Le 23 Septembre 2009 par DENKO

Pour étayer un peu (je ne renote pas pour ne pas plomber la moyenne lorsqu'il y en aura une), je ne peux vraiment pas supporter cet album.

J'avais oublié le petit violoncelle sur "Mon Père était Tellement de Gauche"... Je sais pas si tu connais Pamplemousse Mécanique mais ça doit te donner une idée de la chose... Y savent jouer de la chanson Française, super !

"Le Jardin", c'est bien vous savez faire du Tryo. On a reconnu ! Heureux ?

"C'est l'histoire D'une Meuf", franchement les sons éléctros, ils les ont eu en promo avec l'augmentation du budget consacré à l'album ? Et ces riffs ridicules derrière... Allez, la basse est sympa !

"Boum", là c'est quoi l'imitation ? Attends je connais... Ah ça y'est ça revient, c'est du Superbus ! Encore une référence musicale, c'est magnifique vous savez tout jouer ! Mais... et l'originalité ?

"Seul Et Célibataire", bon ben l'inspiration... La même chose mais en plus punk, super... Quel intérêt, sérieusement ?

"Chinese Democracy", n'en parlons pas. Vous savez vraiment tout jouer, c'est magnifique...

"Les Princes du Parc", chanson facile sur un sujet facile... C'est même pas marrant !

"Ma Baraque Aux Bahamas", c'est marrant cette impression de déjà-entendu... Omniprésente...

"Lady Diana", bon allez le guitariste s'est lâché il a tenté de faire un bon riff... Dommage, ça marche pas !

"Le Combat Ordinaire", allez elle passe celle-là on va dire, pour être sympa !

Bref, heureusement qu'ils ont pas perdu leur sens de l'écriture... Parce-que sinon y'aurait vraiment rien à garder ! On sent vraiment ce besoin de montrer qu'ils peuvent être bons dans tous les styles. Gegers voit en ça un passage en revu de tous les genres... J'aimerai voir ça aussi, seulement Pamplemousse Mécanique le faisait tellement mieux qu'ici... Finalement, j'ai l'impression d'écouter un album aseptisé, alors que l'essence des Fatals Picards est tout le contraire. Et ça me tue.

Le 23 Septembre 2009 par MONSTER

Je ne trouve pas que ça soit son meilleur album, je trouve les deux suivants bien plus abouti. Généralement c'est "Hounds of Love" qu'on considére comme son chef-d'oeuvre. Perso je lui préfére "The Dreaming", sûrement son album le plus fou.

Le 21 Septembre 2009 par CEL

La chronique de Gegers me donne clairement envie d'écouter cet album, mais le commentaire de Denko me refroidit un peu. Cela dit, aimant la musique des Fatals Picards, je ne veux pas passer à côté de cet album. ^^

Le 21 Septembre 2009 par EL PACHENKA

Exagéré? J'avais 11 ans quand le phénomène Michael Jackson inondait les médias, pour mes yeux et mes oreilles de gosses. "Beat It", si je ne l'ai pas usé celui-là...! Il semblait improbable de ne pas trouver un collégien qui n'avait pas son "Thriller" ou qui ne jurait pas par ce disque. Au bout d'un temps, ça devenait too much à vous en dégoûter. Et là, encore, une radio FM actuellement diffuse sans arrêt les tubes de Bambi durant les journées et pas seulement ceux de celui de l'album du record de ventes mondiales.

Le 21 Septembre 2009 par KID66

Oui c'est vrai. Et je comprends tout à fait qu'on ne perçoive Asia que comme un groupe de Pop Rock FM commerciale. Néanmoins, leur musique est pour moi de grande qualité. Toujours très accrocheuse, mais aussi bien pensée. Le côté épique du groupe est irrésistible.

Je ne citerais pas Asia dans mes groupes préférés de Rock PROGRESSIF c'est certain, encore que ce premier album le soit légèrement, mais dans mes groupes favoris de Rock tout court.

C'est plus tard que le groupe flirtera vraiment avec du Rock FM commercial soupesque.

Et franchement, de là à dire que c'est de la "connerie musicale"... Et puis "balourd" n'est pas vraiment un mot qui colle à la musique d'Asia. La remarque d'Effreet sur le son est également incompréhensible.

C'est vrai qu'Astra sera plus expérimental, et il est d'ailleurs l'un de mes préférés du groupe.

Le 20 Septembre 2009 par EL PACHENKA

(Presque) sublime, délicieux et lumineux ! Un album beau comme un jour venteux face à l'océan sur lequel le soleil éblouit à sa surface. Plus possible de dissocier Brest la ville, en marchant depuis le port de commerce jusqu'à arpenter la longue l'avenue Jean Jaurès, sans penser à "Brest" la chanson. Quant à "Désolé Pour La Poussière", voilà un titre serein et déchirant à la fois, déchirant tant on semble entendre le tremblotement d'émotion dans le chant de Christophe Miossec à vous provoquer une petite marée lacrymale pour un soulagement définitif. Et "Pentecôte" ? Que dire sinon qu'il clôture l'album d'un magnifique tournoiement orchestral ?

Le 20 Septembre 2009 par SABELTANZ

Edifiant.

Leur deuxième album fait preuve d'une délicatesse et d'une subtilité dans les mélodies et les structures ("The noose", "The nurse who loved me", "Weak and powerless", "Lullaby" qui est une continuité de "Pet"...) que peu de groupes peuvent se targuer d'avoir.

Edifiant ; désolé, pas d'autres termes.

Le 20 Septembre 2009 par SABELTANZ

Bon, OK, le premier album manque d'homogénéité, quelques titres sont trop anecdotiques... Mais ne sommes-nous pas un tantinet trop critiques parce que nous connaissons le riche passé des musiciens ? Il ne faut pas oublier que cette galette a été un véritable bol d'air frais lors de sa sortie, au même moment que la scène rock américaine nous pondait des tonnes d'albums de "neo metal" plus médiocres les uns que les autres...

Cet album est empreint d'un lyrisme très particulier, qui, certes, va s'accentuer sur "A thirteen step".

Le 19 Septembre 2009 par ONCLE VIANDE

Cher C.Addict :

En retouchant un commentaire dont tu n’étais pas l’auteur (merci Guts of Darkness), tu as commis une erreur impardonnable pour un spécialiste : ni « Naima » ni « Syeeda’s song flute » n’utilisent les « Coltrane Changes » :-)

Il s’agit d’une chronique de vulgarisation (maladroite, j’en conviens), pas d’une analyse technique. Pour vulgariser encore un peu, disons que « Giant Steps » déforme les règles du hard-bop mais en garde l’essence (le tempérament blues est toujours présent sur ce disque). C’est une sorte d’« hyper-hard-bop » unique en son genre. N’étant ni modal, ni free, c’est sous l’étiquette hard-bop qu’il est le plus souvent présenté.


Cette nuit sur Mezzo : « John COLTRANE live in the 60’ » à 0h00.

Le 19 Septembre 2009 par HERJANN

J'hallucine ! J'ai du mal a considérer le fait qu'on trouve ce live (version dvd) mauvais, plat, "commercial" en somme. Je ne saisis pas ni la chronique ni le commentaire. Ce live n'est pas monstrueusement commercial. Pour moi, à l'inverse, il y a une vrai dimension rock'n'roll dans ce live. Je ne sais quoi penser quand je lis "Bellamy use et abuse de sons bizarres avec ses grattes", mais c'est bien un des aspect du caractère généralissime de Bellamy ! Je trouve dans ces bidouillages quelque chose de très moderne mais qui conserve un certains esprit rebelle/punk/rock, appelez ça comme vous le souhaitez. Le défi technique est génial, Bellamy ne fait pas qu'en mettre plein les yeux, les musiciens sauront apprécier le caractère furieux de ses interventions. Ses impros certes décalées sont de l'énergie a l'état pur, je trouve ça bien de se permettre ceci. Vraiment, les gars de Muse s'amusent comme des gosses avec des effets spéciaux omniprésents mais ils n'ont pas perdu la verve, oh que non ! Harpp est énorme assurément. Je ne vois pas quelle cible marketing tu évoques "Menclay". Si l'on considère que j'adhère à 90% du DVD alors j'en déduis que je rentre dans les critères, j'en déduis donc que l'homme adulte, musicien de Black Métal est la cible marketing des 3 Anglais. Arrêtons, lorsque l'on arrive à de telles conclusions stupides, les accusations faciles et non constructives au possible, que l'on apprécie ou non telle ou telle oeuvre.

Le 19 Septembre 2009 par C.ADDICT

Un chef d'œuvre de Hard Bop ? N'importe quoi. Et les "Coltrane changes" présent sur Giant Steps, Naima, Countdown, Syeeda’s Song Flute, tout ce jeu d'harmonie multi-tonales, du Hard Bop ? Allons allons, la particularité de ce dixe est justement d'être arrivé à l'extrême limite de l'expression harmonique du bop et d'ouvrir de nouvelles frontières vers le modalisme et le free (j'hésite à baisser la note en raison de l'impro foirée et foireuse de Tommy Flanagan sur la piste éponyme), mais de Hard Bop, que nenni ici.

Le 18 Septembre 2009 par DENKO

Non, pas possible.
Ils ont pas pu faire ça ! Mais c'est pas possible ! L'humiliation suprême pour un groupe qui se dit faire dans l'humour... Ils se sont pris au sérieux !

Merde les gars, c'est l'Eurovision qui vous a fait grossir le melon ou quoi ?

Faire des reprises de leurs propres titres, nan mais sérieusement, vous rigolez là ? Et ben nan, justement, c'est même pas drôle. "Mon Père Etait Tellement de Gauche", nan mais quelle blague... C'est quoi cette guitare acoustique, ce chant façon "émotion Nouvelle Star Kikoolol" ! Non les gars, vous faîtes pas de la bonne chanson Française, vous faîtes du punk/folk/rock hilarant ! Faut pas se tromper d'objectif ou se prendre pour ce qu'on n'est pas.

Ici, on veut la jouer sérieux. J'ai la désagréable sensation que ce disque veut nous dire "Regardez ce qu'on sait faire". Mais non, ça marche pas. Rien d'inventif, aucune évolution depuis Pamplemousse Mécanique, qui lui pour le coup était gigantesque.
Même l'humour devient prévisible, c'est dire.

Finalement, j'ai rarement été autant déçu avec un disque qu'avec celui-ci. Une honte. J'espère qu'ils se souviendront vite par où ils sont passés pour en arriver là et qu'ils nous pondront un album digne de Pamplemousse Mécanique, et pas une galette aussi sérieusement ridicule...

Le 18 Septembre 2009 par TERRY

GRANDIOSE !! Le meilleur de Cave.
Vous voulez un disque angoissant, oppressant, morbide, sombre, violent ? Cet album, datant de 1996, est dans ce cas fait pour vous. Il n'est pas violent musicalement parlant, mais niveau paroles (heureusement dans le livret, un livret très bien conçu, d'ailleurs), c'est loin de ressembler à La Petite Maison Dans La Prairie, je vous préviens. Murder Ballads, imaginé par Nick Cave (chanteur australien spécialisé dans le rock sombre et angoissant) comme un disque de repos pour son groupe les Bad Seeds, est assurément le meilleur album du groupe, leur plus gros succès commercial, mais aussi un des disques les plus implacables jamais faits.
10 chansons, pour 58 minutes en tout. Toutes (excepté la dernière, reprise superbe du Death Is Not The End de Bob Dylan, sur laquelle chantent P.J. Harvey, Shane McGowan (The Pogues) et Kylie Minogue) abordent une histoire de meurtre.

L'album est connu pour abriter un hit mondial, la chanson superbe Where The Wild Roses Grow, en duo avec Kylie Minogue. Je déteste Kylie Minogue en général, mais sur cette chanson (et sur la reprise dylanienne citée plus haut), la chanteuse australienne est parfaite. Nick Cave attribuera le succès de ce disque difficile à la présence de cette chanson, et de cette chanteuse. A mon avis, il n'a pas tout à fait réussi à comprendre comment un disque aussi glauque ait pu cartonner, mais il a du en être ravi aussi ! Pour info, la chanson parle d'un homme assassinant une jeune femme en la frappant avec une pierre, avant de lui glisser une rose entre les lèvres. Tragique, romantique...gothique.
P.J. Harvey, excellente chanteuse, est en duo avec Cave sur une autre superbe chanson, Henry Lee, qui parle d'une jeune femme assassinant un garçon de son âge parce qu'il ne veut pas devenir son amoureux. Les autres titres de l'album sont interprétés uniquement par Nick Cave, dont la voix, grave, comme sortie d'outre-tombe, colle parfaitement aux textes (même sur la chanson The Curse Of Millhaven, narrée par une adolescente du nom de Lottie - Nick Cave chantant une chanson racontée par une femme, ah ah - , une adolescente perturbée assassinant lentement mais sûrement la population de son village, par moyens divers et variés).
Cette chanson sur Lottie est une des plus grandes du disque. Parmi les moments les plus magistraux (il y en à tellement, preque tous, en fait !), Song Of Joy, qui ouvre le bal, est mémorable : l'histoire d'un vagabond dont la femme et les trois gosses ont été assassinés par un inconnu, un jour qu'il n'était pas chez lui. On soupçonnerait même le narrateur d'être l'auteur de ces crimes, mais je ne pense pas que ça soit le cas.

On trouve aussi quelques chanson traditionnelles, ici, un peu revisitées par Cave : Crow Jane, dans laquelle une jeune femme autrefois violée par 20 mineurs (pas des gosses, hein, mais des mineurs de fond) retourne sur les lieux du drame (New Haven, population : 48) pour se venger (par la suite, Population, now : 28). On trouve aussi le mégaclassique Stagger Lee, dans lequel un homme du nom de Stagger Lee, bandit afro-américain, sème le chaos dans une petite ville. Autre morceau traditionnel revisité, Henry Lee.
Lovely Creature parle d'un amour impossible (ou presque) dans la vie, et totalement révélé par la mort d'un des deux protagonistes. Ce morceau est un peu parasité par des choeurs féminins un peu lourds, et est sans doute le titre le moins bon du disque, mais tout est relatif : il est quand même envoûtant. The Kindness Of Strangers nous dit qu'il ne faut pas faire confiance aux étrangers, même ceux qui paraissent gentils : ils finissent invariablement par vous tuer...Enfin, impossible de parler de Murder Ballads sans aborder l'avant-dernier titre, O'Malley's Bar, parce que ce morceau, le plus long du disque, fait la durée respectable de 14,30 minutes ! Et raconte le massacre, dans un bar, de tout le monde, par un homme pétant les plombs après avoir bu un coup.
Grandiose, sombre, inquiétant, parfois éprouvant (le mélange entre paroles glauques et musique souvent calme est détonnant), Murder Ballads, avec sa pochette superbe et froide (une peinture à l'huile montrant une petite cabane éclairée au fin fond d'un bois enneigé, parfaite illustration de Noël), est un sommet absolu. Vous voulez découvrir Nick Cave ? Commencez par celui-là. Mais attention, âmes sensibles s'abstenir, surtout les anglophones, car c'est très très morbide.

Le 18 Septembre 2009 par ERWIN

Ta kro m'a donné envie de connaitre Nick cave, mon cher Streetcleaner. Le titre "Where the wild rose grow" est sublime mais connu. Aprés une première écoute, je suis tés surpris par la noirceur du personnage, par ses textes d'une incroyable force. Je réserve ma note pour plus tard mais déjà merci pour cette splendide découverte.
La Dylan en devient méconnaissable...

Le 18 Septembre 2009 par STREETCLEANER

Oh Erwin, avec ce skeud tu me fais revenir plus de 20 ans en arrière quand j'écoutais ça au lycée (mode nostalgie on). Ta chro m'a un peu obligé à réécouter l'album et je crois que tu as utilisé le bon terme, car oui c'est du rock bien sympa et sans prise de tête, que ce soit "The Heart of Rock And Roll" bien entraînant et qui sent la bonne humeur ... on trouve ici quand même pas mal de classiques de Huey Lewis que ce soit ce premier titre, "Heart and Soul", "I Want A New Drug" (effectivement totalement plagié plus tard pour Ghostbusters, c'en est honteux tellement ils ont repris ce morceau quasiment note pour note !), "Walking On A Thin Line" (mon morceau préféré de l'album), "Finally Found A Home" ... finalement on pourrait assimiler le disque à un mini best of ! A mettre le matin pour bien commencer une journée tout simplement ...

Le 17 Septembre 2009 par DOL THEETA

Enorme chronique pour disque de rock excellent, si on fait abstraction de certains refrains trop mielleux, voire exaspérants. Mais Bryan Adams était bien un vrai rockeur qui pratiquait l'art du riff de guitare.

Le 16 Septembre 2009 par CéDRIC

Un très bon album que Queen nous a sorti malgré les claviers typiquement années 80. J'ai un faible pour one vision, a kind of magic, princes of the universe, friends will be friends, who wants to live forever, et la magnifique ballade one year of love composée par le bassiste john deacon.

Le 15 Septembre 2009 par LULUBELLE III

Je suis SIDEREE de voir ce que certains écrivent sur ce disque, qui est pour moi un des grands chefs d'oeuvres de ce siècle.
D'abord sur le prétendu "génie" de Barrett... je pense qu'il faut un peu relativiser, c'est du psychédélique bien sympa à la mode dans le milieu des années 60, inspiré des Beatles période Rubber Soul/Revolver, et, même si on ne peut pas nier son apport dans l'évolution de la musique, celui qui se fit APRES son départ est bien plus important.
Et oui, Pink Floyd a su inventer un style propre, qu'il est difficile de classer dans une case. Mais les gens aiment bien classer dans des cases, alors ils l'ont mis dans la case "rock progressif", à côté des King Crimson, ELP et autres Yes, alors que leur logique est complètement différente!

Il y a donc des tas de commentaires qui comparent DSOTM à tel ou tel album de prog, celui que j'ai vu revenir le plus souvent étant "Lark's Tongues In Aspic" de KC, sûrement parce qu'il est sorti la même année. J'aime moi aussi beaucoup cet opus de KC, mais les deux sont incomparables! Celui de KC est un pur album de prog, assez tourné vers l'expérimental, la technique pure. DSOTM, c'est une autre approche de la musique, ce n'est pas de l'expérimental pour l'expérimental, de la technique pour la technique, c'est des compositions pleines de feeling et de beauté sobre. Parfois, et même souvent, ils préfèrent laisser des espaces lourds de sens plutôt que se lancer dans un gros déluge de sons sans queue ni tête, l'exemple le plus flagrant étant "Us And Them". Et celui qui n'est pas ému par "The Great Gig In The Sky" est un sans coeur!!

Bon, je vais arrêter là parce que je pourrais écrire un roman sur ce seul album, mais juste deux dernières remarques.
-Premièrement, ceux qui parlent de Wright qui est soit disant brimé par Waters (soit dit en passant, c'est bien facile de tout rejeter sur le grand méchant Waters...), c'est légèrement anachronique puisqu'à l'époque du Dark Side, les 4 s'entendaient encore plutôt bien et on ressent le travail collectif d'ailleurs. Et Wright est encore très créatif, sinon qui joue les accords sublimes de "The Great Gig In The Sky?"
-Deuxièmement, pour les progueux snob, ce n'est pas parce qu'un album est adulé du "grand public" qu'il est forcément nul... un peu de modestie, les gens autour de vous ne sont pas forcément tous des abrutis...

Désolée pour la longueur du truc, je voulais pousser mon coup de gueule, parce que trop c'est trop... (et je mets 5/5, bien sûr!)

Le 15 Septembre 2009 par JUMBO

Mouais... personnellement je le trouve beaucoup moins bon que le premier KJ, qui est pour moi leur chef-d'œuvre absolu. Il n'y a pas ici de titres géniaux comme "Requiem" ou "Tomorrow's World", ni de morceaux aussi intenses que toute la face B de Killing Joke, mais beaucoup plus de titres dans l'esprit de "Wardance", et ce n'est pas vraiment ce que je préfère. Bon, on a tout de même l'extraordinaire "Butcher" qui pour le coup va plus loin dans la noirceur et la saturation que le premier album, ainsi qu'un "Follow the Leaders" très entraînant, mais dans l'ensemble je suis un peu déçu. Mais il est vrai que cet album est difficile d'accès et je ne désespère pas de l'apprécier un jour à sa juste valeur... Pour le moment c'est juste "pas mal" !

Le 13 Septembre 2009 par DONCHA

Après le Rubber Soul trop hésitant, l'un des meilleurs albums des Beatles.
Franchement, la presque totalité des chansons sont des tueries, notamment Taxman, Eleanor Rigby, I'm Only Sleeping, Here, There And Everywhere, For No One, Doctor Robert, GTGYIML, TNK (Oh ! tiens, beaucoup de classiques dans cette liste).

Je n'aime pas du tout Love You To (pourtant j'aime bien Whitin You Without You sur Sgt. Pepper) et Good Day Sunshine, trop simpliste et lourde.

Enfin, je ne vais pas faire toute la liste, sublime album (et qui finit magistralement).