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Steve HACKETT
VOYAGE OF THE ACOLYTE


Le 12 Janvier 2020 par APSA


C'est le seul album de Steve Hackett que je connaisse (et possède), donc ça limite grandement mon analyse.
Tout ce que je peux dire, c'est que j'adore l'esprit nostalgique, tourné vers le passé, qui émane de bon nombre de titres.
Je ne me lasse jamais des 2 "Hand of the priestess", c'est pour moi de la musique de qualité.
Ce que je préfère avant tout dans ce disque, c'est "The hermit". Le jeu de guitare est magique, on croyait avoir tout fait avec cet instrument, eh bien non apparemment. Le pont central vient à point poser une touche positive, comme un sursaut de bonheur, avant le retour à la tristesse profonde.
Comme dit dans la chronique, le timbre de voix est également d'un grand intérêt, et colle très bien à l'ambiance musicale générale.

Ca ne m'empêche pas d'apprécier également des titres comme "Star of Sirius" et "Shadow of the hierophant", dont le long final est mythique.

Bien entendu, je n'aime pas tout sur cet album, mais il est extrêmement rare que j'aime tout dans un album. Néanmoins, ce que j'apprécie ici est d'une intensité telle que je n'ai jusqu'ici jamais regretté d'avoir fait l'acquisition de ce disque.





The SHAGGS
PHILOSOPHY OF THE WORLD


Le 12 Janvier 2020 par SNAKEPIT

Et bien, plus de 50 ans après sa sortie, cet album continue de faire parler de lui, alors qu'il ne s'est jamais vendu, ni sur le moment, ni sur la durée. Et quelque chose me dit que dans 30 ans, on se souviendra plus des SHAGGS que des groupes de Nü-Metal comme KORN, LIMP BIZKIT, LINKIN PARK, SLIPKNOT, EVANESCENCE, héhéhé…

Bon, après avoir écouté ce disque, je serais incapable de citer un seul titre marquant. J'ai l'impression que toutes les chansons se ressemblent plus ou moins. Le pire album de l'Histoire ? Non, je n'irai quand même pas jusque-là. Rien que dans les mouvements Nü-Metal et Rap-Metal de la fin des 90's, il y a eu largement plus détestable, plus insupportable. Au moins, ces filles ne se prenaient pas la tête, ne faisaient pas du prosélytisme et on trouve chez elle une vraie naïveté. En ce sens, je trouve des groupes comme KORN et RAGE AGAINST THE MACHINE bien pires que les SHAGGS, d'autant qu'ils n'ont absolument pas l'excuse de l'âge, de la naïveté, en plus de se prendre hyper au sérieux et d'être medias-friendly.





The BEATLES
BEATLES FOR SALE


Le 12 Janvier 2020 par APSA

Je pense que c'est l'album qui amorce un réel changement tant lyrique que musical, mais le changement est encore timide.
On remarque que l'amour, s'il est toujours le sujet principal, n'est plus considéré sous ses aspects les plus positifs. On s'achemine tout doucement vers les "We can work it out" et autre "Run for your life".

Musicalement, on innove quelque peu : utilisation de la 12-cordes sur pratiquement chaque titre, sonorités country (y compris dans "I'm a loser"), batterie façon Tamla-Motown dans "What you're doing".

Je pense que les scarabées, toujours curieux d'apprendre sur le plan musical, ont profité de leur tournée aux USA pour élargir leur vision de ce qu'il s'y faisait, et qui n'était pas encore distribué chez eux.
D'où ce nouveau son folk/country.

En définitive, ce disque fait partie de ma collection perso des Beatles, qui se compose de :
- For sale
- Rubber soul
- Revolver
- le double blanc
- Abbey road

Pour moi il vaut 3 étoiles et demie, ce qui n'est pas trop mal pour un début de carrière !





The BEATLES
ABBEY ROAD


Le 12 Janvier 2020 par APSA


A part "Maxwell's silver hammer" et "Octopuss's garden", j'écoute tout sur cet album, et ce que j'entends, c'est de la musique de haute qualité. On ne trouve pas un chef d'oeuvre à chaque chanson, mais il n'y a pas de morceau faible sur la totalité de la face B.

Des chefs d'oeuvre, par contre, il y en a deux selon moi, et ils sont signés Harrison.
"Here comes the sun", ça met l'été dans mon coeur. L'hymne de toute période de canicule, ou tout simplement du retour des beaux jours. L'hymne du solstice d'été, par exemple, qui est également la fête de la musique, et donc des mélomanes que nous sommes.

Techniquement, les Beatles sont ici à leur apogée, en tant que groupe. Ils n'aiment pas forcément ce qu'on leur demande de faire, mais Dieu qu'ils le font bien !
Qui, à l'écoute des premiers albums, aurait pu imaginer Ringo faire un solo de batterie comme celui de "The end" ? Sans parler du trio de guitares sur ce même morceau.
"Apothéose" est le mot qui convient pour qualifier cet ultime opus des frères scarabées.

S'ils avaient mis "Don't let me down" et "Old brown shoe" à la place de "Maxwell's" et "Octopuss's", on aurait eu un album parfait, qui aurait mérité 6 étoiles.





The BEATLES
LET IT BE


Le 12 Janvier 2020 par APSA

Excellent résumé du contexte par Dantes !

Les scarabées, après le double blanc, voulaient retourner aux sources de leur musique, le rock pur et dur.
Parfois, à trop vouloir bien faire, on n'atteint pas le résultat escompté.
Car ici, ce qui marche le mieux, ce sont les chansons non-rock (on dira "pop"), telles que "Let it be" et "Across the universe". "The long and winding road" également.

En fait, de la bonne rock-music, ils n'avaient jamais cessé d'en faire, si ce n'est leur année sabbatique en 1967.
C'est pas grave. C'est les Beatles. "You are forgiven !", comme dirait Pete Townshend.





The BEATLES
THE BEATLES


Le 12 Janvier 2020 par APSA

Débarrassés de leurs costumes de magiciens, les scarabées nous reviennent en force, avec une frénésie d'inspiration qui leur impose d'enregistrer leur premier (et unique) double album.
Il y a de tout ici, c'est une véritable caverne d'Ali Baba.

Ils font ici des merveilles, dans des morceaux qu'on qualifiera de "pop".
Mais pour ma part, c'est en tant que rockers qu'ils m'impressionnent tout particulièrement dans cet album.
"Back in the USSR ... Everybody's got something to hide ... Birthday ... Savoy truffle ... Revolution (le vrai, qui n'est pas dans l'album mais aurait du y être) ... le bluesy Yer blues"
Ce qui m'a tué (et me tue encore, j'en suis toujours pas revenu depuis 35 ans), c'est surtout "Helter skelter".
Ca sonne sombre, très sombre, sadique, pervers, et c'est pas George Manson qui dira le contraire.
J'en reviens pas que ce soit Mc Cartney qui ait pondu ça.

Des dieux, il n'y a pas d'autre explication plausible ...





The BEATLES
MAGICAL MYSTERY TOUR


Le 12 Janvier 2020 par APSA

Moins sophistiqué que Sgt Pepper, mais avec la même finalité : retranscrire l'état d'esprit qui prévalait dans le milieu artistique de l'époque, dans le Swinging London comme dans le Haight-Ashbury.
Ca planait sec ! Ca volait haut !

Mais par rapport à d'autres groupes, notamment californiens, il règne ici comme un sentiment de "les autres le font, alors nous aussi on doit le faire".
Les groupes californiens auxquels je me réfère écrivaient des morceaux de musique (folk, rock, blues, country), et y incorporaient des pincées de psychédélisme.
Alors qu'ici, on dirait que le mot d'ordre est de faire du psychédélisme à tout prix, sans vraiment se soucier du socle musical de base.
Le résultat est donc unique et inclassable. On peut aimer à la folie comme on peut être définitivement rebuté.

Avec les Beatles, on n'est pas forcément rebuté de façon définitive car il est possible à chaque instant qu'on puisse réellement apprécier tel ou tel morceau qu'on croit ne pas aimer, même si ça ne durera pas longtemps.
C'est ça, le pouvoir du talent.





The BEATLES
SGT. PEPPER'S LONELY HEARTS CLUB BAND


Le 12 Janvier 2020 par APSA

Sgt Pepper et Magical mistery tour font tous les deux partie de la période "flower power", "kitsch", des Beatles.
Partant de là, on aime ou on n'aime pas. Il n'en demeure pas moins que quoi qu'ils fissent, nos sympathiques scarabées, quand ils étaient encore en famille, nous pondaient toujours des bijoux.

Pour ma part, trop d'instruments divers sur ces morceaux à mon goût. A choisir, pour faire dans le psyché, je préfère encore les effets électroniques.





The BEATLES
REVOLVER


Le 12 Janvier 2020 par APSA


Ce que j'apprécie dans Rubber soul et For sale, c'est le fait qu'ils s'écoutent bien dans l'ensemble, il y a une sorte d'esprit musical (avec, bien sûr, ça et là des petites fritures sur la ligne, mais rien de choquant).
Avec Revolver, en revanche, il y a du "j'adore !" et du "ouais, bof ..." (dans mon système de valeurs, il va sans dire).

Par exemple, "Got to get you into my life", "Yellow submarine", "Good day sunshine", "Eleanor Rigby", et "Love you to", très peu pour moi.
Alors que je suis fan de "Taxman", "And your bird can sing" (mes 2 préférées ex-aequo), "She said she said" et "I want to tell you".
Je suis fier pour les 2 guitaristes d'avoir opté pour la distorsion, et avec le résultat qu'on connaît, parce que personne avant eux ne l'avait fait (pas à ce niveau de saturation, à ma connaissance).
Bon Dieu, ces arpèges à la disto (et le solo) dans "And your bird can sing".
Cette basse du tonnerre de Dieu (encore Lui) dans "She said she said" et "Taxman".

N'oublions pas que les chansons ont commencé à être enregistrées dès février-mars, et qu'on peut estimer leur conception à l'hiver 65-66.
Il y avait déjà eu de la fuzz-bass sur "Think for yourself" dans l'album précédent.
Et le chef d'oeuvre interplanétaire que fut "Day tripper" dans l'intervalle. "Paperback writer" suivra, avec les mêmes ingrédients : distorsion et basse "funky".

Une façon de dire que quoi que j'aime dans cette période dorée des late-sixties, les Beatles restent les Dieux vivants, l'Alpha et l'Oméga. Le Nirvana étant atteint avec leur ultime cadeau, Abbey road.

Ils ont été brillants dans tous les styles qu'ils ont abordés, des surdoués de la production.
Et Revolver en est l'illustration (notamment en ce qui concerne les titres que j'ai personnellement mis en avant), il sonne résolument "1966" dans le sens où cette année est celle de l'utilisation de la disto par certains groupes (notamment britanniques), donc le point de départ de l'histoire du Hard Rock.
Merci John, merci George.

Bien que je n'aime qu'une moitié de l'album, cette moitié est tellement immense qu'il en résulte un 5* pour l'ensemble.





The BEATLES
RUBBER SOUL


Le 12 Janvier 2020 par APSA


Perso, je pense que Rubber Soul et Revolver sont indissociables. Musicalement, il y a des différences entre les deux. La distorsion est très présente sur Revolver, ainsi que les effets électroniques.
Mais les deux albums participent au même processus d'évolution musicale, comme l'auteur le dit dans la chronique.

On pourrait rétorquer qu'il y a du Revolver dans Sgt Pepper, et que finalement chaque album des Beatles n'est que le stade d'évolution qui suit l'album précédent.
Ca ressemblerait à la vérité.

Mais comme dit dans la chronique, il y a un caractère "nouveau" dans la chose. Help, à mes yeux, avait été un album raté (malgré de bonnes chansons), car sans âme.
For sale était le 1er album donnant des signes de maturité des Scarabées. Des airs folk, de la 12-cordes en veux-tu en voilà, un peu de soul (What you're doing), mais Help a brisé l'élan.

Et là, avec Rubber soul et Revolver d'affilée, on a ce fameux point de départ de l'évolution musicale et de l'identité Beatles à titre individuel (avant, l'identité était collective).

C'est après avoir entendu "Bells of rhymney" des Byrds (les deux groupes s'admiraient mutuellement), que Harrison a trouvé son riff pour "If I needed someone". Titre qui, au passage, est mon préféré de l'album.

Un très bon album, mais pour moi le meilleur est Abbey road. Le double blanc comporte des morceaux phénoménaux également.





GENESIS
SELLING ENGLAND BY THE POUND


Le 12 Janvier 2020 par NONO


@APSA : Commentaire très juste ! Pour moi, c'est clair, il y a un avant et un après "Selling", concernant Genesis.
"Selling" est le premier album de Genesis vraiment équilibré, leur premier chef d'oeuvre réel selon moi.
J'ai du mal avec les albums précédents. "Nursery cryme" et "Foxtrot" ont beau être souvent plébiscités, je trouve qu'ils sonnent encore très "amateur" et manquent sérieusement de structure.





GENESIS
SELLING ENGLAND BY THE POUND


Le 11 Janvier 2020 par APSA


J'ai bien aimé Nursery crime, mais Selling England reste pour moi THE album de référence de Genesis.
Il n'y a que "More fool me" et "Cinema show" que je n'écoute pas, sur ce disque.

J'ai découvert le groupe avec "I know what I like", et je continue d'apprécier ce titre, mais le chef d'oeuvre absolu est bien entendu "Firth of fifth".
Comme beaucoup, j'ai également plus qu'apprécié le petit bijou instrumental qu'est "After the ordeal", d'ailleurs je l'écoute aussi régulièrement que Firth of fifth, de façon individuelle.

Sur le plan musical, Tony Banks m'a vraiment impressionné. Difficile de tarir d'éloges à son égard.
Quant à Steve Hackett, déjà intéressant au sein de Genesis, c'est avec son 1er album solo qu'il m'a émerveillé.
Mais ceci est une autre histoire ...

L'album vaut 5 étoiles. La perfection n'existe pas, sous les Cieux ! (perfection = 7 étoiles, alors ne soyons pas radins avec les étoiles)
Un must-have pour tout mélomane sincère et reconnu comme tel.





RUSH
CLOCKWORK ANGELS


Le 11 Janvier 2020 par MAGNU


C'était un grand Tom ;)





CYMANDE
CYMANDE


Le 11 Janvier 2020 par BUKO


Le genre d'album qu'on peut écouter une centaine de fois sans se lasser. Très bon du début à la fin. Impossible de ne pas bouger au minimum la tête sur cette musique! Pour ma part je ne le trouve pas du tout long (mais c'est subjectif) et les compositions sont assez variées. Un must de l'afro/funk.





The SHAGGS
PHILOSOPHY OF THE WORLD


Le 11 Janvier 2020 par CLANSMAN57

C'est assez insupportable à la première écoute, mais à la seconde, il y a... quelque chose.
Je pense qu'elles débutaient tout juste et avaient encore plein de choses à apprendre.
En résulte un disque très atypique.
Le principal dans un groupe, c'est de s'amuser et on dirait que c'est le cas ici.

C'est pas possible de noter.






The WHO
TOMMY


Le 11 Janvier 2020 par APSA

En réécoutant l'album, je viens de m'apercevoir que j'ai oublié de mentionner l'excellent "Christmas" qui sonne un peu plus comme ils avaient l'habitude de sonner avant cet album.
C'est d'ailleurs le 1er morceau auquel j'ai adhéré en découvrant l'album.

J'aurais pu évoquer également "Amazing journey" qui ne paye pas de mine sur les 1ères mesures, il faut attendre les 1ers roulements de batterie pour que le morceau commence vraiment. Mais surtout, le refrain est d'une grande beauté, trop court hélas.
La version du film est un grand moment, tant au niveau musical que visuel.

Quant à "Sparks", je l'ai tout simplement confondu avec "Underture". En fait, "Sparks" s'écoute très bien, sans indigestion. C'est de la bonne musique, tout simplement, sans autre ambition que de faire voyager l'auditeur à travers les méandres de ses pensées les plus diverses.

Bref, un excellent disque pour ma part, et un film qui m'a marqué encore plus que je ne le pensais.
Ici, plus que jamais, Pete Townshend est GRAND. Autant au micro qu'à la guitare. Le talent de Keith Moon, ainsi que de John Entwhistle, est ici évidence.
Quant à Roger Daltrey, c'est surtout dans le film qu'il est mis à l'honneur. Tommy, c'est lui. Et réciproquement.





RUSH
CLOCKWORK ANGELS


Le 11 Janvier 2020 par BAKER

Hommages à Neil Peart qui vient de nous quitter.

The Garden sera donc par défaut la dernière chanson de Rush, et c'est une des plus belles fins d'un groupe de rock.





David BOWIE
BLACKSTAR


Le 10 Janvier 2020 par RICHARD


Quatre ans ce jour que David Jones est parti. Bowie à l'image de ce chef d'œuvre demeure quant à lui un compagnon de route et de vie à jamais présent.





Les RITA MITSOUKO
LA FEMME TROMBONE


Le 10 Janvier 2020 par NONO

@ Le Baron... et dans ce même titre de Boby Lapointe : ne surtout pas oublier la strophe : "Encore faut-il que la tronc pète" !





Les RITA MITSOUKO
COOL FRéNéSIE


Le 10 Janvier 2020 par FRANçOIS

A la revoyure (ou plutôt aux réécoutes), des titres comme "Cool Frénésie", "Alors c'est quoi" ou, sur d'autres albums, "Y'a d'la haine", "Les amants" ou même "Ding Ding Dong" sont pas mal, leur charme finit par agir. Mais je préfère quand même leurs années 80. Un best-of est sorti en 2019, assez semblable, à quelques titres près, au précédent ("Bestov" en 2001). Absence encore une fois de "Tongue Dance", un titre de l'album "Marc et Robert" pourtant sorti en single. Dommage, j'essaierai de le choper en single.







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