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UFO
STRANGERS IN THE NIGHT


Le 20 Mars 2025 par FOUDROCK


Un extraordinaire live, rien d'autre à dire.
Ah ! si : j'adore sa pochette, malgré son goût un peu, disons, douteux. Mais cet assemblage de points colorés, j'aime assez, ça fait très "mural", et assez vivant et moderne, je trouve.





UFO
OBSESSION


Le 20 Mars 2025 par FOUDROCK


Ca baisse en petit peu en qualité pour ce dernier (pendant des années) album studio avec Schenker. Mais ça reste très bon. "One more for the rodeo", "Born to lose", "Lookin' out for N°1" sont excellentes.





UFO
LIGHTS OUT


Le 20 Mars 2025 par FOUDROCK


Encore un excellentissime album. Sans défaut ou presque ("Electric Phase" n'est pas aussi tuant que le reste). La reprise de Love est excellente. "Love to love", elle, est sublime.





UFO
NO HEAVY PETTING


Le 20 Mars 2025 par FOUDROCK


Mon préféré, rien que pour "Martian Landscape", ballade du claviériste Danny Peyronel (qui ne la chante pas, ceci dit) pour son pays, l'Argentine.
Mais en fait, j'adore tout ici. "Belladonna" aurait pu être chantée par les Scorpions.





UFO
FORCE IT


Le 20 Mars 2025 par FOUDROCK


Ultra efficace, mélodique et nerveux en même temps ("This Kid's"..."Out in the street"), un album au moins aussi bon que le précédent, si ce n'est meilleur z'encore. La pochette signée Hipgnosis (je savais que c'était d'eux avant de lire leur nom tellement leur style explose sur cette image) fera scandale, il paraît que le couple dont on a du mal à identifier le sexe de chaque personnage serait Genesis P. Orridge et Cosey Fanny Tutti de Throbbing Gristle...





UFO
PHENOMENON


Le 20 Mars 2025 par FOUDROCK


Sincèrement, je ne vois pas quoi dire de négatif sur cet album, le premier de la période Schenker (la meilleure, l'Âge d'Or). UFO trouve son style de hard-rock mélodique à la Scorpions, après deux albms (et un live) de hard-psyché loin d'être inintéressant, mais n'ayant pas passionné grand monde, hélas (ruez-vous sur "Flying", c'est excellent).
Note réelle 4.5/5. Je retire un demi-point car les suivants seront encore meilleurs, donc c'est pour laisser une marge.





David BOWIE
1. OUTSIDE - THE NATHAN ADLER DIARIES : A HYPER CYCLE


Le 20 Mars 2025 par FOUDROCK

Petit moment de douloureuse tristesse en lisant "pas grand chose à foutre de l'histoire" dans le précédent commentaire.
Pas étonnant que "Wishful beginnings", chanson terrifiante, glaçante, sur les méfaits du serial killer du concept, Minotaur, te laisse de marbre, Masterfan ! sans rancune tout de même





VAN HALEN
DIVER DOWN


Le 20 Mars 2025 par NONO


C'est exactement ça : c'est pas vraiment du Van Halen, mais le résultat est bon. Cet album c'est "qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse". Et cet album je l'aime vraiment bien au final.





DEEP PURPLE
= 1


Le 20 Mars 2025 par FOUDROCK


Il faudrait que je le réécoute, mais ma première impression est super bonne. Quelle pochette bien daubesque, en revanche...





DEEP PURPLE
TURNING TO CRIME


Le 20 Mars 2025 par FOUDROCK


Disque de reprises sympa enregistré durant le confinement, fallait bien s'occuper sans trop se prendre la tête. Grand Funk Railroad, Cream, Fleetwood Mac, Love, Dylan, Little Feat, Bob Seger, le Pourpre n'a pas forcément été chercher la facilité et la banalité, la setlist est intéressante.
Evidemment, rien ne vaut les originaux, comme les Guns eux-mêmes le disaient dans les notes de pochette de leur album de reprises.





DEEP PURPLE
WHOOSH!


Le 20 Mars 2025 par FOUDROCK


Ecouté deux ou trois fois. A chaque fois, je ne me souviens de rien de son contenu avant, et je n'en retiens rien ensuite. C'est dire.





DEEP PURPLE
INFINITE


Le 20 Mars 2025 par FOUDROCK


Surprise en posant le vinyle (double...et l'album ne dure pas 50 minutes ; j'aurais du piger, après coup) : c'est au format 45-tours ! et rien ne l'indique ! Bande de cons !
L'album ne mérite pas autant de luxe, car, sincèrement, ce n'est pas génial. Une belle baisse de qualité après un "Now What ?!" remarquable.





DEEP PURPLE
NOW WHAT ?!


Le 20 Mars 2025 par FOUDROCK


Premier album produit par Bob Ezrin, et le premier depuis le décès de Jon Lord auquel l'album est évidemment dédié. Une très belle réussite, je n'en dirai pas autant de l'artwork assez foutage de gueule, mais les chansons sont vraiment cool ("Hell to pay").





DEEP PURPLE
RAPTURE OF THE DEEP


Le 20 Mars 2025 par FOUDROCK


Comme "Bananas". Correct, mais sans plus.





DEEP PURPLE
BANANAS


Le 20 Mars 2025 par FOUDROCK


Je me souviens encore de mon sourire un peu narquois en voyant la pochette et le titre de cet album à sa sortie. J'avais trouvé ça un peu con, je le pense toujours.
Un album correct, mais sans plus, meilleur qu'"Abandon", mais ça aurait été compliqué de faire moins bien, en même temps.





DEEP PURPLE
ABANDON


Le 20 Mars 2025 par FOUDROCK


Un des albums du Pourpre les moins faciles à trouver en CD (trouver tout court, d'ailleurs) avec le suivant.
Faut admettre que ce n'est vraiment pas génial...





DEEP PURPLE
PURPENDICULAR


Le 20 Mars 2025 par FOUDROCK


Un album qu'il faudrait que je réécoute, parce que je n'en ai pas retenu immensément de choses au final, et ça fait un bail que je ne l'ai pas glissé dans ma chaîne hi-fi. Mais vu le nombre d'albums que j'ai à écouter et à réécouter, on va dire que ce n'est pas l'urgence. Dans mes souvenirs, c'était très bien, mais pas transcendant.





DEEP PURPLE
THE BATTLE RAGES ON


Le 20 Mars 2025 par FOUDROCK


Alors, il vaut quoi, cet ultime album du Pourpre avec Blackmore ?
La chanson-titre est une de mes préférées du groupe. Clairement.
Mais il n'y à pas qu'elle de réussie sur cet album au dragon (chouette pochette, bien que curieuse) : "Anya", "One man's meat", "Lick it up" (non, c'est pas du Kiss) ou "A twist in the tale" sont excellentes, et au final, cet album est une très belle surprise.





David BOWIE
1. OUTSIDE - THE NATHAN ADLER DIARIES : A HYPER CYCLE


Le 20 Mars 2025 par MASTERFAN


En 1995, j’étais à fond dans l’alternatif, rock indé, brit-pop, membre assumé de la team Bernard Lenoir. Epoque magnifique, mes années 60 à moi. Aussi voir revenir Bowie avec son pote Eno, ça signifiait le retour à l’ambient à plein nez, comme sur la B.O avortée de THE BUDDHA OF SUBURBIA l’année précédente, qui incluait le single éponyme (3) ainsi que « Stranger when we meet » (3,5), titres qui ne me bouleversaient pas plus que ça.

A l’inverse, ça signifiait aussi la probable disparition de la plupart des tics horrifiants qui pullulaient sur les derniers opus et donc un album probablement plus consistant que la bouse de 1993, WHITE TIE BLACK NOISE. La méfiance était de mise, idem pour le retour de Mike Garson et ses notes randomisées, parfois élevées au rang de génie, à hauteur que certains crient au génie lorsque des peintres balancent un seau de peinture sur un mur et disent 'Voilà, la toile est terminée'.

Pas grand-chose à foutre de l’histoire, de l’enquête, ma chaîne programmable me permettait en plus de passer les ‘Segue’ que je ne prendrai pas en compte (excepté l’extension « I’m with name » difficile à négliger). Si on considère que l’ouverture « Leon take us outside » n’est que l’intro de « Outside », ça fait donc 14 titres ici.

Le premier titre éponyme, inspiré d’un vieux titre de Local Heroes W9 (« Love is essential ») est une bonne surprise. Idem pour « The hearts filthy lesson » où ce motif de Reeves Gabrels vient s’incruster dans le cerveau sans qu’on l’arrive à en sortir, c’est un premier signe. Dommage qu’il faille se se taper une minute d’intro jazz insupportable de Mike Garson sur « A small plot of land » avant que Bowie ne reprenne l’affaire en main, car c’est sûrement une des ambiances les plus déjantées de l’album.

« Hallo spaceboy » est un compromis entre le côté ‘techno’ un peu pénible (lequel s’estompe heureusement plus ou moins en version live) et une puissance mélodique enfin retrouvée.
Complet changement d’ambiance avec le feutré « The motel » qui démarre doucement mais arrive à séduire en fin de parcours au fil des ré-écoutes. Les 6’50’’ réussies de « I have not been to Oxford town » nous rappellent qu’Eno a travaillé avec les Talking Heads. « No control », peut-être mon morceau préféré ici, est entêtant au possible.

« The voyeur of utter destruction », coincé entre deux ‘Segue’, est plutôt agréable et surtout, à l’instar de ‘Motel’, dispose d’un bon final. L’album aurait dû s’arrêter là car une grande partie de la suite reste à mon sens anecdotique. « I am with name » tout d’abord, puis l’inutile « Wishful beginnings » (facile à situer, c'est le morceau où un mec double-rote toutes les 5 secondes), et enfin ce « We prick you » qui me laisse de marbre.

Recrudescence d’intérêt en fin d’album avec « I’m deranged », cas typique d’une bonne idée - un peu une ambiance à la BLACKSTAR - gâchée par une insupportable rythmique. Ça passe un peu mieux sur « Thru’these archtects eyes » qui est pourtant loin d’être un chef d’oeuvre. Le déjà connu « Strangers when we meet » achève bizarrement ce curieux album.

Mon ressenti 2025 : TRIPPANT (5) : Néant. DELECTABLE (4,5) : Néant. SEDUISANT (4) : Leon takes us outside / Outside, Hallo spaceboy, I have not been to Oxford town, No control. PLAISANT (3,5) : The hearts filthy lesson, The motel, The voyeur of utter destruction, Strangers when we meet. INTERESSANT (3) : A small plot of land, I’m deranged, Thru’these archtects eyes. EMOTION LIMITEE (2,5) : I am with name. AUCUNE EMOTION (2) ; Wishfull beginnings, We prick you.  Bilan 3,25 et Top 5 à 3,90 : OUTSIDE cote pour moi 3,58 soit 14,32 /20.

Contrairement à ce qui précédait depuis une grosse dizaine d’années, OUTSIDE n’est pas un objet creux, surtout la première moitié où on trouve de fort bonnes choses. La seconde accentue le côté électro-indus auquel je suis peu sensible. Bowie retrouve au global quelques bonnes idées à défaut de véritable génie, ce qui est déjà pas mal.





DALIDA
GONDOLIER


Le 20 Mars 2025 par CLANSMAN57

Ah "Gondolier", plus romantique tu meurs.
Les choeurs masculins qui m'évoquent un groupe d'hommes totalement soumis à Dali me plait beaucoup. Venise comme si on y était. Avec Dali sur une gondole:)
"Histoire d'un amour" me colle toujours le frisson. On peut l'entendre dans le film "Gazon maudit". Irrésistible!
Deux joyaux de la Chanson Française.

T'as gagné Emma, j'en connais un qui va réécouter Dalida prochainement:D








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