SI POUR la lourdeur des riffs , les liens musicalement étaient souvent étroits entre les headbangers fans de riffs doom sabbathiens, de speederie à la MOTORHEAD et les envolées punks not dead à la GBH/DISCHARGE. Après en 77 les punks critiquaient sabbath surtout pour leur coté rock stadium . Ne pas oublier qu'OZZY se foutait aussi des hippies en 69 et que plus tard il déclara être punk avant l'heure

Ce titre figure dans un single d'Anal Cunt (groupe US) et dans un autre les anglais de Ted Maul. Il s'agit là de 2 tribute à Black S.

non par contre un temps discharge fut influencé par black sabbath

Absolument pas !

D'accord. Confère BÖC et sa déclaration d'amour au Messerschmitt 262 (malgré la présence de plusieurs Juifs dans le groupe) ou le SS du KISS de Stanley et Simmons !
PROVOCATION !
Inutile d'aller chercher plus loin.

plusieurs groupes post punk/ dark folk/indus ont joué sur cette ambiguité par la suite (DEATH IN JUNE, SOL INVICTUS, NON...). Tous étaient influencés par JOY DIVISION, certains ont élaboré un discours autour du darwinisme social plutôt rand, il faut l'avouer...Sinon la provoc de la bande de ian curtis était dans la continuité du punk (sex pistols et avant ron Ashton des STOOGES), arborer des colifichets nazis ou une imagerie liée au 3 eme reich était ni plus ni moins de la pure provoc pour choquer la vieille bourgeoisie mais les "liblib" (libéraux libertaires englués dans l'idéologie hippie ) de l'époque (futurs bobos en gros)

J'ajouterais aussi les premiers albums d'OMD (groupe que j'aime bien, pourtant)... des titres comme:
The Messerschmitt Twins
Bunker Soldiers
Enola Gay
Radio Prague
(...)

Que dire des "ignobles" RAMONES, alors, sur leur premier album ?

"I'm a shock trooper in a stupor
Yes I am.
I'm a Nazi schatze
Y'know I fight for fatherland
Little German boy
Being pushed around
Little German boy
In a German town
Today your love, tomorrow the world"

Néo-nazi ? Joey était juif et ce titre est composé par Tommy (de la même confession que le chanteur).

Un type d'expression a mon avis totalement impossible en France de nos jours, sous le règne de M. Valls. Vive la liberté d'expression.

Et il ne faut pas oublier non plus que le groupe est issu à l'origine de la mouvance punk, dont les provocations étaient souvent du même goût douteux, soit pour se faire connaître soit tout simplement pour la provoc' !

Après la sortie d'An Ideal for Living (le fameux EP et les images en référence au nazisme), Morris avait déclaré dans une interview qu'il considérait cela comme un hommage à la mémoire des sacrifiés de la 2nd Guerre Mondiale, une piqûre de rappel pour les générations futures.

Salut.
Après quelques recherches de mon côté, je pourrais préciser que la pochette de leur premier LP est la reproduction d'une affiche des Jeunesses Hitlériennes (l'enfant au tambour), et que le verso est la reproduction d'une célèbre photographie du ghetto de Varsovie sur laquelle un soldat allemand menace de son fusil un petit garçon.
Quelle conclusion en tirer, je ne le sais. Volonté de provoquer ou de dénoncer ? Cela reste ambigu.

Il n'est pas toujours évident de savoir si un groupe voire un style musical approuve des idées ou les combat...
Dans le cas de Joy Division, comme d'une partie du mouvement punk/post-punk/new wave, il y a parfois une certaine ambiguïté envers le nazisme, mais on peut penser que la grande majorité des groupes y étaient en fait totalement opposés.
Leur nom, Joy Division (la "division de la joie"), provient de cette légende qui voudrait que les plus belles filles juives envoyées à Auschwitz étaient exploitées comme prostituées, dans un bordel au sein même du camp, la "maison des poupées". Il s'agit plus que probablement d'une affabulation de l'écrivain Ka-Tzetnik, mais qu'importe, la référence est bien là. On peut citer aussi la chanson "Warsaw", parlant de Rudolf Hess, Warsaw étant également leur premier nom, évoquant Varsovie, ville martyre de la seconde guerre mondiale s'il en est (voir également le morceau de Bowie sur l'état de la ville dans les années 70). Quant à leur dernier nom New Order, c'est une question de "nouvel ordre" qu'on peut également relier à l'extrême-droite.

Même si je n'aime guère ce groupe, il me paraît évident qu'ils n'étaient pas d'extrême-droite et ont au contraire voulu dépeindre l'horreur de la chose, l'horreur de la civilisation humaine au vingtième siècle, ce qui colle très bien avec leur musique très dépressive...

cheveu est un des rares groupes estampillé noise rock qui pratique une musique qui est loin d'être "revival" avec aussi LA TERRE TREMBLE et ELECTRIC ELECTRIC dans la scène française...Récemment ils ont joué avec un groupe touareg et c'est plutôt planant

18/01/2013 Toulouse

Punk, électronique, noisy. Trois ingrédients et trois musiciens au top pour un show époustouflant. Le volume est très puissant, le chanteur furieux, les synthés bruitistes et les acrobaties poussés à l’extrême tandis que martèle une guitare crade dans un magma industriel. Enorme pogos provoqué par l'épileptique mur de son transcendantal, grosse ambiance, le chanteur se jette dans le public, on envahit la scène et on tape comme des cons sur les instruments (sur l'invitation du chanteur) avant de sauter dans la foule suante et hors de contrôle. Grosse ambiance.

06/06/2014 Toulouse

Cheveu envoie un peu moins de pâté que l'an dernier, mais rends ses rillettes plus subtiles. L'ambiance démentielle du concert de l'année dernière n'était pas au rendez vous, mais l'électro noise effréné qui clôt le concert nous insuffle un certain jet de connerie dévastatrice. Pogos, slams... puis on monte sur scène, deux idiots bourrés pour pianoter sur le clavier de David qui a quitté la scène. Le mur de son prend alors fin.
Douze heures d'acouphènes.

25/09/2014 Bordeaux

Déjà le troisième concert de Cheveu auquel j'assiste. Le rocher palmer est une trop grande salle (et pas assez peuplée) pour que la folie épileptique du groupe saisisse la foule comme ce fut le cas auparavant. Le public est mou et les acrobaties pittoresques du chanteur n'y peuvent rien: même à haut volume, la transe du public n'est pas collective, elle est individuelle. Blasé, le groupe nous toise et, après avoir balancé ses tubes, balance une demi heure de noise apocalyptique, comme pour nous punir de ne pas nous donner autant qu'eux sur scène. On sent de la souffrance sur le visage du chanteur qui gueule un coup monstrueux, bien à côté de son micro, pourtant très audible. On souffre pour ses cordes vocales.
Puis le dépit arrive: Cheveu sait qu'il ne créera pas de chaos ce soir, alors il se fout de notre gueule. Frappe les micros entre eux, marche sur ses claviers, nous regarde avec une haine presque animale, et fait comme si de rien n'était, nous balance des pleines bouteilles d'eau dans la figure. Mais on sent qu'il a vraiment les boules. Pendant ce temps, le mur sonore balance des décibels à 120 bpm et les potards de volume sont encore poussés plus fort pour nous flageller.
Le groupe se casse frustré de ne pas avoir retourné le public comme à son habitude. A domicile qui plus est. Pourtant, le mur sonore envoyé par Cheveu s'est toujours avéré démentiel. Trop peu de monde ? Salle trop grande ? Passage trop tardif ? Un public trop-vieux venu voir du post-rock (cf la première partie Thee Silver Mt Zion Memorial Orchestra) ?
Sûrement un peu de tout ça... Mais malgré ce manque manifeste de magie noire, la prestation désabusée de Cheveu est restée fidèle à elle même, même dans l'échec: nihiliste et résolument punk.

J'avais bien aimé les deux premiers albums et pas vraiment celui-ci...J'ai vu le groupe en festival et mon avis a complètement changé. C'est une grosse tuerie, le son prend une toute autre dimension. Et d'ailleurs les chansons de Bum prennent un tout autre aspect et il s'avère qu'on comprend beaucoup mieux l'album après les avoir vu en Live. Enfin c'était mon cas, si tu peux les voir, fonces !

CHEVEU a une sacrée bonne réputation en concert d'après ce que j'ai pu en entendre à droite à gauche. Mais si tu n'as pas aimé les albums, je doute qu'en live ça soit différent, même si le groupe propose un son un peu plus trashouillet.

Personnellement, je n'ai vu le groupe qu'une fois, à Chauffer Dans la Noirceur en juin dernier, et je dois dire que le groupe m'a franchement déçu ... Mollasson, un chanteur un peu hautain devant un public pourtant acquis ... C'était mon impression en tous cas.

L'idée c'était de dire que le mec de 1994 laissait pas du tout paraitre une aussi belle voix claire.
Sinon CHIPSTOUILLE pour un fan c'est un plaisir de te lire, mon album préféré à beau être Deliverance je passe beaucoup de bon temps avec le petit dernier !

Moi je dis il bluffe.
Déconnez pas Marconi...

Black Death... la frontière est quand même vachement ténue pour certains vocalistes, après tout dépend à qui on compare. D'accord avec les démos (enfin les titres bonus qui figurent sur des secondes éditions d'Orchid et Morningrise pour ce que j'en connais...) par contre, Akerfeldt a clairement évolué entre Orchid et les albums suivants depuis un registre plutôt teinté black vers un registre carrément Death.

Là n'était pas vraiment le propos.

La musique est Black mais le chant est assurément Death. C'est encore plus "parlant" dans les démos et les live.

Pour mes obsèques, si je devais choisir... Pour Genesis ce serait "Who Dunnit" (juste histoire que personne n'oublie mon humour et mon sens de l'auto-dérision.... mais si le croque-mort en chef trouve ça déplacé, je lui dirai en songe de mettre "Afterglow"), et pour une chanson de Phil Collins ce serait "I wish it would rain down".

Chère madame, puisque nous parlons de projets gais, je rajouterais que "For Absent Friends", chanson de Genesis (extraite de l'album Nursery Cryme paru en 1971) sur laquelle Phil Collins ne joue pas de batterie mais assure les chœurs (du moins il me semble) serait de circonstance. Cordialement.

Chère Madame,

Sachez qu'hélas, Phil COLLINS ne fait pas partie de notre équipe de chroniqueurs, ce dont, en toute humilité, je serai le premier ravi (et le seul sans doute).
Tout à fait d'accord avec vous pour le "BEST ONE", mais faisons attention car même ici, de vilains sceptiques rôdent et ils ont les dents dures !

Les funérailles gaies avec "Dance Into the Light" restent une bonne idée, personnellement je préfèrerai "Long Long Way to Go" et "It's Not Too Late" (version live 2004 à Paris), autre registre mais tout aussi divin !

Bonne journée, cordialement.

Il s'agit dans les deux cas du serment d'allégeance au drapeau des USA récité dans toutes les écoles américaines avant de commencer la classe.

Je compte m'en occuper mais comme Rome ne s'est pas faite en un jour, les albums arriveront petit à petit.

J'imagine volontiers un penchant "chevaleresque" à notre cher Bryan, probablement admirateur de la littérature courtoise médiévale. Le clip d'Avalon en témoigne : ça se passe dans un château, Bryan étant un peu comme un troubadour chantant des louanges à la belle qu'il courtise. Et forcément on est un peu dans les légendes arthuriennes qui ne sont pas loin...

Je ne pense pas que ça soit un concept-album. Déjà, la chanson-titre ne parle pas de la légende arthurienne, ou alors, à mots très cachés...
A mon avis, c'est pour le côté 'arty', pour trouver un nom qui claque, idem pour la pochette, très belle...

les 101 n'étaient pas terribles en effet, c'est en voyant les pistols en concert que les futurs membres des clash ont changé leur son

Un album postérieur a vu le jour en 1981. Plusieurs compilation ont été publiées en 1993, 2005 et 2008.
La compil "Five Star Rock'n Roll" comprend 3 alternates probablement issues des studios Chiswick. A noter que Vic Mail a produit quelques uns de leurs titres.
Dans le répertoire on retrouve des standards de Slim Harpo, Bo Diddley, Chuck Berry et le Gloria des Them.
Pas de quoi sauter au plafond, mais on reconnait parfaitement la voix de Strummer.

Pour résumer à mi chemin entre Inmates, Eddie & Hot Rods, Ducks Deluxe et les ricains des Shadows Of Knight.

Je n'ai pas encore eu l'occasion d'écouter les 101ers mais je pense que quelques morceaux trainent sur You Tube. J'ai déjà vu des photos de Strummer à cette époque avec cheveux un peu plus longs et rouflaquettes à la Dr.Feelgood. J'ai aussi souvenir de Steve Harris (bassiste-leader d'Iron Maiden et plutôt réfractaire au punk rock, évoquant ce groupe (et Joe Strummer) en interview, qu'il aurait vu sur scène dans sa jeunesse comme étant un honnête combo de...blues rock (et selon lui meilleur que The Clash).

Salut,

Difficile de te répondre car les avis sur ce groupe me semblent partagés : par exemple sur Allmusic l'avis est plutôt favorable (mais leur seul album est une compilation éclectique montée a posteriori).

Je ne dirais donc pas que le groupe est unanimement considéré comme mauvais, mais simplement comme un groupe de pub-rock honnête mais mineur, semblable à bien d'autres dans le même style. Le genre pratiqué n'étant pas très novateur et demeurant très codifié (ce qui en soi n'est pas un problème), cela n'a pas aidé à les sortir du lot. Et puis bien sûr ce qui les plombe d'un point de vue historique est la comparaison (injuste) avec les CLASH.

Avec un peu de soutien ils auraient certainement pu enregistrer un album honorable que les amateurs de pub-rock se conseilleraient sur leurs forums spécialisés...

Moi je n'aime pas, mais c'est parce que je n'aime pas le pub-rock.

en tout cas les deux groupes avaient un discours ésotérique assumé

The Cult sonne assez Led Zep' sur "Sonic Temple" et "Ceremony" (mais avec une production très 80's). Pour ce qui concerne la comparaison avec le Culte de l'Huitre Bleue, on peut trouver des similitudes dans les quelques références ésotériques (pour The Cult surtout à leurs débuts, jusqu'à "Love" grosso-modo) affichées par les deux groupes et un certain éclectisme musical (chacun a exploré différentes directions, The Cult est parti du post-punk/gothique pour arriver au hard rock tandis que BÖC était à la base un groupe psychédélique devenu mastodonte du hard des 70's). On peut aussi souligner que les deux groupes ont été fortement influencés par les Doors (BÖC en a repris des titres et Ian Astbury a même chanté pour la réincarnation 2003 des Portes). Voilà à la rigueur où peut se situer la similitude.

La comparaison de The Cult avec du hard rock Zeppelinien est à mon sens valable pour l'époque Sonic Temple et surtout Ceremony... Il suffit de voir le travail de Billy Duffy à cette époque, aussi bien en guitare acoustique qu'en électrique, les harmonies, etc... Si comparaison avec Led Zep il y a, elle se situe là.

"rock n roll highschool" des ramones

On pourrait ajouter "Don't stand so close to me" de Police (parlant des fantasmes élèves / profs), mais aussi "Wrapped around your finger", qui ne parle pas l'école au sens académique, plutôt d'un apprentissage ésotérique.

School de Supertramp :)

'School' de Supetramp...

Il y aussi le "Another Brick In The Wall (Part II)) de Pink Floyd, un vrai tube, d'ailleurs interdit de diffusion en Afrique du Sud à l'époque à cause de ses paroles jugées trop explicites envers l'éducation anglo-saxone.

Il y aussi AYREON et son "The Theory of Everything" ou plusieurs chansons sont liées à l'apprentissage et au savoir, un des personnages étant professeur.

Dans la même veine que le "Don't Stand So Close to Me" de Police, il y a les paroles de "One More Try" de George Michael (la mention répétée de "teacher" est peut-être métaphorique, cela dit...)

School de Supertramp

Boulangerie Pâtisserie d'Ultra Vomit (pour les bruitages...)

Don't Stand So Close to Me de The Police

School de Nirvana (pour le titre éventuellement)

"School Daze" (W.A.S.P.) ou "Be Chrool To Your Scuel" ! (TWISTED SISTER)

RUSH Subdivisions (... In my high school halls...)

Tu pourrais écouter l'album des KINKS "Schooboys in disgrace" de 1975, si possible avec les textes car c'est un album concept.

Et bien sûr l'école est bien présente dans le double album The Wall de Pink Floyd.

School Days de Stanley Clarke.

Jeremy de Pearl Jam
Smokin' In The Boys Room Mötley Crüe/Brownsville Station
School Days Chuck Berry/AC.DC
Working Class Hero John Lennon
High School Confidential Jerry Lee Lewis

Hot for Teachers, Van Halen
Teacher's Pet, Venom (je sais pas si ça peut rentrer dans le cadre de ta présentation, elle est bien explicite !)

Scorpions - The Same Thrill
"I remember when my teacher said : How are you gonna make your life ? / I said : I can play guitar, and it will be allright ! Listen !"

c'est le premier "grunt" ou "growl" de l'histoire en effet

Les groupes de trash, de death, de black, etc. n'ont rien inventé ou si peu : il suffit d'écouter les albums de Black Sabbath, Deep Purple, ... et The Who pour s'en rendre compte ! D'ailleurs, eux-mêmes se basaient sur le blues, le jazz, les pionniers du rock'n'roll... L'ancêtre du death et du black metal c'est d'ailleurs Screamin' Jay Hawkins ! C'est bien plus terrible que Morbid Angel ou Immortal !

Je suis absolument pas death, et le death que j'apprecie n'utilise en general pas ce genre de vocaux. Pas d'élitisme, surtout pas en musique. Mais c'est vraiment pousser les racines beaucoup trop loin que de dire que Boris the Spider est une compo pionnière dans le Death Metal.

Moi je suis entièrement d'accord, n'en déplaise aux super élitistes du genre au dessus pourtant soucieux de citer toutes les références de la page Wikipedia du Death Metal (tout n'est pas forcément vrai sur Wikipedia hein)
Allez, Proto Death et on reste copains.

Les premiers vocalistes de death metal semblent plus avoir été influencés par les vociférations de Cronos (Venom),Thomas Gabriel Fischer (Hellhammer/Celtic Frost), Tom Araya (Slayer) ou Jeff Beccera (Possessed) que celles du regretté "The Ox". The Who est rarement cité comme influence récurrente par Chris Barnes, Glen Benton, John Tardy ou David Vincent... Mais la remarque est intéressante.

Bof pour la technique vocale et absolument pas musicalement parlant. Rien a voir avec le Death Metal. Si wikipédia le dit c'est pas forcèment vrai.

oh oui écoutez "fun house" des stooges la même année qui balaie toute concurrence

@ Rikkit

Mmouais, pas convaincu...
La musique des Sonics est peut-être sauvage sur quelques titres mais reste surtout du garage rock et sonne comme telle, c'est à dire avec un son très aigrelet et carrément moins puissant que celui de In Rock.

Bon, ça fait plus de trois ans que j'avais posé la question, mais le topic ayant était ré-ouvert, avec du recul et du temps, Les Sonics étaient sacrément violent pour l'époque et ce bien avant Purple.

@ Yann 77

Rikkit précisait bien en 1970! et la musique que pratiquait le Alice Cooper band à cette époque était dans un style très psychédélique et encore loin du rock assez Stonien de Love It To Death (début '71).
Quoiqu'il en soit, même au milieu des années 70, Alice Cooper n'a jamais pratiqué un hard rock très puissant et rageur, tout au plus empreint d'agressivité (et beaucoup de provocation) mais sans plus.
Pour moi la chose est également valable pour toutes les autres formations de cette époque (Led Zep, Sabbath, Uriah Heep, Grand Funk... etc..) qui avaient certes 1, 2 voire 3 morceaux plus rentre-dedans que le reste mais pas tout un album.
In Rock est pied au plancher du début à la fin et sa musique habitée autant par la virtuosité que la violence pure.
Même "Child In Time" qui débute dans la douceur, se termine dans une ambiance de folie pure (avec tous les musiciens déchaînés et les hurlements d'un Gillan en furie).
D'ailleurs Roger Glover dira que l'image qu'il garde en mémoire à propos des sessions de In Rock, sont les VU-mètres de la console d'enregistrement bloqués dans le rouge (le groupe voulant faire dans la surenchère, essaiera et parviendra à rendre sa musique la plus saturée possible).
je suis donc entièrement d'accord avec Wreckin Crew, je ne vois aucun autre album en 1970 qui bastonne de cette façon et In Rock est bien le mètre-étalon du heavy-rock !

Alice Cooper?

A mons humble avis, RIEN n'égale Deep Purple à ce temps là. D'accord il y avait déjà d'autre trucs assez hard mais on était plus dans le bourrin que dans la vrai musique rock :
- Grand Funk Railroad ? : ils cassaient bien les oreilles, là d'accord mais musicalité c'est 0 (hors Deep Purple ils l'étaient très bien)
- MC5 : idem (pire encore)
- Blue Cheer : re-idem
Alors si on rejoint les autres groupe de leur cran, on a Led Zeppelin qui eux d'accord étaient superbe, mais n'égalaient pas Deep Purple pour l'agressivité et la puissance, ou la rapidité, BLack Sabbath en 1970 étiaent plus que jamais dans le macabre, ça restait lourd et lent, avec des accords très spéciaux, l'agressivité avait une autre forme mais trop différent du style de In Rock ...
Oui, comme j'ai lu dan sles commentaires precedants, d'autres groupe anglais ont fait une chansons ou l'autre, +- hard à la Deep Purple de 1970 alors si on prends Wishbone Ash, Lady Wiskey est la SEUL chansons vriament hard de leur premier album (et ... du reste de leur carriere soyons franc), Uriah Heep, il y avait Gypsy, la premier chanson de leur premier album, ... d'accord c'est assez comparable à In ROck, et le reste ? On se demande si c'est le même groupe.

Donc por moi aucune réponse est valable, le seul album ressemblant à In Rock, en 1970, c'est In Rock (héhé ...)

C'est quelques années après mais dans les années 70 (donc de 1970 à 1979), je n'ai jamais entendu quelque chose d'aussi violent que la Peel Sessions de This Heat.
"Trait d’union entre le krautrock et la new-wave, ce trio anglais fit mentir les lois de l’évolution ; bien qu’issus du jazz-rock, ses membres allaient être appelés à devenir des acteurs post-punk de premier plan. Reconversion presque naturelle pour ces expérimentateurs libres et sans étiquettes."

Un extrait :
https://www.youtube.com/watch?v=V0qovCbFb2U

On dirait un mélange entre Death Grips et Sonic Youth.

Les premiers Cactus sortis en 1970 et 1971 envoyaient bien aussi sur certaines chansons.

Et si on pousse le vice jusqu'au live sorti en 1972, je dirais même qu'il est difficile de les égaler, suffit d'écouter la seconde partie de Big Mama Boogie pour s'en convaincre.

@ toto à la plage (profites en bien)
Il me semble avoir indiqué qu'"Helter skelter" était inspirée par la violence et la puissance des WHO, donc de fait ils ne sont pas les seuls.
Bien à toi.

Tiens en hommage aux sempiternels oubliés qui cumulent le handicap d'être français (from Morroco) et de chanter (bien) en Anglais:
- Nador par Les VARIATIONS, paru en 1969.
C'est à la fois lourd et puissant, en bref ça déchire, d'ailleurs...

@Ramon : a-t-on déjà demandé si tous les précurseurs du hard rock/heavy metal se sont réellement inspirés de l'unique chanson puissante des Beatles "Helter Skelter" ? Surement qu'ils l'appréciaient mais de là à dire qu'ils ont créé le hard rock...
Pour être honnête, Jimmy Hendrix avait quelques signes de hard aussi alors dans ses 3 seuls vrais albums... en cherchant un peu...
Cela dit j'ai jamais dit que les Beatles n'ont pas inspiré certains groupes pour ça... mais ils ne sont pas les seuls...

Oui, King Crimson, et son 21st Century Schizoid Man surtout, m'a échappé, et on est en 69. En revanche, je n'ai jamais trouvé que Led Zep arrivait au même niveau de violence que Deep Purple.
En revanche, le reste de In Rock n'est pas en reste non plus, suffit de zieuter Bloodsucker par exemple ou même Child in Time (et là on tombe dans la folie du Prog en revanche).

En termes de puissance autant que de violence, les groupes de rock progressif n'étaient pas en reste non plus. Il n'y a qu'à écouter The Least We Can Do is Wave to Each Other de Van Der Graaf Generator, In the Wake of Poseidon de King Crimson ainsi que Trespass de Genesis, tous sortis en 1970. Chacun dans son style proposait des élans de rage inouïe et les insérait dans une forme de dynamisme qui rendait les contrastes plus forts (passages jazzy, ballades folk...)

Puissance, violence, lourdeur, agressivité etc...

A chaque mot sa définition. Rikkit estime que In Rock est violent, puissant et rageur. Je suis bien d'accord avec lui.

BLACK SABBATH, c'est lourd, mais ce n'est pas violent, idem pour BLUE CHEER. D'ailleurs, quand l'on compare les prestations scéniques entre le SAB, le CHEER, et le PURPLE de l'époque, on voit tout de suite lequel dégageait le plus d'énergie sur scène. (Et c'était la bande à Blackmore, bien entendu).
URIAH HEEP a des sonorités semblables à PURPLE, mais en terme de violence et de puissance il est à des kilomètres derrière, du moins à l'époque David Byron, excellent chanteur mais qui n'a aucune once agressivité dans son chant.

MC5, STOOGES, là on y retrouve de la violence, une envie de tout casser (l'agressivité), c'est évident. Mais il n'y a pas la lourdeur, enfin un peu chez les STOOGES, mais pas non plus cette puissance qui conférait un effet "bloc" à In Rock. Donc du coup, je trouve que PURPLE reste au dessus en terme de violence et de puissance...mais pas spécialement d’agression : car PURPLE se veut plus fin et virtuose.

Et puis, on peut chercher ailleurs que chez les pionniers du hard. Certains morceaux de CREEDENCE dégagent aussi une aura destructrice (Fortunate Son ne fait pas dans la demi mesure), The Nile Song du FLOYD, ou même du côté des DOORS, STONES, WHO etc... mais de façon éparses et jamais sur un album entier.

Bref, tout ça pour dire que j'en viens à la conclusion que In Rock est vraiment l'album qui synthétisait le plus les aspects extrêmes de la musique de cette époque, mais pas dans toute son exhaustivité.

Il paraît évident que In rock est une transition dans l'escalade de la violence en rock. Surtout l'intro de Speed King, en fait, le gros de l'album est finalement assez carré et peu surprenant.
Dans ce qui n'a pas été cité, il y a de toute évidence "Dazed and confused" de Led Zeppelin, mais aussi, sans en avoir l'air, certains passages du premier Yes (la reprise de "Every little thing" des Beatles par exemple).
Enfin, n'oublions pas les débuts du krautrock... sur le premier Tangerine Dream, il y a un passage, certes très court, mais d'une violence dingue !

Le premier Wishbone Ash de 1970 est pas mal aussi.
L'extrait "Lady Whiskey" en est le plus bel exemple, je trouve personnellement que c'est la chanson qui se rapproche le plus du style In Rock de Deep Purple.

@ERWIN
Ok pour le distinguo puissance/violence, mais quand on parle des STOOGES du MC5 ou de "Helter Skelter" (inspiré par la puissance ET la volence des WHO) je trouve que la nuance est franchement aussi ténue que les fils d'un string…euh d'une corde de guitare de mi aigu tirant extra light.
Par contre concernant IRON BUTTERFLY, peut-être que nous serons d'accord !

Le premier Blue Cheer est bien lourd aussi, peut-être pas aussi percutant que le sera In Rock un an plus tard mais ça décrasse quand même pas mal !

@tototo
En parlant des BEATLES, il n'est qu'à jeter une oreille sur "Helter Skelter" en 1968 pour arriver à un degré de violence jusque là inégalé, sinon ceux-ci n'ont forcé personne à les suivre, ils étaient (et sont encore) juste à des années lumières devant presque tous les autres mais là n'est pas la question.
En 1968, IRON BUTTERFLY envoie pas mal le jus sur In-A-Gadda-Da-Vida.
Sinon en 1969 le MC5 sort Kick Out the Jams et en 1970 les STOOGES font un paquet de bruit avec Fun House.

Puissance et violence n'ont pour moi rien à voir l'un avec l'autre.
En terme de violence les STOOGES ou le MC5 sont bien au delà, en terme de puissance en revanche les groupes de métal sont aux taquets.
Bien à toi

J'aurai dit aussi Uriah Heep, surtout pour Gypsy (premiere chanson de leur premier album) mais pour le reste, ...
Rien à faire il faut bien se dire que en 1970 il était possible de créer dans le vrai sens du terme, de nouveau styles, et pour ce qui concerne ce son typique de cet album de DP, ils étaient les premier sans conteste.
Actuellement on peut pas s'en rendre compte parce que il y a tellement de choses apparue que c'est comme si tout a été +/- crée, et même si quelqu'un cree un stylen c'est jamais qu'un truc parmis des millions d'autre en plus, on est loin de l'univers des années début 70, la Sainte période post-Beatles, la LIBERATION des différents styles qui autrefois étaient encore enfermé en arriere plan à cause des Beatles qui forcaient les autres groupe à les suivre. Heureux soit le jour de leur séparation obligatoire.

Moui, le sabb est plus lourd, mais pas plus violent et même du côté de Uriah Heep je retrouve pas cette hargne. Ca commence vachement fort avec le dawa "Speed King" et "Bloodsucker" ne vient absolument pas calmer le tout. J'arrive pas à le croire, on est en 70 quand même.

Mais maintenant que j'y pense y a bien Vincebus Eruptum de Blue Cheer, datant de 68, qui justement mèle lourdeur et puissance.

Les deux premiers BLACK SABBATH sont sortis en cette même année 1970, et sonnent bien plus lourdement qu'In Rock de DEEP PURPLE. Toutefois Iommi & Co. ne vont pas aussi vite que la bande à Blackmore...

Dans le genre "puissant", URIAH HEEP avait sorti son premier album (Very Eavy, Very Umble) durant la même année 1970, et pour le coup le son est aussi puissant que DEEP PURPLE. Uriah Heep n'a pas connu le même succès cependant...

Aucun lien. La musique disco n'a pas attendu d'avoir des détracteurs virulents pour être foncièrement joyeuse.

Peut on y voir un lien avec les soirées des "Disco Haters" de Chicago vers la fin des 70's ?

Merci Baldrick d'avoir (enfin) éclairé ma lanterne ! J'avais aussi pensé à cette éventualité. Oh.. et puis j'avais oublié :"Stayin' alive" des Bee Gees !! Au moins quand on écoute du disco on est conscient d'être bien vivant (ou rescapé), c'est selon.... LOL

Menace atomique ? Oui, on était encore en Guerre froide, mais cela n'a rien à voir avec le sujet.

En fait, le disco est avant tout une musique hédoniste typique de l'état d'esprit des années 70 dans les pays occidentaux : par ses rythmes joyeux et dansants, elle invite les auditeurs à profiter à fond de la vie et à vivre chaque jour comme s'il était le dernier. Pas besoin de chercher plus loin.

C'est du British Cockney pour dire "I Should Say So". Autrement dit "Et comment!", "Tu m'étonnes!", "Un peu, mon neveu...".

Le mieux, c'est de prendre une compilation époque SUN RECORDS. Grosso modo, il s'agit des deux premiers albums, chroniqués sur ce site, plus de nombreux singles.

Pourrais tu préciser des albums Fred? Je ne connais pas du tout Cash et il a sorti de nombreux disques. Merci de ta réponse !

le JOHNNY CASH des débuts, période Sun Records. Eclate assurée !

Tu devrais jeter une oreille sur REVEREND HORTON HEAT (l'album de 1993 en priorité) et sur TIGER ARMY (notamment "Tiger Army III" de 2004).

Merci d avoir pris le temps de me repondre.
Je vais essayer de découvrir tout ça.

Parmi les groupes hexagonaux: The Ghost Highway - Nelson Carrera and the Scoundrels. Rockhouse Trio

Chez les scandinaves et allemands: The Birds Doggin' Daddies - Emmy Lou & The Rhythm Boys - Tennessee Drifters- Pat McGinnis

Chez les ricains Cochran - Gene Vincent- Carl Perkins - Hayden Thompson - Pat Cupp - Alex Vargas

Hello,
en matière de rockabilly revival, avec un son plus étoffé que celui des pionniers, je conseille Robert GORDON et Shakin STEVENS, voire Crazy CAVAN. Tout le boulot de Brian SETZER étant à mon sens incontournable, STRAY CATS et le reste ! Très classique donc !
Bien à toi

Pourquoi pas les légendaires The Cramps (qui ont aussi donné naissance au sous-genre Psychobilly) ? C'est plus punk et déjanté que les Stray Cats mais les racines sont communes.

Je pense que Eddie Cochran est incontournable, si on parle guitare et influence sur Brain Setzer comme guitariste mais aussi chanteur. Maintenant question groupe de rockab "pur" je ne saurai te dire car les Stray Cats sont assez uniques en leur genre : des américains qui ont percé à Londres, qui sonnent parfois comme Clash, rivalisent même question énergie sur scène, jouent dans des salles chauffées à blanc ou se font escorter par des Hells Angels quand ils viennent à Paris.

En effet, tout cela ne nous rajeunit pas! J'ai finalement opté pour la version de Sir Colin Davis qui avait été chroniquée. J'ai du l'écouter 2 fois et demi, je n'ai jamais vraiment accroché...
Il serait peut-être temps que je retente...

Oui je sais,ta question date de 2005 et on est en 2017,j'ai plusieurs train de retard (je connais le site depuis peu). J'imagine que tu as trouvé ton bonheur depuis,mais bon j'avais quand méme envie de te répondre.Si tu as trouvé d'autre versions interessantes et si le coeur t'en dit,tu peux toujours me le faire savoir.Cordialement

Salut chipstouille....... Une autre excellente version est celle dirigée par CHARLES MUNCH chez DEUTSCHE GRAMMOPHON ( en double cd datant de 1968 )
Sur ce CD figure également "harold en italie" (toujours de BERLIOZ bien sur )dirigé cette fois par IGOR MARKEVITCH (datant celle ci de 1956) Je te rassure,malgré les époques d'enregistrement,le son est excellent.Tu m'en dira des nouvelles.

Oui, bien sûr, cette version a été digitalisée, remasterisée et tout ce qui s'en suit (2001), on la trouve partout (Philips Classics), par exemple à la FNAC ou sur Amazon (autour de 20 €), et il y a bien d'autres versions (par exemple Seiji Osawa avec le Boston Symphony sur RCA-Red Seal).

Salut Chipstouille.
Sans vouloir faire de la publicité gratuite, tu trouvera sur les site de VPC comme amazon.fr, la version de l'orchestre Symphonique de Londres et dirigé par Sir Colin Davis sous le nom de :

Requiem / Te Deum (coll. 50 ans Philips)

En ésperant que ce soit bien le même vu que la date d'enregistrement n'est pas inscrite ...

Voili voilou ;)

La discographie de NO-MAN est plutôt complexe et un peu particulière car hormis les albums studio réguliers, figurent aussi des compilations ou des EP regroupant nombre de leurs titres parus hors albums (mais pas la totalité!).

- Lovesighs: An Entertainment (1992) mini-album compilation de faces A et B de singles enregistrés en 1990 et 1991.
- Loveblows & Lovecries: A Confession (1993).
- Flowermouth (1994).
- Flowermix (1995) compilation de remixes de l'album Flowermouth.
- Heaven Taste (1995) mini-album compilation de faces B et raretés enregistrées entre 1991 et 1995.
- Wild Opera (1996) une version double CD est parue en 2010, qui regroupait le mini-album Dry Cleaning Ray (1997) sur le second CD.
- Radio Sessions 1992–96 ((1998) CD-R vendu en ligne via le label Burning Shed.
- Speak (1999) compilation de titres rares enregistrés en 1988 et 1989 et parue à l'origine en cassette en 1993 mais rééditée 6 ans plus tard en CD et en partie remixée et ré-enregistrée.
- Lost Songs: Volume One (2001) CD-R de titres inédits enregistrés entre 1991 et 1997 et vendu en ligne via le label Burning Shed.
- Returning Jesus (2001) une version triple vinyl est parue en 2006, qui regroupait la totalité des sessions de l'album (qui eut une gestation très longue puisque les enregistrements se déroulèrent de 1994 à début 2001).
- Together We're Stranger (2003).
- All The Blue Changes: An Anthology 1988–2003 (2006) double compilation regroupant des titres enregistrés entre 1988 et 2003.
- Schoolyard Ghosts (2008).
- Highlights From Mixtaped (2009) mini-album CD enregistré en concert à Londres en 2008 et offert en bonus lors des pré-commandes en ligne du double DVD Mixtaped.
- Love and Endings (2012) album live enregistré en 2011 au Leamington Spa Assembly.

Pour commencer, je te conseille les 3 derniers albums en studio de NO-MAN:
Schoolyard Ghosts (2008), Together We're Stranger (2003) et Returning Jesus (2001).
Tu n'auras plus qu'à remonter le temps pour découvrir la longue (mais superbe) discographie de NO-MAN.
Bonne écoute !

Bon sang, mais c'est bien sûr !
C'est bien cette publicité, un plan aérien magnifique des côtes irlandaises accompagné des enchanteresses vocalises de Mme O'Riordan !
Merci Erwin !

Hey !
Tu dois juste regarder la télé ! "Dreams" était utilisé pour une publicité qui a pas mal tourné pour l'Irlande, on y entend les fameuses vocalises de Dolores O'Riordan.
Bien à toi
Erwin

Probablement dans un magasin qui diffusait l'album entier en fond sonore ? la chanson que tu cites n'est pas vraiment connue ! Et je doute que ça soit une reprise !