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U2
ACHTUNG BABY


Le 22 Novembre 2006 par ANGEL D


La coloration électro est vraiment la bienvenue. Le dernier album en date "rattle and hum" commencait vraiment à trop s'édulcorer et s'engluer dans du vieux blues en proposant en plus des morceaux déja entendus, présents sur "the joshua three".
Ici le groupe crée un son unique,une ambience nouvelle et agréable, des intros et des fins de morceaux surprenantes(until the end of the world, zoo station, who's gonna ride). Les bonnes idées s'enchainent sur des compos souvent réussies. U2 a fait très fort ici. Il y a juste "so cruel", pas top et aussi la piste 9, un peu faible.
Les meilleurs morceaux restent pour moi "the fly", "mysterious ways", "ultra violet" et "even better then the real thing". Sinon juste derrière ou à coté "One" reste exceptionnel et pour "acrobat", moi je le trouve terrible aussi ce morceau.





PINK FLOYD
MEDDLE


Le 21 Novembre 2006 par ZARDOZ

"You'll neeeeeeveeer waaaaaalk alooooooone...". C'est tout ce que tu a retenu du disque ? Ben mon salaud...
:)





PINK FLOYD
MEDDLE


Le 20 Novembre 2006 par MILLWALL


Un must pour tout fan de Liverpool!! (écoutez la chanson Fearless pour comprendre ^^)





The POLICE
OUTLANDOS D’AMOUR


Le 19 Novembre 2006 par BUDDY

The Police n’a jamais été considéré comme un groupe de jeunes ex-punks. Il ont effectivement participé à des festivals ou les groupes punks étaient en vedette, ils avaient une musique qui était proche du punk, mais les trois Policemen n’ont jamais pu et voulu intégrer le mouvement punk, hormis peut-être le corse Padovani. The Police n’était donc pas un groupe de jeunes ex-punks, mais un groupe rock opportuniste qui a essayé de se fondre dans la masse, pour mieux parvenir à ses fins.





TANGERINE DREAM
RUBYCON


Le 19 Novembre 2006 par WINEBLOOD


"Cris langoureux d'oiseaux improbables"... c'est tout à fait ça !!! Ces quelques mots expriment admirablement ce que j'ai toujours ressenti confusément depuis la sortie de l'album (j'ai 47 ans)...





MIDNIGHT OIL
DIESEL AND DUST


Le 19 Novembre 2006 par ERWIN


Groupe reconnaissable entre mille, au son pur comme un éclat de cristal sur le sol de l'outback australien. La basse vrombit sur "beds are burning" et malgré les années, le morceau demeure un standard incontournable, dément. "Put down that weapon" renoue avec le dada préféré de Garrett, devant l'écologie et les aborigènes.
Hirst est, comme dab, omniprésent et relègue bien des batteurs dans la division inférieure. Il n'y a pas grand chose à jeter sur ce skeud: "The dead heart" "bullroarer" sont bien foutues, les guitares de Moginie et Rotsey incisives.
Leo n'a pas tort, les aussies ont déja livré 3 magnifiques galettes: "Sails" et "012345"-Outside world!!! mais aussi "a place without a postcard!
Un groupe énorme, trop méconnu.





KING CRIMSON
LARKS' TONGUES IN ASPIC


Le 18 Novembre 2006 par DAVID


Assez froid aus premières approches, surtout à cause de sa production et aussi quand on est habitué au chant de Greg Lake, que je préfère à Wetton, mais qui n'aurait pas été à sa place ici, avec la froideur métallique.
Larks' Tongues est finalement le meilleur de la trilogie et prouve que le rock progressif n'est pas forcément synonyme d'ambiances romantiques et fleur bleue...





The OFFSPRING
IXNAY ON THE HOMBRE


Le 18 Novembre 2006 par BLANK


01 - Disclaimer :
Intro qui met l'auditeur dans l'ambiance 'punkomique' d'Offs, aucun intérêt particulier, à part faire sourire bien entendu.
-/20
02 - The Meaning Of Life :
Certainement ma chanson de punk-rock préférée, qui rapelle que ce groupe à inventé beaucoup et reste inégalable, une hymne, un refrain de malade, un riff simpliste et intemporel, génial.
20/20(bah oui.)
03 - Mota :
Deuxième claque consécutive, refrain encore une fois très bon et couplets intéressants, pas aussi transcendant que la piste précédente, mais quand même bien sympathique.
16/20
04 - Me & My Old Lady :
Une chanson sans intérêt qui bloque totalement l'auditeur, les lyrics sont.. horribles lol :)
05/20
05 - Cool To Hate :
HAHAHAHA l'appel à la révolution et au nihilisme, trop fort ! It's cool to hate ooh-oh-oh !
13/20
06 - Leave It Behind :
Du remplissage ...
10/20
07 - Gone Away :
La plus intéressante de l'album, et de loin, le tempo ralentit, c'est presque une ballade, beaucoup de fan l'apprécient et c'est justifié, c'est très bien composé, en plus le clip est à pleurer.
19/20
08 - I Choose :
Classique, ambiance bon enfant, je trouve Dexter super sur cette chanson.
14/20
09 - Intermission :
MDRRRRRRRRRRRRRRRRR !
-/20
10 - All I Want :
Chanson-rush, concentré speed-punk avec un refrain entêtant comme Offspring sait les composer, mention spéciale à l'enchaînement bridge/refrain qui décalque correctement.
18/20
11 - Way Down The Line :
raah ces whooo-oooh-oooh, ce refrain ! celle la je l'adore.
17/20
12-13-14 : Don't Pick ... / Amazed / Change The World :
Je me permets de les rassembler puisqu'elles pourissent en choeur correctement la fin d'album, et c'est vraiment dommage ..
08/20

Bah moi, je préfère Ixnay à Smash, c'est plus rapide et mieux produit, pis Dexter chante mieux.
Voila :)





Frank ZAPPA
WE'RE ONLY IN IT FOR THE MONEY


Le 18 Novembre 2006 par ONCLE VIANDE

J’apporte une petite rectification au commentaire de Zardoz. Il s’agit là d’une parodie de « Sgt Pepper’s », et donc d’un pastiche, non d’un plagiat, ce qui est très différent. « We’re only in it for the money » propose bien 19 compositions originales, largement au niveau du sergent poivre. Enfin, tout comme Sgt Peppers, le disque proposait des accessoires : fausse moustache, faux sein, badge des Mothers et billets de banque.





Frank ZAPPA
WE'RE ONLY IN IT FOR THE MONEY


Le 17 Novembre 2006 par ZARDOZ


C'est bien simple : mon préféré des Mothers. Inqualifiable. On ne peut pas imaginer, avant de l'avoir écouté, comment ce disque est dingue...et splendide.
Indispensable, je le dis BIEN FORT !!!

Post scriptum débile :

A noter : la fin de "The chrome plated megaphone of destiny" (le dernier titre) et la fin du "A day in the life" des Beatles (dernier titre de Sgt Pepper, album largement plagié ici) est là même : bruit sourd, presque en ultrason...vous savez, ce vrombissement sourd...
Et puis la reprise de "What's the ugliest..." : idem pour "Sgt Pepper..." des Fab...
Total plagiat, donc, où rien n'est laissé au hasard.
Seul gros point noir : dans le livret, les paroles sont illisibles, car imprimées en noir sur fond de personnages en noir...idem pour les Beatles, mais en moins lisible. C'est con, car les paroles (trouvables sur le Net) sont hilarantes : "concentration moon", "flower punk", "take off your clothes when you dance", j'en passe et des meilleures et des vertes et des pas mûres...

Fin du post scriptum débile.





The BEACH BOYS
PET SOUNDS


Le 17 Novembre 2006 par ONCLE VIANDE

Le rock progressif commence ici, et non sur "Sgt Pepper's", comme cela l'a souvent été affirmé. Je n'ai pas une admiration particulière pour la musique des garçons de plage, et leur carrière est loin de posséder la puissance et la constance de celle des Fab Four, mais force est d'admettre que "Pet sounds" et "Smile" font figure d'exceptions. L'un des 3 piliers du rock moderne donc, au côté de "Revolver" et de "Freak out !"...et celui-ci, malgré la douceur qu'il véhicule, est peut-être bien le plus révolutionnaire des trois.





RENAUD
ROUGE SANG


Le 17 Novembre 2006 par LAURENT


Après un Boucan d'enfer en demie-teinte, Renaud clamait haut et fort avoir retrouvé son punch et son inspiration. C'est donc avec espoir que j'ai entamé l'écoute du double album il y a quelques semaines.

Mais quelle déception : des textes d'une fadeur incroyables qui me conduisent à douter du fait que c'est le même artiste qui a jadis écrit des chef d'oeuvres tels que "Ma gonzesse" ou "P'tite conne". Avant, Renaud était plutôt subtil, mélangeant adroitement le langage de la rue avec des trouvailles poétiques sublimes. Qu'on est loin de cela ici ! Les chansons engagées sonnent artificielles au possible (comme en témoigne la nullissime "J'ai retrouvé mon flingue") tandis que les chansons d'amour pour sa Romane me font penser à de naîfs et maladroits poèmes de collégiens. Rien de très mémorable, donc.

Quant à la musique, n'en parlons même pas : entre des accords copiés collés (Les bobos / Docteur Renaud Mister Renard...) et une production digne des pires heures des années 1980 (j'ai cru un instant que ce son très laid était dû à un problème dans ma chaîne...), Renaud a du mal à se renouveler. Si c'est le Titi qui peine à trouver de nouvelles idées, il faudrait peut-être songer à aller voir ailleurs !

A sauver pour moi : les bobos (sympathique), Dans la jungle (pas mal) et "Nos vieux" (maladroit et plein de rimes faciles, mais touchant...). Ca ne fait pas beaucoup.
Il y avait pourtant de l'idée dans un certain nombre de titres, mais l'ensemble me donne un goût d'inachevé, pour ne pas dire de baclé. J'aurais préféré moins de titres, mais plus travaillés.
L'une de mes plus grosses déceptions de l'année...





PINK FLOYD
MORE


Le 17 Novembre 2006 par YAMA

Cymbaline est un titre magnifique qui m'a beaucoup fait voyager. Je reviendrai bientôt mettre à jour mes commentaires sur l'ensemble de la disco du Floyd

YAMA





PINK FLOYD
MORE


Le 16 Novembre 2006 par ONCLE VIANDE

« More » fut composé et enregistré en 8 jours, et de ce point de vu, le résultat est plutôt réussi. En réalité, certains titres ont déjà été plus ou moins écrits avant, et allaient servir de fonds de tiroir pour la pièce inédite « the man / the journey ».
Dans l’absolu, je trouve le disque moyen, (en étant généreux). J’apprécie vraiment cinq titres : « Cirus minor », « the nile song », « ibiza bar », « cymbaline » et le générique. Le reste s’apparente plutôt à du bouchage de trou. Le groupe n’a pas produit ici un véritable disque de rock, comme ce fut le cas de Can avec « soundtracks », mais s’est plié aux impératifs du film en enregistrant des séquences courtes purement illustratives qui, privées des images, se montrent totalement creuses. Encore une fois, au regard du temps consacré, le résultat ne pouvait pas raisonnablement prétendre à des sommets, surtout pour un groupe qui a besoin de temps pour donner de l’épaisseur à sa musique. Un disque agréable donc, mais pas plus.





PINK FLOYD
ANIMALS


Le 15 Novembre 2006 par FRANCOIS DUCRAY


5 titres. en réalité, 3 gros plus un petit scindé en deux pour, peut-être, humaniser la "chose" quelque peu (et encore : comme ode à la femme adorée façon Cyrano, on peut trouver plus approprié que l'amère invitation de Pigs on the wing ; mais les rapports de Roger avec Carolyne ne sont pas moins tendus que ceux qu'il impose à "son" groupe...).
Tout est signé Waters, excepté la musique de Dogs. Le nom de Nick Mason n'apparaît dans les crédits qu'à la rubrique "graphiques" : reliquat d'une amitié née 12 ans plus tôt à l'école d'Architecture ? C'est maigre.

Rick Wright, lui, joue davantage les utilités aux claviers et n'est cité nulle part : défait, il pointera d'un doigt tardif et piteux l'ingratitude de celui dont, sur scène, il continue de re-accorder la basse entre les morceaux. Pas très valorisant non plus. La question n'est d'ailleurs même pas là. La question est : camarades, vous rangez-vous parmi les Dogs, les Pigs ou les Sheep ? Pour Dave, Nick et Rick, c'est une roue de l'infortune kafkaïenne. Et cet album noir de suie, une impasse du même métal.
Preuve qu'ils n'ont rien compris aux enjeux, selon Roger. C'est donc par leur faute que le Floyd est traîné dans la boue, voué au cimetière des éléphants. D'où la justification martelée par le Grand Blessé : il faut marquer le coup par un mégasursaut ou mourir. Comme des animaux acculés par l'immonde chasseur. Dégraisser le mammouth d'urgence. Se ressourcer comme Led Zeppelin l'a fait avec Presence, comme les Stones eux-mêmes vont le faire avec Some Girls. Se "re-floydiser" alors ? Tout le monde est d'accord. Sauf sur un point, mais il capital : ils sont 3 à ne consentir qu'à repeindre le navire. Waters, lui, veut le reconstruire de fond en comble.





PINK FLOYD
ATOM HEART MOTHER


Le 15 Novembre 2006 par FRANCOIS DUCRAY


5 titres. Toujours démocratiquement répartis (quoique Mason commence à accuser un certain déficit), mais les apparences sont trompeuses. Car la superbe suite orchestrale qui donne son nom à l'album est avant tout le fruit du travail en amont de Roger Waters avec le compositeur "contemporain" Ron Geesin. Même si, ensuite, la part prise par les musiciens s'avère prépondérante en l'occurence : Atom Heart Mother est un très grand moment de musique pure.

On a pu faire remarquer qu'en pistant Stravinsky, ils n'avaient rejoint que Berlioz : foutaises ! A la réécoute, ça n'a rien à voir : organique mais gorgé aussi d'électricité latente, c'est une sorte de manifeste élégiaque et caustique, une incursion culottée dans un domaine encore en friche qu'investiront bientôt les allemands de Kraftwerk et de Tangerine Dream. Art pompier ? Si l'on veut. Mais surtout juteux, costaud et mieux que la farce électro-carabine du collage final mis en son par Alan Parsons, ingénieur ultra-compétent et qui aurait mieux fait d'en rester là : en fait de "psychédélique", ce Breakfast est au final nettement fumise !
Entre les 2, 3 chansons plus paisibles, on retiendra If, pour la métrique tout "cohenienne" de ce méditatif poème d'un Waters jouant de la tonalité des mots avec un bonheur communicatif. Etonnant, non ? Profitons-en...





PINK FLOYD
UMMAGUMMA


Le 15 Novembre 2006 par FRANCOIS DUCRAY


Double album. 12 titres en studio, 4 live. La répartition la plus égalitaire de leur histoire (avec juste un léger avantage à Waters sur le live grâce à Set the control... et sans compter le Astronomy Domine de Syd), et ce jusque sur la célèbre pochette "déclinant" ces messieurs dans leur cadre bucolique d'un côté, étalant fièrement leur "puissant" équipement (roadies compris) de l'autre.

Musicalement, ils sont à la croisée des chemins et l'exposent avec franchise sur le live (la déconnante empoignade instrumentale de Careful with that axe, Eugene, qui tient à la fois du monôme estudiantin et de l'extase bruitiste), avec un rien de complaisance en studio. Sans parti pris exagéré, il faut reconnaître que Wright et Waters, meilleurs compositeurs, ne s'en tirent guère mieux que Gilmour et Mason ; lequel a malgré tout l'excuse d'admirablement secouer sa foultitude de tubulures... On est là en pleine période de nage à vue entre les eaux de l'expérimental et de la pop : dans le genre, cependant, Frank Zappa fait plus fort, Captain Beefheart va plus loin. Mention spéciale Guinness Boof Of Records pour le titre le plus long à Several Species Of Small Furry Animals Gathered Together In A Cave And Grooving With A Pict, en hommage aux auteurs fous de BD Robert Shelton et Robert Crumb. C'est ça : mieux vaut en rire...





PINK FLOYD
A SAUCERFUL OF SECRETS


Le 15 Novembre 2006 par FRANCOIS DUCRAY


7 titres. Dont 3 par Waters, 2 par Wright, un collectif et l'adieu de Barrett, Jugband Blues, qui clôt ce 2ème opus. Que dire de ce dernier, sinon qu'il est un peu l'ultime canevas d'une forme brisée mais libérée de chansons que ses ex-amis mettront encore 5 ans à assimiler - et pas tous, et sans cette offerte humanité ? Rien.

Le Floyd nouvelle manière caresse déjà une autre matière. Et il a, pour ce faire, un autre guitariste hors pair : Dave Gilmour, cosignataire d'emblée de ce Saucerful of secrets fondateur et soudé. C'est le moule des titres à venir jusqu'à Dark side, le marbre dans lequel ils tailleront leurs grandes statues mouvantes. Car là commence un lent labeur de bruiteurs aux envies titanesques, pour qi rien n'est trop dur, trop profond, trop incongru.

Pas de texte là-dessus : les forgerons ahanent, ça fume et ça suinte de partout ! A côté, tout le reste semble refroidi et friable comme lave séchée. Il faut pourtant, pour comprendre, entendre Rick Wright se délecter de ses compositions lissées par un savoir-faire sans objet dans un tel contexte, ou Waters mâcher des paroles encore frêles. Mais la bête a des muscles et on les sent gonfler. D'on ne sait quoi, déjà elle rugit...





TOTO
TOTO


Le 15 Novembre 2006 par ZARDOZ


Woooooaaaaaa !!!!
Un superbe album, nothing to throw away... excepté la mièvrerie de "Takin' it back" et le simpliste "Rockmaker".





TOTO
ISOLATION


Le 15 Novembre 2006 par ZARDOZ


Avec les deux premiers, mon préféré de Toto.







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