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KANSAS
MONOLITH


Le 20 Avril 2020 par MAGNU


Il es encore très potable, ce "Monolith" c'est vrai. Bien mieux que la suite en tout cas !





David BOWIE
LODGER


Le 19 Avril 2020 par NONO

"Yassassin" est vraiment un titre... épuisant !
A chaque fois on croit que... ENFIN.... c'est fini !
Hé ben non ! Ca repart de plus belle ! Yaaaassaaaassiiiin.... I'm not a moooody guyyyy...
Au secours !





Alain BASHUNG
PLAY BLESSURES


Le 19 Avril 2020 par CROQUIGNOL


J'ai une affection particulière pour les suicides commerciaux, y compris les ratés (Lou Reed/Metallica), mais là c'est loin d'être le cas. Un album très très glauque, à l'image des années 80.
Les synthés ont gagné en charme avec les années, je trouve, un peu comme pour la Cold Wave ou le Post-punk de cette époque. Les compos sont comme d'habitude excellentes, mais c'est clair qu'il ne faut pas s'attendre à de la variété ou à du rock classique. C'est d'ailleurs fou les réactions de rejet que suscite encore ce disque.
Pour ma part, c'est son premier chef-d'œuvre.





David BOWIE
LODGER


Le 19 Avril 2020 par LEO


@ NONO :
Je pense que l'on ne sera jamais du même avis concernant Lodger ! .-)
S'il y a bien des 'rocks' lourdingues' ou passe-partout ce serait plutôt dans Lodger que dans "Heroes", qui pour moi est même justement un bon cran au dessus de Low de par ses morceaux plus 'conventionnels' bien plus pêchus que dans son prédécesseur dans lequel des titres comme "Speed Of Life", "Breaking Glass", "What In The World" et "Sound And Vision" tournaient un peu à vide (c'est particulièrement flagrant dans le cas de ce dernier, pourtant extrait en single).
Quand aux morceaux de Lodger, je n'en retiens pas grand chose. contrairement à ARP2600, je ne le trouve pas divertissant pour un sou ! bien au contraire, il a plutôt tendance à me porter sur les nerfs. mon reproche n'est pas dû au fait que cet album serait trop arty ou pas assez mais bien parce que je trouve la majorité de ces compos soit inintéressantes au possible ou mal fichues. "Fantastic Voyage" aurait pu être une ballade sympa mais l'interprétation me paraît vraiment mollassonne et le chant de BOWIE me semble éteint, comme s'il était fatigué. ça sonne très plan-plan au final.
"African Night Flight" donne dans l'exotisme de pacotille mais je n'y trouve rien de palpitant. ça se veut expérimental mais à l'arrivée c'est vraiment convenu. cela n'a rien d'excitant comme avec les Talking Heads de Fear Of Music ou Remain In Light ni avec le King Crimson des 80's.
Je trouve "Move On" tout à la fois creux musicalement et grandiloquent au niveau du chant. mis à part le fait de savoir que ce titre aurait été composé à partir des accords inversés de "All The Young Dudes" dont BOWIE aurait passé la bande à l'envers, ce qui lui aurait donné l'idée de "Move On", je ne vois pas bien ce qu'il peut y avoir de révolutionnaire là dedans.
"Yassassin" m'insupporte carrément, tant pour le chant de traviole que sa musique Moyen-Orientale, mais pour ma part plutôt très moyenne qu'Orientale !
"Red Sails" ne va nulle part. mélodie inexistante, musique incohérente. bref, pour moi cette première face baigne dans le néant.
La seconde face démarre fort bien avec deux bons titres bien enlevés, "DJ" et "Look Back In Anger" mais hélas ça ne dure pas car arrive ensuite l'horrible "Boys Keep Swinging" dans lequel certains des musiciens ont échangé leurs instruments d'après les directives de BOWIE et Eno (mais pour le plus grand malheur de mes conduits auditifs !). l'interprétation est bancale avec un Carlos Alomar complètement aux fraises à la batterie (une calamité !) et un Dennis Davis passé de batteur à... bassiste amateur ! (Tony Visconti a dû doubler sa piste car le jeu de Davis était vraiment trop à la ramasse, et ça s'entend même très bien sur la fin !). je me suis toujours demandé comment ce titre avait pu finir en face A d'un single !
"Repetition" (qui porte bien son nom) ou BOWIE dans les abîmes de la laideur et de la médiocrité. non mais c'est quoi ce chant à la ramasse ? et cette musique repoussante ? une insulte au bon goût tout simplement.
L'album se referme sur du recyclage en règle. "Red Money" n'est ni plus ni moins qu'une relecture de "Sister Midnight" qui se trouvait sur The Idiot d'Iggy Pop, mais avec des paroles différentes. c'est passable, mais vu qu'il y avait déjà l'originale, je ne vois pas bien l'intérêt.
Voilà, pour moi Lodger se résume à trois morceaux: "DJ", "Look Back In Anger" et à la rigueur "Red Money", mais c'est bien tout.
Comme je suis dans un bon jour, je vais remonter ma note à 2/5 parce qu'en comparaison de l'archi-nullissime Never Let Me Down, Lodger possède ces trois titres, qui le sauve du nauvrage intégral.






SEPULTURA
BENEATH THE REMAINS


Le 19 Avril 2020 par CROQUIGNOL


Mon premier Sepultura, du coup mon préféré même s'ils ont fait mieux par la suite. J'en retiens surtout, derrière la violence sonore, des moments de groove démentiels à se faire briser la nuque. Il s'essouffle quand même un peu sur la fin.





KANSAS
MONOLITH


Le 19 Avril 2020 par JEANBETTY


Bonjour, je viens de découvrir votre site, pas trop intuitif, mais qui permet de motiver la curiosité. Kansas, le groupe que j’ai découvert, à l’époque, avec Point of know return, le début de l’adolescence. J’ai adoré ce mélange de Hard/FM, qui mettait au même titre que les autres instruments, le violon, et Dust in the wind. Deux chanteurs complémentaires, et aussi agréables et talentueux, dans ce registre plutôt rock, the compositeur, Kerry Livgren, la rythmique basse batterie, au top, et le deuxième guitariste, riche en personnalités le groupe. Je me suis retrouver, sans le savoir, au milieu de la carrière du groupe, avec Steve Walsh, un des piliers de la dynamique en cours. J’ai acheté, dans la foulée, leur premier opus, où la recherche de leur style s’ébauchait, puis le second song of America, qui commençait à marquer un goût pour le rock symphonique. Rupture avec Masque, le troisième, hétérogène dans les styles musicaux, mais avec des perles d’émotions et de rage, et Leftoverture, la référence des charts pour le groupe, que j’ai finalement trouvé trop son FM, mais quel talent. Ils étaient au sommet, et Two for the show, le live, en découle obligatoirement. Le groupe a besoin de souffler, cela se ressent, composition solo pour les leaders, et la pression religieuse, marketing, et choix musicaux commencent à fêler le moule. Monolith arrive en pleine déconfiture de ce style musical, ainsi que des divergences musicales affichées des deux leaders. Je me retrouve avec ce vinyl, au son propre, plus proche et intimiste, dans les compos, mais qui retrouve le style hétérogène de Masque, bizarre. Mais que dire, de cette expérience qui se dégage, des deux chanteurs qui rivalisent d’efficacité, de chaque musicien a sa place et professionnel dans la prestation. Ce disque n’est que le reflet de l’époque musicale et de l’ambiance du groupe, toujours aussi riche, et agréable d’écoute, mais bien moins structuré que leurs derniers albums. C’est le commencement de la fin de cette époque, une autre galette Audio Visions, plus commerciale dans le format, morceaux plus ramassés et plus courts, et clap de fin pour cette période du groupe, avec la formation la plus créatrice. Monolith, mal aimé, mais terriblement attachant. Il serait sorti, avant les deux plus grands succès commerciaux du groupe, son parcours aurait été bien différent, mais ceux-ci aurait pu être une autre histoire. Votre critique reste plutôt fidèle pour chaque morceaux, mais dans ce style musical, et vu la rareté de qualité produite de nos jours, cela ne peut pas être si sévèrement noté.





David BOWIE
LODGER


Le 19 Avril 2020 par NONO


@ARP2600 : La magie de Lodger est d'être, en effet, à la fois très varié mais pas disparate.
Ironiquement, on pourrait dire que le précédent "Heroes" est bien plus disparate, dans le mauvais sens du terme : Une face B très planante, conceptuelle, magnifique on peut le dire, tournant complètement le dos à une face A bourrée de rocks lourdingues bien gras, qui honnêtement ne sont pas extras !





David BOWIE
HOURS


Le 19 Avril 2020 par NONO


Dans cet album, le seul titre que j'aime bien est "Something in the air".
C'est maigrelet quand même !





SEPULTURA
BENEATH THE REMAINS


Le 19 Avril 2020 par CLANSMAN57


Premier disque indispensable de Sepultura, ils jouent vachement bien pour le coup, c'est brutal, rapide, précis, le son est très bon, même encore aujourd'hui.
Le seul souci, et ça vaut pour la plupart des albums aussi rapides, c'est qu'on ne retient pas tout, bien que le plaisir d'écoute soit là.

Un grand pas en avant, même si je n'écoute plus du tout ce groupe.






SEPULTURA
BENEATH THE REMAINS


Le 19 Avril 2020 par BAAZBAAZ


Un grand album, bien sûr. Mais les chefs d'oeuvre sont encore à venir.

Par contre la chanson titre est bel et bien l'un des immenses tubes du Thrash.

Et quelle pochette !





ACCEPT
METAL HEART


Le 19 Avril 2020 par LE MOUNGEPEDOUN


Merci Erwin pour ta chronique ; et oui, pour les quinquas comme nous qui avons acheté ce vynile à sa sortie en 84, quel monument ce disque. Ici, tout ce qui faisait la grandeur d'Accept à l'époque est réuni : les riffs, les choeurs, les mélodies, les cris d'Udo...et puis, quel son: Monumental ! Certes, ce n'est ni l'album, nu le groupe du siècle, mais ce disque est si attachant car il contient l'essentiel du rock: de l'âme, de la sincérité et du plaisir.





RUSH
GRACE UNDER PRESSURE


Le 19 Avril 2020 par LE MOUNGEPEDOUN


Avec ce disque, Rush exploite formidablement son génie créatif via l'utilisation des claviers de manière somptueuse grâce à des toiles musicales qu'on apprécie mieux avec le temps je trouve. N'oublions pas qu'en 1984, la scène rock connaît l'apogée de la vague New wave qui, justement a intégré les keyboards, rendant le rock moins électrique et plus électronique, le son folk électro acoustique des 70's apparaissant déjà lointain et ringard. Ainsi Rush sait sublimer son hard rock progressif via ce nouveau son, sans toutefois verser dans la guimauve barbante, et ça, c'est un exploit prouvant la qualité exceptionnelle du trio. En ce sens, cet album est parfaitement à mon goût.





SEPULTURA
BENEATH THE REMAINS


Le 19 Avril 2020 par JEF DE LA LUNE


Kelly Shaeffer chanteur d'OBITUARY ?! John Tardy non plutôt ? ;) Sinon d'accord sur le fait que cet album est à la jonction du Thrash et du Death (la production de Scott Burns joue beaucoup dans ce son si particulier, n'oublions pas non plus qu'il a transformé NAPALM DEATH en groupe de Death à la même époque par exemple). Mon premier SEPULTURA perso, découvert au lycée, ah cet enchainement "Beneath/Inner Self" déjà...





David BOWIE
1. OUTSIDE - THE NATHAN ADLER DIARIES : A HYPER CYCLE


Le 19 Avril 2020 par RICHARD

Moi, je les trouve aucunement superflues ces cinq transitions. Même si la trame d'Outside est plus que complexe, l'intervention de ces protagonistes n'est pas vaine. On se retrouve au côté d'Adler, limite dans un jeu de rôle de coéquipier. Ce qui a vraiment dérangé Bowie , c'est le refus de la maison de disque de sortir un double album comme il l'entendait. Il devait s'appeler Leon et était le résultat de dix jours d'enregistrement, d'expérimentation et d'improvisation. Plus de 24 heures de musique compressées en 70 minutes...Ces segue souffrent sans doute de cette situation mais ne sont aucunement pour moi du remplissage.





Alain BASHUNG
PIZZA


Le 18 Avril 2020 par CROQUIGNOL


Plus varié dans le style que le précédent, je trouve, et d'une qualité constante. Il n'y a pas de chansons ratées, mais il aurait fallu kidnapper le saxophoniste avant l'enregistrement. A lui seul, il gâche pas mal de titres, malgré ses rares interventions. Sinon, pour 1981, le son est supportable.





David BOWIE
HOURS


Le 18 Avril 2020 par LEO


Après les bidouillages en mode electro-indus de l'album précédent, BOWIE fait presque un virage à 180° avec Hours, qui revient à des choses carrément plus classiques et pop-rock, pourtant Reeves Gabrels est on ne peut plus présent sur ce disque tant au niveau de sa participation comme multi-instrumentiste et co-producteur que comme partenaire d'écriture aux côtés de DAVID BOWIE mais il semble que ce dernier ait souhaité une orientation plus lisse alors qu'à l'origine la direction musicale devait-être bien plus crue et barrée d'après les dire de Gabrels, qui n'appréciant pas trop la tournure des choses, finira par rendre son tablier à la fin des sessions d'enregistrement.
N'empêche que si ce revirement musical fut pour le guitariste une source de frustration et de déception, il fut pour moi un bienfait car la majorité des élucubrations sonores de Earthling n'étaient pas à mon goût. comme on dit, le malheur des uns fait le bonheur des autres !
Cela dit, est-ce que Hours vaut vraiment le détour ? je dirais seulement en partie car la somme est assez inconsistante à mes oreilles et les compos sont un peu interchangeables au bout du compte. il n'y a pas vraiment LE truc qui ressort du lot même si tout cela est plutôt très agréable lors des premières écoutes mais devient assez vite monotone et lassant par la suite.
"Thursday's Child", "Survive" et "Seven" sont du BOWIE 'traditionnel' dans le sens ou ces compos aux allures de ballades tranquilles auraient pu paraître dans les années 80 comme au beau milieu des 70's mais dans un enrobage sonore et une production certes bien différente !
Idem en ce qui concerne "Something in the Air" dans lequel il y a beau avoir quelques bidouillages sur la voix de David et les effets habituels sur la guitare de Reeves Gabrels, mais le morceau est très conforme à ce que l'on peut en attendre de BOWIE dans ce registre particulier. même le plus long et soutenu mais contrasté "If I'm Dreaming My Life" et le plus hard "The Pretty Things Are Going to Hell" n'auraient pas été déplacés sur un album de Tin Machine. tout cela reste finalement très familier dans l'univers de DAVID BOWIE.
J'aime bien l'introduction instrumentale mi-glam/mi-cosmique du titre "What's Really Happening?" cependant la ligne vocale des couplets me fait plus que songer au morceau "You Keep Me Hangin' On", c'est plus que flagrant ! et malheureusement le refrain (qui lui n'a pas été repiqué autre part) est particulièrement laid et fout toute la compo par terre.
"New Angels of Promise", l'instrumental "Brilliant Adventure" et "The Dreamers" ne sont pas franchement mieux question inspiration. tout ça sent pas mal le remplissage de fin d'album et sur l'édition limitée parue quelques années après la bataille, on peut même trouver quatre morceaux ("1917", "We Shall Go to Town", "We All Go Through" et "No-one Calls") issus des même sessions. hélas mis à part "We All Go Through" que j'aime bien, les trois autres sont franchement dispensables.
À l'arrivée, ça donne un album assez sympathique dans l'ensemble mais très loin d'être impérissable.
3/5





David BOWIE
LOW


Le 18 Avril 2020 par ARP2600


Si je ne devais en garder qu'un de Bowie, ce serait Low. Ce n'est pas une surprise, cet album fait presque l'unanimité malgré son manque de grand tube (allez, "Sound and vision" a quand même plutôt bien marché). Il peut bien y avoir discussion sur ce qui a amené Bowie a passer de la soul au glam électronique, et sur l'importance de ce disque dans l'éclosion de la new wave, mais presque tout le monde aime Low quoi qu'il en soit. Sans doute parce qu'il est à la fois épuré et inspiré et bénéficie du talent pour les sonorités de Brian Eno.
S'il y a une chose que je voudrais ajouter à tout ce qui a été dit, c'est l'importance d'Edgar Froese à cette époque de la vie de Bowie. Les deux hommes ont beaucoup interagi pendant le séjour à Berlin de Bowie... deux extraterrestres dans leur genre, qui ont forcément échangé plein d'idées. Donc, certes, on parle souvent de l'influence (réelle) de Kraftwerk et Neu!, mais il ne faudrait pas oublier les autres allemands dans tout ça.
Et donc, Low est LE disque vraiment berlinois de Bowie, là où Heroes sera plus marqué Düsseldorf. La seconde face électronique est à mon sens son appropriation de la musique de Tangerine Dream et Edgar Froese (pour avoir une piste, Bowie a cité Epsilon in Malaysian Pale), sans oublier Cluster, que Eno avait déjà approché en 1976.





Rick WRIGHT
BROKEN CHINA


Le 18 Avril 2020 par BRADFLOYD


La fameuse amie dépressive n'était autre que son épouse.
Sinon, excellent album du regretté Rick





David BOWIE
LODGER


Le 18 Avril 2020 par ARP2600


Lodger est vraiment un album très divertissant et j'avoue avoir du mal à comprendre sa relative mauvaise réputation. Aujourd'hui encore il divise... trop arty pour le grand public, pas assez pour les amateurs d'art rock pur et dur, c'est peut-être le problème ? Dire qu'il part dans tous les sens est sacrément exagéré en tout cas (comparez à PH7 d'Hammill pour voir)... il est riche, avec plein d'idées, d'ambiances, de rythmes variés, mais je le trouve cohérent, de la même manière que Fear of Music des Talking Heads par exemple. Je veux dire, passer d'Eno sur "African Night Flight" à la new wave sur "Red Sails" et les mêmes Talking Heads sur "Repetition", ce n'est pas ce que j’appellerais un grand écart. Bref, ces trois-là, plus le tube DJ et l'irrésistible "Look back in anger" me parlent particulièrement.
Lodger est clairement un des Bowie qui me parlent le plus, un des rares où j'aime la majorité des titres.





DEEP PURPLE
MADE IN JAPAN


Le 18 Avril 2020 par VALR


Je considère ce disque comme le plus grand de tous les temps dans le domaine du rock au sens large. Indépassable. 5 mecs au sommet de leur art, une setlist ahurissante (même si j'ai l'une ou l'autre réserve) et une qualité sonore prodigieuse.

"Highway Star" en ouverture d'un concert, on a quand même rarement vu mieux. Interprétation au top avec les cris de Gillan et les soli guitare/clavier majestueux. On enchaîne (dans l'ordre réel des concerts) avec le riff le plus célèbre de l'histoire du rock, Lord rayonne en fin de morceau. Vient ensuite "Child in Time" maîtrisé avec une sacrée insolence. Un peu de répit avec "The Mule" et son solo de batterie, avant de repartir vers les sommets avec "Strange Kind of Woman" et son fabuleux duel guitare/voix. J'adore aussi les hurlements de Gillan après le morceau pour haranguer la foule... "Lazy" est phénoménale également, Ritchie et Jon sont diaboliques. Et la puissance de "Space Truckin'", prolongée comme un voyage infini dans l'espace, pour finir. En rappel, "Black Night" et "Speed King" ou "Lucille" pour clôturer ce déluge, excusez du peu. LÉ-GEN-DAIRE.

Comme écrit plus haut, c'est vrai que j'ai quand même les deux "frustrations" suivantes. Le solo de batterie n'est pas ce que je préfère, mais c'était un passage obligé. Je me dis qu'il n'est pas trop trop long (6 minutes environ, ça va encore), et j'attends patiemment la reprise de "The Mule" et cette partie finale que j'aime particulièrement. Ensuite, la super extension de "Space Truckin'" n'est pas ce que j'écoute tous les jours. Je pense qu'ils auraient pu déjà bien s'amuser avec une version à 10-12 minutes et avoir la place pour un autre morceau, Dieu sait s'ils avaient le répertoire pour. S'agissant de la tournée "Machine Head", je pense en premier lieu à "Pictures of Home", mais ils auraient pu aussi avoir encore plus d'audace en proposant "When a Blind Man Cries" pour apporter du contraste dans cette déferlante de concert. Ou alors, quitte à faire ce passage un peu atmosphérique, pourquoi ne pas jouer "Fools" dans son intégralité. Bref, y avait de quoi faire. Mais ce n'est certainement pas de nature à baisser la notation, loin s'en faut.

Pour ma part, j'ai un coffret 4CD avec l'intégralité des 3 concerts des 15-16-17/08/1972. Indispensable bien sûr d'après moi :). L'introduction de "Space Truckin'" du 17 est particulièrement jouissive, la meilleure à ma connaissance, avec une lente montée et un jeu avec le public très appréciable avant que Lord ne balance le riff surpuissant. Les rappels du 15 me semblent moins bruitistes que ceux des autres soirs.

En conclusion, s'il ne devait en rester qu'un, ce serait ce disque-là, sans l'ombre d'une hésitation.







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