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The DAMNED
STRAWBERRIES


Le 02 Décembre 2017 par BAAZBAAZ


Allons allons : Strawberries est l'un des sommets de la discographie des DAMNED et sans doute leur meilleur disque des 80s. Les outrances de l'indigeste Black Album sont mieux maitrisées et la créativité est canalisée dans une succession de fantastiques vignettes Pop, Punk et Psyché.

A vrai, dire, c'est l'album qui exprime le mieux l'essence du groupe, ses influences et ses ambitions. C'est LE son des DAMNED que l'on entend ici.

Sans compter que l'on tient là un exemple impressionnant de la capacité du mouvement Punk originel à se régénérer loin des copieurs et des imitateurs. En attendant le chef d'œuvre gothique de 1985...







ECHO AND THE BUNNYMEN
OCEAN RAIN


Le 01 Décembre 2017 par LEO


Ocean Rain est album bien plus chargé en mélodies que ne l'était Porcupine (qui pourtant rattrapait largement le coup du brumeux Heaven Up Here), cependant je n'ai jamais accroché à ce 4ème album d'ECHO & THE BUNNYMEN.
Passé le poppy "Silver" (bon morceau mais pas extraordinnaire), je décroche, ne trouvant aucun intérêt aux morceaux suivants, tous calqués sur le même moule d'une pop orchestrale mollassone et pas vraiment passionante (qu'il est loin le temps de Crocodiles, qui date pourtant d'à peine 4 ans en arrière !).
Même le sympathique "The Killing Moon" peine à me convaincre avec ses plus de 5mn au compteur. la musique du groupe est devenue bien sage et peu palpitante (plutôt même barbante en ce qui me concerne).
J'ai du mal à comprendre comment ce disque est devenu un 'classic' pour pas mal de gens, car au final tout ça sent un peu la naphtaline avec ses rengaines plan-plan.
J'ai même plus de sympathie pour l'album éponyme de 1987, qui est pourtant à mille lieux d'être cohérent et réussi (c'est dire à quel point Ocean Rain me rebute !!!).





GRATEFUL DEAD
LONG STRANGE TRIP


Le 01 Décembre 2017 par JASPER LEE POP

Une bien belle chronique qui me donne furieusement envie de visionner le documentaire. Quelqu'un aurait-il la bonté de me communiquer son code d'accès?


Par Forces Parallèles

Ruse de sioux : Amazon propose à ses utilisateurs un mois d'essai gratuit pour son programme Prime, qui comprend entre autre l'accès à la plateforme vidéo. Ne pas oublier de se désabonner avant la fin du mois pour ne pas payer l'abonnement. Puis de se rendre chez les disquaires du coin coiffé d'une couronne d'épines en signe de repentance.

Saskatchewan





NIRVANA
NEVERMIND


Le 30 Novembre 2017 par RIKKIT

@Tonio: Rassure toi, le plagiat est parfaitement assumé par Cobain.





CREAM
LIVE CREAM


Le 30 Novembre 2017 par JD


Bonjour Tom-Tom,

Merci pour votre chronique bien écrite et dont je suis assez d'accord avec le contenu sauf pour la conclusion.

En fait, ce live que vous réclamez existe déjà, et est disponible depuis vingt ans dans les CD 3 et 4 du superbe coffret Those Were the Days qui regroupe à peu de chose près l'intégralité du catalogue des Cream. On regrettera juste l'absence de la version Live Cream de N.S.U au profit d'un bonus "découvert" pour la publication du coffret, version moins bonne à mon avis.

Maintenant, la question qui demeure, y a-t-il encore dans les archives des enregistrements en concert de Cream à se mettre sous la dent? Pas sûr dans la mesure où les archives Atlantic ont brûlé au milieu des 70's. Il reste néanoins un sublime concert qui mériterait une publication officielle - mais enregisré sur un enregistreur 2 pistes seulement - c'est le Live au Grande Ballroom de Détroit en octobre 1967. A mon avis, le meilleur concert enregistré de Cream et l'un des plus grands live de l'histoire du rock... mais la qualité sonore est plus faible que les enregistrements officiels de mars et octobre 1968.





ECHO AND THE BUNNYMEN
PORCUPINE


Le 30 Novembre 2017 par LEO


S'il est loin d'être parfait, Porcupine rattrape largement le coup de mou de Heaven Up Here, que j'ai toujours considéré comme un album peu palpitant à cause de compos trop linéaires et peu mémorables.
On peut dire que ce 3ème album d'ECHO AND THE BUNNYMEN se situe musicalement entre l'énergie & les aspirations mélodiques de Crocodiles et le côté aventureux & vaporeux de l'album précédent.
La gestation de l'album fut particulièrement longue entre sa conception et sa réalisation (étalée sur toute l'année '82) et sa parution (début '83), cependant le résultat est plutôt satisfaisant même si toutes les compos ne sont pas du même niveau. je pense en particulier au morceau-titre inutilement grandiloquent qui m'évoque déjà l'album suivant ou à "Gods Will Be Gods" qui retombe dans les travers de l'album précédent, à savoir: une mélodie inexistante sur une musique répétitive s'étalant sur plus de 5mn.
Pour le reste, on frôle le sans faute. le magnifique "Higher Hell" étant le point culminant à mon humble avis!
Contrairement à SEIJITSU, je ne trouve pas la musique du quatuor plus difficile d'accès qu'auparavant (pour moi c'est même l'inverse! Heaven Up Here m'apparaissant comme leur album le plus abscons jusque là).
J'ai toujours préféré Crocodiles à tout autre 33t d'ECHO AND THE BUNNYMEN, néanmoins Porcupine est l'autre album que j'apprécie dans la pléthorique mais aussi très inégale discographie du groupe.





CREED
HUMAN CLAY


Le 28 Novembre 2017 par ARGILE HUMAINE


C'est un album génial en effet. Mais ça se passe comment par rapport à Full Circle ? C'est bien ? Pas bien ? L'abus de cortisone de Scott Stapp a t-il eu des effets indésirables sur sa voix de gros badass grungeux ?





NIRVANA
NEVERMIND


Le 28 Novembre 2017 par JOVIAL

C'est une histoire assez connue pourtant ! Et Killing Joke a aussi été accusé d'avoir piqué le riff sur "Life Goes On" des Damned ... Ces quelques notes sont tellement évidentes à enchaîner qu'il n'est pas étonnant qu'en trifouillant un peu son manche on aboutisse aux mêmes résultats ;)





NIRVANA
NEVERMIND


Le 27 Novembre 2017 par TONIO

En écoutant hier une radio indépendante j'ai découvert le morceau "Eighties" de KILLING JOKE, groupe que je ne connais quasiment que de nom ! La vache, mais ce riff, c'est "Come As You Are" en poil plus complexe ! Je suis tombé sur le cul...
Si la musique ne NIRVANA ne me procure plus de frissons depuis bien longtemps et que la réputation de "guitar hero" de Cobain m'insupporte au plus au point, le personnage reste par contre fascinant, dur de prétendre le contraire ! J'ignorais par contre qu'il était capable de piller la chanson d'un autre...





Phil COLLINS
...BUT SERIOUSLY


Le 27 Novembre 2017 par NONO


Beaucoup de gens mettent dans le même panier cet album et "No jacket required". C'est vraiment dommage. "But Seriously" est infiniment meilleur que son prédécesseur. Plus organique, plus acoustique, plus "roots". Celui d'avant était bien trop synth-pop avec quelques très bons titres (I dont wanna know ou Long long way to go par exemple), mais aussi pas mal d'horreurs (Sussudio, beurk !!)





GODSPEED YOU ! BLACK EMPEROR
LIFT YR. SKINNY FIST LIKE ANTENNAS TO HEAVEN !


Le 27 Novembre 2017 par VIEUX CON


Un album immense de son temps. C'était dans les années 2000. Grandiose, émouvant entre les accalmies et les soulèvements. Du spleen cinématographique pré- ou post-apocalyptique. La bande son de nos utopies et de nos (dés)espoirs. Aujourd'hui, cette nostalgie d'une période encore récente mais plus trop paradoxalement passe assez mal. Et j'ai de la difficulté désormais à attiser ma curiosité de Constellation, que cela vienne de n'importe quel groupe signés sur le label. La mélancolie éthérée peut être belle mais à long terme, elle finit par peser sérieusement sur l'humeur par sa tendance devenue lassante. La contemplation des gris émois, ça va bien un moment ...





GOLDMAN JEAN-JACQUES
DEMODE


Le 27 Novembre 2017 par FRANCOIS


Cela faisait très longtemps que je n'avais pas écouté cet album. Il faut dire que pendant une longue période je n'assumais pas d'écouter JJG, faut dire que j'étais bien con. Je devais être en primaire quand j'ai entendu à la radio "Il suffira d'un signe". Je n'étais même pas un embryon quand l'album est sorti et quand j'ai entendu l'extrait en question Chansons pour les pieds était sorti depuis déjà 3/4 ans. Etant trop jeune pour comprendre les paroles, c'était surtout les notes qui tournaient en boucle et le riff de la chanson qui m'avait interpelé. C'était la première fois que je m'intéressais au son d'une guitare électrique. Une fois rentré chez mes parents en fouillant dans les étagère je trouve cet album, puis un autre avec une pochette en noir et blanc, un avec écrit Positif et puis l'album avec écrit En Public où il apparaît de dos devant un piano.

Pendant plusieurs mois, j'ai écouté ces albums en boucle (et sans rien comprendre au texte) et les titres les plus rock m'impressionnaient vraiment à l'époque et je trouvais aussi Goldman classe avec ses cheveux longs. Puis, au bout de quelques mois, j'ai vécu un gros tournant en tombant je ne sais plus trop comment sur 2 groupes avec des looks très impressionnants (je devais avoir 11 ans a peine). En effet, l'un avec un guitariste déguisé en écolier (ce qui à l'époque m'avait pas mal perturbé) et un autre où les quatre membres étaient maquillés et dont l'un crachait du sang sur scène. Mais ce furent vraiment les riffs de guitare, les mélodies, l'attitude et l'énergie qui ont fait que j'ai mis JJG de côté jusqu'à le trouver ridicule.

Plus les années passaient et plus ma passion pour le rock grandissait. Je découvrais plein de nouveaux groupes très connus ou pas du tout et je me posais plein de questions pour savoir comment j'avais fait pour m'intéresser à un truc pareil. Et puis nous voilà aujourd'hui, il a dû se passer dix ans entre le moment ou j'ai délaissé l'artiste et maintenant, devenu un beau jeune homme d'une vingtaine d'années toujours passionné par le rock. Bref, je me baladais alors entre les bacs d'un disquaire quand je suis tombé sur cet album et En Public, me remémorant les bons souvenirs de ce petit enfant tout fou, quand il entendait les riffs de "Minoritaire" ou "Encore un matin" et aussi des années ou je le méprisais et le trouvais nul, mais je décide de prendre les 2 albums sur un coup de tête. Je suis déjà nostalgique à cet âge, qu'est-ce que ce sera à 50 ans ! Je rentre chez moi et je prends l'album Démodé en premier et j'arrête de vous faire chier avec ma vie, passons à l'album.

L'album commence avec "A l'envers", une petite guitare acoustique puis une électrique, et vient le premier couplet et le refrain et c'est là que l'on sent que l'artiste doute de lui-même. Je me reconnais également dans cette chanson quand on se pose plein de questions et que l'on n'est pas assez bien aux yeux des autres.

"Sans un mot" me laisse indifférent (je préfère la version live avec le solo à la fin) tout comme "Brouillard" mais par contre "Pas l'indifférence" me pousse également à me poser plein de questions sur cette routine où l'on tombe inconsciemment sans se laisser surprendre par les choses de la vie. On comprend également que Goldman a cette même frayeur et ferait n'importe quoi pour ne pas tomber dans cette routine. Et puis là vient "Il suffira d'un signe", un titre qui n'a absolument pas pris une ride : cette montée en crescendo et ce couplet que Goldman répète plusieurs fois dans la chanson avec à chaque moment le riff qui s'accélère (toute proportion gardée, on ne parle pas de Speed Metal) font que ce titre devient un incontournable de l'album. On comprend pourquoi c'est celui-ci qui a été retenu pour devenir un single et ce fut une excellente idée.

Je ne vais pas décrire chanson après chanson mais juste maintenant pour finir vous parler du titre "Quelque chose de bizarre" et de "Le Rapt" qui pour moi sont 2 titres avec des ambiances très étranges, notamment du fait des scènes qui nous sont décrites par Jean-Jacques. Ils font partie de mes titres préférés de l'album et le terminent de la plus belle des manières.

Bref tout ça pour dire que oui la voix suraigüe de Goldman peut parfois être à la limite du supportable mais tout ça est compensé par des textes très bien écrits et des solos de guitare avec des phrases empruntées au blues et au rock. C'est ça qui a fait remonter la personne dans mon estime. Après plusieurs recherches plus approfondies et le visionnage d'un DVD souvenir de tournée je me rends compte que l'artiste tirait ses références de la même culture qui m'avait plus attiré et donc les mêmes références musicales venant de la culture anglo-saxonne. Alors oui Goldman n'est plus l'idole qu'il était pour moi il y a une dizaine d'années mais je pense que si je n'étais pas passé par Goldman je pense que je ne serais pas tombé sur Kiss et AC/DC et que je ne serais pas cette personne qui fait les foires aux disques et traîne sur internet pour découvrir de nouvelles choses. Ce disque a quand même une place très à part dans mon coeur, car faut dire que tout a commencé avec le single de cet album.


Par Forces Parallèles

Salut François,
on apprécie ton enthousiasme, mais tache de surveiller ton orthographe ou on ne pourra plus valider tes commentaires !
Bien à toi
Erwin





STONE TEMPLE PILOTS
PURPLE


Le 26 Novembre 2017 par SEIJITSU

@Thierry : il s'agit plutôt d'un gros 3/5 (même chose pour Core). Je préfère briser le suspense, je ne mettrai pas d'excellentes notes aux albums de Stone Temple Pilots même si je suis très attaché à ce groupe. Pourquoi ? Parce que s'ils possèdent de très grandes chansons, ils contiennent également tous du remplissage.

Quant aux accusations de faussaire du grunge, elles ne concernent que Core effectivement. Ce qui n'empêche pas ce disque d'être de qualité alors qu'il n'a absolument aucune originalité. Seulement, quand on a un grand chanteur et un songwriting impeccable, ça change énormément de choses.





STONE TEMPLE PILOTS
PURPLE


Le 26 Novembre 2017 par AZER

Le groupe affiche sur cet album un visage bien plus intéressant que sur leur effort précédent, en proposant des compositions plus personelles et travaillées. Le groupe varie les plaisirs et les influences, sans tomber dans l'écueil du plagiat intégral proposé sur le très dispensable Core. Très homogène, Purple est sans aucun doute le meilleur album des STONE TEMPLE PILOTS.





Phil COLLINS
...BUT SERIOUSLY


Le 26 Novembre 2017 par VIV


Superbe album, entre pépites et ballades "pop" le tout baignant dans un funk jazz "orchestré ". Mention spéciale aux morceau "saturation night & Sunday morning" où chaque musicien se fait plaisir. Comme à l'accoutumée avec Phil, tout est parfait, comme le choix des meilleurs bassistes studio du moment (et même, si vous le permettez de toute une génération) entre : Nathan East, Lealand Sklar, Pino Palladino. Ça groove propre. Pour mieux profiter de cette experience, faites vous plaisir avec le live "serious hits" où rien est à rejeter. En version DVD si possible pour mieux s'immerger dans cette belle oeuvre.





SIGUR ROS
ÁGæTIS BYRJUN


Le 26 Novembre 2017 par AZER


De loin le meilleur album de SIGUR ROS. Ágætis Byrjun est imparfait, immature et laisse transparaître de multiples influences, ce qui ne l'empêche pas d'être une superbe plongée au coeur du merveilleux monde de l'enfance. Une oeuvre flamboyante.





SIGUR ROS
( )


Le 26 Novembre 2017 par AZER


Un bien drôle d'album pour embrayer sur un album aussi réussi que pouvait l'être Ágætis Byrjun. () est un disque déroutant, très contemplatif et, il faut se l'avouer, assez paresseux.

Le chant de Jon se fait un peu plus clair, plus maitrisé; la production est limpide, cristalline. Là où Ágætis Byrjun se voulait très intimiste, () propose un post-rock épique et victorieux, principalement porté par de multiples montées en puissance, ce qui n'est pas sans conséquence sur les schémas de composition. () est incroyablement répétitif et ne parvient que trop rarement à atteindre l'emphase grandiloquente qu'il semble vouloir communiquer, là où Ágætis réussissait à créer une ambiance chaleureuse et crépusculaire au fil de ses morceaux, et ceux malgré un goût partagé pour les morceaux de dix minutes.

Un bon album, très largement dépassé par ses ambitions. Parfois magnifique et trop souvent ennuyeux.





Terence TRENT D'ARBY
INTRODUCING THE HARDLINE ACCORDING TO TTDA


Le 26 Novembre 2017 par VIV


Un album qui fleure bon la fin des 80's dans ses sonorités. Une perle de pop/soul grand public si je peux me permettre de le classer ainsi. En dehors des tubes bien connus, tout y est intéressant. Pour un premier album le travail est remarquable !





STONE TEMPLE PILOTS
PURPLE


Le 26 Novembre 2017 par THIERRY


A cause des accusations d'imitateurs/faussaires du grunge qui leur colle à la peau depuis toujours, je suis passé complètement à côté de ce groupe à l'époque, c'est seulement que depuis quelques mois que je les découvre véritablement. J'en veux un peu à tous ces détracteurs pour cette raison, surtout que cette accusation était surtout valable pour "core" leur premier album.
Avec "Purple" STP change de peau et sort selon moi un des meilleur album des 90's. Où ranger STP? Grunge, post-grunge, rock alternatif ou autre chose...Est-ce si important? surtout avec le recul.
"Purple" est donc un recueil d'excellentes compos rock variées, plus recherchées. Il est plus sage que "core",moins de spontanéité, moins de guitares rageuses et plus du tout d'emprunts gênants à d'autres groupes de leur génération. Alors ce qu'on perd en intensité on le gagne en qualité d'écriture pour un résultat tout aussi efficace si ce n'est plus.
Alors croyez moi, j'ai découvert "Purple" sur le tard et franchement ça le fait grave. Laissez tomber tous les préjugés sur STP, ils n'ont plus lieu d'être ici. Je suis un peu surpris par le petit 3/5 de SEIJITSU, ils auraient mérité une certaine réhabilitation, je pense...





STONE TEMPLE PILOTS
CORE


Le 25 Novembre 2017 par BAAZBAAZ


Un album d'une efficacité stupéfiante...

Ce n'est pourtant qu'un produit dérivé, un dommage collatéral de l'explosion dévastatrice de groupes bien plus géniaux (PEARL JAM en tête)... Pourtant c'est l'album qui me rend le plus nostalgique de la période Grunge. Je ne saurais dire pourquoi. Peut-être parce qu'il condense parfaitement le son de cette époque et que la voix incroyable de Weiland est une sorte d'archétype de ces temps révolus.

Je soutiens bien sûr pleinement la thèse selon laquelle STP n'était qu'un groupe d'imitateurs. Mais finalement, cela ne lui a-t-il pas permis aussi de prétendre à l'universalité et de devenir la quintessence de ce qu'il copiait si cyniquement ? Si la première moitié des années 90 est effectivement celle du dernier grand feu du Rock, alors STP en est peut-être bizarrement l'une des incarnations les plus parfaites - à la fois grandiose et pathétique.








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