant dans la soupe, A.Myles a du talent pour le Riff et la compo dans ces premières galettes. Je préfère néanmoins son 2e album "Rockinghorse" qui recèle des pépites incontournables du style Rock/Hard Rock FM. A découvrir d'urgence.





The CLASH
SANDINISTA !


Le 26 Septembre 2010 par SAM SUNG


Waw, ne connaissant que London Calling depuis pas mal d'année, je tombe sur ce disque après l'avoir entendu en entier lors d'une soirée pendant les vacances. Je demandais "c'est qui le groupe ? On dirait Clash d'après la voir du chanteur" on me répond que oui. Puis au fil de la soirée j'entends que l'album ne finit toujours pas, je lui demande "C'est quoi ? Une compil ?" il me répond en souriant "Non, un album" ah ok ... Toujours plus tard je vois que tout est toujours pareil, et pourtant il ne le passe pas en boucle parce que à chaque fois c'est différent.
Puis je l'ai revu quelque semaines après vers fin aout dans un magasin de disque vinyle en triple.
Ca fait bizarre de voir un album de 3 vinyls soit 2h30 de chansons relativement courtes l'une après l'autre, paraitre un ans après London Calling, je suis pas dupe ils ont surement ressorti pas mal de fond de tiroirs mais quand même ...

Et pour moi le style est beacoup plus accrocheur et intéressant, voire innovateur voire plus "amusant" que London Calling





Ennio MORRICONE
THE MISSION


Le 26 Septembre 2010 par SHIRIU


Je suis amateur de Jazz, d'Electro et surtout de Metal, et j'adore cette BO car elle représente l'osmose ultime entre émotion, montées en puissance, et orchestrations magnifiques. En ce qui me concerne, elle fait partie de mon top 3 avec Dune et Conan, qui n'ont vraiment rien à voir. Mais là Ennio Morriconne a été touché par la grâce, son oeuvre est boulversante. Indispensable à toute VRAIE cd-thèque.





ZAZIE
MADE IN LOVE


Le 24 Septembre 2010 par ICEMAN D'HISTOZIC


Un de mes préférés aussi dans les premiers albums. Cela fait un moment que je ne l'ai pas écouté et cela m'a donné envie de le faire.

Vue la note du premier, je me suis demandé pourquoi je l'appréciais aussi. bref, va falloir que je me penche sur Zazie, autant qu'elle sur ce mur :D






Alan STIVELL
BACK TO BREIZH


Le 23 Septembre 2010 par MARK


Hélas, cet album, comme tout ce qui date de ces dernières années chez STIVELL, n'est vraiment pas un classique. L'homme semble avoir perdu le "mojo", ou l'"awen", puisqu'on parle d'un disque breton. Même sur scène, c'est plus ça. C'est mou, sans saveur. Bof, bof, bof. Et ces paroles ("back to Breizh...), bonjour le manque d'inspiration (cliché!).





RENAUD
MORGANE DE TOI


Le 23 Septembre 2010 par MACAREUX


En dehors des classiques, j'ai un gros gros faible pour "Déserteur". Allez hop, à fond sur la chaîne !
1983, ça ne rajeunit pas mais ce Renaud-là est intemporel et pas très loin de son sommet qui viendra quelques années plus tard avec "Putain de camion".
J'ai découvert cet album alors que je n'avais pas dix ans en l'écoutant chez un cousin. Vingt sept ans ont passé et ça prend encore...
Allez, je me le remets.
Merci Renaud pour ce monument.





Mike OLDFIELD
FIVE MILES OUT


Le 23 Septembre 2010 par GETGET


Hé bien moi, je ne suis pas d'accord; en fait, je qualifierais bien cet album de Tuerie authentique.
Cet album, c'est d'abord, pour moi, un album uni, ce qui fait revenir Oldfield au pré-Platinum. En effet, si l'album comporte pourtant le shéma classique: un instru de 20min / des plages plus courtes, je ne pourrais pas concevoir de ne pas écouter cet album dans son entier. Premièrement, parce que sur tous les titres, trois sont instrumentaux, et deux chansons reprennent la même ambiance que les instrus. Deuxièmement, parce qu'il est clair qu'Orabidoo est une sorte de suite de Taurus II, reprenant les mêmes thèmes sur sa deuxième partie. Il contribue à la cohérence de l'album.
Musicalement, je trouve que cet album raconte une histoire, une histoire que l'on peut assez bien figurer par la jolie pochette de l'album: c'est le voyage dans ce petit avion, dans ce courrier à l'ancienne, la traversée des nuages, les tempêtes, l'éclaircie. Du décollage (les riffs du début de Taurus II), à la pré-tempête puis à la tempête (Orabidoo), puis à l'éclaircie (Mount Teidi) et au risque de crash (Five Miles Out) , où la radio lance des appels au secours auxquels ne répondront que le bruit du moteur de l'avion.
Alors oui, les vocodeurs du début d'Orabidoo ne sont pas forcément probants, oui, il y a un thème assez bourrin avec les choeurs de Taurus II, oui, la fracture aux 7minutes de Orabidoo est un bel exemple de collage raté dans toute sa splendeur, mais je crois que comme partout avec Mike Oldfield, il faut savoir jouer le jeu, en tant qu'écouteur; et c'est alors que la magie se fait. Car, passés outre ces petits défauts, si l'on imagine vraiment, si on se laisse prendre à ce voyage, alors c'est une expérience merveilleuse (et à mon sens, aussi forte qu'avec Tubular Bells).
Cet album est une Tuerie parce qu'il a su mélanger Prog, caractéristique de Mike Oldfield, et Pop-Rock, voir sons électroniques très prononcés. Cet album a quelque chose de très fort: une énergie très communicative, peut-être l'une des plus fortes chez Mike Olfield, qu'il tient sans doute de l'aspect Rock.
Un très beau tour en avion, une vraie aventure dans les nuages. N'est-ce pas vraiment l'impression que l'on a, d'être dans cet avion au milieu des nuages, au début de Five Miles Out?

Un album que je classe aussi puissant que Tubular Bells.

PS: en écoutant bien Taurus II, c'est fou le nombre de petits détails qui préfigurent Amarok, la façon d'utiliser les percusssions, de revenir à un thème chaleureux au clavier (12'40), etc...





Jean-jacques GOLDMAN
ENTRE GRIS CLAIR ET GRIS FONCé


Le 22 Septembre 2010 par SUNTORY TIME

Il est vrai qu'il n'est pas précisé dans les crédits s'il s'agit de JJG ou de JONES pour les principaux solos de guitare du disque. En fait, ils sont tout deux crédités comme guitaristes dans ces deux chansons.

Cependant il faut préciser qu'à l'époque, JONES est davantage un accompagnateur qu'un soliste. Ce n'est qu'à partir du trio Fredericks/Goldman/Jones que JJ va laisser JONES se charger de la plupart des guitares, pour se focaliser sur le piano.

J'ai un léger doute pour les solos de "Puisque Tu Pars". Mais pour "Peur de Rien Blues", je suis quasi sûr qu'il s'agit de GOLDMAN. D'ailleur l'extraordinaire version live sur l'album Traces est de lui.





SUPERTRAMP
BROTHER WHERE YOU BOUND


Le 22 Septembre 2010 par ENVIDéCRIR


Cet album montre un Supertramp ayant muté suite au départ de RH ce qui, d'après cet album, ne fut pas une grande perte pour le groupe, au contraire, je dirais que cet album contient plus de petites balades toutes gentilles et commerciales. Telle était la grande spécialité de RH qui n'avait pas du tout la même façon d'écrire les chansons que RD. Quand on voit que toutes celles de RH était plus ciblées pop rock, et RD lui avait plutôt un style plus recherché, progressif, etc.

Cet album est amputé de ce que je détestais de Supertramp et que l'on retrouvait à plusieurs reprises sur les deux albums précédents. C'est la raison pour laquelle cet album est mon préféré, après Crime Of The Century bien entendu, car cet album-là est de loin le meilleur du reste de leur discographie et avec une différence assez grande (je trouve personnellement). Mais celui-ci est l'album qui s'en rapproche le plus, notamment avec la plage titulaire qui est une pure merveille comme on en fait rarement et dont le style aurait pu être mieux exploité par le groupe après Crime, au lieu de se tourner de plus ne plus vers la pop, mais il n'y a rien à faire la pop et le commercial resteront trop pauvres et trop simples d'un point de vue stylistique pour remarquer vraiment le talent des compositeurs et leur niveau musical et instrumental, et c'est pour ça que le rock progressif existe et heureusement.





Jean-jacques GOLDMAN
ENTRE GRIS CLAIR ET GRIS FONCé


Le 22 Septembre 2010 par TOFF

Je ne suis pas sur que les solos de guitare sur "Puisque tu pars" et "Peur de rien blues" soient de Goldman, comme il est dit dans la chronique. C'est plutôt Michael Jones.







Commentaires :  1 ...<<...<... 933 934 935 936 937 938 939 940 941 942 943 944 ...>...>>... 1133






1999 - 2025 © Nightfall.fr V5.0_Slider - Comment Soutenir Nightfall ? - Nous contacter - Webdesign : Inox Prod