Le 28 Décembre 2016 par PHILIPPE

@ NONO: la chanson de George Michael c'est "A Different Corner" . Tu dois confondre avec Cock Robin "Just Around The corner" :-)

Sinon d'accord avec ce que tu dis ; un grand chanteur et un grand compositeur. Cela fait 30 ans que ses musiques m'accompagnaient et je dois dire que de toutes les morts de 2016, c'est peut-être celle-là qui m'a le plus touché. Je me suis revu jeune collégien assidu du top 50 et qui écoutait en boucle les tubes de Wham de l'époque enregistrés sur un magnétophone à K7 collé sur le poste de radio ... Careless Whisper, everything she wants, where did your heart go ?, A different Corner ... !! 1985-1986 , que de belles années en ce qui me concerne !

L'autre gros souvenir que j'ai de lui c'est la baffe monumentale mise au concert "Tribute to Freddie Mercury" sur Somebody To Love.
C'est marrant car pas d'internet à l'époque, mais à la lecture des articles et commentaires sur le net, je vois que cela a marqué beaucoup de monde !

Sa musique continuera de vivre j'en suis sûr. La marque des grands...

Le 28 Décembre 2016 par NONO

George Michael a trop longtemps souffert de cette étiquette stupide "chanteur à minettes". C'est fou ce que les années 80 ont méprisé les artistes d'une manière générale.
Mais Geoge Michael, c'était un Artiste, un vrai.
La majorité de ses chansons ont un véritable travail mélodique, et surtout... quelle voix !
On ne peux pas rester indemne après avoir écouté "One more try" ou "Just another corner" par exemple.
George Michael c'est vraiment toute une époque, mais son style prouvant que la "pop 80" ne tombait pas forcément dans les clichés réducteurs.

Le 27 Décembre 2016 par BAAZBAAZ

George Michael... C'était un symbole vivant : symbole des 80s triomphantes, de ses stars monumentales, de ses excès, de son consumérisme culturel effréné, des gâchis de l'industrie du disque, des déboires de artistes prisonniers de leur image à paillettes... Symbole, aussi, des dégâts engendrés par l'ordre moral d'une décennie faussement libérée et faussement décomplexée.

J'ai haï sa musique sans vraiment l'écouter, avant de comprendre tardivement qu'on avait affaire à un grand songwriter et à un grand chanteur.

Alors cet "Older" n'est pas son meilleur album, mais c'est celui avec lequel je l'ai redécouvert en 1996 et j'ai reconsidéré toute sa discographie en me débarrassant de mes préjugés.

Le 24 Décembre 2016 par NONO

@VIV : Dans le lot, "Children of the moon" est quand même une très belle chanson ! Je me suis d'ailleurs demandé si ce titre est une simple métaphore poétique, ou bien si ça parle des fameux "enfants de la lune", qui ne peuvent pas sortir à la lumière du jour...

Le 23 Décembre 2016 par FRED

Noël, pour moi, c'est la lumière au cœur de l'hiver, quelque chose de magique, d'un peu païen aussi... mais c'est aussi la naissance d'un espoir, d'un message de paix et de fraternité...
Alors ce disque me touche, comme ceux d'Elvis et Johnny Cash du même tonneau... comme les cantiques bretons que l'on chante à l'office...
C'est magique, Noël !
Joyeux Noël à tous, aux lecteurs, à l'équipe : paix sur la terre aux homme de bonne volonté !

Le 23 Décembre 2016 par LE KINGBEE

Oui Long John, j'ai eu beau feuilleter les différentes fêtes religieuses ou commémoratives, il n'y a pas grand chose à se mettre sous la dent... ... hormis peut être quelques chants révolutionnaires du 14 juillet ... ... mais ceux ci semblent avoir comme éffacés de nos mémoire depuis quatre décennies.

Le 23 Décembre 2016 par LONG JOHN SILVER

"Cette chronique de chants de Noël aura été pour moi un calvaire. Non pas en raison d’un esprit aigri ou vieillissant, mais tout simplement par un rejet d’une Fête devenue orientée sur le Pognon et le Marketing."

Heureusement : la semaine prochaine on passera aux chants du nouvel an ! Quoique si 2017 poursuit 2016, ça ce sera calvaire pour tous et champagne pour les autres.

Merci pour cette belle leçon d'histoire de la chanson populaire.

Le 23 Décembre 2016 par VIV

L' introduction "Voyager" et " What Goes Up..." sont vraiment superbes. J'en ai des frissons à chaque fois. Et la transition entre les deux morceaux on en parle ?

Le 22 Décembre 2016 par VIV

Autant je trouve l'introduction "sirius" détonnante, et magnifiquement enchaînée avec notre bon vieux "eye in the sky" des supermarchés et des ascenseurs (que j'aime beaucoup au passage), le reste manque de saveur. Reste à sauver l'instrumental "mamagumma", qui comme à l'accoutumée sur chaque opus de Parsons, apporte une touche singulière à l'album. Et l'instru reste généralement la meilleure track en ce qui me concerne.

Le 20 Décembre 2016 par FINISHERFRANKY

C'est exactement ça, Long John le dit parfaitement : Iggy nous régale depuis des années, indifférent à son âge, réussissant à nous rendre nous-même indifférent. Je dirais même qu'il affiche maintenant son corps vieillissant comme un manifeste : voyez mon corps, touchez-le, il est flétri et pourtant je suis toujours là plus vivant que jamais. Peut-être que le seul à rivaliser serait Mick Jagger; mais là où on discute toujours de sa sa longévité, on ne se fait pas la même remarque sur Iggy. Iggy réussi ce tour de force d'être à fond dans le présent même avec ses vieux titres. De fait on ne va pas à un concert d'Iggy en pèlerinage, comme pour les autres. Quant au CD et au DVD de Londres, ce sera le souvenir-témoignage d'un moment unique, à défaut de Paris où nous étions (que France Inter a diffusé un temps)

Le 15 Décembre 2016 par NORTHMATHR

À la première écoute de ce nouvel album, on y décèle du VANGELIS d'époque, on se dit que ça fait plaisir, on suit alors Mr. Papathanassíou tout du long de ces 53 minutes avec un certain intérêt.

Et à la seconde écoute....
Sauf qu'il n'y en aura pas, et paradoxalement après avoir terminé la première, qui s'écoula comme un long fleuve tranquille et doucereux on se dit qu'il n'y avait en fait pas grand chose à voir (ni à écouter dans ces vastes étendues stellaires, "dans l'espace personne n'entend VANGELIS").

C'est triste, parce que réellement on décèle du VANGELIS d'époque, une soudaine flamme, malheureusement trop fugace... mais c'est quand même assez pauvre dans l'ensemble, bien que pas foncièrement désagréable à l'oreille, ça ne tique pas c'est déjà ça !

Le 15 Décembre 2016 par VIV

Cet opus n'est clairement pas mon préféré des Floyds, mais force est de constater que cet album prend aux tripes.
Dès "the post war dream" et "your possible pasts" le ton est donné : l'atmosphère sera froide, mais malgré tout portée sur les émotions tant la voix de Waters est dépressive, criarde ou rassurante, proche et douce. (je tiens à préciser que je suis plutôt Gilmourien que Watersien).
A écouter au casque, cet album est un délice, plein de richesses et de détails. Bon ok, je vous vois venir, c'est valable pour de nombreux albums tant les ingés son ont été bons avec les productions floydiennes, mais là on est sur le podium à mon avis en matière de prod'. C'est très précis.
Je ne comprends pas non plus pourquoi cet album est tant décrié et "the wall" si adulé.
Ce "final cut" est loin d'être des chutes de studio et fonds de tiroirs de "the wall" comme on peut bêtement le lire par-ci par-là sur la toile.
Bon, j'avoue ne pas aimer du tout le milieu du disque "get your...", "the fletcher memorial home" et celle qui suit, trop en mode "waters dépressif". "not now John" fait un bien fou, il est vrai (et rappelle sans contester l'époque "the wall" !)
Même s'il est peu crédité, les quelques solos de David Gilmour mettent un peu de baume au coeur à l'ensemble.
Bref, ça reste un album à ne surtout pas délaisser !

Le 13 Décembre 2016 par POPOL PAS VUH

Bravo à Elliott et Streetcleaner d'avoir dépassé le snobisme qui consiste à rejeter The final cut d'un coup d'oreille dédaigneux et s'empresser d'aller mettre 5 étoiles a the wall, qui de mon point de vue manque un peu d'unité et pêche par quelques longueurs pour mériter la note absolue que Final cut mérite lui largement.
The wall c'est un mythe, un film et un grand album. Final cut est, comme le dit si bien Elliott "le plus vulnérable des albums de Pink Floyd", mais peut être aussi l'un des plus addictifs une fois qu'on s'est laissé prendre par le virus de cette puissance contenue omniprésente, dont la libération fait tout l'intérêt de "not now john" qui serait juste un très bon rock s'il n'arrivait en climax de toute la tension accumulée dans les plages précédentes. En un sens, The final cut est plus la suite de l'album Animals que de The wall.
Je convie l'auditeur ne connaissant pas ce disque ou l'ayant laissé tomber un peu vite d'y revenir avec attention. Le bonheurest au bout du chemin.
Sans doute un des Floyd que je prend le plus de plaisir à réecouter sans cesse.

Le 13 Décembre 2016 par LE KINGBEE

Mais non mon Pirate. Ce sont des erreurs à la Wikipedia. Pas d'erreur ... c'est Lesieur!
Par contre pour les titres qui vont suivre c'est parfois le micmac. Les musiciens eux mêmes ont des souvenirs parfois diffus. Ils mélangent parfois les concerts et les séances studio et le groupe a multiplié les shows pendant 2 ans.

Le 12 Décembre 2016 par FC

J'aime beaucoup le style pratiqué par John Mclaughlin sur cet album, les compos, le jeu flamboyant du maître (j'adore son son de guitare)... mais pour moi le gros hic reste le mixage ou la production (je ne sais jamais), notamment de la batterie, qui rend l'écoute assez fatigante, c'est dommage.

Le 12 Décembre 2016 par LONG JOHN SILVER

"Très excellente" chronique sur un groupe majeur à l'origine de la vague british blues. Il me semble que Page tient également la basse sur "Baby Please Don't Go", la face A du single, ce qui est logique s'il joue sur "Gloria", sa face B. Chroniquer un groupe sixties est vraiment une gageure, tant de choses ont été écrites mais pour autant les infos authentiques sont difficiles à trouver, sauf s'il s'agit des Beatles ou des Stones, et encore. Quelle époque tout de même, à croire qu'il suffisait de taper à une porte de garage à Londres pour trouver : Stones, Yardbirds, Animals ou Them.

Le 11 Décembre 2016 par TONTON JO

Superbe !! tout simplement.

Sur le podium de ses meilleurs albums, mais aussi de ses plus accessibles !!
à découvrir d'urgence, pour le fan comme pour le néophyte.

Le 11 Décembre 2016 par GUILLAUME THE ELDER

Points communs entre Pulp et Yello? Un talent plus que certain, une disco fournie et excellente dans sa majorité, les deux groupes totalisent 0 commentaire! Après avoir réparé la tare pour les Anglais, je rends aujourd'hui justice aux Suisses...

Oui, c'est un plutôt expérimental, plus ou moins électronique (en 80, on ne dit pas électro mais électronique!), indus, atmo (certains passages font penser à Tangerine Dream)... Je n'écris pas que tout cela n'est que bidouillage, on a de vraies mélodies, de vraies chansons, avec beaucoup de titres accrocheurs sur cet album et tout au long de la carrière des Yello.

Une synth-pop que je trouve moderne, pas très éloignée de la scène électro-pop actuelle.

Le 11 Décembre 2016 par VIV

Ce double album est plein de subtilités qui se révèlent au fil des écoutes.
L'atmosphère y est vraiment douce, subtile, sensuelle et prenante.
Mention spéciale à "king of the mountain", "nocturn" et "aerial", pour ne citer que 3 titres.
On ressent l'énorme investissement de l'artiste.

Le 11 Décembre 2016 par EL PACHENKA

A l'époque, j'avais ressenti No One Is Innocent comme une réaction urgente à l'émergence de Rage Against The Machine. Je crois que F'o'UN'e' Radio, la station des pubères dépucelés et révoltés jadis, passait souvent ce titre. Un bon album, bien que "Epargne-Moi" suinte le mélodrame mal joué. Dans la mouvance dite Fusion, viendront d'autres groupes comme Lofofora, Silmarils et Oneyed Jack.