Le 04 Décembre 2023 par SWISSIDOL

C'est juste mauvais et plat. L'œuvre ratée d'un artiste cherchant à coller à son époque. A cause de ce CD, j'ai mis des années avant de regoûter à du Bruce en solo.

Le 04 Décembre 2023 par SWISSIDOL

L'album commence super bien : "Son of a gun", "Born in '58" et "Tattooed millionaire" (sur laquelle Bruce se moque des rock stars de L.A. style Nikki Sixx. Il faut dire que ce dernier s'était tapé la compagne de Dickinson !). Le problème, c'est que la suite n'est pas du même tonneau. A part la très bonne reprise de Bowie, on n'a plus grand chose de passionnant. Mais, globalement, un bon petit début en solo.

Le 04 Décembre 2023 par SWISSIDOL

J'ai découvert ce disque récemment car j'avais été un peu traumatisé par l'album "Skunkworks" de Bruce (très faible, à mon sens). J'avais donc un peu abandonné le chanteur anglais en solo. Mais j'ai fini par écouter ce "Tyranny of souls" et voici le chanteur de MAIDEN grandement réhabilité. "Abduction" est super (Roy Z tricote sévèrement sur sa 6 cordes) et l'intro de "Soul intruders" est bien agressive. Et, quand Dickinson calme le jeu ("Navigate the seas of the sun") c'est avec la même réussite. Y a pas à dire : j'ai été bête de me passer de ce petit bijou pendant si longtemps.

Le 04 Décembre 2023 par RICHARD

Quelle belle surprise de trouver ce projet sur ce site !
Merci K-ZEN !

Le 03 Décembre 2023 par LE KINGBEE

@Nicolas

Même ressenti pour le disque et pour le concert. La reprise de Betty Wright en Live est surprenante, je ne m'y attendais pas.
La chronique provient d'écoutes du CD, mais la différence entre Alligator Bait en Live avec des musiciens anglais et le CD est palpable.
De nombreux copains ont vu Robert quelques jours après à La Rochelle, le show était du même acabit. On peut regretter que ce grand échalas ne se déplace pas avec Kenny Brown et consorts, sans doute trop chers (?).

Au sujet de la note, j'ai collé la note maximale parce que cette année, c'est de mémoire le meilleur album de Blues que j'ai entendu.

P.S : Il y a un bon article du concert sur le site de nos collègues de SoulBag.

Cordialement

Le 03 Décembre 2023 par LE MOUNGEPEDOUN

Un classique du Rock britannique, disque culte, majeur et multiculturel, inclassable !

Album idéal pour clôturer la décennie musicale des 70's. Le groupe fait déjà preuve ici d'une maturité musicale et d'un éclectisme impressionnants, dès son deuxième L.P.

En 1979, A&M records se frottait les mains avec ce disque et le 'Breakfast in America' de Supertramp.

Quelle époque bénie des dieux du rock !

Le 03 Décembre 2023 par RAMON PEREZ

C'est un peu gratos cette charge contre Télérama. Je ne dis pas qu'il ne faut pas le critiquer, mais alors que ce soit sur des faits et non sur des poncifs à deux balles. En l'occurrence, je viens de le vérifier, ce magazine n'a rien dit contre Shaka Ponk. Il n'a certes pas dit grand-chose pour non plus. La popularité du groupe parle pour lui, il n'a pas besoin de la publicité de Télérama et si ses membres ne sont pas des stars internationales, il faut sans doute chercher les raisons ailleurs que dans notre presse.
Pour le reste, je te rejoins, il faut aller les voir en concert. Il n'y a pas beaucoup de groupes chez nous à ce niveau de show.

Le 03 Décembre 2023 par NICOLAS

Hello Kingbee,
Merci pour cette chronique du dernier opus de Robert Finley. J'ai assisté à sa dernière prestation parisienne à la Maroquinerie. En un mot 'fabuleux'. Concernant [i]Black Bayou[fi], je trouve le disque largement en retrait, toutes choses étant égales par ailleurs, relativement à sa prestation scénique. Malgré l'annonce, sur la pochette du disque, de la qualité du pressage, le disque vinyle manque cruellement de dynamique. C'est bien, mais... j'enlèverais juste une étoile pour noter la qualité technique. Une captation live aurait sublimé le disque, d'autant que nous avons eu droit à une prestation Soul de sa fille, notamment avec une reprise du titre célèbre de Betty Wright, "Clean up woman" superbement interprétée.
Pour info, Robert repasse en février à saint-Germain en Laye.
Merci pour les chroniques anyway.

Le 03 Décembre 2023 par I AM ONLY DANCING

Un film documentaire sur le guitariste John McGeoch (l'homme derrière les riffs de "Spellbound") est en préparation. Johnny Marr, John Frusciante, Johnny Greenwood et Ed'Brien vont y figurer.

Un financement participatif sur Kickstarter a été lancé avec des articles disponibles.

Le titre "John %cGeoch : The Light pours out of me".

Le 03 Décembre 2023 par BLUEMASK

Le meilleur album du non-groupe. Homogène en qualité, hip-hop à l’os, pop fondamentalement. Je veux être enterré avec ´Melancholy Hill’… enfin, ce soir.

Le 03 Décembre 2023 par BLUEMASK

La France est le pays de Télérama… alors dejà, le rock, bof, mais s'il faut enscenser le rock, ça doit être un peu pointu, un peu serieux, genre les Dogs, Diabologum, à la limite Noir Desir ou Eiffel, groupes que j’adore par ailleurs. Mais le rock larger than life, accessible, excessif, non, ça ne rentre pas dans la case.
Si les membres de Shaka Ponk étaient americains ou allemands (Rammstein?), ils seraient des stars internationales. Toute la carrière du groupe est géniale, malgré Télérama. Et à l’heure d’arrêter les compteurs, cet album résume et élargit. Un album pourtant dans la lignée du style. Electro-rock putassier, talent incroyable pour les mélodies de stades, thrash/metal pop, ouverture d’esprit à 360… mais un truc en plus, les paroles en français, les paroles politiques, un peu faciles mais qui sonnent sincères, un truc mélancolique en plus dans la folie que l’on encense chez Faith No More ou SOAD mais conchie chez eux.

Je les ai vus pour la 3ème fois en concert cette semaine. L’un des meilleurs concerts de ma vie, et j’en ai fait, la dernière tournée du groupe. J’ai re-ecouté cet album, le dernier. Merci les shaka, vous êtes importants.

Le 01 Décembre 2023 par LE MOUNGEPEDOUN

Un des meilleurs albums de l'histoire du heavy metal, des compos béton, des riffs aiguisés et un Ronnie au sommet de son art!

Quarante ans après sa sortie, la claque musicale demeure;

Pour l'éternité !...

Le 01 Décembre 2023 par LE MOUNGEPEDOUN

J'adore ce disque où les riffs heavy s'entre choquent avec des claviers dynamiques, le tout sublimant des titres accrocheurs à souhait.

Beau travail de prod' de Ron Nevison par conséquent, quant au jeu de Jack Lee, c'est le nirvana, il nous le prouvera trois ans après avec Badlands dans un registre éloigné de celui-ci.

Disque majeur de Ozzy à mes yeux. Bravo !

Le 01 Décembre 2023 par CLAQUEDENT

Chef-d’œuvre.
Mon préféré de la belle.

Le 01 Décembre 2023 par RAMON PEREZ

Bon album des Fatals, qui tient mieux la route que les deux précédents, à mon avis. J'adore "Sous les tilleuls de Barcelone", ça aurait vraiment pu être écrit par Ferrat. Rien de révolutionnaire cependant, mais tant qu'ils gardent la motiv, moi ça me va !

Le 01 Décembre 2023 par MYCROFT

En tant que fan de blink depuis l'untitled de 2003, je trouve les morceaux plutôt bien écrits.

En revanche, quelle catastrophe que la production ! Tout sonne artificiel, y compris la batterie qui est ultra compressée, mécanique et bien trop forte dans le mix. Les voix sont également beaucoup trop retouchées.

Il en résulte une écoute pénible, sans dynamique, avec tous les potards à fond sur presque tous les morceaux.

Une semi-déception pour moi, qui trouve Neighborhoods bien supérieur en particulier sur le plan de la production.

Ma note est sévère mais reflète la déception suite aux énormes attentes que j'avais suite à cette reformation.

Note réelle : 2,5

Le 30 Novembre 2023 par SWISSIDOL

A l'époque, je trouvais cet album un peu bizarre pour du VAN HALEN mais pas si mauvais. Aujourd'hui, je le trouve franchement pénible. Pas de la faute de Cherone, qui chante généralement super bien, mais les compos sont rarement passionnantes. Je retiens "Without you" mais guère davantage...et surtout pas Eddie au micro.

Le 30 Novembre 2023 par MARTIN LA BOTTE

Je crois surtout que la réputation des "Aristochats" a souffert (à tort) du fait que c'était le premier film d'animation que Walt Disney, disparu en 66, n'avait pas supervisé et qu'il était alors sans risque pour les rabat-joie et/ou "puristes" de dénoncer trop rapidement une perte de savoir-faire de la maison de prod'. Et il est fort possible que les Ricains qui n'ont pas fait un triomphe à ce nouvel opus en 70 aient été influencés par les réserves souvent injustifiées des critiques. Ce fut sans doute aussi pour eux une façon de rendre hommage à leur Maître en féérie après qui tout serait forcément moins bien.
En France, nous avons été plus irrévérencieux puisque le film figure parmi les meilleurs scores au B.O pour un Disney. Et je m'en réjouis parce que j'adore encore aujourd'hui "Les Aristochats" qui a beaucoup moins vieilli que certains de ses prédécesseurs et successeurs. Il acquiert avec le temps ses lettres de noblesse, devient un classique des studios et Télérama parle désormais de "franche réussite". Et je suis loin d'être certain que la comparaison inévitable avec "Les 101 Dalmatiens" ou "La Belle et le Clochard", auxquels il emprunte bien sûr quelques postulats, soit toujours en défaveur des "Aristochats". S'il est bien connu que "les chiens ne font pas des chats", "les chats peuvent aussi être les stars de films qui ont beaucoup de chien"*.
Voici enfin une oeuvre d'animation qui rend grâce à nos matous relégués régulièrement jusqu'alors aux rôles de vulgaires, sournois et stupides chasseurs de souris et de canaris dans les dessins animés. Les caractéristiques de la gent "domestico-féline" sont ici finement observées et drôlement restituées. Duchesse est au moins aussi travaillée et irrésistible que la cocker du Clochard et les chamailleries et piques entre chatons sont un régal. Et même Edgar, si souvent sous-estimé, est un crétin cupide de première classe. Tout comme la B.O inoubliable...


* à ceux qui ne l'ont pas vu, je recommande le récent et génial "Chat Potté 2 - la Dernière quête".

Le 30 Novembre 2023 par SWISSIDOL

Un album pas facile d'accès ; pas forcément de par sa longueur mais aussi par sa richesse, la recherche dans les compos. J'ai même failli m'en débarrasser !
Mais je me suis accroché et, au fil des écoutes, j'ai adhéré de plus en plus. On est transporté dans un monde onirique, tantôt charmant, tantôt inquiétant (à la David Lynch) mais toujours intéressant.

Le 30 Novembre 2023 par MARTIN LA BOTTE

Il y a bien quelques titres médiocres ou insignifiants ("Le Spectacle est terminé", "Un peu d'amour" aux paroles affligeantes et à la philosophie douteuse puisqu'il vaut mieux être aimé 'un petit peu' par l'idole qu'être un gamin qui mendie dans la rue, "Il ne me reste qu'à partir" sur lequel Claude lorgne clairement du côté d'un autre François en pleine gloire dans ces années-là, Frédéric...).
Mais il y a aussi 2 incursions plutôt agréables dans le reggae et le très réussi "On est qui, on est quoi" où, pour une fois, le chanteur ne joue plus les victimes, si ce n'est de lui même, et se pose en pauvre mec revenu de son ego surdimensionné. Il est assez jouissif de l'entendre dire qu'il se croyait 'le maître ou bien le Dieu' alors qu'il n'est 'qu'un petit homme, une fourmi', même si on a bien du mal à le croire.
Marco, pour l'album suivant, tu vas souligner les grandes similitudes entre le tubesque "Chanson populaire" et "Une chanson française". Mais ne remarques-tu pas que le refrain de ce dernier titre sera aussi le quasi copier-coller mélodique du sympathique "Joue quelque chose de simple" ou c'est moi qui ai des hallucinations auditives ?
Enfin, et surtout, dans ce premier album de l'année 75 figure MA chanson préférée dans la disco de Cloclo "Soudain il ne reste qu'une chanson", une adaptation certes mais de haute volée que je trouve même supérieure à l'excellente VO. Et comme elle servit à l'époque de face B à la très attendrissante "Toi et moi contre le monde entier", ça en fait également mon single préféré de Claude François.

Je ne pouvais donc que remonter la note (sévère) de Marco.