Le 19 Avril 2018 par YANN

Bonsoir

Je suis plutôt habitué à la version "NIGHTFALL IN METAL EARTH" de ce site, mais je m'aperçois que vous chroniquez cet album, alors que vos "voisins / cousins" ne l'ont pas encore fait.

A titre préliminaire
- j'adore TRUST ...
- j'adore TRUST toutes périodes confondues ....
- à leurs débuts, je n'étais même pas né, mais j'ai été bien éduqué, et j'ai intensivement découvert ce groupe ...
- je l'ai ai vus en live, toutes formations confondues, avec des résultats très hétéroclites selon l'humeur de Bernie...
- ce qui m'a obligé à poster un commentaire sur le site Facebook du groupe quant à la forme et au contenu du commentaire de Bernie sur cet album, figurant sur la page "intérieure cartonnée" de l'album ; commentaire bourré de fautes et d'approximations (pour être gentil) ... (commentaire qui n'a reçu aucun "like" ou commentaire, je ne comprends pas...)

Bref,
1/ j'aime bien ce nouvel album, mais pas BEAUCOUP ;
2/ il y a des titres excellents (ironiquement placés en début d'album) ;
3/ Mike Fraser est bon, mais bon..., a-t-il jeté une seule oreille sur l'album ? Selon les titres, on dirait 3 albums enregistrés par des groupes différents, à des dates et à des endroits différents ; tellement le son est... différent !!! (le groupe a-t-il jamais vraiment rencontré Mike Fraser ? Car Bernie, par exemple, a toujours dit être un ami proche de Bon Scott, alors qu'en fait ils se connaissaient à peine, des amis de beuverie tout au plus - dixit l'épais bouquin "AC/DC TOUR DE FRANCE") ;
4/ mais après plusieurs écoutes, je m’aperçois que ça fait quand même pas mal de fois que j'écoute cet album.... Je l'aime bien ! Toutefois en me faisant une play-list personnalisée... ;
5/ Mais ce qui me "révolte le plus" (toutes proportions gardées), ce sont certaines facilitées... (ben tiens, je remarque que mon correcteur d’orthographe ne me signale pas "facilitées", alors que la faute est du niveau école primaire, mais bon...)
Du genre :
a) le 1er titre " Ni Dieu Ni Maître" serait un pied de nez à leur album maudit ?! La décision du groupe doit être très récente car lors de leur tournée (dont leur passage au Hellfest 2017, sur laquelle on me voit au 1er rang sur leur DVD - fan oblige), ce morceau s'intitulait "L'ARCHANGE"... C'est d'ailleurs le nom donné à ce titre sur l'album live sorti il y a peu, reprenant justement la performance du HELLFEST...
b) Le tout 1er titre, encore, actuellement "Ni Dieu Ni Maître" donc, ne ressemble-t-il pas FURIEUSEMENT à leur titre "QUE SERAIS-JE SANS MOI" de leur précédent effort "13 A TABLE" ? Je vous invite à lire les paroles de chacun des 2 titres, des phrases entières sont reprises. Et même la chanson en elle-même, vous donnez "un coup de boost" à la 1ère pour obtenir la 2nde.
Et dire que c'est le meilleur titre de leur album.... (pour moi perso hein ?!)

Bref, j'aime TRUST, mais c'est pas facile !!!!!

:-(

Le 19 Avril 2018 par LE OLI'

La chronique est super hard, un 4 étoiles serait beaucoup plus juste !
Des classiques Rock si riches mélodiquement comme Too Many People, Smile Away ou 3 Legs sont très bien ficelés. L'injustice du timming aussi, des chef-d'oeuvres comme The Back Seat of my Car ou Uncle Albert auraient été des références sous l'ère Beatles, ils n'auraient pas dépareillé sur Abbey Road ou le White Album.
Un des meilleurs album du grand Macca !

Le 19 Avril 2018 par VIEUX CON

"Blue Sky Mining" avait la lourde tâche de succéder à "Diesel And Dust" et a pâti de la comparaison (peut-être encore aujourd'hui certainement) avec ce prédécesseur. Album faiblard ? Non, je ne dirais plus tellement ça aujourd'hui. Dès l'entame avec "Blue Sky Mine", il y a comme un vent nouveau et frais qui souffle aux oreilles. Quelque chose de finalement agréable, de plus pop et de plus mélodieux. J'aime bien "Forgotten Years" mais, dans le souvenir de samedis après-midi dans le bistrot du village avec des potes entre les parties de babyfoot et de flipper, dans les dernières années où les juke-box étaient encore (un peu) présents, on se passait plus souvent la face B, "You May Not Be Released" dont parle John MacCartney dans le commentaire précédent. Ce morceau dégageait quelque chose de puissant. Dans la liste des chansons que j'apprécie, j'ai le plaisir d'ajouter "Mountains Of Burma", "King Of The Mountain" et "Shakers And Movers". Quant à l'émouvant "One Country", belle ode pop folk à l'Australie, c'est bien simple, il me donne envie de revoir les films avec le sympathique Crocodile Dundee.

Le 18 Avril 2018 par NONO

On oublie à quel point cet album a dominé la période 1988/1989. Ce fut le "The Wall", le "Brothers in arms", le "Breakfast in America" de ces deux années. Bon, peut-être pas le "Thriller" non plus, mais en écoutant la galette, je ne peux pas m'empêcher de revenir mentalement dans cette période, tant ce fut la bande-son de ces années ! Comme toi, "Vieux Con" (sic), j'avoue aussi préférer "Put down that weapon" à "Beds are burning" même si curieusement la première disparût rapidement dans les oubliettes contrairement à la seconde. "The dead heart" aussi n'a pas fait de vieux os, malheureusement. Véritable matraquage radiophonique fin-1988, ce titre n'a pas duré bien longtemps hélas. Enfin, ce magnifique et noble album dénigre allègrement tous ceux qui qualifient automatiquement (et bêtement) les années 80 comme des années "tout-synthé-pourri".

Le 18 Avril 2018 par VIEUX CON

Sans aucun doute l'autre chef d'oeuvre de la discographie de la bande à Garrett. Un disque contre les forces politiques et militaires, surtout venant des U.S.A. - "U.S. Forces" (..."give the nod ...") - mais le reste des forces occidentales n'est pas épargné, à écouter "Short Memory" et le bilan historique sur des autres peuplades colonisées que le texte du morceau veut faire sous-entendre. Un disque contre le nucléaire, quelle que soit la puissance d'où il provient, qu'il vienne des Etats-Unis en évoquant l'incident civil dans "Harrisburg" dans l'album qui suivra, où d'ailleurs comme de la France et ses essais sous-marins dans l'atoll de Mururoa, que les Oils auront tôt fait à ce sujet de nous invectiver en pleine gueule après l'affaire du Rainbow Warrior. Mais ici, c'est avec le planant et tendu "Maralinga" et ce qu'ont laissé les essais britanniques dans une zone où des retombées radioactives auraient atteint des populations aborigènes, à moins de mille bornes de la ville d'Adelaïde dans le milieu du vingtième siècle. Autre morceau imparable, "Power & The Passion", hit de plus de cinq minutes et donc qui se déguste dans sa pleine version de l'album, la version single ayant été raccourcie, à l'époque des 45 tours, pour une question de format à supposer, comme pour le vidéo clip qui en sortit : ce sont encore les Yankees qui en prennent pour leur matricule par le biais de leur dominance militaire, voire marchande sur le sol australien. Incontestablement, "10,9,8,7,6,5,4,3,2,1" demeure sans doute l'album le plus percutant des Oils, assez rentre-dedans, un lanceur d'alerte sur l'Australie et aussi sur le monde sur notre folie de course à la puissance, que suivra l'album aussi sombre qu'est "Red Sails In The Sunset", ou encore le ep "Species Deceases" paru en 1985. Si les sujets abordés ne suggèrent pas vraiment la gaieté, le côté positif de ce disque est qu'il arrive à faire danser, même nerveusement ou rageusement, dans la plupart des dix titres dont il est composé.

Le 17 Avril 2018 par VIEUX CON

Comment ne peut-on pas s'émouvoir en regardant la photographie centrale du livret montrant sept enfants aborigènes sur un rivage, pendant que passe "The Dead Heart" avec son violoncelle et son trombone dans son final ? Comme de voir, aussi, jouer les Oils devant l'immense Uluru dans le clip, qui me fit donc découvrir le monolithe rouge placé au cœur de l'Australie ? "Diesel And Dust" fait partie des disques qui m'ont laissé une marque indélébile dans l'âme. Certes "Beds Are Burning", maintes fois diffusé, maintes fois entendu, restera le titre emblématique qui fit connaître le groupe australien dans nos contrées, mais j'aime bien mieux "Put Down That Weapon" où Peter Garrett, dans la vidéo, nous figeait de son regard d'acier menaçant, retenant mal sa colère. J'aime bien mieux "Dreamworld" et "Sell My Soul", ce dernier faisant ressentir de grands espaces comme "Bullroarer". Ce sixième album de Midnight Oil avait (et peut-être encore aujourd'hui si je creuse les couches du temps passé) donné envie de partir découvrir cette Australie lointaine dans ma fougueuse adolescence. Trente ans plus tard, le rêve peut être encore possible à réaliser ...

Le 17 Avril 2018 par SAPERLIPOPETTE!!!

Tu as parfaitement raison CLANSMAN 57,les mecs qui écoutent du reggae sont plutot ouverts,honnétes,sympas et pas de place pour la frime chez eux et ça, ça me plait.
Et tu as encore raison en disant que cette musique doit être prescrite pour tout le monde ,car moi quand j'en écoute,j'ai l'impression d'étre le mec le plus cool du monde...Hahaha!!! Et je suis ouvert à plein de styles de musique differents.

PEACE AND LOVE!!!!!!!

Le 17 Avril 2018 par CLANSMAN57

Curieusement, je n'ai aucun disque de reggae dans ma collection.
Je dis curieusement, car je n'ai absolument rien contre ce style, je dois même confesser que cette musique ne me déplait pas du tout.

Pour preuve, les concerts reggae dans mon petit village, il fut un temps.
La petite salle communale, qui aura vu passer en son sein Kemar (le chanteur de No One Is Innocent), Patrick Rondat en master class, Dolly, Les Lutins Bleus, Merzhin et même Poppa Chubby, servait de temps à autre de lieu de rencontre pour les amateurs de reggae... ambiance trèèès zen, avec la petite cigarette magique qui circulait dans la salle, même entre personnes qui ne se connaissaient pas.
De plus, ces musiciens m'étaient vraiment sympathiques, on pouvait discuter en leur compagnie après le concert.
Zéro haine contenue dans ces gens vraiment gentils.

J'en garde de bons souvenirs, contrairement à certains concerts Rock, voire Metal, durant lesquels l'alcool coulait à flots, résultant sur des fins de soirée nourries au n'importe quoi, genre "je vais te casser la gueule parce que t'aimes pas le groupe que j'aime.Et pis j'ai super beaucoup bu, alors je suis invincible".
Bon, c'était pas récurrent non plus, fort heureusement...
Durant les concerts de Lofofora , Treponem Pal, Mass Hysteria ou encore Matmatah (tous dans la grande salle par contre), ça s'était plus ou moins bien passé si je me souviens bien, à titre d'exemples.
J'en suis moins sûr concernant ceux de Pleymo, Enhancer, Zombie Eaters et autres groupes du genre...
Aston Villa c'était cool aussi à ce qui parait, mais je n'en garde plus aucun souvenir... je servais ce soir là et je fêtais mes 16 ans par la même occasion...
je me marre tout seul là, je n'en dirais pas plus.
La comparaison entre ces deux ambiances très différentes est rigolote toutefois.

Bref, pour en revenir à Bob Marley, mes parents possédaient cette cassette et je me gênais pas pour l'introduire dans mon baladeur de temps à autre.
Oui, cette compilation est parfaite et je ne vais pas m'en plaindre, ces chansons sont toutes historiques.
Rien que pour ce sentiment d'apaisement qu'elles procurent, cette rondelle devrait être prescrite pour tout le monde.

Le 16 Avril 2018 par VIEUX CON

Deuxième album des Oils. Un disque de rock couillu ! "Cold Cold Change" nous cueille avec ses guitares nourries aux flammes. "Back On The Borderline" fait le même effet, ainsi que "Is It Now" en clôture. Jetez une oreille attentive sur la fin de "Profiteers" : ne remarquez-vous pas une similitude de tempo mélodique proche de "Short Memory" dans l'album de 1982, "10,9,8,7,6,5,4,3,2,1" ? Enfin bref, ce "Head Injuries" colle une patate d'enfer, il transpire comme sur ce terrible "Stand In Line", il rage à coup d'uppercuts et de riffs. Il plane aussi, sur ce "Naked Flame"...

Le 16 Avril 2018 par NONO

Coldplay est pour moi l'emblème du groupe qui ne prend absolument AUCUN risque. Entre tiède-chaud et tiède-froid. Et bien trop formaté "néo-Beatles" à mon goût (ce qui était une mode entre début / fin dés années 2000). J'aime peut-être 4 ou 5 titres dans toute leur carrière (dont la plupart figurent sur "Rush of blood"), mais c'est absolument tout; le restant de leurs albums sonnant comme la répétition en 8 versions des tubes qui y figurent.

Le 16 Avril 2018 par VIEUX CON

Comme les titres que sont "Speed Of Light" et "Talk" ont contribué à faire leur bande son d'un été merdique pour cause de déprime sentimentale, je n'avais donc pas intérêt à écouter tout un album probablement prompt à faire entraîner dans une lente descente encore plus dépressive. Ces deux chansons sont dangereuses quand on traverse une mauvaise passe, car elles entrent dans la tête pour difficilement s'en déloger. Coldplay a ce détestable talent d'infliger une torture émotionnelle qui englue, tel une fourmi dans de la résine, avec sa mélasse horriblement sucrée au son des claviers. Une horreur attrayante devant laquelle il faut résister.

Le 16 Avril 2018 par 50 NUANCES DE FRAIS

Et bien c'est avec plaisir que je te renvoie le merci cher collègue (je suis chroniqueur à temps très partiel sur FP - Heart of Steele) car en l’occurrence c'est grâce à ta chronique que j'ai découvert ce disque. C'est vrai que The Fly est énorme. Et ça ne m'étonne pas du tout que ton amie métalleuse aime ce genre de disque car je suis dans le même cas!!! Sarah, en plus d'être assez jolie aurait pu faire du metal sympho et elle y excellerait pour sûr. Peut être enterrerait elle la concurrence...

Le 16 Avril 2018 par THIERRY RAOULT

Très bon album, excellente surprise. Comme tous les fans, je n'aurai jamais imaginé Trust sortir un album avec une telle pêche près de 40 ans après leur premier opus.
La guitare est omniprésente. Il y a des riffs, des solos, du gros son, tout ce qu'aiment les amateurs de Trust.
Les chœurs féminins sont très agréables et apportent de la jeunesse et du fun dans les titres.
Je mets de côté 1 étoile car j'accroche peu sur les textes.
Bravo Trust! Merci pour ce 9ème album!!!

Le 16 Avril 2018 par CLANSMAN57

Coldplay se met à une musique plus colorée, la mélancolie des chapitres précédents se veut moins présente.
Au moins, ils se renouvèlent.
Cependant, renouveau ne veut pas toujours dire réussite.

"Viva La Vida" est celui qui me "plait" le moins.

Le 16 Avril 2018 par CLANSMAN57

"A Rush Of Blood To The Head" me semble bien plus consistant que celui-ci.
Au moins, il s'écoute sans qu'on puisse dire qu'une chanson soit mauvaise.
Ici, le concept est de glisser quelques mauvaises pistes parmi d'autres qui passent pas trop mal.

Le 16 Avril 2018 par CLANSMAN57

Un premier album pas trop mal, le suivant sera cependant plus réussi.
Comme mentionné dans mon comm pour ce dernier, ça fonctionne un certain temps et à la longue, ça m'ennuie.

Il y a bien pire cependant.

Le 16 Avril 2018 par CLANSMAN57

Je ne sais pas si c'est le pire album du groupe, il faudrait pour cela que je les écoute tous, mais je partage l'incompréhension de Vivi au sujet du succès de cet album.
J'irais même plus loin encore, le succès du groupe tout court me laisse dubitatif.
"Black Market Music" ne m'enchante pas beaucoup plus que cet opus.
J'aime bien quelques chansons, ma préférée du groupe étant "Every You Every Me", mais rien ne me fait jubiler.
Muse me procure la même sensation de Rock un peu "overrated".

Bref, on ne peut pas tout aimer de toute façon.

Le 16 Avril 2018 par MARCO STIVELL

Une autre personne qui reconnaît les qualités de ce disque incroyable, génial !
Parmi mes amies, l'une d'entre elles adore les chanteuses de variété et celles qui font du metal symphonique. Depuis qu'elle a eu cet album dans les oreilles, elle n'en démord plus, c'est son favori et elle est fan de Sarah !
Cela m'a donné envie de le remettre du coup, et fort. Rien que le premier morceau ("The Fly"), avec sa montée vocale et le sax baryton à la fin qui nage dans les boucles électroniques, aaah !
Merci, merci beaucoup. :)

Le 15 Avril 2018 par MR TINKERTRAIN

Marrant ça, personne ne cite OSI, groupe metal prog/atmo, de ce génial musicien dans les coms. En tout cas, la référence à Supertramp sur les quelques notes de piano me donnent envie de découvrir cet album.

Le 15 Avril 2018 par 50 NUANCES DE FRAIS

Mon fils de 2 ans et demi a bafouillé "c'est la reine de la Pop". Sur le moment, je ne savais pas si c'était une question ou pas...Maintenant si je sais, sur cet album en tout cas. Car si on enlève le duo infâme avec Tom Jones et l'autre duo avec Andrea Boccelli (très beau mais pas ma tasse de thé), et bien on a un disque chanté par une voix très Liv Kristine qui peut vous envoyer des envolées magnifiques sur une Pop hyper classe... A découvrir c'est sûr!