Le 04 Novembre 2009 par SABELTANZ

Non. Désolé, cet album me donne envie de dire "non".

Non, se séparer de Craig Walker pour - entre autres - la voix nasillarde et quasiment insupportable de Dave Penney, ce n'est pas un bon choix.

Non, garder son empreinte et sa personnalité sonore ne veut pas forcément dire faire une resucée de ses derniers albums (car c'est bien l'impression que laisse "Lights"!)

Non, "Lights" ne sera pas le titre phare d'Archive; car ce titre est très beau et prenant, jusqu'au chant. Après c'est aussi fade qu'un verre d'eau.

Non, Archive ne refera pas un "You all look the same to me": il semble que leur spontanéité s'est évanouie avec leur inspiration (bon, je suis un peu énervé là, tout de même).

Mais non, cet album n'est pas non plus horrible. "Lights" en première partie, "Headlights", "Programmed", "I will fade", "Sit back down" et "System" sont des titres de très bonne facture (malgré, encore une fois, pour certains, du chant de canard de Penney).

Le 31 Octobre 2009 par FRYER

Je rejoins l'avis précédent, Radio est l'album idéal pour débuter avec Naked City. Après je pense que beaucoup de personnes ont débuté avec Torture Garden car Bonehead (bah oui, merci Michael).

Sinon, bon album, on peut aisément le comparer en version plus soft et plus jazzy de Torture Garden donc. Dans mes souvenirs, Eye n'intervient qu'en seconde partie de disque (ok uncle meat le confirme, ca m'apprendra à lire la chro comme un zoulou), ce qui rend le disque tout de même plus intéressant que sa première et un peu trop calme partie.

Car moi aussi, je préfère quand ca mitraille.

Ps: en effet, c'est l'album où Metal Tov est présente, morceau sublimé par Electric Masada lors de ces deux albums live (l'anniversaire et le Mountain of Madness) que je vous invite vivement à écouter.

Le 31 Octobre 2009 par KINGSTALKER

Merci pour toutes ces excellentes chroniques du génial naked city (faut faire le reste maintenant...non, je déconne. Cela te ferait trop de boulot).
Radio est, en effet, l'album idéal pour découvrir la musique de naked city. Néanmoins, je préfère quand ils jouent aux terroristes.
Album excellent néanmoins.

Le 30 Octobre 2009 par ALBIRéO

Cet album me pose problème.
J'adhérais totalement au style si personnel de ce groupe qui transcende ses influences (plutôt que les pomper, comme je le lis si souvent) à l'intérieur d'un rock énergique, inspiré, issu d'un esprit vraiment brillant artistiquement parlant.
Et là, PAF ! Morceaux spaciaux gorgés d'effets spéciaux, mélodies plus sombres (sauf "Starlight"), rôle nettement plus discret de la guitare saturée, sensation d'orchestration super chargée, etc...
J'ai pris peur et j'ai commencé par détester cet album pour me retrancher en terrain connu.
Et puis, de temps à autre, je me surprends à écouter quelques morceaux épars de cet Black Holes and revelations. En tant qu'astronome amateur, je n'avais pas le droit de tourner le dos à un album semblant traiter de ce sujet.
Maintenant, après 3 ans d'apprivoisement, j'ai appris à aimer cet album. Mais je le considère comme atypique, comme une première évolution franche du groupe en me demandant vers quelle soupe il risque de plonger...
Je délaisse toutefois systématiquement les 2 ballades (ils ne les réussissent pas souvent !) et "Assassin" que je trouve brouillonne - dommage pour le morceaux le plus violent de l'album.
Jusqu'il y a un an, j'aurais donné 2 par arrondi de 1,5. Là, je donne un 3 franc et massif.

Le 29 Octobre 2009 par I.SOLO

"Le sixième sens", ce serait pas plutôt de M. Night Shyalaman?

	Par Forces Parallèles Salut, Le Sixième Sens dont il est question ici est celui réalisé par Michael Mann en 1986 (titre original : Manhunter), d'après le roman Red Dragon de Thomas Harris qui fait partie de la célèbre série des Hannibal Lecter. Saskatchewan

Le 29 Octobre 2009 par FRYER

Slowdive, ou le shoegaze doux et crémeux. Grâce à cet album (leur meilleur car le plus homogène), les Anglais parviennent à montrer le shoegaze sous une facette moins noisy, ce qui ne la rend non pas plus belle mais tout simplement différente. Simplement c'est le mot qui caractérise cette œuvre. Une simple envie d'être enlacé, d'être comprimé dans une brume épaisse mais chaleureuse.

Un disque qui réconforte dans les moments de doute mais aussi qui renforce l'esprit dans nos périodes les plus heureuses.
Des œuvres comme celle-là, elles sont si rares qu'il est important de les écouter et surtout de les partager.

C'est pour cette raison que toute personne ayant vécu ces mêmes sensations à l'écoute de cet album devrait mettre la note maximale

Le 29 Octobre 2009 par SABELTANZ

Un album empreint de lyrisme et de subtilité. Toutes les compos sont très (mais pas trop) travaillées. Alors bien sûr, certains titres manquent d'inspiration ("Neighborhood#4: 7 kettles", "Crown of love" un peu douteuse, "Une année sans lumière"), mais ils sont complètement noyés dans le génie des autres morceaux, comme les magnifiques "Haïti", "Neighborhood#: Laïka" (quelle mélodie !), "Neighborhood#1: Tunnels", "Rebellion (lies)".

Mais oui, c'est vrai, cet album trahit un certain défaut de digestion des influences, et on sent que le groupe (malgré un EP et un album à son effectif) a encore besoin d'expérience avant d'arriver au chef-d'œuvre. Et l'album qui suit ne m'aura pas fait mentir...

Le 28 Octobre 2009 par LE GALLI

Cet album est un chef-d'oeuvre absolu qui reprend le flambeau laissé avec "On a storyteller..." douze ans plus tôt ; tout est parfait du début à la fin, les morceaux sont beaux, maîtrisés de main de maître par Catley, Clarkin & co du début à la fin. Tout simplement le plus bel album sorti ces trois dernières années tout style confondu. A posséder d'urgence ! Attention : chef-d'oeuvre !

Le 28 Octobre 2009 par LE GALLI

"Big money", "Manhattan project", "Marathon" et "Mystic rhythms" sont quatre morceaux gigantesques et justifient à eux seuls un cinq étoiles mérité pour un des meilleurs albums de RUSH qui était à son apogée créative et artistique dans les 80's avec leur période claviers. Que j'aime ça !

Le 28 Octobre 2009 par EL PACHENKA

Du même avis que Ien concernant "Fiesta". "Thousands Are Sailing", mais aussi "Turkish Song Of The Damned", "Fairytale Of New York", le medley de la plage 8, "Streets Of Sorrow"/"Birmingham Six" et le joliment chaloupé "The Broad Majestic Shannon" font partie de mes favoris dans cet album à la fois militant et poétique.

Le 28 Octobre 2009 par EL PACHENKA

"The Joshua Tree" est le premier disque de U2 que j'apprécie de la brochette discographique qui s'étalera jusqu'à "Zooropa". Non pas que les albums précédents sont moins bons car il s'agit de la période que je connais peu du groupe irlandais. Des trois titres extraits de cet album à ceux que l'on découvre tels les sombres et grondants "Bullet The Blue Sky" (qui semble encore souffler sur l'actualité des contrées brûlées, hélas, de quelconques puissances militaires), "Exit", les apaisés mais mélancoliques "Running To Stand Still" et "Mothers Of The Disappeared" morceau final plutôt déchirant. "The Joshua Tree" immerge musicalement aussi dans des souvenirs!

Le 28 Octobre 2009 par YAMA301E

Excellent complément à l'album Fear. D'ailleur ils devraient les ajouter carrément comme bonus tracks à l'album précédant au lieux de sortir un EP séparément.
Ce ne sont pas des "fonts de tiroirs" loin de là mais peut êtres auraient ils du raccourcir "Anesthetist" de l'album précédant et ajouter ces morceaux là.

Le 28 Octobre 2009 par OPIUMUM

A classer avec son précédant. Du métal progressif, pas pompeux, rien du tout ca, tout passe très bien, même si certaines chansons sont parfois assez lente et se trainent assez fort comme Lazarus, Arriving, ... mais à la fin donnent quand même un très bon résultat.
Il est par contre meilleur que le suivant de 2007 Fear Of A Blank Planet, beacoup trop long pour un groupe ne sachant pas vraiment maitriser les structures des longs morceaux.

Le 28 Octobre 2009 par SABELTANZ

Bizarrement, l'immense capharnaüm que propose cet album le rend -à mes oreilles- homogène... Oui, il y a là toutes les facettes de Richard D. James (en méli-mélo) mais toutes vont dans le même sens...

Mention spéciale pour l'interlude "Avril 14th" que je trouve tout simplement magnifique.

Le 27 Octobre 2009 par CHISI

Je ne trouve ça pas du tout amusant de sortir un album comme celui-ci. Oui... Je trouve ça même déroutant de voir à quel point c'est possible de mettre tant de chansons nulles en un seul album, constitué pourtant que de cinq chansons. La seule "potable" est "Shine on you part 1", le reste est un ramassis de "déchets" que l'on pourrait faire rentrer dans la catégorie : "pollution sonore".

Ce sera à peu près tout pour cet album qui est considéré comme étant une des plus belles réussites de Pink Floyd, fait que je conteste amplement.

Le 25 Octobre 2009 par TERRY

Une bonne chanson (la dernière), et le reste est d'un niveau tout simplement affligeant. Avec "It's hard", le pire des Who.

Le 25 Octobre 2009 par LOLOPIUM

Histoire vraiment à coucher dehors. Non là sérieux c'est peut-être un album remarquable pour l'innovation, c'est le premier groupe à avoir osé faire un bazar comme ça, mais franchement, c'est que du rock, et donc désolé mais le style allant le mieux pour ces concept albums c'est le rock progressif. Eux ils étaient loin d'être dans le rock progressif, c'était pas du tout leur domaine, donc ça reste toujours paroles, impro, etc, aucune vraie performance musicale et théâtrale pour bien faire sentir l'histoire comme Genesis ou d'autres encore dans le rock progressif l'ont fait.

Le 25 Octobre 2009 par A+B=A-B

Comme tous les albums des Who, juste 2, 3 chanson peuvent être intéressantes, comme Baba o Riley qui est même parfois mal construite, peut-être encore un assemblage de plusieurs chansons à la Beatles, juste pour gagner de la place.
Heureusement qu'il y a Behind Blue Eyes et Who Dont Get Fooled Again pour sauver l'honneur.

Le 25 Octobre 2009 par GHOSTFACEKILLER

Pas du tout d'accord avec certains commentaires, pour moi ce Pornography est un chef d'œuvre incontestable, un sommet logique atteint après les 2 précédents opus.
J'avais rarement entendu une ambiance aussi lourde et intime sur un disque, toutes les chansons sont réussies en particulier "one hundred years" qui nous projette en quelques secondes dans l'ambiance de l'album avec son riff torturé, la piste éponyme qui fout vraiment les boules, et on verserait bien une larme sur "siamese twins".
Un disque que j'ai mis du temps à apprécier mais qui est par la suite vite devenu l'un de mes préférés.
Amateur de musique sombre et forte en émotion avec une ambiance incroyable, ce disque est fait pour vous.

Le 24 Octobre 2009 par TERRY

Un album live expérimental et complètement zinzin. Un excellent album, mais difficile d'accès (et pas facile à dénicher désormais) !