Féroces n'a qu'à peine plus de deux ans d'existence. Donc tu es tout excusé.

Merci pour ta réponse :) pour le coup, d'avoir fait une erreur aussi grossière concernant l'orthographe c'est plutôt "Ducon" qu'il faudrait m'appeler.... ahah... je connais Ange depuis plusieurs années et je n'avais jamais fait attention que le nom des 2 frangins était Décamps et non Descamps. Shame on me !!! En tout cas, étant pourtant franc comtois je n'avais jamais entendu parler de Féroces... Encore un "shame on me" pour moi ahah

Bonjour.
Tout d'abord, merci d'avoir apprécié la chronique.
En fait pas du tout, ils ne sont aucunement en parenté, tout simplement parce que l'orthographe de leur nom de famille diffère. Décamps pour Christian (de Ange) et Descamps pour Sébastien (de Féroces).
Mais la question était tout de même légitime et très pertinente.

C'est parce qu'il avait la flemme : gagner trop d'argent rend fainéant. lol

@Long John Silver : Effectivement ! Je viens d'écouter cette version. Pas mal du tout !
Par ailleurs, ironiquement, concernant l'album de Supertramp, ce titre est précisément celui que j'aime le moins de l'album ! (mes titres préférés sont : Gone Hollywood, Goodbye stranger et Take the long way home).

@NONO
Il existe une version du titre par Les Satellites intitulée "Break Dub In America", instrumentale pour le coup.

Ce titre est traduit en français sous la forme "déjeuner en paix", de l'album "Engelberg" de Stéphan Eicher.

La réponse se trouve dans la question ! .-)

Vous êtes justement tombé dessus ! Quel heureux hasard !

Merci à Jairplane, le kingbee et yan le coadou pour leurs avis et conseil.
Cordialement

Les live à Monterey et à Woodstock sont recommandables , le premier est un bon témoignage de la première partie de son oeuvre, le second moins facile d'accès reste un témoignage cru mais important de l'état d'esprit d'une génération.

Bien que n'étant pas inconditionnel, "Machine Gun-Fillmore East 69" et Band Of Gypsys" demeurent recommandables. Après je ne connais pas tous les Live posthumes ni les bootlegs.

très bon souvenir du live "band of gypsys " avec buddy miles

Alors officiellement, je ne sais pas du tout, juste que "John Carson avait d'autres projets musicaux plus orientés vers le blues (et qui ont donné lieu à deux albums à la réputation absolument infâme)

Officieusement, j'ai des raisons personnelles de penser que le management à la cravache de Pointer et Nolan en a soûlé plus d'un... d'où dégageage de navire alors même que le succès commercial était inespéré.

La famine, pardi : Clive Nolan bouffait toutes les chips et Mick Pointer sifflait tout ce qui se buvait !

Le groupe vient juste de sortir la réédition remastérisée de "And Justice For All" (avec les parties de basse de Jason Newsted plus audibles que dans le mix original à priori). Le reste devrait suivre logiquement...

Ah bon ? Je pensais point de vue style, faut préciser alors

@Marco : Ben si, une analogie avec Chantal Goya y en a dans cet album : "Rev on the red line"... Et Chantal, elle nous emmène au pays des Rev.
Ohlala, elle est bonne hein !

Equivalence "membre" (d'un autre groupe, ou a souvent joué avec un autre artiste), en effet oui.

Ian McDonald parce qu'il est un membre fondateur de KING CRIMSON et Mick Jones parce qu'il a composé/arrangé/interprété à la guitare de nombreuses chansons et albums de Johnny HALLYDAY entre 1964 et 1974.

Toutefois, si vous connaissez un lien de ce style avec Chantal GOYA, merci de nous en faire part.

Ah..? je croyais que c'était "Famous last words"

Je dirais même plus : "famous last words".... vous z'entendez ? Famous last words !

"...Famous last Words..." (1982) piste 3!

"Famous Last Words", de 1982. Dernier album avec Roger Hogdson.

"It's raining again" est extraite de "Famous last words", dont la chronique est en préparation.

Sans oublier la part ésotérique dans laquelle baignait le groupe et où chaque détail était (semblait?) relié à un symbole ésotérique/occulte.

Pour qu'on se pose la question...
Je ne dis pas ça pour me foutre, mais c'est bien parfois de se faire remarquer, histoire de faire tourner les gens en bourriques comme avec la sorte de rumeur à coucher dehors comme quoi Paul Mc Cartney aurait été tué dans un accident de voiture et remplacé par un sosie, du coup on avait reperé soi-disant des signes sur les pochettes d'albums, des messages codés, etc...

Sans aucunes sources véridiques, j'ai vu qu'en fait Lennon voulait une image de lui et Yoko. Selon lui c'était ça « ou rien » et ce fut rien.
(Wikipedia..)

C'était également pour les Fab Four un moyen de prendre un virage à 180° après le côté sophistiqué de "Sgt Pepper".
Pour ce dernier, ils avaient emprunté un nom de groupe inspiré des formations américaines aux patronymes interminables == revenons à la base et appelons le "The Beatles".
La pochette de "Pepper" était truffée de détails == faisons au plus simple. Elle sera blanche et le nom du groupe apparaîtra en relief (sur une idée de son concepteur, Richard Hamilton).
Et comme l'a dit Terry, elle reflète les goûts avant-gardistes du couple Ono-Lennon.

Notons qu'on leur avait également proposé une pochette où leur visage était sculpté dans la montagne, comme les présidents américains sur le mont Rushmore. L'idée fut refusée et reprise par Deep Purple, deux années plus tard pour "In rock".

A la base, l'album aurait du s'intituler (lors de sa conception), "A Doll's House", et la pochette aurait du représenter une maison de poupées. Mais le concepteur (qui n'est aucun des Beatles, ni Yoko) a eu une crise de fainéantise, et a conçu cette pochette vierge de toute inscription.
Après, c'est clair aussi que cette pochette représente parfaitement les idées avant-gardistes de Yoko Ono et de Lennon à l'époque...
Cette pochette est la plus belle échappatoire d'un concepteur de pochettes d'album !

Bonsoir,
Il n'y a pas d'impératifs de délais sur FP ni de consignes de "coller au plus près de l'actualité". En fait, il arrive avec le temps qu'on soit capables de cerner très rapidement un disque, on sait que si on le fait tourner quelques jours de plus ou quelques semaines supplémentaires il n'en ressortira rien de plus intéressant. C'est une chose qu'on apprend avec le temps et l'expérience et en fonction des genres qu'on maîtrise. Comme le dit Marco il peut nous arriver de faire une revue de nos anciennes chroniques et notes et souvent on constate qu'on ne modifie rien ou quasiment rien. Cdlt, Streetcleaner

Bonsoir,

Il nous arrive de recevoir des disques en avant-première, mais c'est rarement le cas en effet.

Il y a un moment où sur Forces Parallèles, nous élargissions le mot "nouveauté" jusqu'à 10 mois après sa date de publication. Certains ont trouvé que c'était beaucoup trop long, que 2 mois étaient déjà trop (en librairie, c'est un trimestre).
Moi-même, je suis pour que le délai reste large, quitte à parler de nouveaux disques au bout de trois mois, en espérant relancer l'intérêt.
Au final, il n'y a pas de réel délai imposé, même si évidemment, plus on laisse de temps passer, moins l'impact est grand. Être chroniqueur, c'est aussi être un peu journaliste.
Seulement contrairement à un fait de société, un disque de musique est une trace qui ne bouge plus, du moins plus sous sa forme originale. Et à force de pratiquer la chronique pour loisir, c'est un peu comme dans le domaine de la vente, il y a une notion qui se développe et qu'on appelle "l'écoute active". On reçoit des informations (le disque) et quelque chose se crée (une idée, un ressenti) de façon simultanée. Cela peut durer deux ou trois jours, si on trouve suffisamment de temps pour les écoutes répétées. Des fois aussi, on sait emblée que l'avis ne changera pas. Ainsi en va-t-il des derniers Steve HACKETT pour ma part, tous chroniqués au moment de la sortie, parfois le jour même. Et en tentant d'y revenir, ça n'a pas fonctionné davantage.
Si c'est plus difficile quand il s'agit d'un genre musical qui nous est étranger, lorsque ça se rapporte à un terrain connu, cette sensation d'écoute active vient plus rapidement. Ne reste qu'à trier les idées, mettre en forme...
D'autres fois, on a besoin de plus de temps, d'écoutes...
La date de sortie nous donne un élan pour que ce soit vite fait certes, mais pour beaucoup de choses, le recul n'est pas toujours une sorte de maturité qui prouve qu'on a eu un avis faussé : pour ma part, il y a eu très peu de nouveautés pour lesquelles mon avis a changé diamétralement, en bien ou en mal, au fil du temps. Pareil pour les archives.
Chacun fait comme il sent, en fait. Certains de mes amis ont beau être des spécialistes de longue date par rapport à ce qu'ils aiment, ils se disent incapables d'écrire comme nous le faisons, mais ils n'ont pas essayé ou alors pas persévéré. Même si c'est à propos de choses qu'ils connaissent depuis des années.
C'est parfois plus une question de capacités, d'habitude et de sensations que de temps.

En espérant avoir répondu à ta question.
Bien cordialement.

Possible, je ne connais pas Hackett en solo.
Mais avis perso, je trouve que Rothery est plus influencé par Gilmour.

Et pour pousser plus en avant le jeu des influences, du moins en ce qui concerne la période Fish(la plus proche de Genesis donc), c'est surtout Mark Kelly qui est inspiré par Tony Banks, bien plus que par n'importe quel autre claviériste du milieu.

Mosley n'a pas grand chose à envier au grand Phil derrière les fûts, peut-être qu'il l'admire aussi.
Trewavas, c'est du Rutherford tout craché.

Fish, hormis pour la théâtralité empruntée à Peter Gabriel, me semble plus inspiré par Peter Hammill, leurs timbres respectifs sont assez proches.
Et enfin pour ses textes, je dirais qu'il prend un peu des deux: l'aspect écorché vif de Hammill et l'univers satyrique de Gabriel, le côté "rêves et ses incohérences" si cher à ce dernier en moins.

Bref, Marillion avec Fish, c'est Genesis + Pink Floyd + Van Der Graaf Generator, en moins alambiqué et moins chiadé (ce qui ne veut pas dire que c'est mauvais, bien au contraire).

Il est prévu que je continue la discographie de Pierre Bachelet. C'est le temps qui me manque surtout. Je vais faire mon possible pour la poursuivre cette année.

Ils ont caché la misère comme ils ont pu... Cela leur a plutôt bien réussi, et c'est mérité, car les morceaux que tu as cités sont des tueries.

Pas mal ton interprétation Nono !!! .-)

@Leo, effectivement, une sorte d'aboiement.
Je pense finalement que la réponse est là : ils ont fait venir un clébard dans le studio, l'ont attaché à la batterie, avec le micro devant le museau et derrière une pédale de grosse-caisse qui lui bottait le cul (d'où les aboiements secs) LOL.

Si on parle bien du même bruit (qui fait penser un peu à un aboiement), j'avais lu quelque part que l'effet était produit à partir d'une ligne de basse jouée au synthétiseur (un EDP Wasp) et dont le son fut trituré et transformé.
Personnellement, cet effet ne m'a jamais fait flipper mais m'a toujours copieusement agacé !

J'aurais tendance à penser que c'est une voix, avec pas mal d'effets et traficotages en tous genres par-dessus. Aucune certitude par contre, juste mon ressenti de mélomane, et ça pourrait effectivement également être un synthé.

Cela semble évident. Autant que "Ace on Base" est un plagiat d'Abba, ou qu'une goutte d'eau ressemble à une autre !

Absolument, cette pochette fait en effet référence au disque des Stones et à la pochette réalisée à l'époque par Andy Warhol. C'est Vince Neil qui a posé pour l'occasion.
Bien à toi
LJS

Qu'il s'agit d'un pur hasard.