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DANCE  |  STUDIO

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ALBUMS STUDIO

1999 On The 6
2001 Jlo
2002 This Is Me... Then
2005 Rebirth
2011 Love?
2014 A.K.A..
2024 This Is Me...Now

Jennifer LOPEZ - On The 6 (1999)
Par ERWIN le 5 Janvier 2014          Consultée 1871 fois

Le plus beau cul du showbiz ! C’est pas beau ça les gars ? Et vous avez pu croire un seul instant que j’allais pas la garder pour moi ? Ouais J Lo, c’est la classe… Et il parait même qu’elle est chanteuse à la base ! Dingue non ? Alors notre Jennifer est une vraie américaine contrairement aux idées reçues. Née à New York de parents certes Portoricains mais bien loin du syndrome West side story, elle a connu une enfance protégée, a fait son petit parcours tranquillou et s’est rapidement mise à la danse – tu m’étonnes vu la carrosserie -. Elle partage son temps entre une étude de notaire et des piges de chorégraphie. Après quelques années elle décroche le job aux cotés de Janet JACKSON, qui est au sommet des tops en 93, elle a alors 24 ans. Ce n’est ensuite plus qu’une question de chance et de volonté pour décrocher le contrat qui lui permet de lancer sa carrière. Le cinéma lui tend les bras avec « Selena », « Anaconda » puis « U-turn » qui la positionne clairement en futur sex symbol.

Elle est déjà une star lorsque sort en 99 son premier single, héraut de cet album, « If you had my love ». Cette bluette R’n’B à la vague ambiance latina, va atteindre le top du Billboard ! Pour un coup d’essai, seule la BRITNEY avait accompli cette performance avant elle. Bon, le ch’titounet refrain est sympa, et Jen est déjà très à son avantage dans la terrible vidéo… On s’en serait douté ! C’est scandaleux, on en oublie la musique ! L’album embraye et s’intitule « on the 6 », soit la ligne de métro qu’elle prenait pour rentrer chez elle à Castle Hill, c’est joli, c’est autobiographique ! Les singles déboulent alors devant le succès incroyable des ventes. Et c’est un duo hispanisant avec son mari de l’époque Marc ANTHONY qui poursuit l’aventure : « No me ames ». C’est un slow dans la pire tradition des grandes daubes de l’histoire musicale. Je ne peux donc vous conseiller le visionnage de la vidéo que pour vous moquer, méfiez-vous toutefois, ce titre pourrait vous donner envie de balancer votre écran par la fenêtre… Contrôlez-vous ! Attention ! Il y a une autre version plus loin sur le skeud méfiez-vous, elle est encore pire !

On continue dans les débordements R’n’B lascifs avec « Waiting for the night », un vague beat de batterie porte ce titre vers les boites branchées salsa ou elle tournera pendant les deux semaines que dureront son succès. Le refrain n’est pas désagréable. La vidéo est une chef d’œuvre en revanche, comprend pas ce que vous trouvez à BEYONCE les mecs… Ensuite, bin ya « Feelin so good » qui déboule, une espèce d’essai Rap R’n’B sans réel intérêt si ce n’est la vidéo qui montre Jen au saut du lit en train de faire joujou avec ses téléphones… Hé ! Restez là les gars au lieu de vous jeter tels des gorets sur la vidéo… Blaireaux va ! Attendez au moins la fin de la kro ! Le dernier extrait de l’album voué au top du billboard est « Let’s get loud »… Aaaah, enfin autre chose que de la daube ! En effet, Jen est totalement à l’aise sur ce titre aux consonances latinas qui lui permet de tirer le meilleur parti de son corps de feu lors de ses prestations scéniques tout en ne choquant pas le cortex de l’auditeur ! Un morceau réussi et vraiment festif !

Bon, mais le reste de l’album existe aussi ! Il y a plein de dégoulinades daubesques, on citera en vrac « Should ve never », « Could this be love » des slows tout pourris, « Too late » qui s’écoute mais peut se révéler insupportable rapido. « Promise of my love » s’adresse visiblement aux moins de 15 ans… Je me sens guère concerné du coup… « Talk of us » est à peine plus écoutable.
Dans les trucs plus sympas, on signalera la dansante « Open off my love », la sinueuse « It’s not that serious » ou les chœurs font preuve d’une belle efficacité. Sur les bonus il faut aussi signaler les présences de la torride « Baila » ainsi que de la superbe reprise de Diana ROSS « Do you know where you’re going to » ou la douceur de sa voix est presque surprenante et qui va permettre –ouf ! – au disque d’atteindre les deux étoiles.

8 millions de cette galette vont s’écouler de par le monde. Un véritable phénomène de société, car à part deux ou trois titres, on ne peut pas légitimer l’achat d’une telle cuvée, même si on peut s’empiffrer les yeux des visions célestes des formes de Jen.. En tout cas, elle me semble beaucoup plus recommandable que ses consœurs… Qu’est ce vous dites ? Faut que j’arrête de mater ses vidéos ? Bah, vous vous rendez pas compte de l’effort que cela représente ? Arrêter ainsi sans prescription médicale ? C’est pas avec des BEYONCE ou RIHANA que je vais me guérir de cette addiction, c’est moi qui vous le dis…

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   ERWIN

 
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1. If You Had My Love
2. Should’ve Never
3. Too Late
4. Feelin So Good
5. Let’s Get Loud
6. Could This Be Love
7. No Me Ames
8. Waiting For Tonight
9. Open Off My Love
10. Promise Me You’ll Try
11. It’s Not That Serious
12. Talk About Us
13. No Me Amas
14. Baila
15. Do You Know Where You Going To



             



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