Le 25 Mai 2018 par JOJO

Le Trust qui a la meilleure production, le meilleur batteur, la meilleure pochette de disque, le plus rentre-dedans aussi.
Manque le gros tube dessus, dommage.
Et puis cette intro des Templiers, cette rythmique de Nono, rien de mieux !
Le seul truc qui cloche, et ça Trust n'y peut rien, les textes géopolitiques ou ayant des références dépassées, forcément ça fait plouf dans l'eau .
Marche ou Crève est celui que je préfère avant le début de la dégringolade commencée avec l'album suivant.

Le 25 Mai 2018 par LE MOUNGEPEDOUN

À classer parmi les 3 meilleurs albums de la discographie du groupe ; une fable d'heroic fantasy musicale cousue d'or. Disque parfait.

Le 25 Mai 2018 par JOVIAL

Théorie intéressante concernant les silences de "Silence is Sexy" : c'est un morceau qui traite des acouphènes. Ainsi, seuls les acouphéniques seraient capables d'entendre le morceau dans son entièreté :)

Le 25 Mai 2018 par KORAMA

Très bon disque de pop en effet.

Si tout ce qui sortait actuellement était de ce niveau, peut être écouterais-je plus de nouveautés :-)

C'est un album que je classe à côté du "Kings and Queens of the Underground" de Billy Idol sorti en 2014 : de l'efficacité, du savoir faire, un son faisant joliment le pont entre le son eighties propre à ces artistes et à la pop moderne, mais avec cette maturité que les jeunots n'ont pas.

Alors bien sûr il y a quelques titres un peu moins bons ou efficace (faut dire que le titre d'ouverture envoie sacrément du rêve), mais aucun titre mauvais, et ça, en soi, c'est déjà beau sur un disque de 2018.

Et le boulot de prod... les choeurs, les petites guitares dans les coins, les synthés qui virevoltent... bordel ça fait du bien.

A noter l'allusion à "Video Killed the Radio Star" dans l'intro de "Pop Don't Stop".

Le 24 Mai 2018 par FREDO

Sea Song est une merveilleuse chanson, intime et belle et Little Red Robin Hood Hit The Road, une conclusion puissante, électrique, qui vous arrache le cœur. Entre les deux, Rock Bottom est un album aqueux qui se répand dans votre cerveau pour ne jamais plus en sortir. Un chef d'oeuvre !

Le 24 Mai 2018 par LONG JOHN SILVER

@ Joe The Alien

Merci pour ton commentaire. Désolé que mes *********** encombrent ta lecture, c'est la façon qui m'a semblé être la plus appropriée afin d'insérer des infos ou des impressions et autres digressions n'entrant pas (selon moi) dans le corps du texte.

Sans quoi n'hésite pas à venir à Or@nge Amer, ce sera avec grand plaisir !

Pour info : Térébenthine, les Cotton Belly's ou les Sunshadows - tous chroniqués sur ce site - sont au programme des semaines et des mois à venir. Je t'invite à te rendre sur la page FB Orange Amer (sans @) afin d'être mis au jus des infos. Tu peux même y laisser un message avec ton mail afin d'être informé encore plus largement et en avance des événements à venir.

Bien à toi :)

Le 24 Mai 2018 par JOE THE ALIEN

Pas mal, la chronique plus de 30 ans après la sortie de ce « 33 tours » (comme on disait encore à l’époque), acheté pour ma part après la critique citée dans Enfer Magazine, justement (à l’aube du thrash metal qui allait pourtant tout emporter pour moi sur son passage). Et d’accord avec l’expression des qualités qui le caractérisent, encore aujourd’hui.

Mais, Long John (si tu me permets cette familiarité), à part ça... c’est quoi cette technique des notes de bas de page avec étoiles qui finissent par polluer la moitié des lignes de tes textes (*******)...?

Un voisin auvergnat tenté quoi qu’il en soit par une virée à Domaize un de ces quatre. ;-)

Le 24 Mai 2018 par JOJO

Je l'avais acheté dans les 90's uniquement pour bosser à la folk les accords des titres qui se trouvaient dans le Diapason Rouge .
Au final c'est devenu un de mes album préféré de " folk variété " français .
Même Eric Zemmour qui n'est pas réputé à gauche avait déclaré dans ONPC qu'il adorait & connaissait ce disque par coeur .
Donc album universel malgré l'esprit soixante huitard qui s'en dégage , rien que des chansons parfaites témoignant d'un certain état d'esprit en ces débuts 70's .

Le 24 Mai 2018 par JOJO

Parfait track listing 70's, son perfectible mais qui apporte un cachet d'époque ( pas le son javelisé des 90's ou des années 2000 ), Johnny qui devait avoir quelques grammes dans le sang, voire autre chose, donc bien désinhibé & qui envoie du lourd :
J'adore le live au Pavillon de Paris en 79.
Avec Bercy 87 un des 2 meilleurs Live de Johnny.

Le 24 Mai 2018 par JOJO

Du boulot parfait : Des musiciens carrés exceptionnels , un show gigantesque , un track listing en béton , le son parfait ...
A cette époque j'étais en BTS & dans une période métal , j'avais décroché de Johnny & je trouvais ça too much commercialement & trop " populaire " .
Finalement après avoir réécouté cet album en laissant de côté mes préjugés d'il y a 25 ans , je trouve que c'est du très bon boulot mais je n'arrive toujours pas à rentrer dans la vibe . Période trop mégalo peut-être où on ne prenait pas soin du spectateur placé dans le virage tout en haut & qui voyait Johnny comme un petit point , frustrant .

Le 24 Mai 2018 par JOJO

Excellent Live rien à redire tant la production est parfaite & Johnny chante à la perfection .
Ce Dans la chaleur de Bercy possède le son qu'on retrouvera à peu près à l'identique sur tous les albums des concerts qui suivront .
On y trouve des versions améliorées & un peu plus musclées des titres de Cadillac (pas le meilleur de Johnny ... ) .
J'ai toujours préféré les imperfections du Bercy 87 au millimétré Bercy 90 & même à tous les albums qui suivront , toujours un peu la même chose d'ailleurs .
Tiercé des Live de Johnny : Bercy 87 , Pavillon de Paris 79 & Palais des Sports 82 .

Le 23 Mai 2018 par LE VIEUNE

Je bois mon café en écoutant cet album (commandé par correspondance pour enrichir ma discothèque parce que le net au bout d'un moment ...). Avant d'aller au boulot, ce premier album de Pigalle fout la gniak. François-Hadji Lazaro débite ses mots de manière urgente, fougueuse (oui). Album complètement occulté de ma part à cause du suivant, toutes ces années passées où j'aurais pu mourir sans l'avoir écouté, quand même ... Maintenant, c'est chose faite.

Agressif, triste ou rigolo. Disque keupon parfois folk ou rockabilly ("La Fille Au Teint Rose", j'adore !), minimaliste mais pas tellement, on ne sait pas, on s'en fout ! Je suis mordu.

Le 23 Mai 2018 par JOJO

Objectivement pas les meilleurs musiciens de scène ( solos de guitares bof bof ) , pas le meilleur son en concert , pas les meilleures interventions au public de Johnny ...

Tant pis je je l'adore quand même car le Track-listing est super original & c'est la tournée suivant l'album La Peur , mon album culte de Johnny Hallyday , ma 1ère K7 de wok n woll .

Le 22 Mai 2018 par CLANSMAN57

Ils sont quand même cons Les Inconnus.
Tout le monde se souvient de ce sketch durant lequel ils tentent d'expliquer avec les plus grandes difficultés du monde, ce qu'est le bon Hard Rock...
Le bon Hard Rock, c'est "Electric" de The Cult bon sang!
Et ça ne s'explique pas, ça s'écoute, messieurs!
Le genre de pulsion sexuelle ou animale qu'on ressent, le truc qui te donne envie d'être une femelle soumise face à l'immense Ian Astbury, juste le temps de ces quelques minutes pleines de groove et de feeling.

Par ailleurs, Rick Rubin était au top dans les années 80: ce disque a 31 ans et il ne prend pas une ride.
Le son de batterie est orgasmique, loin du son lourdingue adopté par beaucoup de leurs homologues à l'époque.

Entre nous, je peux passer des semaines sans écouter une seule note électrifiée... Tout le mois d'avril: nada.
Mais lorsque je me suis remis ce disque, ça m'a rappelé qu'une bonne dose d'électricité de temps à autre, c'est le pied, surtout cette décharge là.
Du chant, de la basse, du riff et du solo, ainsi qu'un batteur efficace qui n'en fait pas des caisses: c'est ça le rock n roll!

Le 22 Mai 2018 par JOJO

Très bon disque de Murat avec un petit côté Neil Young and Crazy Horse par moment ( Au Dedans de Moi ... ) , l' auvergnat inspiré indiscutablement !
Enfin si il arrive à créer des albums qui tiennent la route il faut signaler mon expérience hyper décevante en concert à Rennes en 2013 :
Payer pour un concert d' 1H15 à peine & encore avec du blabla entre les chansons , pas plus , pas moins ( sans 1ère partie ) , tout le monde se regardait :
Jean-Louis Murat c'est de l'arnaque !
N'empêche on continue d'aimer plus ou moins ses disques malgré son manque d'échange avec le public & son avarice sur la durée des concerts .

Le 22 Mai 2018 par JOJO

Premier album de Dan Ar Braz sans chant , forte influence du jazz rock & du folk façon John Renbourn mêlé avec le trad breton.
Pas mieux depuis ...
L'ambiance mystique qui se dégage de ce disque est unique .
Seul tout petit regret : la partie de Uilleann Pipes de Patrick Molard sur "L'appel du sage" n'a pas été mixée assez fort.

Le 21 Mai 2018 par JOJO

Pour les avoir vu en concert sur cette tournée Abysses , je peux dire que les déguisements étaient , à voir selon la tolérance de chacun , amusants ou ridicules ( Chevalier aussi ancien guitariste de Magma déguisé en poulpe , le déshonneur ) .
En tout cas pour Abysses , désolé , mais il s'agit d'un disque qui manque un peu de profondeur .

Tri Yann en mode automatique , tous les ingrédients sont réunis pour que ça marche , mais non on n'accroche pas au disque , d'ailleurs avec les Tri Yann que j'ai vu 4 fois en concert c'est à chaque fois pareil :
Avec les nouveaux titres personne ne bouge & ce sont les classiques des 70's qui font réagir le public .

Le 21 Mai 2018 par JERRY

Avec ce "British Blues Explosion Live", Joe BONAMASSA se livre davantage, à mon humble avis, à des réadaptations qu'à des reproductions "à l'identique" des versions originales (l'exemple le plus évident étant ce "How Many More Times" (où le solo de batterie du sexagénaire Anton FIG brille par sa concision) qui s'autorise des digressions qui s'éloignent ostensiblement du title-track originel, mais où les subtilités guitaristiques qui y sont introduites ne sont pas si incongrues que cela). À prendre en compte aussi, la moyenne d'âge du backing-band, où Reese WYNANS (70 ans) est un peu à la peine sur quelques titres, j'en conviens, mais de là à faire un parallèle avec le feeling de Nicky HOPKINS (paix à son âme...) au sein du Jeff BECK Group, je m'interroge, la carte de visite du premier nommé (John MAYALL, Buddy GUY et Stevie Ray VAUGHAN, tout de même) plaidant en sa faveur. Quant à Joe BONAMASSA, sa frénésie des "Live'" (dont j'ai tendance à fuir ceux où il est en compagnie de Beth HART, le chant de la dame ne déchaînant pas chez moi un torrent d'émotions) n'est pas près de s'assagir, et c'est tant mieux. Sa technique guitaristique fait merveille tout au long de celui-ci, et ses soli brillent par leur justesse (un bémol, toutefois, pour son interprétation de "Black Winter/Django", seul titre original de JB, exécutée sur Gibson Firebird III, qui est loin d'être transcendante). En vidéo, sa complicité avec Michael RHODES fait plaisir à voir... mais ce que l'on peut remarquer aussi, c'est que la moyenne d'âge du public présent ce soir-là au "Greenwich Music Time", ce 7 Juillet 2016, avoisine allègrement la soixantaine (comme en témoignent ces multiples crânes dégarnis et chevelures "poivre et sel" dans l'assistance)... Et que celui-ci ait pu vibrer, l'espace d'une soirée, sur les rythmiques blues-rock d'une époque "référence" de ce style au niveau créatif, cela va bien au delà de la question initialement posée (version originale ou réadaptation ?), soit dit en passant. So long, folks !

Le 21 Mai 2018 par HANNIBAL LECTEUR

Autant j'avais du mal avec ses deux premiers albums, autant là je suis conquis. Comme quoi, on peut être bon acteur (et réalisateur) tout en étant bon musicien !
Bon évidemment, ça ne vaut pas Bruno ;)

Le 21 Mai 2018 par LE VIEUNE

Ecouter Rire Et Pleurer, c'est comme de faire son marché chez le primeur. On prend du qu'on aime et on évite parfois du qu'on aime moins. "Rungis", "Crime Contre L'Humanité", "Le Dernier Eléphant" (qui hélas pourrait être d'une actualité qui s'approche) et "Un Amour Simple" procurent un réel plaisir à redécouvrir après tant d'années sous silence, ce troisième album de Pigalle. "Derrière Le Mur" me rappelle mes excursions en Bretagne, ambiance celtique oblige. "La Patate" met toujours de bonne humeur, comme un pied de nez coloré à toute la grisaille foncée souvent imposante dans nos vies.