Le 06 Mars 2010 par NEMO

De bons souvenirs avec ce disque ! Qualité des compositions et originalité acoustique (pour l'époque, c'était très "roots"). 5/5.

Le 06 Mars 2010 par NEMO

Un vernis celtique. Comme disait Alan Stivell: "hep brezhoneg, Breizh ebet": sans langue bretonne, pas de Bretagne. Des comptines "celtiques" ne se chantent pas en langue française: Cet album n'est qu'une carte postale pour touristes jacobins en mal de sensations pas trop fortes: de beaux paysages, d'accord, mais faut pas déconner, "on va quand même pas s'emmerder avec ce langage de sauvages en 2010!". A ranger entre Théodore Botrel et la collection complète des "Becassine" pour bourges de Puteaux (92). Vous savez? la petite paysanne bretonne SANS BOUCHE! Moi, je me remets "Les ramoneurs de menhirs" et je laisse cette bouse à Yann Artus Bertrand. Fuck You! Pour utiliser le langage international!

Le 06 Mars 2010 par SHIRIU

Grand amateur de Jazz et de Metal, de Prog et d'electro devant l'Eternel, je dois dire que j'ai été rapidement conquis par cette musique sans prétention et ce timbre de voix si... sexy j'ai envie de dire. Un disque frais et easy listening.

Le 05 Mars 2010 par TERRY

Magnifique, surtout la face A (6 premiers titres) ! "State trooper" sous influence Suicide, "Atlantic City" qui est mon préféré ici... Moins fan des derniers titres, un peu (trop ?) optimistes...

Le 03 Mars 2010 par TERRY

Excellent album ! Et pourtant, je ne suis vraiment pas fanatique des Stray Cats...

Le 02 Mars 2010 par TERRY

J'adore Cabrel, mais "Fragile" est probablement, avec "Hors-Saison", l'album de lui que j'aime le moins. Il y à quand même "La dame de Haute-Savoie" et "L'encre de tes yeux", autrement dit, deux immenses classiques cabreliens, et il y à aussi "De l'autre côté de toi" qui est pas mal (bref, le début de l'album), mais dans l'ensemble, je trouve ce disque moins bon que les précédents...et surtout, que les 5 suivants !
Sa trop courte durée (idem que pour le précédent, cependant), m'a toujours semblée un autre frein : c'est un album un peu fainéant, pour moi, ce "Fragile". Mais Cabrel trouve sa route !

Le 02 Mars 2010 par POWERBEAUF

Ne pas chroniquer les albums de GOLDMAN, d'OBISPO, de CLAUDE FRANCOIS, ou de SARDOU ? Et puis quoi encore ? Qu'on aime ou qu'on déteste ces artistes, qui peut nier qu'ils font partie intégrante du patrimoine de la chanson francophone (pour ne pas dire de la culture populaire francophone)? Franchement, il y a quelque chose qui m'échappe dans l'existence-même de ce débat typiquement franco-français.

Pour en revenir à l'album, je pense qu'il constitue un départ honorable dans la carrière solo de GOLDMAN. On sent qu'on affaire à un musicien plutôt inspiré et à la voix originale, mais parfois insupportable. En clair, c'est le genre de LP sympathique qui fait qu'on jettera une oreille sur son successeur. Toutefois, je reconnais que je réécoute rarement ce disque, car il est loin de valoir ce que GOLDMAN a réalisé par la suite.

3 étoiles bien méritées.

Le 02 Mars 2010 par MONSIEUR P.

Découvert récemment, cet album regroupe tout se que j'aime de la musique des années 60-70; des albums souvent courts, mais avec un son inimitable, et des compos de qualité.

Le 02 Mars 2010 par MONSIEUR P.

J'ai découvert cette merveille récemment, j' avais souvent lu ici et là que Neil Young était précurseur du grunge et bien avec cette album j'ai été servi, c'est exactement ce que j'ai ressenti à son écoute (à mon avis, les petits gars de Pearl Jam ont du écouter ce disque en boucle).

Harvest transpire la solitude et le désespoir, le chant de Neil sent l'adolescence et c'est pourtant remarquablement bien interprété.
Bien que la guitare ne tienne pas forcement le haut du pavé dans les compos, les rifs sont absolument géniaux et ont un rôle important; simple, efficace, et franchement bien senti. Avec Harvest, Neil Young se met a la hauteur d'un Dylan, rien que ça.

Le 02 Mars 2010 par MONSIEUR P.

Le punk avant l' heure, ça se passe sur Raw Power. Un album sauvage au son dégueulasse, mais c' est tellement bon que ça serait un crime de s' en passer.

Le 02 Mars 2010 par MONSIEUR P.

La chronique est un peu sévère, ça reste tout de même de la bonne musique même si Ringo n' a plus grand-chose a dire. Y Not est un album qui ne surprend pas mais qui se laisse largement écouter et qui en substance n'a rien de franchement désagréable.

Le 01 Mars 2010 par ALBIRéO

J'ai mis un peu de temps à apprivoiser la bête. Elle est plus lisse, plus calibrée.

Et alors ?

En introduisant ces éléments considérés comme commerciaux, ils ont ouvert beaucoup d'horizons artistiques vraiment très intéressants.
Ce sont justement les morceaux qui s'inscrivent dans cette évolution que je préfère. En priorité "Bad". Jamais Bono n'a balancé un chant aussi exceptionnel sur une mélodie aussi merveilleuse ; le rock frappé d'antan ne le permettait pas.
Ensuite "Promenade" qui est l'archétype de la chanson "molle" sur laquelle beaucoup s'endorment car ils ne cherchent pas à aller au fond de la chose. Elle est magnifique... mélodie renversante, ambiance intimiste du plus bel effet.

L'esprit rock de U2 avec quelques belles compositions est toujours là.

Quelques compos plus faibles à mon goût ("4th of july" que je trouve inutile, "Indian Summer Sky" saoulante et "Elvis Presley And America" ennuyeuse au possible).

Cet album contient les premières évolutions de ce qui constituera le sommet de leur 2ème période The Joshua Tree. Il en est le petit frère pétri de qualités.

Le 01 Mars 2010 par ALBIRéO

Album grandiose. Seule chanson que je boude un peu "Bullet the blue sky" ; pour le reste, c'est à tomber !

Je ne suis pas du tout d'accord avec quelques arguments de la chronique :
- En "ramollisant" leur musique, U2 a gagné en maturité (là, je suis d'accord avec la chronique), mais aussi en intensité d'évocation émotionnelle et, à mon avis, la qualité d'inspiration s'en trouve renforcée. Et c'est un des morceaux les plus "mous" ("Running To Stand Still") que je trouve le plus merveilleux... quelle puissance évocatrice à travers cette mélodie géniale et instrumentation légère !!!
- Il est vrai que pas mal de groupes ont introduit du vide artistique en cherchant à plaire au plus grand nombre (aux US, en particulier) et ont alors signé leur arrêt de mort. Là, curieusement, c'est exactement l'inverse : en peaufinant, en rendant leur art accessible, il l'ont justement transcendé ! Le cas est assez rare pour être souligné et non déversé dans des lieux communs qui sont étrangers à ce disque.

Sinon, pour reste, c'est pas faux...

Le 01 Mars 2010 par BARBELé

Chroniquer Goldman sur FP ? Très bonne idée ! Un compositeur talentueux, aux influences musicales multiples et notamment (si je me souviens bien de certaines interview de l'époque) le hard rock et le rock FM. Je ne vois vraiment pas au nom de quel critère il n'aurait pas sa place ici.
Sans compter que quelqu'un d'aussi detesté par les critiques à ses débuts ne peut qu'être sympathique !

Quant à ce disque, bon... Même s'il n'est pas comparable aux usines à tubes que seront les albums suivants, il reste efficace.
Merci au chroniqueur, et vivement la suite.

Le 01 Mars 2010 par TERRY

Pas son meilleur. Le suivant sera un peu meilleur, mais en effet, il faudra attendre 6 ans pour son meilleur album studio !
Ceci étant, ce "Démodé" reste très sympathique !

Le 27 Février 2010 par ALBIRéO

Album contrasté. De pures merveilles ("Sirius", "Eye in the sky", "Mammagamma", "Old and wise") côtoient des titres plus quelconques.

Contrairement à la chronique, je trouve "Children Of The Moon" et "Step By Step" casses-pieds, dotés de mélodie fadasses, sans inspiration.

Et il y a le ventre mou plutôt bon ("Silence and I" certes un peu allongé artificiellement, "You're Gonna Get Your Fingers Burned" et Psychobabble").

On est loin de la constance magique d'un "Pyramid", mais j'aime bien cet album ; le dernier de leur période réussie.

Le 27 Février 2010 par ALBIRéO

Un album de rock progressif absolument sublime ! Des mélodies inoubliables, des compositions hors du commun, des arrangements toujours justes, une production vraiment exceptionnelle pour l'époque.

Je l'écoute souvent depuis sa sortie et c'est un vrai bonheur à chaque fois !

Avec "The turn of a friendly card", autre monument de pop, il surclasse l'ensemble de la discographie du groupe.

Incontournable !

Le 27 Février 2010 par ALBIRéO

Au risque de vous contredire, cher chroniqueur, cet album EST un événement dans le monde du rock. Le plus drôle est qu'en 2008, date de le chronique, ça faisait 25 ans que c'était le cas...

Album culte, incontournable, extrêmement inspiré. Une ou deux chansons un peu moins marquantes, mais que du bon, y compris "Break it up" qui est superbe !

Le 27 Février 2010 par FEELGOOD

Sorcerer ou la B.O. inspirée du remake du génial "Salaire de la peur" du surdoué Clouzot, réalisé par le non moins doué Friedkin (réalisateur fantasque de French Connection, L'Exorciste, Cruising et To Live And Die In L.A.).
Rarement musique se révéla aussi glauque et malsaine. Insidieux et lancinants, perfides et insinuants, les douze thèmes de ce Sorcerer s'immiscent, tels des sangsues affamées, dans les strates les plus vulnérables de notre malheureux encéphale et se délectent à l'idée de l'altérer en profondeur et sans vaseline...

Sorcerer ou un aller simple en direction du cauchemar ultime (encore plus terrifiant que le And The Ass Saw The Angel de Nick Cave, ce qui n'est pas rien...).

Entre le cauchemardesque Main Title, qui n'a rien du classique thème principal des traditionnelles musiques de films, l'obsédant et lancinant Search, le fabuleux Grind et l'extraordinaire Impressions Of Sorceror, l'auditeur aura bien du mal à se remettre de ce voyage au bout de nulle part...

Crépusculaires plages synthétiques agrémentées d'obsédantes lignes de basse, inquiétantes et génératrices d'une tension tragique et "lovecraftienne", auxquelles de vicieuses parties de guitare confèrent une portée encore plus dévastatrice, cette musique inouïe n'est assurément pas à mettre entre toutes les oreilles...

Le 27 Février 2010 par FRANCK

En total désaccord avec la Chronique, cet album est très bon et plein de charme.
C'est la prod qui est mauvaise ; un son de chiotte certes !
Quant à affirmer que c'est certainement le moins bon album, pardon le chroniqueur, il aurait peut-être fallu ôter les boules Quiès avant l'écoute ! Mais ça reste un avis perso.