Le 13 Octobre 2021 par BAKER

Je suis bien d'accord avec Erwin, ce disque marque le premier pas d'une longue série de bordels infâmes au sein des Durannies. C'est John Taylor qui fonde Power Station mais finalement c'est Andy Taylor qui quitte le groupe, c'est Nile Rodgers qui joue sur l'album mais en fait on a Warren sous le coude avec quand même le numéro d'Andy dans le calepin on-sait-jamais-pour-garder-les-enfants.... Cet album est relativement agréable, mais il règne dessus un sentiment de factice, de non abouti. Plein de titres très sympas (Hold Me et sa géniale intro de batterie, Proposition), mais aucun n'est totalement bon, même Notorious dont je trouve l'intro bâclée.

Ce sera cependant l'occasion de deux choses : 1/ Simon y chante très bien (profitez-en), et 2/ les élèves de cours élémentaire qui ont des soucis en mathématiques peuvent ainsi mieux comprendre la logique des chiffres pairs et impairs : les jours pairs, c'est ceux où Andy Taylor re-fait partie de Duran Duran

A noter dans Wikipedia qu'il est stipulé que David Hallyday avait postulé pour être batteur mais que sa mère Sylvie Vartan s'y était opposée car "elle connaissait la dureté physique des tournées". A mon avis, elle connaissait surtout la réputation des Duran quand il y avait un bar à moins de 300 kilomètres :D

Le 13 Octobre 2021 par NESTOR

Un Tony Macalpine que l'on retrouve sur l'excellent album live de Michel Polnareff de 2007, Ze re tour.
Et dont le premier album est tout autant excellent

Le 13 Octobre 2021 par BAKER

@BRADFLOYD : Je parlais bien de l'influence de Petrouche sur le morceau d'introduction de cet album, que je ressens personnellement ; évidemment au niveau de la carrière globale le paradigme s'inverse :)

Le 13 Octobre 2021 par SECOND REIGN

Thank you for listen to GRAVITY and for that great review!
Cheers from Switzerland

Second Reign

Le 13 Octobre 2021 par BRADFLOYD

@ Baker
A mon sens, tu fais de l'anachronisme : John PETRUCCI n'est pas une influence de Tony MACALPINE mais bien plutôt le contraire. Le premier n'aurait pas été ce qu'il est si le second n'avait pas existé, celui que, improprement à ses débuts en 1986, certains contempteurs avaient surnommé "Macmalmsteen". Alors, certes, on peut toujours se dire que les uns influencent les autres et lycée de Versailles, mais écoute toute la disco de Macalpine et tu verras qu'il dépasse très largement le style de PETRUCCI, nonobstant toute l'admiration que j'ai pour ce dernier.

Le 13 Octobre 2021 par IEN

Voila pourquoi je consulte ce site tout les matins depuis 15 ans, il me permet de redécouvrir des chansons que j'avais oublié ou des artistes que je n'avais jamais écouté.
Quel plaisir de réécouter "the show show song" qui avait eu un beau succès ici aussi.

Je ne pense pas me farcir le reste de la disco de Cher sauf celui-ci, "heart of stone" et "it's a man's world".

Le 12 Octobre 2021 par MARCO STIVELL

Au revoir Paddy Moloney, grâce à qui les uilleann pipes (la cornemuse irlandaise) ont résonné aussi bien avant tout le monde à l'internationale depuis 60 ans, avec les CHIEFTAINS dont il était fondateur et ultime membre originel, ou plus rarement pour d'autres artistes (Mike OLDFIELD sur "Ommadawn part II" et "Taurus II"). R.I.P.

Le 12 Octobre 2021 par LE MOUNGEPEDOUN

En 1984 sortirent quasiment simultanément les 'métamorphose' de Sortilège et de Warning donc, je repartis de ce fait avec ces deux lp sous les bras de la fnac du coin.

Assurément, Sortilège est mille fois meilleur, y a pas photo, mais, rien que pour le sublime 'petit peuple' et son riff envoûtant, je mets un trois étoiles, généreux, certes, mais la 'madeleine de Proust' provoque une légitime indulgence.

Et puis, le hard rock 'Made in France' et chanté en français avait ses aficionados au milieu des 80's avec ses Sortilège, Warning, H Bomb, Der Kaiser, Attentat Rock, High Power, Satan Jokers etc...

Le 12 Octobre 2021 par CSAMSA

Excellent live au concept bien vu, rétrospective/best of mais avec des titres plus rares en live. Schenker est un formidable guitariste, on le sait, mais aussi un compositeur remarquable avec une science du riff qui fait mouche (« Natural Thing » que c’est bon) et de la mélodie imparable. C’est en cela qu’il surclasse selon moi un Malmsteen ou un Van Halen (encore que Eddie a su pondre quelques bonnes compos) Pour ces multiples talents, il est du calibre d’un Blackmore ou d’un Page. La rythmique Sparks/Gaalaas est une des meilleures qu’ait connu le MSG, sans faire oublier le fantastique travail de Cozy Powell, notamment sur le One Night at Budokan. Le titre « Into the Arena » est ici dans une superbe version. Le seul point faible pour moi est le chanteur, Van Landing, très moyen et laborieux sur les titres scorpionesques (n’est pas Klaus Meine qui veut) et complètement à la ramasse sur « Let it roll » (n’est pas Phil Moog qui veut). Pour le reste, que du plaisir.

Le 11 Octobre 2021 par NESTOR

Quelque chose me dit qu'une chronique d'un album de Christophe MARQUILLY pourrait bien suivre rapidement. Ce n'est pas un parolier extraordinaire, mais quel musicien !

Le 10 Octobre 2021 par MARCO STIVELL

Je remercie mon ami Baker pour sa gentille invitation, mais je la lui laisse comme il se doit et tout à son honneur. ^^

Le 10 Octobre 2021 par BAKER

J'invite humblement Marco à terminer cette Grande Oeuvre ^^

Le 09 Octobre 2021 par PATRICK

Effectivement ce volume 11 n'est pas un chef d'œuvre néanmoins le volume 12 est d'un niveau supérieur malgré la faiblesse de la 1ère piste et mériterait une analyse complète ;)

Le 09 Octobre 2021 par BRADFLOYD

Seuls (vrais) regrets dans cet album : la version belouze de « chauffard ». La version originale est largement supérieure avec son rythme rapide en adéquation avec le texte. Là, le ralentissement du titre nuit à sa cohérence. Et enfin, d’accord avec GEGERS, « les murs de poussière » est massacré. L’arrangement est pompier et n’atteint pas l’excellence de la version studio.
La note 3 est donc logique et justifié. Ces deux scories retirées, ce live vaut largement les 4 étoiles.

Le 09 Octobre 2021 par LE KINGBEE

A titre perso, je suis toujours surpris que Christophe Marquilly n'ait pas obtenu une plus grande notoriété.
C'est autre chose que les guignoles dont nous ressassent jusqu'à plus soif nos télés, radios et media.

Le 08 Octobre 2021 par LE KINGBEE

@ Phil,

Oui, c'est une évidence : qu'ils soient pentecôtistes, baptistes ou méthodistes, les chanteurs de Gospel sont sensés glorifier Dieu (ou le Seigneur ou le Lord).

Si cela peut vous rassurer, je n'appartiens strictement à aucune Congrégation religieuse et les rapports que j'entretiens avec le Gospel ou les Spirituals ne sont que sonores.

Maintenant, quand vous parlez de fraicheur et de modernisme, je ne vois pas trop ce qu'une surenchère de chœurs vient voir là-dedans, mais les goûts et les couleurs... On ne pourra vous conseiller d'écouter Nicoletta, Jeane Manson ou Mireille Mathieu en matière de Gospel, cela devrait vous convenir.
De mon coté, quand je veux écouter de la variété avec choristes (sans péjoratisme de ma part) et bien j'écoute Elvis, Sinatra, Sheila ou France Gall. Non là, je déconne, je n'en écoute que par accident.

Bien à vous.

Le 08 Octobre 2021 par LE VIEUNE

Un album que j'aimais bien écouter mais qui, avec le temps, m'a lassé. Ce que je trouvais beau, en écoutant surtout "The Only Moment We Were Alone" et "Your hand In Mine" par exemple, est devenu d'une béatitude cucul à la longue.

Un bon album néanmoins, pour les amoureux d'un post-rock sentimental : voyage garanti.

Le 08 Octobre 2021 par PHIL

Mon grand-père possédait ce disque dont j'ai hérité. Le Gospel et tous ces chanteurs et chanteuses noirs font souvent dans le prechi precha en chantant leurs louanges au Lord.
Il faut être je crois adepte d'une Congrégation pour bien apprécier la chose.

Moi, c'est le seul disque de Rosetta Tharpe que j'écoute encore (rarement) justement parce qu'il y a ces choeurs qui amènent de la chaleur et du modernisme.

Le 08 Octobre 2021 par NESTOR

Oui, les chroniques des deux premiers albums ne vont pas tarder. Celle-ci était dans la boîte à demandes.

Le 08 Octobre 2021 par LONG JOHN SILVER

Ouille, ouille, ouille !
Autant les deux premiers disques de WARNING sont pétris de qualités notamment grâce au chant de Raphaël Garrido (qui manque cruellement ici tant Francis Petit est totalement aux fraises ). Je suis parfois rétif aux prods de Dieter Dierks mais sur II il avait fait un super boulot et outre les relents Hard FM pas vraiment digestes sur ce Métamorphose c'est toute la prod qui est à la ramasse. WARNING vaut bien mieux que ce piteux point final à sa carrière. Deux LP qui auraient dû cartonner, surtout le 2e mais le groupe a été lâché par son label en plein envol. Un gâchis monumental.
Des chroniques des deux (excellents) premiers disques du groupe sont-elles prévues cher camarade ?