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BAUHAUS
MASK


Le 05 Mai 2018 par LEO

@ ARP2600

Je ne vois pas où tu as vu que j'avais écrit que tu affabulais !!!! j'ai mentionné que de mon côté je ne trouvais aucune ressemblance avec Neu! c'est bien différent.
Ce n'est pas parce que tu entends des influences provenant du krautrock ou du courant prog dans les albums The Sky's Gone Out et Burning From The Inside que les membres de BAUHAUS étaient forcément influencés par ces courants musicaux. ça peut être tout simplement une coîncidence. de mon côté, je trouve bien une vague similitude dans les arpèges de fin du morceau "Mask" avec la mandoline et la guitare acoustique de "The Battle Of Evermore" de Led Zeppelin ! est-ce à dire que Daniel Ash était un amateur de Jimmy Page et sa bande? je ne pense pas.
Je ne vois pas pourquoi les membres de BAUHAUS, continueraient à nier l'influence de ces courants musicaux 30 ans après si ce n'est qu'ils ne les ont jamais cité (si ce n'est pour dénigrer Genesis et Yes dans une interview de Daniel Ash qui datait d'il y a 3 ou 4 ans).
Ils n'ont jamais caché leurs influences principales (le glam-rock, le reggae et le punk) tout comme John Lydon n'a jamais eu peur de citer entre autres Alice Cooper, Captain Beefheart et Peter Hammill mais la musique de Rotten/Lydon ne m'a jamais fait penser ni aux uns ni aux autres. alors inversement je suis bien d'accord, ce n'est pas parce que les membres de BAUHAUS n'écoutaient pas de rock progressif qu'il ne puisse pas y avoir des éléments qui s'y rapprochent de près ou de loin, mais pour ma part je pense que ça reste juste une coincidence et que c'est réellement l'influence de Bowie qui saute aux oreilles lorsque l'on entend BAUHAUS.





LUNA SEA
LUV


Le 05 Mai 2018 par PILGRIMWEN

Appréciable de lire ENFIN une chronique de LUNA SEA !

LUNA SEA, discographiquement, ne m'a jamais déçu. Les changements d'un disque à l'autre sont parfois déroutants mais appréciables.





BAUHAUS
PRESS THE EJECT AND GIVE ME THE TAPE


Le 05 Mai 2018 par LEO


À l'origine ce live était livré en bonus avec les premiers exemplaires en édition limitée de l'album studio The Sky's Gone Out (qui était donc vendu sous forme de double à ce moment là). une fois les tirages épuisés, The Sky's Gone Out et Press The Eject And Give Me The Tape ressortirent 2 mois plus tard mais séparément.
Cet album en public est un assemblage de 11 morceaux captés lors de divers dates: 6 titres proviennent d'un concert donné le 31 Octobre 1981 au Royal Court Theatre de Liverpool, 1 seul est extrait d'un show à l'Hammersmith Palais de Londres le 9 Novembre 1981 et 4 sont tirés d'un concert à l'Old Vic de Londres le 24 Février 1982.
Sa parution en CD dès la fin des années 80 ajoute 6 bonus de médiocre qualité (dont 5 captés le 3 décembre 1981 à l'ancien club Parisien Le Rose Bonbon plus 1 reprise du Velvet Underground en compagnie de Nico le 28 Octobre 1981 à Manchester) mais l'essentiel reste avant tout les 11 premiers titres.
Malgré son côté patchwork ce live au son très correct (hormis sur les bonus) retranscrit bien l'énergie et la folie qui émanait du groupe sur scène à cette époque. il est donc tout à fait recommandable.
Il n'y a guère que le crispant "The Spy In The Cab" qui me dérange. celà mis à part, tous les autres titres passent avec succès l'épreuve du live.
Pour celles et ceux qui en voudraient plus, il existe un autre album en public enregistré à la même époque et paru en 2009 en 33t mais aussi dans le triple coffret CD de la réédition de Mask [édition Omnibus]. il s'agit de l'excellent This Is For When... un live capté cette fois ci entièrement à l'Hammersmith Palais de Londres le 9 Novembre 1981 (dont 1 titre fut retenu pour Press The Eject). on y retrouve évidemment plusieurs morceaux en commun au live qui nous intéresse ici mais également d'autres qui auraient pu être sélectionnés à l'époque pour Press The Eject And Give Me The Tape, comme "The Passion Of Lovers", "In The Flat Field", "Silent Hedges" (un avant goût du futur Sky's Gone Out), "Terror Couple Kill Colonel", "Mask", "Hair Of The Dog" et "A God In An Alcove", soit 7 morceaux en plus du vinyl d'origine qui auraient pu former un double album et qui auraient dû faire partie des bonus de Press The Eject en version CD à la place des 6 derniers titres figurants ici car le son de ce concert est tout bonnement excellent !
Je pense même que l'achat de This Is For When est à préconiser en priorité puisque l'on y retrouve les 11 titres principaux de Press The Eject plus les 7 que j'ai mentionné plus avant.





BAUHAUS
MASK


Le 05 Mai 2018 par ARP2600

Neu! a une influence connue sur tout le mouvement post-punk/new wave. Si Bauhaus a pris un nom allemand, c'est pour plusieurs raisons, mais sans doute entre autres l'influence de certains groupes. Après tout, le milieu du krautrock était proche de Bowie et Eno. Enfin bref, il suffit de comparer "The man with X-Ray Eyes" avec "Lilac Angel", c'est pour moi une évidence.
Quant au prog, cela concerne les albums suivants. Il y a du Bowie et du Eno sur The Sky's gone out, bien sûr, mais aussi trop de ressemblances avec un wagon de groupes de prog pour que ce soit une coïncidence. Qu'ils l'aient reconnu ou non ne change rien... Avant de me dire que j'affabule, il serait peut-être bon d'étudier la question en détail comme je l'ai fait.





BAUHAUS
MASK


Le 04 Mai 2018 par LEO


Si j'avais pu avoir pas mal de réticences face à l'austère In The Flat Field aux compos brutes, arides et sans concessions mais aussi dans leur majorité bien difficiles à avaler, avec Mask BAUHAUS frappe un grand coup et met en plein dans le mille.
"Hair Of The Dog" démarre l'album en trombe sous un barrage de guitares tronçonneuse et une rythmique de plomb, tout en restant bien plus audible que la plupart des titres du 1er album ! bien joué.
"The Passion Of Lovers" change d'atmosphère avec ses parties de guitare en son clair et en acoustique et la voix mélodique de Peter Murphy ainsi que des choeurs aériens en arrière plan. on remarque pour la première fois l'apparition de synthés en fond. un sacré bon morceau mélodique et alerte !
"Of Lilies And Remains" est bien plus bizarre avec sa guitare crispante et répétitive et sa partie de basse un peu reggae-dub. David J débute le morceau avec un monologue tandis que le chant de Peter Murphy arrive à plus d'une minute. on y entend de nouveau du synthé mais cette fois-ci dans un style bruitage et presque comique. c'est plus une curiosité qu'autre chose et sans conteste, il s'agit du titre que j'aime le moins de tout l'album.
"Dancing" est un morceau qui balance bien avec la basse fretless ondulante de David J qui fait contrepoids avec le sax fou et la guitare éparse et crue de Daniel Ash. autre nouveauté, Kevin Haskins (frangin de David J) y utilise des syndrums (pads électroniques) de temps à autre pour donner un peu de variété à l'ensemble.
Le calme et lugubre "Hollow Hills" est bien plus atmosphérique avec le chant sombre de Peter Murphy, la basse spectrale de David J et l'effet un peu irréel rendu par l'E-Bow de Daniel Ash sur sa guitare. l'E-Bow (archet électronique) est une sorte d'électro-aimant fonctionnant avec une pile qui permet de faire vibrer les cordes de la guitare quand celui-ci est placé devant l'un des micros et Daniel Ash s'en servira de plus en plus dans la musique du groupe ainsi que pour ses futurs projets (Tones On Tail, Love & Rockets...). ce morceau de toute beauté était parfait pour refermer la première face de l'album à l'époque du vinyl.
C'est le funky et racé "Kick In The Eye" qui se chargeait d'ouvrir la seconde face avec une ligne de basse bien en avant et toujours aussi efficace (une constante sur cet album).
Le sax en roue libre de Daniel Ash refait une apparition sur l'enthousiasmant "In Fear Of Fear", morceau à la rythmique très ska !
Le tonifiant "Muscle In Plastic" a quand à lui un rythme très saccadé et hâché.
Contrairement à ARP2600 je ne pense absolument pas à NEU! quand j'écoute "The Man With The X-ray Eyes" mais plutôt à The Cure (quelque part entre celui du 1er album et Seventeen Seconds).
Enfin, "Mask" qui donne son nom à l'album est quand à lui beaucoup plus tendu et grandiloquent. son final avec ses arpèges de guitare acoustique donne un aperçu de ce vers quoi va tendre la musique du groupe sur ses deux prochains albums.
Mask est un très grand disque, divers dans ses influences mais uni dans son propos.
Pour finir et pour rebondir sur ce qu'a écrit ARP2600, je ne ressens pas du tout l'influence du krautrock et encore moins de trace du courant progressif (Genesis, Hammill avec ou sans VDGG) dans la musique de BAUHAUS !
Les principales influences de Daniel Ash, David J & Co. comme ils l'ont expliqué maintes fois en interviews sont effectivement le glam rock (Bowie période Ziggy, T-Rex, Roxy Music avec Eno, le Lou Reed de Transformer...), pour les 60's le Velvet Underground et les Stooges, et plus proche d'eux, les Sex Pistols, puis enfin le reggae et son dérivé le dub (genre que les membres du groupe écoutaient beaucoup à l'époque).





Kendrick LAMAR
DAMN


Le 04 Mai 2018 par POSITRON


Énorme déception. On est très loin du niveau de Good Kid Maad City ou To Pimp A Butterfly et même section 80 ou untilted unmastered me semblent plus personnels, plus riches, enfin meilleurs quoi.





MONTROSE
MONTROSE


Le 04 Mai 2018 par ALEX F


J'ai cru comprendre que ce disque avait été boudé à sa sortie, et je peux tout à fait voir pourquoi. Ce que je ne comprends pas, en revanche, c'est son statut d'album culte acquis au fil du temps. Certes, il y a là les prémices du son Van Halen, mais c'est un peu comme si vous aviez Van Halen sans Eddie, bref un truc franchement moyen. Je sais bien que Ronnie Montrose est un bon guitariste, mais il est loin d'Eddie quand même. De plus, le chant de Sammy Hagar sonne comme un pastiche de Roger Daltrey et de Robert Plant, pas très original en somme. Et pour finir, les compos sont quand même loin d'être intéressantes, et on a parfois la désagréable impression d'entendre 'Rock'n'Roll' de Led Zeppelin en moins bien et plusieurs fois d'affilée pour ne rien arranger. En résumé, ce disque n'est pas mauvais, mais il me paraît tout juste moyen. Je préfère la variété du disque 'Warner Bros presents', qui, sans être un chef d'oeuvre, loin de là, me paraît bien plus travaillé.





Kendrick LAMAR
DAMN


Le 04 Mai 2018 par KID66


Je suis d'accord pour dire que Kendrick LAMAR est le plus grand rappeur de la scène actelle, et qu'il est expert dans l'art de "faire aimer ce qu'on aurait du mal à apprécier chez un autre". Je suis personnellement un immense fan du monsieur, alors que le hip hop n'est pas vraiment ma came.

Néanmoins cher Gladius, je te trouve un peu gentil avec ce 3e LP du rappeur. Il s'agit d'un bon album, très homogène et assurément inspiré. J'apprécie à peu près tous les titres, même ceux qui m'avaient initialement fait faire la grimace. Cependant je trouve qu'avec Damn Kendrick se fond plus dans la masse qu'auparavant : on est loin de la puissance de Good Kid et surtout de l'ambition de To Pimp A Butterfly. Les intrus sont efficaces mais moins audacieux, l'album est plus simple et linéaire que ses prédécesseurs, moins riche.

Rien de catastrophique toutefois, mais je pense que les choses n'iront malheureusement pas en s'arrangeant. Le showbiz va t-il aussi bouffer Kendrick LAMAR ?





MIDNIGHT OIL
RED SAILS IN THE SUNSET


Le 04 Mai 2018 par LE VIEUNE

Un autre grand disque de Midnight Oil. Red Sails In The Sunset débute avec "When The Generals Talk" qui est aussi dansant qu'un hit de Depeche Mode auquel ce premier morceau fait penser, avec une rythmique à la sonorité plastifiée qui est due à l'utilisation d'une batterie électronique par Rob Hirst. Puis les Oils lâchent les chevaux sur "Best Of Both Worlds", en faisant tinter des sons de cuivre aux côtés de guitares bien énervées. "Sleep" et "Minutes To Midnight" sont superbes dans leurs parures atmosphériques acoustiques mais restant dans une tendance vive, entre folk et rock. On a droit à deux longs titres progressifs et poignants que sont "Jimmy Sharman's Boxers" et "Shipyards Of New Zealand". Concernant le second, il vous cueille dans son dernier mouvement dans une ligne de violons avant qu'une écume agressive d'un son guitare ouvre un panorama plus martial. Je ne m'étalerai pas sur le reste qui est du tout bon également. De l'anti-militarisme. De l'anti-nucléaire à l'entente du terrible et alarmant "Harrisburg". Du didjeridoo dans "Helps Me Helps You" ... Etc...





Bernie BONVOISIN
COULEUR PASSION


Le 04 Mai 2018 par FRED


Passer d'Antisocial à la variété, il fallait oser !
Que ne ferait-on pas pour l'argent !
Crédibilité zéro.






TRUST
DANS LE MêME SANG


Le 02 Mai 2018 par BAKER

Pas de note car écouté deux petites fois, mais a l'air assez sympa. Un peu long, mais très très correct.

En revanche est-ce qu'il n'y a que moi qui pense irrésistiblement à "You can leave your hat on" sur le refrain de "'Demande à ton père" ?





MAGNUM
VIGILANTE


Le 02 Mai 2018 par LE MOUNGEPEDOUN


Excellent disque de Rock FM, que des bons titres, jamais eu de problème avec, impeccable.





Buck DHARMA
FLAT OUT


Le 02 Mai 2018 par LEO


Bien d'accord avec MARCO STIVELL !
Ce Flat Out est un excellent 1er album, malheureusement resté sans suite.
Dommage, car cet ensemble de morceaux hétéroclites mais formant un tout cohérent est bien plus intéressant et réussi que la majorité des titres du très moyen The Revölution by Night et du faiblard Club Ninja qui suivront en 83 et 85 (sans parler de l'incongru Imaginos en 88 qui n'a de Blue Öyster Cult que le nom.
Je pense même que cet album solo de Buck Dharma aurait pu être la digne suite du superbe Fire of Unknown Origin si les autres membres du B.Ö.C. y avaient participé et Martin Birch produit la chose ! ...d'ailleurs, le morceau "Burnin' for You" était destiné au départ pour Flat Out et l'énergique "Born to Rock" aurait inversement très bien pu finir sur Fire of Unknown Origin (le titre sera même joué en concert par le groupe de temps à autre).
Les chouettes "That Summer Night" et "All Tied Up" sont typiques des compos du guitariste avec leurs belles parties de 6 cordes autant tranchantes qu'aériennes et le chant cool et nonchalant de Buck Dharma.
Les magnifiques ballades "Cold Wind" et "Your Loving Heart" transpirent le rock Californien, quelque part entre Eagles et les Beach Boys.
"Five Thirty-Five" revient à quelque chose d'un peu plus rock mais reste ultra mélodique comme à l'accoutumée et les solos de guitare sont toujours aussi fluides et exécutés avec goût.
Le jazzy et bref "Wind Weather And Storm" aux arrangements judicieux balance bien !
Le sympathique instrumental "Anwar's Theme" se rapproche un peu de ce que pouvait faire Jeff Beck sur l'album There & Back.
L'album se conclut par "Come Softly to Me" la douce reprise des Fleetwoods (groupe vocal doo-wop de la fin des 50's/début des 60's).
Voilà ! Après ça, Donald Buck Dharma Roeser ne refera plus parler de lui qu'au travers du Blue Öyster Cult (mis à part les 3 volumes d'archives parus dans les années 2000 en editions limitées sur le label Dharma Products qui permettront d'entendre quelques démos et autres curiosités en solo que le guitariste a exhumé de ses archives personnelles et dont le titre "Gamera is Missing" cité par MARCO STIVELL fait partie).











PONTY / DI MEOLA / CLARKE
LIVE AT MONTREUX 1994 - THE RITE OF STRINGS (DVD)


Le 01 Mai 2018 par BAKER

Je n'avais pas eu le temps de le chroniquer à l'époque, mais Al DiMeola a également sorti un mini-DVD de deux courtes apparitions à Montreux (86 et 93), toutes deux en configuration "guitare seule" je crois (86 en tous cas sûr) et c'est également hallucinant de précision et de beauté.





BAUHAUS
IN THE FLAT FIELD


Le 01 Mai 2018 par ARP2600

Je tiens à préciser un point. Certes, je n'aime guère leur premier single "Bela Lugosi's dead", qu'il soit fondateur du gothique ou pas. Par contre, les suivants, par exemple "Dark entries" sont effectivement autant si pas plus intéressants que ce qu'on trouve sur In the flat field (d'ailleurs, si j'ai mis la note maximale à Mask et pas à celui-ci, ce n'est pas par hasard).





OPETH
PALE COMMUNION


Le 01 Mai 2018 par ERGO PROXY


En suivant les conseils de lecteurs de Nime via le questionnaire, je me suis procuré ce skeud car je voulais découvrir la période post "Watershed". Pas immédiatement accessible, cet album n'en est pas moins immense de par ses compos mais aussi de par sa durée de vie. Perso je commence par la deuxième track, ce qui en fait un album riche et varié. Et puis la voix claire de Mikael est géniale. Excellent moment de Prog.





The GOSPELAIRES OF DAYTON
MOVING UP THE EARLY YEARS 1956-1965


Le 01 Mai 2018 par GUILLAUME THE ELDER

Depuis 2012 et 2013, on connait tous nos "amis" croyants cathos. Ça débute par de légères plaintes, des "dérangements" de l'esprit avec en sous-entendus une propagande religieuse... et ça se termine par des slogans du genre : "Après les légumes OGM, les enfants avec un seul parent" ou encore des insultes racistes et peaux de banane jetées à une Ministre ultramarine (Angers, 25 octobre 2013).

La Vie est ainsi faite, un subtil équilibre entre bienveillance et mansuétude d'un côté, et un "show no mercy" attitude de l'autre. Up The Irons.






PONTY / DI MEOLA / CLARKE
LIVE AT MONTREUX 1994 - THE RITE OF STRINGS (DVD)


Le 01 Mai 2018 par BALDRICK


DVD acheté sur les conseils de Baker après sa chronique enthousiaste sur Dvdreamscape ! Ce DVD est magique, exceptionnel, fabuleux, extraordinaire... et devrait être remboursé par la Sécu !!!

Note réelle : ∞/5





PONTY / DI MEOLA / CLARKE
LIVE AT MONTREUX 1994 - THE RITE OF STRINGS (DVD)


Le 01 Mai 2018 par BAKER

Oui, c'est un peu le côté sombre de ce DVD : il donne envie d'en voir plus ! Et il est vrai que savoir que des bijoux existent, et ont été "pro-shot" sans pour autant sortir en vente, c'est parfois très frustrant.

Comme dirait mon meilleur ami : "ça a été joué ? et ça a été filmé ? MAIS PRENEZ MON ARGENT !!!" ^^





BAUHAUS
IN THE FLAT FIELD


Le 01 Mai 2018 par LEO


Encore le cas d'un album 'culte' qui ne m'a jamais accroché, et pourtant je l'ai testé de nombreuses fois mais j'ai fini par laisser tomber pour cause de migraines répétées à son écoute et il m'a fallu attendre la sortie de Mask pour revoir mon jugement sur le cas BAUHAUS.
In The Flat Field me fait à peu près le même effet que les 2 premiers albums de Siouxsie & The Banshees avec leur Post-punk bruyant, bordélique et aride.
Mis à part le morceau-titre (dont je préfère toutefois le rendu sur le live Press The Eject....), l'agité "Dive", l'étonnant "Small Talk Stinks" et l'angoissé "Stigmata Martyr", ce 1er 33t de BAUHAUS me laisse pas mal sur ma faim. je trouve que la formule n'est pas encore au point et que les compos bien trop répétitives tournent à vide malgré quelques bonnes idées par instant (comme sur "Double Dare" dont l'arrangement est intéressant mais pas la compo en elle-même).
Contrairement à ARP2600, je préfère les premiers singles du groupe à la majorité des titres proposés ici (excepté les 4 mentionnés plus avant).
Personnellement en gardant les 4 titres cités ci-dessus et en remplaçant "Double Dare", "A God In An Alcove", "The Spy In The Cab", "St. Vitus Dance" et "Nerves" par "Bela Lugosi's Dead", "Dark Entries", "Terror Couple Kill Colonel" plus la reprise de T.Rex "Telegram Sam" parue en simple fin '80 et sa face B "Rosegarden Funeral Of Sores" (cover de John Cale), l'album m'aurait parfaitement convenu dans cette configuration. hélas, ce n'est pas le cas ici présent, mais la suite sera plus probante.....







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