Bonsoir,

Bien des oeuvres signées (au moins en partie) Klaus Schulze sont prévues pour de futures chroniques, mais elles ne sont pas encore écrites. Elles viendront avec le temps.

Je me permets ceci étant de répondre à votre seconde question :
- La Vie Electronique 2 (2009), remarquable pour la qualité de morceaux issus des premières années solo de Schulze ainsi qu'un visage pseudo-acoustique intéressant;
- La Vie Electronique 3 (2009), premier volet explorant l'âge d'or de KS, et montrant des séquences bien plus dignes d'intérêt que ce que les amateurs ont pu écouter à l'époque de Blackdance (1974);
- La Vie Electronique 9 (2011). Bien qu'il soit inclus dans la partie "ventre mou" de la série (les volets 7 à 9), il n'est pas exempt de morceaux audacieux et sympas.

Voilà au moins pour commencer. Les autres volumes ne sont pas moins intéressants (sauf les 15 et 16), mais il faut bien connaitre son KS d'abord.

Bonne soirée !

Il s'agirait apparemment de Stacy Michelle, une musicienne originaire de Memphis ayant déjà poussé les chœurs pour Keith Richards, Robert Plant, Johnny Rivers et chanté en duo avec Jerry Lee Lewis.

Hello,
Non c'est foutu, Charlie et Gregg ont monté un nouveau groupe nommé WARRIOR"S PRIDE... Rick a désormais tous les droits concernant le nom BLACKFOOT. Ainsi en a décidé la justice.

Merci LeGuersant pour ta vigilance. Il s'agit effectivement d'une erreur d'inattention de ma part...
Content que la chronique te plaise !

Teemo.

Hello,
je plaide coupable ! Parfois, l'esprit n'est juste pas disposé, et Hubert-Félix est un artiste complexe. Allez laisse moi encore quelques jours
Bien à toi.

Personnellement je suis en pleines recherches sur "l'école de Canterbury", j'ai trouvé des sources assez exhaustives sur le sujet ensuite j'ai sorti des placards mes vieux Soft Machine et Caravan. La disco de ces derniers ayant été réservée par je ne sais plus qui, je n'avais pas prévu pour autant de m'y mettre. Si Kid66 se sent chaud bouillant,pas de souci, qu'il s'y colle ! Sinon, même réponse il faudra patienter... un peu.
:)

Je suis en train d'avancer (doucement) dans la disco de CARAVAN. Et par avancer je ne parle pas d'écriture de chroniques mais bien d'écoutes !
Il va falloir patienter encore un peu j'en ai bien peur...

La discographie de Caravan a maintes fois été réservée, puis abandonnée, puis retentée, puis délaissée, puis reprise, et encore lâchée. Des générations de chroniqueurs ont été sacrifiées à cette vaine tâche et ici-bas l'on attend encore le Messie qui viendra s'en charger à notre place.

Bon, plus sérieusement, c'est vrai que ça manque, c'est bien évidemment prévu, mais il faudra encore un peu patienter !

J'avoue que ce serait pas mal...

Oui, groupe difficile à cataloguer… Bon c'est clairement typé 80' façon Depeche Mode de "Some great reward" aussi un peu de Tears for Fears et un soupçon de Simple Minds. Au passage le titre "The power of love" une des plus belles chansons, d'une force émotionnelle incroyable… Le chant du cygne !

@Erwin : En parlant du groupe PROPAGANDA, leur titre "Dr. Mabuse" ainsi que "Dream within a dream" sont tout-à-fait du même style que les tubes de FGTH, notamment 'Welcome to the Pleasure Dome" ou "Relax".On sent vraiment que la mixture a été créée dans les mêmes studios, il n'y a que les voix qui sont différentes !

c'est toute la difficulté de répondre à ce genre de questions , avec cet album on passe par pas mal de style , j'ai même lu des chroniques où certain y trouvait même une influence pink floyd, mais on peut quand même les rattacher aux principaux groupes de newave 80'.

Bonjour,

c'est un piège ta question ! Je ne vois quand à moi pas un seul groupe de New Wave capable d'émuler FGTH sur la puissance développée. Seul YAZOO me vient à l'esprit pour leur premier album "Upstair"s at eric".. Essaye "Situation" et "Don't go".

J'aurai donc tendance à aller en terre germanique plus industrialisée pour trouver des collègues... PROPAGANDA a été cité.

Cold wave, pas pour moi, et je vois plus de lien avec FRONT 242 qu'avec les standards de la synth pop.

Question très complexe donc, la carrière si courte du groupe ne permet guère de projections ! Leur capacité à créer des hits étaient gigantesques, c'est fort dommage.

Bien à toi
Erwin

Pour ajouter à ma réponse précédemment, je dirais même que F.G.T.H. se rapproche davantage des productions "industrial pop" que de la synth-pop classique (Depeche Mode par exemple).
F.G.T.H est beaucoup plus expérimental et créatif.
Le groupe allemand "Propaganda" (surtout son album "A secret Wish"), du label ZTT, ressemblait beaucoup à ça. Et ce n'est pas un hasard si le producteur est le même pour ces deux oeuvres : le légendaire Trevor Horn !

Heu... non, aucun. Franchement, aucun groupe ne ressemblait à Frankie Goes to Hollywood : la voix du chanteur, la production assez spéciale (différente des autres groupes pré-cités), etc.

Duran Duran ou en plus sombre Talk Talk et bien sur Depeche Mode et The cure avec toute fois un côté cold wave beaucoup plus prononcé

Ma chronique arrive sous peu !

Merci Jef pour cette précision, je me suis décidé à acquérir Elysium qui correspond à une apogée d'après la chronique. Et peut être plus tard ce live... Musicalement.

Déjà les trois premiers albums studio, tu vois bien l'évolution du groupe parti d'un style marqué par la batcave pour arriver à quelque chose de plus ésotérique et psychédélique (surtout sur "Elysium"). Mais ce live est aussi une parfaite introduction aux Fields. Si tu as des tendances métalliques, tu peux aussi jeter une oreille sur le dernier album studio "Mourning Sun" et sur l'unique disque de The Nefilim "Zoon", projet indus-metal de Carl McCoy, deux très bons disques.

- Ils préparent un nouvel album (http://musikuniverse.mu/nouvelles/item/4941-soundgarden-le-travail-pour-le-prochain-album-avance-bien).

- Oui, puisqu'ils ont fait beaucoup de dates depuis la sortie de cet album.

- Réponse plus haut.

Simple jugement de qualité, par rapport à l'ensemble des chansons proposées sur chaque oeuvre.

Sur C'est Déjà Ca, il y a cinq morceaux énormes, de très bons ensuite, et un ou deux moyens.

Sur Au Ras des Pâquerettes, je trouve que l'ensemble se tient, dans un degré de qualité "très bon/excellent".

Cordialement.

Si, en effet ! Erreur d'autant plus impardonnable que c'est moi qui ai chroniqué Graceland...

Je me souviens d'avoir assisté à un concert exceptionnel à Toulouse de la tournée de Brave. Le live existe. je le conseille vivement.

Réponses faciles:
Tout le monde se connaissait:
1- Dave Mustaine sortait de Metallica
2- Kerry King sortait de Megadeth (si si)
3- Scott Ian (Anthrax) était très proche ami de Dave Mustaine

"De plus à la naissance du Trash Metal, ce milieu est un tout petit monde où tous se connaissent"
C'est tellement vrai.
Cf le l'excellent documentaire "Get Thrashed".

Il me semble que cette chronique ne dit pas autre chose, n'avance rien puisqu'elle remet PSBWB dans son contexte historique (pendant sa conception et lors de sa période de sortie et de promo), j'ajoute que les pressions de maisons de disques sont bien réelles quel que soit le contexte. De plus à la naissance du Trash Metal, ce milieu est un tout petit monde où tous se connaissent et savent ce qui se crée autour, en direct ou presque. Tous sont aux aguets, phénomène somme toute assez banal dans le milieu artistique, notamment quand il s'agit d'assurer la com'. C'est une grosse part de gâteau qui se joue après tout.
Bien à toi

J'avais bien vérifié les dates de sortie des disques.
Mais dans ma phrase j'ai bien mis "il devra faire face à" pour dire "au cours de cette année 86 il sera inévitablement comparé à". Ces disques sont contemporains quoi.
Mais j'aurai effectivement pu mettre que dès sa sortie il allait être mis face à Show / Hell et surtout à Ride... C'était pas évident de sortir un disque qui allait avoir la réputation de Peace Sells quand le chef d'oeuvre absolu de genre était déjà paru ! Mustaine a fait fort, il s'est mis au niveau =D

Merci pour vos réponses, je vais explorer ça !

Il joue la partie hispanisante sur le "Innuendo" de Queen. Sinon il y a les albums d'Asia, par exemple "Phoenix", "Omega", "XXX".

Steve Howe débuteen 1963 au sein de The Syndicatsavec Kevin Driscoll et le chanteur Johnny Lamb. Il met en boite avec ce groupe de R&B/Rock 2 singles Columbia (DB7238 et DB7441). Il rejoint ensuite The In Crowd remplaçant Les Jones et met en boite 2 singles Parlophone (R5328 et R5364) en 1965.
On le retrouve après chez Tomorrow (en fait une variante de In Crowd) avec 3 singles Parlophone (R5597 - R5627 et R5813) gravés entre 67 et 69. Un 33-t. éponyme sort en 1968, réédité par Harvest en 76 et en 99 en CD par EMI.
Howe joue ensuite pour Bodast avec le batteur Bobby Clarke et Clive Skinner au chant. L'album longtemps resté au fond d'un tiroir est publié en 82 par Cherry Red Records (Cherry Red Bred12)
Période Yes à partir de 70.
En 82 on le retrouve chez Asia (LP chroniqués sur FP)
Il a sorti plusieurs albums solo dont le Live Travelling en 2010 au sein du Steve Howe Trio.

On peut retrouver ses premiers titres sur les compilations "I Don't Mind On Visions Of The Past Vol. 3" et "Things She Says On English Freakbeat Vol. 4"

Donc pour résumer il fait du R&B covers, passe au Rock Blues Psy, au Prog Psy avant d'intégrer Yes.

Hello,
inutile d'aller déranger mister Marr pour si peu de choses les gars. Voici l'explication, tirée du wiki anglais :
"The recording was given a distinctive intro by engineer Stephen Street, who increased the reverb on the drums, faded the track in then out again, and took the reverb back off when reintroducing the song: "A bit like opening a door, closing it, then opening it again and walking in"
Pour les non anglophones, l'idée est que l'ingé son Stephen Street, a voulu créer l'ambiance d'une porte qui s'ouvre et laisse filtrer le son, puis se referme pendant le fade, puis s'ouvre à nouveau. C'est l'explication de ce "Fade".
Bien à vous deux !

J'ai le même "problème" sur mon exemplaire, ce qui fait que pendant quelques années j'ai cru que ma version cd souffrait d'un défaut de gravure. Pis comme toi j'ai été vérifier sur You Tube. Mais oui il semble que ce fade out/fade in soit intentionnel. Ou alors il s'agit peut-être d'un incident de studio qui n'a pas été corrigé (comme l'enchainement "Waiting For The Bus/Jesus Left Chicago" de ZZ Top par exemple). Le mieux serait de poser la question à Johnny Marr mais perso je n'ai pas son adresse mail...

C'est un des premiers albums que j'ai acheté à l'époque. Quelle claque ! La réponse de Terry et celle de GUY sur le nom du groupe et de l'agence de transports de la ville de CHICAGO et le nom de l'album est la bonne.

Un peu comme Led Zeppelin, dont l'emprunt du nom a mis la famille Zeppelin (fabriquant du dirigeable) en fureur ! Mais ça n'a pas empêché...

Le nom du groupe, à l'époque du premier album, était "Chicago Transit Authority" mais la "Chicago Transit Authority" (la compagnie de transport de Chicago) les a menacés de procès, ils ont donc abrégé leur nom en "Chicago".

A la base, le groupe s'appelait Chicago Transit Authority, et leur premier album est éponyme et porte donc ce nom. Mais leur nom est aussi celui de la compagnie de transports de Chicago (la CTA, en abrégé), qui leur a sommé de changer de nom, car ils n'aimaient pas que le groupe utilise le leur.
Ils (le groupe) ont donc raccourci en Chicago (la ville n'a pas gueulé, heureusement !), mais leur premier album n'a pas été retitré pour autant !
Voili voilou...

Le "mot du producteur" présent sur le (petit) livret de l'album se termine pas ces mots :

"[...], call them CHICAGO."

Ma conclusion : Le nom du groupe n'était pas définitif lors des répétitions.
Mais je ne pense pas pour autant que leur nom provisoire fut CHICAGO TRANSIT AUTHORITY.

En Thrash Metal :
Katon W de Pena d'HIRAX.
Eric Armstrong de ZOETROPE

Eugene Robinson de Oxbow :)

En France : STRATTSON, "Ouf Metal" (1985), avec Jean-Claude Stratt au chant et à la gratte ! A connaître !!!

Le chanteur de SEVENDUST.

On peut rajouter Kid Thomas et pourquoi pas Billy The Kid Emerson sans oublier Joe Hill Louis (les 2 derniers ayant enregistré pour Sun, le petit label à étiquette jaune.

La chanteuse des BELLRAYS, et aussi Danko Jones.

Je me permet un petit élément de réponse tant cette question sur la "couleur" est vaste.

Le "Rock à Billy" n'existe pas, mais tu souhaites sans doute évoquer les débuts du Rock'n'roll aux Sun records de Memphis. La portion "Rockabilly" est, contrairement à ton assertion, la "blanche" puisque ne proposant quasiment pas d'éléments Rhythm n'blues avec son hillibilly western matiné d'éléments folks et country. Carl Perkins en était le King, Elvis, Johnny Burnette ou Billy Lee Riley les icones. Pas de blacks la dedans...

Ni Chuck Berry ni Little Richard ne font du Rockabilly, ils font du Rock'n'roll, beaucoup plus influencé par le Rhythm'n'Blues.

Cela dit, il y a plein de noirs dans le Rock...

Voila, c'était la petite minute historique...

Ne pas oublier dans le shoegaze : A.R. Kane (qui sont les véritables précurseurs du genre) et le groupe Américain The Veldt.

Tiens, personne n'a cité Tom Morello, géniallissime guitariste de Rage against the machine ou encore Audioslave.

On à oublié de citer le groupe de heavy métal des années 80 "black death". Groupe entièrement afro-américain.

En rock, personne n'a cité les pionniers comme Chuck Berry ou Little Richard ? Me vient aussi à l'esprit Naked Truth, un groupe metal/fusion plutôt oublié (leur unique album "Fight" est une merveille pourtant) entièrement composé de blacks.

Historiquement, le Rock est une musique de Blancs, pour les Blancs.
Le Metal, c'est encore pire : les racines Blues (noires) que l'on trouve dans le Rock ou même le Hard Rock de LED ZEP (par exemple), sont totalement extirpées, balayées, pour en faire un mode d'expression très ethniquement épuré. Un "White sound", en quelque sorte.
Pas de trace de musique noire dans SLAYER, pour citer un exemple typique.
Puis aussi, on peut être Noir et aimer le Metal, comme on peut être Blanc et adorer le Blues du Delta.
On peut faire du Metal et incorporer des influences extérieures (SEPULTURA à une époque), au même titre que le blues des Noirs américains, par exemple, était déjà une musique de contact, ne serait-ce que par la langue employée (l'anglais) et les instruments utilisés (d'origine européenne).
Puis, des Blancs peuvent jouer du Blues, et des Noirs du Metal. Il y en a, concernant ces derniers, relativement peu en proportion. Le Metal reste une musique avant tout de Blancs. On critiquera cet état de fait, en disant qu'il n'a su faire son "aggiornamento" et que sais-je encore. On oubliera ainsi un peu facilement que ce même Metal n'a jamais bénéficié de la même exposition médiatique que les musiques noires et que, de ce fait, il a certainement moins eu la possibilité de se développer en dehors de son public d'origine. Cela était-il même souhaitable ?
Toujours est-il que, lorsque je vais à un concert, c'est 99% de Blancs dans le public. Et cela, tout métalleux est en mesure de le constater.
Histoire d'enfoncer un peu le clou : Phil Lynnot était génétiquement aussi blanc (par sa mère) que noir (par son père) et Hendrix avait du sang indien (cherokee ?) dans les veines. Relativisons, donc.

Le groupe BODYCOUNT et son chanteur ICE-T.
BBBOOOOORRRNNNNN DDDDDDEEEEAAAAAD.......

Autre ajout : Melvin Gibbs, bassiste du ROLLINS BAND (le groupe d'Henry Rollins après BLACK FLAG)

N'oublions pas Chuck Mosley, le premier mésestimé chanteur de faith no more !

Salut,
Je rajoute juste ANIMALS AS LEADERS, excellente formation de djent actuelle

N'oublions pas également Caller Of The Storms, guitariste émérite du groupe de Black/War Metal canadien BLASPHEMY.

J'oubliais aussi les BAD BRAINS, premier groupe de punk hardcore entièrement afro-américain (merci Léo de l'avoir signalé !), ainsi que le groupe de metalcore américain GOD FORBID...

Comme je le disais les exemples ne manquent pas, mais c'est vrai que comme le signalent certains ici ça reste malheureusement trop minoritaire.

On pourrait également citer SUFFOCATION et SUICIDAL TENDENCIES... Comme le dit si bien Gegers, les exemples ne manquent pas !

Pour contiuer la liste de GEGERS, je citerai quelques formations comme MOTHER'S FONEST, les BAD BRAINS, FISHBONE et le trio DEATH (de Detroit) ....

Dans le monde rock, on peut aussi citer Can, dont le premier chanteur, Malcolm Mooney, était alors un exilé étasunien en Allemagne, ainsi que Rosko Gee et Rebop Kwaku Baah, deux musiciens qui provenaient de Traffic.

Il y en a plus qu'on ne le pense, non tous les artistes noirs/noires d'aujourd'hui ne se sont pas cantonnés au Rap/R'N'B et ceux d'hier au Funk/Disco heureusement d'ailleurs.
Citons en plus de ceux énumérés par GEGERS:
Slash (il est métisse pour ceux qui ne l'avaient pas remarqué), BODY COUNT, FISHBONE, les vétérans de MOTHER'S FINEST (il y a des blancs aussi) idem pour les ALLMAN BROTHERS, SANTANA, Frank ZAPPA (le groupe), Lenny Kravitz, Van Williams de NEVERMORE, William DUVALL d'ALICE IN CHAINS, T.M Stevens, Tina Turner, d'une certaine manière on peut citer PRINCE et Michael JACKSON aussi...
En France les chanteurs de FFF, SKIP THE USE sans oublier la ravissante chanteuse des SHAKA PONK...J'en ai certainement oublié mais non toute la communauté noire ne s'est pas détourné du Rock après les 50's même si le rock est considéré comme une musique de blanc à tort bien évidemment.L. Kravitz aura à subir quelques critiques à ce propos d'ailleurs. (sa musique étant trop blanche donc trop rock pour certains).
Soyons honnête concernant le métal, cette musique est née en Angleterre pas en Jamaique, tout comme le Punk, elle s'adressait d'abord aux jeunes blancs de la classe ouvrière, encore aujourd'hui la communauté noire n'a pas un très bon a priori et ne se reconnait pas dans cette musique. (je ne connais pas de groupes noirs faisant du heavy métal traditionnel par exemple)
Néanmoins les choses ont changé depuis le mélange des genres FUSION, RAP métal, rock alternatif... des artistes noires ont pu et ont su apporter leur pierre à l'édifice Métal d'une autre manière et c'est tant mieux. Espérons que les choses continueront à évoluer dans ce sens.

Les musiciens noirs dans le Metal sont une exception, et les cas cités relèvent justement de cette exception.
Le Metal est essentiellement une musique de Blancs, joués par des Blancs pour des Blancs... sauf exceptions.
La spécialisation, la communautarisation de la musique date de la Ségrégation aux USA : Country pour les Blancs, Blues pour les Noirs. C'est le business de la musique qui l'a voulu, pas tellement les musiciens, qui jouaient en fait de tout, quelque soit leur couleur (tradition des "songsters"). Mais voilà : quand il fallait enregistrer, un Noir, on lui demandait du Blues.
Le Metal est un héritage de cette communautarisation voulue par le business, et il faut avouer que, contrairement au Rap, il n'a pas su réellement s'affranchir réellement des barrières raciales.

Le groupe FISHBONE a également commis des disques bien METAL entre ses périodes Ska.

Les musiciens noirs ou métis sont une infime minorité dans le hard et le metal : MOTHER'S FINEST, ANYONE'S DAUGHTER, plusieurs zicos de SUICIDAL TENDENCIES, Jeff Scott Soto, Katon W. de Pena (HIRAX), Johanne James (THRESHOLD), Lloyd Grant (METALLICA le temps d'une session), Chris « Congo » Campbell (dans le JUDAS PRIEST des débuts),les virtuoses de la 6 cordes Tony McAlpine et Greg Howe... Ils sont un plus nombreux dans le rock, terme fourre-tout par excellence, mais toujours nettement minoritaires.

Le groupe Living Colour, Jean Beauvoir des excellents Crown of Thorns, Ismalia Diop chez Trust, Derrick Green de Sepultura, Doug Pinnick de King's X... Bref il ne me semble pas voir cette rareté que tu décris des musiciens noirs dans le hard / metal, et c'est tant mieux ;-)

J'en pense que Pink Floyd n'a pas vraiment voulu suivre un "plan de carrière". DSOTM achève un cycle heureux pour PF car après cela, les premières dissensions entre les membres commenceront à poindre puis à prendre une ampleur qui allait pourrir les relations et mener Waters à des accès de paranoïa, qu'on retrouvera dans les thèmes qu'il abordera par la suite. Il est incroyablement difficile de se remettre d'un succès aussi colossal et absolu que celui de DSOTM, contrairement à ce qu'on pense. De plus rien ne dit qu'un DSOTM bis aurait permis d'obtenir un succès comparable, il n'y a que les comptables pour croire en pareille fable. De fait le 2e plus gros succès de PF sera The Wall, un disque où on retrouve pèle mêle les ambiances déjà présentes dans DSOTM, WYWH et Animals.
Bien à toi

Dans le genre énorme tu as le triple album The Concert for Bangladesh produit pas Spector, sa réédition 2005 est phénoménale. Sinon, toujours en concert (vraiment énorme), tu as le Concert for George de 2002, donné en hommage au Beatle décédé un an plus tôt. Une merveille. Et plein de musiciens pour participer.
Après ATMP reste le disque le plus fastueux du Quiet One, celui-ci n'a jamais cherché à refaire le "Wall of sound" spectorien en studio. Il y a tout de même de beaux restes sur Living In The Material World, le suivant.
Niveau qualité ATMP est - et restera donc - le meilleur album de Harrison, néanmoins Cloud Nine (1987) semble rallier aussi de nombreux suffrages, normal c'est un très bon disque.
Personnellement j'aime aussi beaucoup le dernier en date , Brainwashed (2002), disque posthume et pour le coup à l'opposé de la luxuriance de ATMP.
Sinon le reste est inégal.