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GENESIS
SELLING ENGLAND BY THE POUND


Le 28 Août 2006 par ONCLE VIANDE

Beaucoup de choses s’expliquent quand on sait ce que fut la participation de Peter Gabriel à ce disque. Lui qui jusque là ne touchait pas à la musique mais avait main mise sur la grande partie des textes, il n’en n’écrira ici que 2 (Dancing et Forest), tout le reste étant signé Banks.
Pas étonnant donc de voir disparaître le coté théâtral au profit d’une poésie plus lisse et surtout, d’une place de plus en plus importante accordée à la musique instrumentale. Les quatre musiciens progressent d’album en album, et celui-ci est davantage le leur que celui du chanteur. Pour la première fois, Gabriel reste dans le noir sur scène pendant certains passages (Firth, Cinema show)…mais on sait qu’il prendra sa revanche.
Vu sous cette angle, Selling préfigure ce que sera le Genesis 75 / 77. Il est davantage le premier volet d’une trilogie imaginaire (Selling/Trick/Wuthering) qu’un album typique période Gabriel…et d’ailleurs, les références littéraires britanniques évoquées dans ces 3 albums le confirment.
Pour le contenu lui-même, la qualité présente ici se passe de commentaires. Ecriture millimétrée, premiers synthés, jeu de guitare varié au possible, VRAI son de basse, prestation monumentale de Collins à la batterie et production enfin digne de leur musique (je crois que le groupe visait davantage un raffinement du son plutôt que de séduire un public plus large…Genesis a TOUJOURS voulu séduire un large public). On peut juste regretter la présence de « Forest » qui par sa théâtralité appuyée, n’est déjà plus en phase avec l’orientation du disque, ainsi qu’une homogénéité totalement détruite par des chansons discutables.
Selling n’est pas un chef d’œuvre pour moi, mais il occupe sans hésitation possible le haut du panier de leur discographie.





PINK FLOYD
THE DIVISION BELL


Le 27 Août 2006 par CHIPSTOUILLE

Erratum: que les premiers lecteurs de cette chronique m'excusent, Michael KAMEN, n'a bien entendu jamais participé à des travaux symphoniques inspirés des morceaux de LED ZEPPELIN.

Je pensais que la correction avait été faite, mais il semblerai qu'elle soit passée aux oubliettes, elle a donc de nouveau (?) été apportée.





PINK FLOYD
A SAUCERFUL OF SECRETS


Le 27 Août 2006 par ONCLE VIANDE

Ce disque est un petit joyau. Mon favori après Ummagumma. (la suite du classement serait plus ardue…sauf pour le bas de tableau évidemment. :-) )
Saucerful est habité (hanté devrais-je dire) d’un climat trouble du début à la fin, et même les titres les plus pop dans l’écriture (Remember et See saw) sont imprégnés de cette étrangeté floue. Mention spéciale pour le trop sous-estimé Rick Wright qui gratifia les albums du groupe d’une âme sensible et d'une "patte" vraiment talentueuse (Jusqu’à Atom).
Ce disque est un mauvais rêve aux contours imprécis et qui laisse un goût étrange mais au contact duquel on revient toujours. "Careful with that axe Eugene" n’aurait pas détonné sur ce disque…dommage. Leur album le plus onirique, du grand Floyd.





PINK FLOYD
THE DIVISION BELL


Le 27 Août 2006 par THE SOULFORGED


Il s'agit du premier disque de Pink Floyd que j'ai écouté. Assez sympathique, planant mais avec quelques longueurs. En définitive, je partage l'avis de Chipstouille. Le morceau High Hopes reste assurément le plus intéressant de l'album.





MAGNUM
ON A STORYTELLERS NIGHT


Le 27 Août 2006 par DAFKE

En effet je suis d'accord avec cette remarque sur le rock prog. Je l'ai classé dans cette catégorie car je n'ai rien trouvé qui correspondait dans les styles par défaut et j'avais déjà entendu certains parler de Magnum comme un groupe de prog. Mais bon on m'a engagé pour faire les chroniques de Magnum sur FP donc voilà.... Pour rejoindre le commentaire de David, je dirai qu'on devrait créer un autre site, situé entre Nightfall et FP rien que pour Magnum.





GREEN DAY
AMERICAN IDIOT


Le 27 Août 2006 par FOX


C'est vrai... à force de les entendre un peu partout, les chansons définies comme les plus "aptes à être commercialisés" nous lassent, Le coté easy listening bien lisse et fait pour l'écoute à tendance à masquer l'esprit "punk" et niveau engagement j'ai vu bien mieux (Le dernier Anti-Flag par exemple)...
Mais bon, s'il y a quelque chose qu'on enlèvera jamais à ce groupe, c'est le talent de composition, j'aime pas "American Idiot" (archétype de la chanson qui me soule) mais "Boulevard ...", "Wake Me Up ..." et "Holiday" sont franchement bien et "Whatsername" est géniale.
Le reste passe bien, sans 'plus' majeur.
En bref :
Un album sympathique qui se laisse écouter et un phénomène commercial scandaleux qui se passe de tout commentaires.





Gustav HOLST
THE PLANETS (OP.32) - A SOMERSET RHAPSODY (OP.21)


Le 26 Août 2006 par THE SOULFORGED

Si Pluton a été déchu de son statut de planète, il me semble que d'autres corps astraux y prétendent, eux. Donc on n'a pas fini d'apporter des modifications à cette suite. :-)

Au sujet des inspirations, je me suis aperçu en chroniquant la B.O. de Gladiator que Hans Zimmer avait lui aussi abondamment puisé dans Mars.





ANGE
PAR LES FILS DE MANDRIN


Le 25 Août 2006 par COUTEAU SUISSE


Effectivement, il est difficile de commenter en 2004 un disque de 1973, surtout - et n'y vois aucune critique, cher Jérémy - quand on est né en 87. Mon propos est simplement de complèter ta présentation en y ajoutant la sensibilité du public d'alors.
Je l'ai découvert en 73 (je n'avais pas quinze ans) et dans l'ambiance de l'époque, tout cela était fichtrement nouveau et excitant. Il y avait sans doute des maladresses techniques, une spontanéité d'écriture parfois un peu brute. Mais le maître mot à l'époque était l'expérimentation. Et "Caricatures" comme "Le cimetière des Arlequins" furent de sacrées expériences. Nous jubilions à répéter ces textes fous. Nous étions envoutés par l'orgue de Francis et les riffs de Brézovar. Ca changeait un peu de Claude François ! On ne parlait pas encore de "metal" à l'époque. Le mot "hard-rock" était tout neuf.
"Au-delà du délire", qui suivit, était certes mieux maîtrisé. Mais justement, il était moins sauvage.
Quant à "La route aux cyprès", il faut l'écouter en évoquant Van Gogh, à qui elle est dédiée.





ANGE
PAR LES FILS DE MANDRIN MILLESIME 77


Le 25 Août 2006 par COUTEAU SUISSE


Cette édition de "Fils de Mandrin" m'est particulièrement chère. C'est sentimental : J'étais au Palais des Sports de la Porte de Versailles le 25 mai 1977. Il est logique que cette oeuvre, conte théâtral, prenne plus de relief devant un public que dans un studio. C'est aussi ce soir là que j'ai reçu en pleine figure "Le chien, la poubelle et la rose", qu'on trouve sur le "Tome VI". Je m'en suis repris deux doses récemment car il est sur la liste de l'actuelle tournée.
Pour les amateurs, Ange a sorti fin 2005 un DVD de sa dernière tournée, enregistré à Vielsam (B) en 2003, avec "Par les Fils de Mandrin" revisité par la formation actuelle. J'ai vu cette prestation trois fois sur scène et je me suis empressé d'acquérir la vidéo, que je regarde avec des yeux... couleur d'enfant.

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Petit complément au sujet des artistes (line-up, comme on dit...).
Christian Décamps au chant et à l'orgue.
Francis Décamps aux différents claviers.
Jean Pierre Guichard à la batterie.
Daniel Haas à la basse.
Jean-Michel Brézovar à la guitare.
Et merci à Ziggy de consacrer des chroniques aux disques de Ange, même si nos positions ne sont pas les mêmes sur "?". Affaire de goûts et de sensibilité: Toute opinion est valable.





ANGE
?


Le 25 Août 2006 par COUTEAU SUISSE


Je vais commencer par une petite explication sur l'absence de titre défini pour ce disque. Lors de sa mise en forme, en septembre 2004, et de l'appel à souscription (parce qu'il y a un moment que Ange ne peut financer ses disques qu'à côté - ou au-delà - du système du grand commerce)cinq titres étaient proposé au voix des souscripteurs. J'avais choisi, pour ma part, "Reflux d'aubes tempérées" mais il y avait aussi "Jazzouillis", "Mémoires d'outre rêve", "Sous hypnose" et "Les naufragés du zodiaque". Or aucun des cinq titres ne s'est détaché des autres et c'est pour cette raison, par respect pour les souscripteurs et non par prétention, que le disque est sorti avec un champ libre pour que chacun le baptise à sa guise. Au début, nous l'avons appelé "?", faute de mieux. Il prend de plus en plus le nom de la tournée en cours : "Le tour de la question".
Je lui ai mis seulement 4/5 car il en est d'autres que j'aime plus totalement. Question d'âge, sans doute...
J'aime bien le "Couteau suisse" qu'on peut trouver simple mais dont le texte m'amuse. Je m'y retrouve un peu, d'où mon surnom. "Entre foutre et foot" n'est pas laid. Il est cru. Il illustre la brutalité fruste du monde des téléphages footeux carburant à la "Kro", subie par une ex-midinette pas très futée et baffouée par un faux-prince pas charmant en charentaises et survêt'taché. Eh oui ! Le monde n'est pas toujours poétique. Un coup de chapeau au passage à Caroline Crozat pour son interprêtation, encore meilleure sur scène. J'aime aussi "Histoire d'outre rêve" et "Les eaux du Gange", entre autres.
Je pense qu'il ne faut pas, lorsqu'on découvre un nouvel Ange, s'attendre à "Au-delà du délire". Yes ne referait pas un "Close to the Edge". Chaque oeuvre a sa personnalité, marquée par son temps et par l'équipe qui l'a créée. Mais si cet album est de la bête variété simpliste, c'est que je ne comprends rien à rien. Parce que ça ne ressemble pas à la soupe qu'on nous sert à longueur de journée sur les radios et les télés et qui s'adapte, comme les hamburgers de MacDo, aux oreilles mal éveillées des quatre coins de la planète. (Ayez la gentillesse de me passer ces quatre coins d'une sphère, fut-elle applatie en ses pôles...)
Un dernier mot. Il ne faut pas juger Ange sur ses disques en studio. C'est un peu comme de lire une pièce de théâtre dans un bouquin. Ange est avant tout un groupe de scène et là, on vibre !
Pour les curieux, je vous invite à visiter le site www.updlm.com et surtout son forum.





GENESIS
CALLING ALL STATIONS


Le 24 Août 2006 par DAVID


Très bon album, même si il contient quelques défauts ! Phil Collins ne manque absolument pas (au chant tout du moins, à la batterie c'est autre chose), la présence de Ray Wilson permet de moderniser la machine. On retrouve même un côté prog comme on n'en avait plus vu depuis Duke.
Quelques longueurs parfois, mais heureusement compensé par des moments magnifiques (Calling All Stations, Alien Afternoon, If That's What You Need, There Must Be Some Other Way, One Man's Fool) et quelques éléments recyclés sur les albums précédents, on peut parler de renouveau mais pas vraiment de révolution. Mais ça reste bien plus intéressant que ce qu'ils ont pu faire dans les années 80.





GENESIS
FOXTROT


Le 24 Août 2006 par ONCLE VIANDE

Il suffisait donc de réclamer pour obtenir ? Mince, si j'avais su cela plus tôt...
Je veux l'intégral Frank Zappa David.





GENESIS
FOXTROT


Le 24 Août 2006 par DAVID

Au fait, j'annonce que je compte chroniquer Selling england by the pound, et peut être Duke aussi prochainement. Ca avait été réclamé depuis tellement de temps...
Peut être Relayer de Yes aussi dans la foulée, voilà :)





Gustav HOLST
THE PLANETS (OP.32) - A SOMERSET RHAPSODY (OP.21)


Le 24 Août 2006 par ONCLE VIANDE

Je suis un peu surpris de ne pas voir cité le plus illustre groupe de rock à avoir repris "Mars" (note pour note, croche pour croche). En effet, King Crimson jouait ce morceau sur scène en 1969, (tout mellotron dehors) puis, après avoir subit un sérieux lifting devint "The Devil triangle" sur "Poseidon" (et Fripp de créditer le morceau à son seul nom, sans aucune mention pour Holst).
On retrouve aussi cette rythmique très particulière sur un morceau de Van der Graaf (Necromancer en 68) mais c'est déjà plus anectotique.





Paul MCCARTNEY
CHAOS AND CREATION IN THE BACKYARD


Le 24 Août 2006 par MACCA


Le meilleur album de McCartney depuis RAM. Tout y est excellent, rien à jeter, même l'instrumental caché de la fin de l'album.
64 ans et toujours en super forme le Macca !





Gustav HOLST
THE PLANETS (OP.32) - A SOMERSET RHAPSODY (OP.21)


Le 24 Août 2006 par DARK SCHNEIDER

Information de la plus haute importance : Pluton a été déchue de son statut de planète par l'assemblée générale de l'union astronomique internationale aujourd'hui même. A quand une réedition de cet album sans le morceau "Pluton" qui n'a plus lieu d'être sur cet album et qui de surcroit n'a même pas été composé par Holst?

Autre petite info : le titre "mars" a aussi été utilisé par l'excellent groupe italien DOMINE.


Par Forces Parallèles

De la plus haute importance, c'est vite dit...

Ceci dit, il y a énormément d'enregistrements de cette oeuvre sans l'apendice contemporain de Matthews...





INTERPOL
ANTICS


Le 23 Août 2006 par JAROD69


Excellent album que celui de ce groupe que j'ai découvert assez récemment, le son tout particulier de la guitare est génial, la basse est omniprésente et puis la voix du chanteur rappelle dans une certaine mesure celle bien nasillarde de Brian Molko mais tout en gardant un style différent.

C'est cela qui à mon avis m'a fait aimer l'album: çà ne ressemble à rien d'autre. Cela n'est pas de la brit pop, ni de la post new wave, ni quoi que ce soit d'autre! Un vrai groupe indé, quelque chose de nouveau...

Take you on a cruise est magnifique, Evil vous donne tellement la pêche que j'en ai eu des frissons à la première écoute, et la petite intro de Slow Hands, toute bête mais si efficace, contribuent a faire de Evil un album référence.

Autre détail qui fait d'Interpol un groupe qui vaut le détour: le second album et le premier sont de même facture...Aussi bon l'un que l'autre!!! A découvrir d'urgence!





TEN YEARS AFTER
SSSSH


Le 22 Août 2006 par Y;LE COADOU


Curieusement, le meilleur de cet enregistrement est un blues ultra classique: "i woke up this morning". Son écoute me fait penser à l'excellent "rock roll music to the world". Même rythmique parfaite ou chaque instrument trouve sa place dans le sillage de lee. Le groupe excellait sur ces morceaux simples qui laissaient place à de multiples variantes comme le démontrent les versions live sur le filmore de ce morceau et d'un blues d'anthologie comme "spoonfull".
Cet album reste plaisant à écouter avec des titres comme stoned woman, the stomp... Il lui manque peut être un ou deux titres comme "sweet little sixteen" ou" roll over beetoven" jamais repris en versions sudio. Pas de bonus pour cette réedition.





David BOWIE
DAVID LIVE


Le 20 Août 2006 par LEO


Eh bien je dois faire partie encore d'une autre catégorie: à savoir, ceux qui adorent ce double live! en fait, il s'agit de mon album en concert favori de Bowie!!! (eh oui!), pour la simple et bonne raison qu'il a pris le parti de destructurer ses anciens classiques de l'époque Ziggy & Co. et de les réarranger dans une tonalité soul/jazzy
(ce qui n'a pas plu à beaucoup de ses fans à l'époque!). mais perso, c'est ça que j'apprécie justement. de ne pas avoir collé aux arrangements habituels tels que nous les connaissons sur les albums studios.





Gustav HOLST
THE PLANETS (OP.32) - A SOMERSET RHAPSODY (OP.21)


Le 19 Août 2006 par THE SOULFORGED

Hello,
la scène des balais de Fantasia qui rappelle Uranus, c'est justement l'Apprenti Sorcier de Dukas.
Après, je n'entrerai pas dans la polémique de savoir si oui ou non Pluton est une planète. C'est que je l'aime bien ce petit caillou gelé, j'y passe toutes mes vacances. :-)







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