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MIDNIGHT OIL
REDNECK WONDERLAND


Le 25 Avril 2018 par LE VIEUNE

Qui aurait pu penser que Midnight Oil, un jour, puisse revenir avec un album rempli de punch et de hargne ? En 1998 et à peine deux années après "Breathe", lequel marqua le début d'un son neuf de la part des cinq australiens, ces derniers repartent à l'attaque. D'entrée, "Redneck Wonderland" et "Concrete" ont de quoi retourner l'auditeur par leur rock bourrasque. "Comfortable Place On The Couch" les suit pas loin. Les guitares ronflent, souvent saturées comme ce le sera pour la majorité de l'œuvre. La rythmique est dynamique et des éléments inédits sont injectés à la musique du groupe, comme des sons électroniques ou des samples à l'écoute du morceau d'ouverture plus haut et de "Blot", morceau qui par son tempo lent et son rythme lourd, sonne assez massif. De plus, Peter Garrett y alterne ses paroles entre chant et rap. D'autres titres laissent humer quelques grands espaces par leurs compositions plus aérées, ce qui permet de respirer de temps à autre, comme il en est pour "Safety Chain Blue", le planant et énergique "Seeing Is Believing", ainsi que "The Great Gibber Plain" avec sa guitare acoustique, son xylophone, sa basse qui bourdonne et ses croassements samplés qui donnent une ambiance joliment marécageuse ; nous revoilà revenus un peu dans le bush.

Le ton est donc donné : ça barde pour un grand plaisir auditif venant d'un groupe qui, vieillissant, pouvait faire craindre d'aller en direction de la case has been - cela m'aurait peiné de l'entendre dire mais ça n'a jamais été le cas - après un disque comme "Earth And Sun And Moon", ou voire dans une période où les Oils avaient atténué leur humeur musicalement quand les esgourdes mélomanes s'orientaient cycliquement vers d'autres horizons.

Il y a presque vingt ans (déjà!) donc, Redneck Wonderland créa une surprise, de mon point de vue personnel, par son côté bien pêchu. Hélas, ici en France, cet album ne rencontra pas de succès comme les albums parus vers la fin des 80's.





AEROSMITH
GET YOUR WINGS


Le 25 Avril 2018 par CAZA


3/5 uniquement

Il y a du talent, mais la formule n'est pas encore au point.
Je dois retenir 3 morceaux :

- "Same old song and dance" : riff génial et chanson à l'avenant, le groupe se trouve sur cette chanson
- "Train kept a rollin'" : reprise qui transcende l'original
- "Seasons of wither", ballade que j'ai appris à apprécier avec le temps, ne l'aimant pas plus que ça au départ. Elle dégage une intensité, une tristesse, un mal être que je ne captais pas bien, préférant des ballades plus évidentes en mélodies avant comme "Dream on" ou "You see me crying".

Méritent d'être entendues :

- "Lord of the thighs" : une chanson plutôt bonne mais un peu clinique. C'est pas totalement Aerosmith, c'est étrange. La version du live bootleg passe mieux, mais ça reste un groupe qui se cherche.
- "SOS (too bad)" : vraiment sympathoche, il manque un truc pour être classique
- "Spaced" : étrange aussi, pas désagréable, mélodie un peu pop

"Woman of the world" et "Pandora's Box" me semblent plus faibles. Sur 8 titres, ça fait beaucoup et explique la note.





Jack WHITE
BOARDING HOUSE REACH


Le 24 Avril 2018 par JERRY


Pour qui s'est frotté plus d'une fois aux rythmes assez complexes d'un Captain Beefheart ou d'un Frank ZAPPA, tout autant qu'aux vrombissements Zeppeliniens, cet album de Jack WHITE est d'une richesse de sonorités où l'analogique a la part belle, où les références aux White Stripes abondent (ce son de guitare "fuzzé" reconnaissable entre mille sur "Over And Over and Over"), où la pulsation de la batterie alliée à des percussions omniprésentes s'impose comme une sorte de motif essentiel à la bonne progression de "Corporation", et où on peut trouver des réminiscences "Princiennes" évidentes à "Ice Station Zebra" ... Certes, chercher un début de cohérence entre les différents titres s'avère une sacrée gageure, mais après 2 ou 3 écoutes, cet assemblage hétéroclite "passe" plutôt bien (abstraction faite des intermèdes (sans réel intérêt, avouons-le humblement) que sont "Abulia And Akrasia", "Everything You've Ever Learned" et "Ezmerelda Steals The Show" ). On se retrouve, au final, avec une dizaine de titres où Jack WHITE fait la preuve d'une rare ouverture d'esprit musical (que d'aucuns interpréteront comme un effort solitaire "surfait"), susceptible de surprendre qui veut bien s'y immerger sans des oeillères de puriste sûr de son fait... Une écoute au casque s'impose pour en déceler toutes les richesses (notamment au niveau des claviers, où l'on s'aperçoit que les synthétiseurs n'ont pas une part négligeable dans le "son" général de l'album). Laissez-vous bercer par cette curiosité...





The MONKS
BLACK MONK TIME


Le 24 Avril 2018 par NORADJOWNZ

Superbe chronique, merci pour la découverte !!!





Jack WHITE
BOARDING HOUSE REACH


Le 24 Avril 2018 par NOORS


Pour moi BLunderbuss avait été très bon. 4/5. Lazaretto bon: 3/5. On voyait le chemin se profiler à l'horizon. Mais, même si j'espérai honteusement un sursaut, honteusement parce que sans y croire vraiment, je ne m'attendais pas çà un tel naufrage.
Cet album est mauvais





NOSOUND
LIGHTDARK


Le 24 Avril 2018 par DARKPOET


Perso j'adore cet album, il me touche profondément. Il y a une nostalgie sans borne au fil de cet album, c'est contemplatif et beau. Je ne me lasse pas d'écouter le titre "Kites" qui est d'une beauté à pleurer…





TRUST
DANS LE MêME SANG


Le 23 Avril 2018 par YANN

@ DARK SCHNEIDER

Merci pour cette réponse...
Je ne détenais pas en effet toutes les clefs...

TOUTEFOIS :

- concernant l'implication de Mike Fraser, je maintiens que l'implication du "bonhomme" serait bien plus importante selon les dires du groupe (dixit leurs interviews), alors qu'en fait non, il aurait "juste" mixé à distance l'album d'un groupe sans l'avoir rencontré... Un bon ingé son quoi !

- concernant la relation TRUST - BON SCOTT : je renverrais au titre "TON DERNIER ACTE", et à ses paroles écrites par Sieur Bernie... La chanson exprime clairement une relation "potes proches" !!!

- quant aux dires de Sieur Bernie quand "IL" (lui - alors qu'il est membre d'un groupe) joue dans une ville FN :
* j'ai vu TRUST dans un club à MONACO (Principauté de MONACO !!!!), autour de 2010-2012, je ne me souviens plus bien, ça fait un bail ! - et ce soir-là, le show fut excellent !!! Bernie a amorcé le show en disant que Putain, Trust qui joue à Monaco, il l'aurait jamais cru, mais autant s'amuser ! Et s'en est suivi un TRES BON show, totalement détendu du slip !
* peu après, j'ai vu TRUST (au 1er rang) quand ils ont joué au Théâtre de Verdure à NICE (à 20 bornes de Monaco), et le show était épouvantable !!!!!!!! Bernie chantait (enfin chantait, c'est beaucoup dire) certains titres assis à côté du kit de batterie, fixant les coulisses ; le groupe est venu en fin de show clairement pour un rappel, sauf que Sieur Bernie n'a pas daigné venir, et le concert s'est fini ainsi en queue de boudin... Le lendemain matin, on lisait dans un journal local que Bernie ne voulait pas venir jour dans cette ville, dont le maire était de droite, mais que leur promoteur avait fixé cette date.... Sympa pour le public qui avait fait le déplacement.

- le mutisme face aux 128 splits du groupe : OK ça fait marrer tout le monde.

- la ressemblance entre "QUE SERAIS-JE SANS MOI" et "L'ARCHANGE" (oups - "NI DIEU NI MAITRE"), on en parle ou bien ?

Attention, tout ce qui précède vient d'une FAN DU GROUPE ! ;-)






TRUST
DANS LE MêME SANG


Le 23 Avril 2018 par THESEVENTHSON


@FRED
Commentaire assez convenu. Au regard du point de vue énoncé, il vaudrait tout autant pour l'ultime album de Public Image Limited et Johny Rotten, ou encore pour le dernier album de Bodycount et Ice-T. On peut ou non apprécier Bernie Bonvoisin et ses textes, mais au-delà de cela il s'agit ici d'apprécier un album sur le plan musical. En la matière, le nouvel album de Trust est plutôt pas mal, surtout si on le compare à la production musicale hexagonale actuelle tous styles et genres confondus.





SLEAFORD MODS
KEY MARKETS


Le 23 Avril 2018 par LE KINGBEE

Sur scène ce groupe m'avait laissé sur le flanc il y a de cela quelques années.

Bon on attend avec impatience la chronique de "The Originator" et pourquoi pas de la compilation "Retweeted" rien que pour la pochette.





Nils ØKLAND
KJøLVATN


Le 23 Avril 2018 par LE VIEUNE

C'est bien simple, la musique de Nils Økland, que je découvre là, me rappelle avec ce son de violon typiquement nordique, celle de la musicienne norvégienne Annbjørg Lien, joueuse de Hardanger fiddle (ou le hardingfele, je crois) dont une vidéo vue partiellement d'un de ses concerts dans une église (aussi) m'a conquis d'émotion.

Cette musique incite à se retirer du monde trop mouvementé, de s'isoler dans une maison où tout autour, le temps se ralentit pour pouvoir apprécier quelque chose de sacré et de méditatif où palabrent divers instruments dans des lents défilements harmonieux. La nature n'est jamais bien loin, où de la brume dévoilerait des formes rocheuses ou boisées de son pâle murmure et sa robe spectrale. J'aime beaucoup "Start", qui s'agite dans les airs en de délicieux échos !

PS : Je crois que je vais renouveler l'écoute de la compilation "Wizard Women Of The North" (1998), tiens !





Bruce SPRINGSTEEN
LIVE 75/85


Le 23 Avril 2018 par GILLES

Bonsoir Bayou ,
Je ne peux que vous donner raison sur vos réponses. Mais bon, nous vieillissons tous, et Sprinsteen reste malgré tout, je pense, d'une grande intégrité dans sa démarche .

Et puis, finir comme Frank (je n'y avais pas pensé) c'est peut-être un reve de gosse du new-jersey qui se réalise . lol !

amitiés , Gilles





MIDNIGHT OIL
A PLACE WITHOUT A POSTCARD


Le 23 Avril 2018 par LE VIEUNE

Il n'est pas mon album préféré, mais "Place Without A Postcard" est le premier album que j'ai découvert d'avant "Diesel And Dust". "Don't Wanna Be The One" avait surpris par sa tonicité mélodique, venant principalement de l'orgue synthétiseur qui arrose tout le morceau. "Brave Faces" figure parmi les meilleurs moments du disque avec sa fin où tranchent et tourbillonnent des riffs en diable des guitaristes Moginie et Rotsey. Passé le pesant "Armistice Day", le réflèxe de zapper devient une tendance presque automatique pour atteindre directement "Quinella Holiay", "If Ned Kelly Was King", ainsi que le titre final "Lucky Country" avec son imagerie de 'L' Australian Way Of Life' et les coutumes jugées hédonistes des concitoyens blancs de l'île continent.


(fautes corrigées)





SLEAFORD MODS
KEY MARKETS


Le 23 Avril 2018 par NOSFERATU


Le dernier groupe réellement punk anglais, un must ...





Hubert Felix THIEFAINE
DERNIèRES BALISES


Le 22 Avril 2018 par GOLGOTH 68

@Le Baron : « Balises » sans hésitations et merci pour la  ‘’réhabilitation’’





TRUST
DANS LE MêME SANG


Le 22 Avril 2018 par FRED

Bonvoisin, s'arrangeant avec l'Histoire ? Pas possible ?
Franchement, Bernie est devenu un bobo, un bien pensant, un germanopratin du plus bel acabit. TRUST n'a, depuis longtemps, plus aucune raison d'être, si ce n'est financière. La logorrhée Bonvoisine est l'archétype de la pensée dominante, quand TRUST fut, jadis, l'étendard de le jeunesse ouvrière française, celle qui a été vendue à la mondialisation, et dont les descendants, aujourd'hui, votent... F Haine, comme dirait l'ineffable Bernard de Nanterre, insigne représentant de la nouvelle aristocratie, celle que TRUST, le vrai TRUST, voulait tant renverser à la grande époque.
L'album, cousu de lyrics archétypaux, n'est qu'une coquille vide : ce disque est inutile, point barre. TRUST est mort en 1985, à Ploubalay, et c'est tout.





The GOSPELAIRES OF DAYTON
MOVING UP THE EARLY YEARS 1956-1965


Le 22 Avril 2018 par GUILLAUME THE ELDER

Sympa la mansuétude du FP crew, mais Jennifer, au lieu de nous dévoiler son "dérangement" par rapport à ses convictions religieuses, pourrait-elle nous dire clairement quelles sont ses intentions? Réclame t-elle ici une interdiction des écrits non conformes à la doctrine papale? A t-elle d'autres façons de vivre et de penser à nous proposer, des exemples à suivre, et surtout à ne pas suivre...? Merci.


Par Forces Parallèles

Hey coucou Guillaume !
Bienveillance est le maître mot. Jennyfer à bien le droit de penser ce qu'elle veut, sa démarche est courtoise, on a répondu de notre mieux. On en reste là, camarade, là n'est pas la place pour refaire le monde !! Tout ça n'est pas bien grave. On prendra donc connaissance des futurs messages sur le sujet, mais on ne les publiera pas.
Bien à toi et keep the faith !
Erwin





Bruce SPRINGSTEEN
LIVE 75/85


Le 22 Avril 2018 par BAYOU

Gilles, merci pour ces commentaires,

**Ce que je n’aime pas c’est l’ajout incessant de musiciens, qui peu à peu empâte le son du groupe. Déjà avec le retour de Steve, puis Pattie, puis Soozie, puis Tom Morello.
Que reste-t-il de l’énergie du premier concert à Londres en 75, dans les shows des dix dernières années ?
**Le décès de Big Man marque pour moi une vraie rupture, quelque soit les qualités de son neveu ? C’est l’alter-égo, le complice le frère qui est parti.

**Cachetonner oui. C’est quand même plus cool de jouer tous les soirs à quelque miles de chez soi, avec au passage des prix des places exorbitants, que d’enquiller les shows de plus de trois heures autour du monde.
Le E Street Band comme son nom l’indique était un gang des rues du New Jersey, Springsteen termine comme Frank Sinatra sur Broadway. Moi je n’apprécie pas vraiment l’évolution.
Amitiés





The GOSPELAIRES OF DAYTON
MOVING UP THE EARLY YEARS 1956-1965


Le 21 Avril 2018 par LE KINGBEE

Bonjour, Fidèle lectrice de F P depuis des années, je me permet une intervention (ma première) concernant certains chroniqueurs Erwin et ses travers machistes, Bayou, Long JohnSilver, Jasper Lee Pop (et ses opinions sur les armes) et principalement le kingbee. Ce chroniqueur dispose d'une culture musicale impressionnante, on a envie de découvrir certains artistes inconnus qu'il nous fait connaitre avec passion. Mais ses remarques sur la religion (voir les chroniques de Noël), sur la Société, sur le quotidien, la vie en général dépassent parfois le domaine de la musique. S'agit-il d'une nouvelle étape chez FP, car sans en avoir l'air cela se répercute chez de nouveaux chroniqueurs, spécialement ceux qui écrivent sur le Rock, Hard et le krautrock. Est ce une ligne éditoriale voulue? Je ne remet pas en cause certaines remarques sur l'industrie du disque, l'apport financier dans le domaine de l'art, ni certaines critiques sur l'auditeur lambda, mais cela dépasse parfois le cadre même de la chronique musicale telle que je la conçois. Je précise que je suis croyante et que certaines phrases sont dérangeantes. Au plaisir de vous lire. Jennyfer

Bonjour Jennyfer,

Il est parfois bon et utile dans une chronique musicale de resituer le contexte et certains événements d'histoire. Je suis parfois "taquin", moqueur, un peu militantiste mais F P n'a pas de ligne éditoriale précise, cependant nous avons un nombre de modérateurs et de validateurs qui examinent nos articles et jusqu'à présent je ne crois pas avoir eu trop de remarques ni de censures.

Pour les articles orientés sur les disques de Noël, c'est une tradition anglo saxone et de nombreux artistes américains nous ressassent à cette époque les mêmes titres rengaines bourratives. Il y a aussi un apport lucratif derrière ces productions.

Maintenant, malgré mes remarques que vous trouvez dérangeantes, je chronique avec plaisir certaines productions liées à la musique religieuse. Souvent ces formations sont issues de congrégations, pentecôtistes ou méthodistes et en fait on pourrait classer certains de ces ensembles dans le Rock n Roll. Le cas le plus parlant demeurant Sister Rosetta Tharpe.

Je vous remercie de noter ma culture musicale, pour un peu j'en deviendrais rouge de confusion, là j'oserai presque penser que vous avez bon goût . Pour conclure, il n'était pas dans mon intention de déranger une croyante dans sa foi.

Bien à vous






Christophe MIOSSEC
ICI BAS, ICI MêME


Le 21 Avril 2018 par LE VIEUNE

On l'attend toujours (pour la plupart d'entre nous), son grand disque, son projet ambitieux, lui, ce brestois qui pensait ou voyait grand lors d'une interview sur M6 quand sortait son troisième album, "A Prendre". "Boire" et "Baiser" ont fait leur bout de chemin chez moi ; je ne les écoute plus tellement je dois dire. Il y eu "L'Etreinte", en 2006, détestable disque de variété pleurnicharde, quand Miossec faisait copain avec Cali. Qu'en est-il de cette amitié aujourd'hui ? En 2016 est sorti l'album, "Mammifères", mais je n'en dispose pas. je ne l'ai point dans ma CDthèque.

"Ici bas, Ici Même" est et restera peut-être le dernier et plus récent album de celui qui s'était révélé sur la scène française au milieu des années 1990. C'est un album épuré, un peu touchant d'un chanteur assagi, mais qui n'emmène pas vraiment loin sinon de satisfaire de fidèles admirateurs de France et de Bretagne. "Le Cœur" est beau, quand même ! Cette chanson est l'une des rares récentes à encore me toucher, après toutes ces années. On ne demande pas à Miossec d'allumer le feu comme du temps où il était trentenaire. Mais serait-il capable de bien nous surprendre aujourd'hui ?

On l'attend toujours son grand album à ce monsieur. A moins qu'il soit déjà paru et qu'il s'appelle "1964" alors ... !?





Bruce SPRINGSTEEN
LIVE 75/85


Le 21 Avril 2018 par GILLES


Attendu comme le messie à sa sortie , j'ai bien du mal à le ressortir aujoud'hui ;
Je vous rejoins sur les réserves émises ; j'y ajouterais une fin de concert sur la 4eme face vinyl (sur 10), un début de concert (born in the usa) au milieu de nulle part, la part trop belle accordée à l'album "born in the usa", et puis, après tout, pourquoi pas un live 72/85 ?

Enfin quelques petites remarques sur nos divergences de vue de fans; "tunnel of love", je le trouve pas si pâle que ça, sans doute l'album le plus introspectif, mais effectivement c'est un album charnière. L'arrivée de Patti Scialfa dans le groupe ne me gêne absolument pas, bien au contraire.
Le décés de Big Man ne marque pas pour moi le déclin du groupe; L'arrivée de Jake Clemons et dans une moindre mesure Tom Morello ont apporté un peu de sang neuf à un groupe qui en avait bien besoin. Et puis comme l'a dit Springsteen, ce n'est pas parce qu'il est mort qu'il a quitté le groupe .

Jouer TOUS les soirs devant 1000 personnes alors que vous pouvez remplir les stades de la quasi totalité de la planète (petite réserve pour la Russie et la Corée du nord) vous appelez cela cachetoner ?

Musicalement votre !
Gilles







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