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The CURE
PORNOGRAPHY


Le 27 Décembre 2006 par TERRY


Dernier (et meilleur, de loin) volet de la "trilogie glacée". 43 minutes de terreur musicale, un monument de rock gothique-cold wave absolument tétanisant de beauté et de violence. Les deux derniers titres ("Cold", "Pornography") sont parmi les plus terrifiants jamais enregistrées dans l'histoire du rock. "A short term effect" et "Siamese twins" (pour leurs intros) sont mes favories sur le disque. Imparable. Ames sensibles, s'abstenir absolument : c'est un voyage sans retour vers l'enfer.





The CURE
FAITH


Le 27 Décembre 2006 par TERRY


Second volet de la "trilogie glacée", "Faith" ne prépare en rien au cataclysme que sera le dernier volet ("Pornography"). Nettement plus sombre que "Sventeen seconds", mais selon moi un petit peu moins bon. 36 courtes minutes sublimées par "All cats are grey", "Faith", "The funeral party" et "The holy hour", à la basse impeccable. Gothique, glacial, noir (pochette plus sombre que "Seventeen seconds", tout aussi floue). Un excellent disque.





The CURE
SEVENTEEN SECONDS


Le 27 Décembre 2006 par TERRY


Magistral album. Je ne me lasserai jamais de "At night", "A Forest", "M", "In your house", "Play for today"...
35 minutes et quelques (trop court) de bonheur glacial. Heureusement que ce disque ne dure pas... 17 secondes !!!
Premier volet de la "trilogie glacée". Le plus léger, normal, ça ira crescendo.





Loreena MCKENNITT
AN ANCIENT MUSE


Le 27 Décembre 2006 par VOLTHORD


Chère Loreena,
Je crois être également d'accord avec mon collègue susnommé THE SOULFORGED. Moi, je n'oublie pas que tu es une harpiste talentueuse, alors pourquoi je n'entends plus une note de l'instrument implicitement mis en question ?

Sinon c'est beau, beau mais déjà entendu. Déjà entendu en version celtique, plus ou moins... Enfin je me comprends. Alors un album moins occidentalisé c'est cool, mais moi aussi, je suis fan de celtique, et puis il faut dire que ce manque que j'éprouve à l'écoute de cet album n'est pas compensé par une quelconque lumière de génie. Enfin je veux dire, la lueur de génie qui faisait de The Book Of Secrets et To Drive The Cold Winter Away des pièces majeures, The mask and mirror et Elemental des albums excellents...

Bon, sinon, bonne route, en esperant que tu reviendras avant moins de 15 ans cette fois ci, hein.





The ROLLING STONES
EXILE ON MAIN STREET


Le 26 Décembre 2006 par BUNGBILL


Pas d'accord du tout concernant le jugement qui est fait sur cet album. OK, c'est un album attachant, il y a quelques chansons qui sont parmi les meilleures que les Stones aient faites, soit dans le genre country ("Sweet Virginia"), soit dans le genre le plus rock. Mais de là à lui mettre une note supérieure à "Let It Bleed", c'est quelque chose que je n'arrive pas à comprendre.

"Let It Bleed" a quand même plusieurs points forts :
- Les chansons sont mieux produites.
- Il est plus varié (entendre 18 chansons à la suite toutes basées sur 3 ou 4 accords, c'est quand même pas toujours le pied).
- Il est bien plus novateur, avec des chansons comme "Gimme Shelter" qui ne ressemblent... à rien d'existant.

J'ajouterai que c'est plus la note attribuée à "Let It Bleed" que celle attribuée à "Exile On Main Street" qui me choque. 4 étoiles pour "Exile", c'est OK : j'aurais mis la même note. Mais 3 étoiles seulement pour "Let It Bleed" ? En sachant que l'âge d'or reconnu des Stones, c'est 68-69 ? Dès le moment où ils ont quitté Londres, ça n'a plus été pareil...


Par Forces Parallèles

Pour rappel, il y a une FAQ qui explique le système de notation. Après, c'est à l'appréciation de chacun.
Cordialement,





The BEATLES
ABBEY ROAD


Le 26 Décembre 2006 par TERRY


Le medley de la face B est sublime, mais la face A est moins convaincante... excepté les deux premiers titres, on a droit à du mauvais Ringo (pléonasme), du Macca assez irritant ("Maxwell's silver hammer", "Oh darling"), et du Lennon tirebouchonné et looooooong ("I want you"), et en plus, virant trop au délire pour être honnête.
Mais, comme je l'ai dit, toute la face B est sublimissimissime. Rien que pour ça, le disque vaut bien 4/5.





CAPTAIN BEEFHEART
TROUT MASK REPLICA


Le 25 Décembre 2006 par INNER SELF


Loin d'être allergique à l'expérimental, je n'ai jamais pu apprécier cet album même après de nombreuses écoutes. On aime ou on déteste, choisis ton camp camarade.





The BEATLES
THE BEATLES


Le 25 Décembre 2006 par TERRY


Parler du "double blanc" des Beatles, c'est s'atteler à une tache gigantesque : parler du disque le plus mythique et le plus "hénaurme" de l'histoire.
Je vais donc le faire, titre par titre - et comme il y en a 30, ça va me prendre un certain temps, ha ha.

Face 1.
"Back in the U.S.S.R." : un excellent titre d'introduction, très rythmé. A ce qu'il paraît, c'est Lennon à la basse, et McCartney à la batterie, Ringo ayant déserté pour quelques temps à l'époque - les frictions étaient malheureusement nombreuses.
"Dear Prudence", composé en Inde par le Walrus (Lennon, pour ceux qui ne comprennent pas l'allusion), en hommage à la soeur de Mia Farrow, qui était aussi en Inde lors de leur pélerinage chez le Maharishi. Une splendeur.
"Glass onion" : titre à écouter, car il s'agit plus ou moins d'une vision introspective d'un Lennon qui revient sur les années psychédéliques du groupe : allusions au "Walrus", "Fool on the hill", "Strawberry fields forever", "Fixing a hole", "Lady Madonna"... titre excellent, un de mes préférés, mais trop court.

On arrive au premier passage pénible du disque (trois titres très moyens) avec "Ob-la-di, ob-la-da". ce titre chanté par Macca est assez pénible et répétitif. Un des titres les plus connus des Beatles, et franchement, on se demande pourquoi.
"Wild honey pie", long de moins d'une minute, quasi instrumental... une nullité affligeante et inutile.
"The continuing story of Bungalow Bill" : refrain répétitif, et chiant comme une pluie froide... mais couplets assez drôles. Moyen, mais amusant. Sans prétention, quoi.

Retour à de bonnes chansons.
"While my guitar gently weeps", un des 4 titres (un par face, logique) de Harrison, le meilleur titre du disque, carrément. Le solo de guitare est de Clapton (première collaboration d'un artiste externe à un disque des Beatles). Paroles subtiles, ce titre aurait pu avoir sa place sur le triple monument de Harrison, "All things must pass" (1970).
"Happiness is a warm gun", chanson sombre de Lennon, sur la drogue. Deux anecdotes :
- tout d'abord, le surnom de Yoko Ono par Lennon était "mother", terme que l'on retrouve dans le titre.
- ensuite, qui a vu le film "TRAINSPOTTING" ? Dans ce film essentiel, le dealer du héros est surnommé "Mother superior", et ce terme est dans la chanson (associé à la drogue, l'héroine - Lennon en a été addict, surtout au moment de l'enregistrement de ce disque - voir "Yer blues").

Face 2.
"Martha my dear" : une chanson aussi stupide que la Martha du titre ("hold your head up, you silly girl"). Fadoche, mais agréable quand même...
"I'm so tired", presque aussi sombre que "Happiness...", très court, assez intéressante. Du bon Lenon.
"Blackbird". Une splendeur de Macca, courte mais essentielle. Une comptine absolument magnifique et pure, ce qui n'est pas le cas de la chanson suivante.
"Piggies", de Harrison, seule chanson du disque que le fou Charles Manson n'a pas comprise de travers : une diatribe méprisante ("all they need's a damn good whacking") sur on ne sait trop qui, mais ceux qui sont visés en prennent plein la gueule. Etonnant de la part de Harrison, généralement plus doux.

Autre passage à vide dans le disque, autre trou noir : jusqu'à "I will".
"Rocky Raccoon", fausse chanson western, narrant une histoire de western. Pas transcendental, honnêtement.
Première chanson du répertoire des Fab Four à être composée par Ringo, "Don't pass me by", décidément ce disque double recèle des surprises. On ne va pas tirer sur l'ambulance : ce n'est pas un grand compositeur/chanteur (sur "Abbey road", il y aura le pénible "Octopus's garden"... là, encore, ça peut aller).
"Why don't we do it in the road ?" de Macca, moins de 2 minutes, tout est dit dans le titre. Une chanson aux paroles tellement courtes que je pourrais les recopier ici (je ne le ferai pas). Indigne des Beatles, selon moi.

"I will", retour à de bons titres. Aussi court que le précédent, mais une belle chanson. De qui parle Macca ? de Dieu... ou d'une fille ?
"Julia", par Lenon, hommage à sa mère : n'y a t-il pas plus bel exemple d'amour d'un fils envers sa mère ? une beauté que ce titre, le dernier du disque 1.

Face 3.
"Birthday" : une variante à "Happy birthday", qu'on pourrait chanter à tue-tête, fringué en Beatle, lors d'une fête d'anniv'. Pensez-y, c'est une bonne idée ambiance. Excellent.
"Yer blues" : un des meilleurs titres du double, un blues violent (dans les paroles) de Lennon, qu'il reprendra avec le Plastic Ono Band. Le disque 2 commence très fort, ça ne durera pas.
"Mother Nature's son", et la platitude revient en force : Macca à son plus creux avec "Honey pie" et "pourquoi on ne ferait pas 'ça' sur la route ?".
"Everybody's got something to hide except me & my monkey" : très court (2 minutes environ) et heureusement, car ce titre lennonien est médiocre, répétitif...
"Sexy Sadie" : enfin un bon titre ! Composé à l'origine pour dénoncer le Maharishi, obsédé sexuel plutôt qu'autre chose, ce titre s'est vu radicalement transformé (pour les paroles) et est devenu ce titre-là. Bon, très bon titre.
"Helter skelter" : création du punk, du hard, du heavy, du grunge. Si, si, je vous jure ! Macca qui braille encore plus fort que Rotten ou Cobain (on est en 68, don't forget it, c'est pas trop équivalent, en fait). Seul point faible : trop de fausses fins à la fin (sic) qui nuisent, et emmerdent un peu. Ringo Starr hurle "I got bisters on my fingers !" ("j'ai des ampoules aux doigts !"), on devine comment il se les ait faites, ha ha... en fait, la prise du disque est la 20ème...
"Long, long, long", par Harrison, très belle chanson. Juste que Harrison ne chante pas très fort, déjà que la mélodie est douce...à écouter fort pour l'apprécier.

Face 4.
"Revolution 1" est une version calme du "Revolution" (face B du 45 tours "Hey Jude"). Splendide, rien à dire.
"Honey pie". Aïe, aïe, aïe. Macca à son plus creux, again. Nullité afligeante et vaine. Selon moi.
"Savoy truffle" : dernier titre de Harrison, une merveille subtile et sucrée. A savourer sans modération.
"Cry baby cry", ou la quintessence lennonienne du double blanc. On retrouve quelques envolées du "Sg. Pepper" sur ce titre, notamment les paroles. L'ambiance générale du disque se retrouve dans ce titre : tour à tour oppressante et légère, enfantine et glaçante. Un bon condensé.
"Revolution 9". Alors là, je vais être clair : 8,22 minutes de délire sans musique, avec un Lennon hurlant des "alright !", Yoko sussurant "if you become naked" (à la fin), plusieurs collages, et une voix répétant inlassablement "number nine, number nine...", je suis OK pour dire que ça peut ne pas plaire à tout le monde. Le morceau est toujours aussi destabilisant, plus de 35 ans après : original, vif, à part. Le morceau le moins aimé du répertoire beatlesien, OK. Mais "Revolution 9" est LE morceau qui dirige l'album...
"Good night" : une affligeante comptine chantée par Ringo (écrite pas Lennon/Macca), que les Stones parodieront sur "Fingerprint file", le dernier titre de leur "It's only rock'n'roll" (74) : 'good night, sleep tight'.

Que dire au final, sur ce disque ?
Trop long (95 minutes : 46 + 47 minutes, sans compter les secondes), boursouflé, mais peuplé de fulgurances, de titres merveilleux.
"Un disque simple n'aurait pas suffi à contenir le best of du disque." : David Fricke, du magazine Mojo.
"Il aurait fallu que cela ne soit qu'un simple noir" : Philippe Manoeuvre.

Un monument inépuisable du rock, malgré ses quelques petites défaillances. Le meilleur des Beatles, assurément.
J'essaierai de faire plus long la prochaine fois, ah ah...





Bob MARLEY & THE WAILERS
EXODUS


Le 25 Décembre 2006 par LEO


D'accord avec PLUIE. Cela a t-il un intérêt quelconque de savoir si "Exodus" est le meilleur album de Reggae? (tout comme il devrait y avoir L'ALBUM de rock par excellence!!! ???).
On pourrait tout aussi bien proclamer la même chose des albums "Hansdsworth Revolution" ou "Tribute To The Martyrs" de Steel Pulse, mais là n'est pas le propos. Tout cela est tellement subjectif après tout!
Par contre, il est certain que "Exodus" est un sacré bon disque de Marley & des Wailers, c'est une chose indéniable... mais au même titre que "Rastaman Vibration" pour ma part!





Bob MARLEY & THE WAILERS
EXODUS


Le 24 Décembre 2006 par PLUIE


Bizarre de se permettre de statuer sur "le meilleur album de reggae au monde" quand on aime pas le reggae.

Si Exodus n'est clairement pas le meilleur album de reggae au monde, il est cependant tout à fait excellent : le recueilli natural mystic, l'opressant heathen, le progressif (?!) exodus figurent parmi les grands morceaux de Bob, et cet album parmi ses meilleurs.





The ROLLING STONES
FOUR FLICKS


Le 23 Décembre 2006 par TERRY


Concert du MSG : épatant.
Celui de Twickenham : pas le meilleur, mais franchement bon.
Celui de Paris : le plus intéressant (que des titres rarement joués sur scène, et de très bons titres).

Un DVD fantastique.





PINK FLOYD
THE DARK SIDE OF THE MOON


Le 23 Décembre 2006 par TERRY


Voici l'album qui a changé la vie du groupe et changé l'histoire du rock puisqu il restera 741 semaines au American Top-200. L'album se vendra comme du ptit pain puisqu il s'en écoulera 30 millions d'exemplaires dans le monde, faisant de Dark Side of the Moon le 4e album le plus vendu de tous les temps.

A cette époque le groupe est plus mature que sur les albums précédents puisque les thèmes abordés sont la mort (The Great Gig in the Sky), la folie (Brain Damage), la vieillesse (Time) ou bien l'argent (Money). Ce dernier étant l'immense hit de Pink Floyd avec son bruit de tiroir caisse en intro qui nous entêtera en cette belle annee de 1973.
En ouverture de l'album, on trouve Speak to Me, un medley de ce qui nous attend. Les instrumentaux On the Run et Any Colour you Like sont très modernes pour l'époque. Elles sont tout à fait grandioses. Breathe est une force tranquille, on sent qu'il y a de la puissance, de l'intensité palpable dans cette chanson toute en gardant cette douceur qui fait son charme.
Y a pas de mots pour décrire the Great Gig in the Sky avec une chanteuse black : Tony Clare qui nous pousse des cris, des rugissements tout au long de la chanson. Pour l'interprétation, le groupe lui avait dit de penser à la mort et à l'horreur.
Us and Them, véritable tube planant avec son refrain que l'on retient facilement avec ses ptits solos de saxo. Time est magnifique. Tout en gardant leur style, ils y ajoutent un ptit côté reggae avec un ptit solo de gratte. Ce tube, avec Money constitue les 2 chansons les plus rythmés de l'album. Le titre Brain Damage est un hommage à Syd Barrett (premier chanteur de Pink Floyd) qui évoque l'univers tourmenté de ce dernier, il était paranoiaque à cause des abus de drogues. On finit (et oui il faut bien une fin à tout) par l'apocalyptique Eclipse qui se termine sur une note glauque.

Conclusion : Véritable chef d'oeuvre, on se demande où s'arrêtera le génie humain après avoir écouté cela. Leschansons sont excellentes les unes après les autres. Il y a toujours le style Pink Floyd avec son orgue en texture musicale tout le long de l'album. Cet album est planant, pour tout vous dire j'ai eu du mal à le décrire, tellement les mots m'ont manqué.





The ROLLING STONES
THEIR SATANIC MAJESTIES REQUEST


Le 23 Décembre 2006 par TERRY


Leur meilleur ?
Sûrement. En tout cas, mon grand favori dans mon top 5 personnel des Galets. Les 4 autres sont "Exile on main st", "Beggars banquet", "Let it bleed" et "Sticky fingers".





The ROLLING STONES
LET IT BLEED


Le 23 Décembre 2006 par TERRY


Un gateau comme celui-là (allusion à la sublime pochette), j'en boufferais bien jusqu'à l'indigestion, jusqu'à la fin des temps !
Juste deux titres assez moyens, "Country honk" et "Live with me", qui m'empêchent de mettre 5/5...





Jimi HENDRIX
BAND OF GYPSYS


Le 23 Décembre 2006 par TERRY


Il faut le dire, ce "Band of Gypsys" est assez faible. Je ne crache pas sur un Hendrix de temps en temps, mais ce serait plutôt "Electric Ladyland", "Axis" ou le live "Blue wild angel"... plutôt que ce disque assez sympa, mais sans plus.





CAN
TAGO MAGO


Le 23 Décembre 2006 par TERRY


Oh la vache. Ceci n'est pas un album. Ceci est une Oeuvre d'Art. Carrément.
Inimitable, intemporel. Can, quoi.





Jimi HENDRIX
BAND OF GYPSYS


Le 23 Décembre 2006 par DANIEL PERRéARD


L'album que j'emporterais sur une ile déserte. Acheté en 1973, je l'ai écouté (savouré) au moins 6000 fois(véridique). A 52 balais, je prends toujours autant de plaisir à l'écouter. Oui il y a quelques défauts,quelques faussetées dans le chant, mais c'est de l'authentique, de l'extrait de GROOOOOOOOOOVE, bref la quintessence de la guitare électrique.





CAN
TAGO MAGO


Le 23 Décembre 2006 par LOUPIAC


Très éclairant !





The BEATLES
SGT. PEPPER'S LONELY HEARTS CLUB BAND


Le 22 Décembre 2006 par TERRY


Pas leur meilleur (je préfèrerai toujours le 'double blanc'), mais essentiel. Fabuleux, remplis de titres merveilleux ("She's leaving home", "A day in the life", qui me file des frissons à chaque écoute - la voix de Lennon...).
Incontournable.





CAPTAIN BEEFHEART
TROUT MASK REPLICA


Le 22 Décembre 2006 par TERRY


Magistral et loufoque, dingue, puissant...On sent bien la patte de Zappa ici (sa voix aussi, au début de "The blimp"). Don Van Vliet, alias le Capitaine Coeur de Boeuf, est vraiment malade. Selon la légende, il aurait composé les 28 titres en huit heures d'affilée, sur un piano (dont il ne sait absolument pas jouer). Qu'est-ce qu'il devait être défonçé.
Autre légende, avérée : il fallait apposer des quantités de sparadraps sur les micros ; Beefheart chantant tellement fort qu'il les faisait griller comme une saucisse en moins de deux...
Best cuts : "Orange claw hammer", "Old fart at play", "Dachau blues", "Frownland", "Moonlight on Vermont", "Veteran's day poppy", "When big Joan sets up". Aucune mauvaise chanson.
Un must-have total, même si l'écoute en est vraiment ardue. Il faut plusieurs écoutes attentives pour s'en imprégner. Et même là...il y aura toujours des surprises à l'écoute de ce monument.

Fast and bulbous !!







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