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GHOST
SKELETà


Le 15 Mai 2025 par FINISHERFRANKY


Non STREETCLEANER tu n’es pas seul. Synthétiseur typique des années 1980, mélodies, voix/chœurs sur refrains suaves frappées au coin du hard FM de ces années-là ; les solos de guitares idem et ce n’est pas le contraste avec la rugosité du son de la guitare rythmique, assez décalé, qui va rattraper l’affaire à mes oreilles. Je comprends que ça puisse plaire comme plaisait, et j’en étais au milieu de tueries plus agressives, le hard FM il y a près de 40 ans. GHOST semble reprendre les codes du genre, ce qui apporte une fraicheur bien venue au milieu de tous ces groupes de death-metal qui me fatiguent avec leur noirceur de pacotille. Les quelques arrangements modernes bousculent, un peu seulement, un genre que je pensais figé et daté. Sur un titre posé et calme comme Guiding Lights, les chœurs me renvoient même vers des groupes FM seventie’s, genre STYX ou autre, avec une mièvrerie bien appuyée qui me fait serrer les dents. De Profundis Borealis, est bien ourlé et me plait bien mais dès le 6ème titre, niais, pas loin d’un ABBA du rock, je suis lassé. Globalement aucun refrain, solo, ne m’accroche. Et pour ne rien arranger, leur imagerie théâtrale religio-macabre farcie d’esbrouffe me fait pousser un profond soupir ; mais quelle idée, quel rapport avec leur musique?





Paul MCCARTNEY
RED ROSE SPEEDWAY (WINGS)


Le 15 Mai 2025 par FOUDROCK


Un excellent deuxième opus des Wings, malgré un medley final assez inégal et ne se justifiant pas trop (plusieurs morceaux bien plus réussis furent mis de côté à l'époque, voir le disque bonus de la plus récente réédition).
Mais sinon, c'est du très bon, voire de l'exceptionnel avec la face A.





ORELSAN
LE CHANT DES SIRèNES


Le 15 Mai 2025 par RICHARD


Belles lignes BLUEMASK concernant notre caennais local. C'est exactement ce que je ressens à l'écoute du Normand. Et effectivement, 'Suicide Social ' est un morceau d'une puissante noirceur qui détonne quelque peu dans sa discographie irrégulière.





ORELSAN
LE CHANT DES SIRèNES


Le 15 Mai 2025 par BLUEMASK


Orelsan a deux visages. Il y a le rappeur incisif, acerbe, à la provoc' facile et le bobo sensible, naïf, désarmant. Ce qui fait de ses disques des trucs un peu hybrides, auquel il est difficile d'accrocher à 100%, malgré son talent et sa sincérité manifeste.
Ici donc, à boire et à manger.
D'un côté, des morceaux brillants dans le rap game, tour à tour drôles ou sombres, souvent les deux, pleins de punchlines au cordeau. On peut citer 'Le chant des sirènes', 'elle viendra quand même', les tordants '1990' et '2010', brillants pastiches, ou 'Finir mal'. Et de l'autre des morceaux parfois un peu agaçants. Comme 'La terre est ronde', morceau pop variétoche aux paroles de cour de récré primetime, 'Mauvaise idée', 'Double vie' ou certains refrains tartes, ceux de 'Plus rien de m'étonne', pourtant brillantissime sur les couplets, ou de 'La morale'.
Tout cela ferait pencher vers du 3/5. Mais il y a 'Suicide Social'. Une violente montée en puissance, toute en tension difficilement contenue, aux punchlines misanthropes incroyablement incisives et musicalement prenante. Ce morceau me scotche à chaque fois et me laisse pantois. Avec ce seul morceau, Orelsan montre qu'il n'est pas le pantin qui réunit ado et mère de famille à la sortie du collège.





DALIDA
OLYMPIA 67


Le 15 Mai 2025 par CLANSMAN57

"Ciao Amore, Ciao" est assez Rock, je trouve son ambiance assez sombre.
Si on se réfère au film, Luigi Tenco, qui est l'auteur de cette chanson, était un musicien torturé.
Suicide ou pas, on ne sait toujours pas apparemment. Que de malheurs autour de Dalida... Combien d'amoureux enlevés par la mort? C'est assez dingue et sa fin tragique est presque logique... Elle était forte mine de rien pour avoir pu supporter autant de drames aussi longtemps, sans évoquer son fort désir d'enfanter voué à l'échec...
"Petit homme" me parait limite glauque avec son ambiance de cirque malsain, je ne sais pas si l'originale possède une telle ambiance, mais quel morceau!
Ces deux titres sont assez étonnants pour du Dalida, je les aime beaucoup.








GHOST
SKELETà


Le 15 Mai 2025 par STREETCLEANER


Cet album je l'ai écouté trois fois. Je me suis forcé un peu il faut dire. Il ne fait que confirmer que je n'accroche en rien à ce groupe, les refrains sont assez bateau (mais bien troussés pour être repris en chœur en concert, ceci explique peut-être cela) ; je passe sur le fait que c'est pas vraiment du metal et que oui c'est très FM, mais les étiquettes on s'en fout un peu ce n'est pas ça qui fait l'intérêt de la musique. Bref, je ne déteste pas cette musique qui me laisse plutôt dans un état d'indifférence car je la trouve tellement prévisible et sans originalité. Sinon "Peacefield" fait très PRETTY MAIDS je trouve. Je ne sais pas si d'autres sont dans le même cas, à savoir amateurs de metal mais trouvant que cette musique glisse totalement sur eux...





ALICE COOPER
CONSTRICTOR


Le 15 Mai 2025 par SWISSIDOL


Après quelques années d'errance, Alice revenait avec un album bien consistant. On peut certes chipoter au sujet de quelques sonorités ayant mal vieilli ou de quelques rares réminiscences de l'époque "Dada" ("Simple desobedience") mais, dans l'ensemble, cet album est réussi : "Teenage Frankenstein", "Life and death of the party", "American success story", "The world needs guts", etc. Vraie note : 3,5/5





CHICAGO
CHICAGO V


Le 15 Mai 2025 par ZORGLUB 2.0


Je trouve cet album très sympa, loin des lourdeurs des albums précédent, ici tout est direct et épuré, fini les longues suites jazz rock, (ou plutôt rock jazzy) ils nous on limite écœuré dans le Chicago III. Le seul défaut est qu'il est peut être du coup trop court.





Michael JACKSON
THRILLER


Le 15 Mai 2025 par NONO


@François : Je suis parfaitement d'accord sur le côté subjectif de la nostalgie, rendant tout meilleur que ça ne l'est... (voire même "culte" et pourquoi pas "iconique" : deux termes que l'on empresse de coller aux oeuvres dont on doute de la quallté intrinsèque mais qui sont "obligatoirement sacrées" car successful...).
Je me souviens avec mes autres camarades d'école primaire, en 1983 / 1984 on avait tous la K7 de "Thriller", et même étant gamins on adorait tous "Beat it", mais on conchiait pas mal le reste...





SHEILA
LE SIFFLET DES COPAINS


Le 15 Mai 2025 par SEB


En 1963 sortait ce 33 tours, symbole de la percée de cette artiste hors du commun (mais qui néanmoins ne contient pas ses premiers enregistrements studio). La genèse connue de cet album est encore une fois une histoire de rencontres, dont une déterminante : le fameux Claude Carrère. Il fût décrié, à raison, mais il aura eu un mérite celui de découvrir et de croire à Annie...

Après avoir arpenté différents festivals depuis plusieurs mois entre ses études et les marchés avec ses parents, Mademoiselle Chancel réussit à se produire au Golf Drouot à l'Été 62. Elle y chantait des reprises de succès du moment en compagnie des Guitares Brothers rencontrés quelques temps plus tôt. Claude Carrère, de passage au Golf, cherchait une chanteuse pour incarner "Sheila", du nom du succès de Lucky Blondo dont il venait de produire le single. Après une audition privée Claude la fit entrer en studio quelques jours plus tard pour enregistrer un premier essai de 4 titres sous le nom d'Anny Chancel. Quelques jours plus tard le contrat était signé, la fusée désormais nommée SHEILA était sur la rampe de lancement...

Cet album j'en connais chaque titre par coeur. Et pour cause ma mère aimait beaucoup Sheila et passait souvent son album. Pendant longtemps je ne pouvais plus l'écouter, l'indigestion m'aura gagné au fil de mon enfance je l'avoue. Aujourd'hui il tourne parfois, pour les souvenirs et son coté désuet. Difficile d'en dégager des chansons préférées, elles ont toutes leur charme de l'époque. Celle où j'accroche le moins ce serait "Ouki-Kouki", surtout l'intro "Moi je dis Ouki-koukiiiiiiiii... Dis-moi qu'est-ce que ça veut di'e" ! Je ne comprends toujours pas le pourquoi de cette voix masculine avec accent...

Un premier jet prometteur, symbole d'une ère révolue : l'insouciance, mais qui aura marqué toute une génération. Un 3 appétissant.





Gilles SERVAT
JE NE HURLERAI PAS AVEC LES LOUPS


Le 14 Mai 2025 par MADELEINE


Quel disque ! Je viens de le réécouter une fois de plus, toujours émerveillée. Quel baume pour l'âme, en ces temps de chaos mortifère, de retrouver la "stabilité" de la puissance créatrice de Gilles dans ses disques intemporels (au moins les quatorze premiers 33 tours) ! C'est sûr que "Je ne hurlerai pas avec les loups" a pris quelques rides mais seulement pour les noms évoqués car le propos profond reste plus que jamais d'actualité. Et ce saxo, orgasmique !

Sinon j'ai réfléchi à ma définition personnelle de la violence. C'est simple : c'est chaque fois qu'un être humain se permet de prendre le pouvoir sur un autre être humain. Que ce soit par une baffe (ou une arme), une manipulation (ou une croyance) ou une loi (ou un anneau). C'est pour ça qu'avec Gilles, je suis plus que jamais anarchiste et viscéralement contre toute hiérarchie entre les êtres humains. Et je suis fière de savoir enfin dire "non".

"Le Staline d'or est toujours debout."





Michael JACKSON
THRILLER


Le 14 Mai 2025 par FRANCOIS


"Iconique" (terme horripilant à force d'être employé) évidemment, "daté" (idem. Comme quasiment toute la musique des années 80) mais horrible, rétrospectivement. Oui, cela nous rend nostalgique, phénomène inévitable, c'est le lot de toutes les générations. Mais c'est justement lui, le père (ou le grand-père...) des errements actuels pointés du doigt en fin de chronique principale et Madonna (que je préfère, musicalement parlant) en serait la grand-mère. C'est par ces deux-là que tout a commencé (ou du moins a été amplifié), avec la prise de pouvoir définitive de l'image et du marketing sur la musique en elle-même. On passe de l'artisanat (même relatif) au supermarché et à "l'industrie". Pas étonnant que cela se soit passé lors des années Thatcher / Reagan.
Pour ce qui est du disque, je ne garde que le morceau-titre, en raison de son entêtant roulis mécanique (comme sur le "I feel love" de Donna Summer).





David BOWIE
HOURS


Le 14 Mai 2025 par RICHARD


Quelle surprise que ce disque pour quiconque suivait passionnément la carrière de l'Anglais ! Évidemment, avec Bowie, il faut naturellement s'attendre à tout et c'est son charme mais après l'explosion imaginative et émotionnelle transmise par le superbe et étouffant 'Outside' et dans une moindre mesure 'Earthling', cet album a de quoi vraiment déstabiliser. Je l'ai toujours ressenti comme une forme de retour au source. A sa sortie, je le trouvais extrêmement ennuyeux, plat et scolaire, comme si le Londonien voulait revenir en effet à sa Pop racée des années 70, la flamme créatrice en moins, voire pourquoi pas en berne. Le quart de siècle a cette fois-ci joué en sa faveur et j'ai appris à aimer un peu plus ce côté soyeusement apathique. Il sonne comme un tour de chauffe pour les albums suivants où la barre sera de nouveau bien plus haut. Bowie à l'image de son concert à l'Elysée Montmartre en octobre 1999 semble apaisé, être devenu un maître zen de la Pop revenu de tout. 'Hours' en est assurément une preuve.
Note réelle : 2,5/5





Didier SUPER
VAUT MIEUX EN RIRE QUE S'EN FOUTRE


Le 13 Mai 2025 par MASTERFAN


C’est pas parce que son dernier album ‘reggae’ en 2024 est - pour une fois - intéressant musicalement qu’on doit oublier que Didier Super (à l’exception de ses reprises version « punk ») est avant tout un humoriste, et je le chroniquerai ici comme tel. Etant assez hermétique aux humoristes en général, je me demande régulièrement pourquoi des gens se marrent (il y avait un champion il y a quelques décennies, un dénommé Courtemanche qui ne m’a jamais arraché un sourire) et s’il n’y a pas des rieurs professionnels parfois engagés par les artistes pour entraîner les autres. Didier Super fait donc partie, me concernant, d’une catégorie rare, celle des humoristes qui me font (au moins de temps en temps) rire.

Côté influences, Coluche pour le côté sans filtre, son art de la répartie et son rapport interactif avec le public (qui fait partie intégrante de ses spectacles), Desproges pour le côté humour noir, Bedos pour le côté irrévérencieux, le prof Choron le côté trash, les Pistols ou Ramones pour le côté punk « je m’en fous», les personnages de De Caunes pour le côté ‘délire’ sans limite, les géniaux Deschiens pour le côté beauf assumé (qui lui permet d’aller chatouiller les zones rouges, au maximum du politiquement incorrect sans se faire toper), et enfin peut-être, pour le coté musical ‘festif et déconne’, les premiers singles des Charlots au début des 70’s.

A l’instar de Bowie et Ziggy Stardust, Olivier, l’artiste, arrive difficilement à se séparer de son double Didier, le personnage, excepté dans certaines interviews.

Si en public Didier Super excelle en improvisation, celle-ci est parfois fausse ou le fruit d’un gros travail pensé et très maîtrisé (voir la fausse dispute ‘promo’ du tout dernier album). Son génie est de passer du premier degré au second comme pour rire, pour mieux brouiller les pistes et faire en sorte qu’on se demande si ce qu’il raconte est du lard ou du cochon. En se mettant dans la peau de ses ‘victimes’ pour amplifier au maximum leurs défauts et se moquer d’eux, il ne fait rien d’autre que ce que faisait Molière à son époque (et Coluche plus tard). Seconde technique : mélanger habilement des provocations et toutes sortes d’outrages à des vérités parfois culottées, à la manière du fou du Roi qui disait au souverain ses quatre vérités sans risquer d’être décapité.

Revers de la médaille, comme choquer fait partie du personnage, il se prive forcément d’une partie d’un public potentiel (bien-pensants, bénis-oui-oui...) et reste dans une relative confidentialité. Aujourd’hui, comme disait Monsieur Cyclopède, réhabilitons Didier Super.

Le must de ce premier album reste « Le club des Catholiques », qui n’a pas fait pas forcément marrer tous les concernés (une partie quand même, heureusement). « Marre des pauvres » est à la fois pathétique et irrésistible, comme les autres classiques « Ben t’es con », « Y en a des biens ».

Dans « Arrête de te la péter », il compte les points entre les misogynes et les harpies, avant un « On va tous crever » qui fait aussi peur que rire.

Volontairement musicalement à chier (une version plus travaillée ‘pour les vieux’ sortira en 2007), ce premier envoi vaut (au moins une fois dans sa vie) l’écoute et à plus forte raison, en effet, si Télérama l’a détruit.

Après cet album, il y aura BEN QUOI en 2008 ou ressortent surtout « Ah bas les gens qui bossent »  et l’hilarant et horrible « Comme un enfant au Brésil ». Ses indispensables chefs-d’oeuvre « Rien à foutre » et « Gauche droite » figurent en 2016 sur VACANCES A VOS FRAIS. L’album du Covid en 2020 (RIRE UNE DERNIERE FOIS AVANT LA FIN DU MONDE) fait peut-être plus sourire que rire mais reste toujours sympa, même s’il est inférieur au très réussi BATARD DE VEGAN chroniqué il y a peu et par chance ici, j’y reviendrai donc un jour avec plaisir.

Apprécier Didier Super c’est pratique, on rit souvent deux fois, une première fois quand on l’écoute et une seconde fois quand on lit les propos courroucés à son encontre dans les commentaires. Tout n’est pas toujours excellent mais vingt ans de carrière devrait lui permettre un de ces jours de pouvoir sortir un ‘super’ best of. Je mets l’éval maxi ici en pensant à ce que pourrait donner un best of virtuel de cet humoriste beaucoup plus fin qu’il n’y paraît, pour l’ensemble de son œuvre.





HAWKWIND
THERE IS NO SPACE FOR US


Le 13 Mai 2025 par PSYCHODIVER

@TOMTOM : Sans le connaître physiquement, je suppose que du moment que tu ne le titille pas sur sa rivalité avec Nik Turner / les néo HAWKLORDS / les SPIRITS BURNING et que tu ne réduit pas son groupe à un mauvais cirque : tu dois pouvoir aborder bien des sujets. Ah, et évite de rejoindre au niveau zéro des commentateurs Youtube qui, sous les vidéos des récents concerts, se demandent encore "où est Stacia ?". Cela fait 50 ans qu'elle est mariée/ mère de famille et s'est reconvertie dans la peinture. Il n'appréciera pas non plus que l'on ne garde de Bob Calvert que l'image d'un fou sans talent.

Beaucoup de vieux fans du groupe n'ont pas pardonné les pitreries des années 2000 (le collectif était effectivement tombé bien bas) et affirment que les albums, même les plus récents, sont l'œuvre d'un tribute band. Certains vont jusqu'à considérer que HAWKWIND est mort dès la fin de l'aventure "Hawklords - 25 Years On", voire que dès "Quark" en 77 c'était fini. En gros, dès lors que Dave se serait vu confier le processus créatif (rappelons qu'il aurait pû le réserver à Steve Swindells si ce dernier n'avait pas opté pour un parcours en solo) : il aurait coulé le groupe. Il s'agirait d'éviter de délirer. "Xenon Codex", "Sonic Attack", "Church Of Hawkwind", le "Live Chronicles", "Electric Teepe" et "Alien4" sont tous d'un niveau qui va du solide à l'excellence. Et je suis curieux de savoir combien de sabbatiens et de branchés BCBG vont se ruer à Birmingham pour voir ce pauvre Ozzy lessivé, incapable de marcher, vampirisé par la succube qui lui sert d'épouse et trouver le moyen de faire croire à la réussite honnête du projet. À l'inverse, si les HAWKS ne peuvent évidemment plus traduire l'énergie de leur passé, le spectacle est toujours présent. Ils ont même réintroduit "Urban Guerilla" dans leur setlist actuelle.





The STRANGLERS
IN THE NIGHT


Le 13 Mai 2025 par MASTERFAN


Pourquoi faut-il toujours que le melon de certains viennent briser les bons groupes ? Jet, JJ et Dave ne s’y attendaient pas, mais Hugh a bel et bien foutu le camp, punissant tout le monde y compris lui-même, en projetant tout le monde contre le mur de l’anonymat. IN THE NIGHT, le onzième album des Stranglers en 1992, porte bien son nom.

Si on me demande de parler spontanément de cet album, je suis capable de citer trois morceaux et de fredonner leur mélodie, les efficaces « Time to die » et « Heaven or Hell », plus « Never See », le petit OVNI en piste 11, qui rappelle que les Stone Roses et les Happy Mondays ont dominé éphémèrement la pop du tout début des 90’s. C’est à peu près tout.

Le reste ferait passer TEN, l’album précédent pourtant déjà bien critiqué, pour un chef d’oeuvre. Si l’ensemble se laisse écouter, les trois titulaires habituels la joue ‘light’ et les deux remplaçants de Hugh Cornwell n’apportent pas grand chose.

Mon ressenti 2025 : TRIPPANT (5) : Néant. DELECTABLE (4,5) : Néant. SEDUISANT (4) : Never see. PLAISANT (3,5) : Time to die, Heaven or Hell. INTERESSANT (3) : Sugar bullets, Laughing at the rain, Brainbox, Grand canyon, Leave it to the dogs. EMOTION LIMITEE (2,5) : This town, Southern mountains, Gain entry to your soul, Wet afternoon. Bilan 3 et Top 5 à 3,40 : IN THE NIGHT cote pour moi 3,20 soit 12,80 /20.

Un album pas inintéressant mais lisse, sans génie, sans passion, vite écouté, vite oublié.





Alain BASHUNG
FANTAISIE MILITAIRE


Le 13 Mai 2025 par BLUEMASK


Bashung est devenu une icône, un genre de statue du commandeur du rock français. Et j'avoue ne pas adhérer. J'aime pas bien sa voix et je n'ai jamais trouvé qu'il ait été un grand songwriter. Hormis ici, 'Fantaisie militaire' est un bon disque avec des grands titres comme 'La nuit je mens', 'Angora'. Il commence également son chemin vers ce qui fera la joie de Telerama sur le disque suivant, avec quelques titres plus experimentaux, mais ici les 'Samuel Hall' ou '2043' sont encore une fois bons. Calmons bons et buvons frais, il faut quand même se fader des 'Ode à la vie', mais dans l'ensemble si il avait fait 12 albums de cette trempe, j'aurais un tout autre avis.





HAWKWIND
THERE IS NO SPACE FOR US


Le 13 Mai 2025 par TOMTOM

Très belle chronique, qui donne vraiment envie d'écouter le disque.
Anecdote : je pense avoir croisé Dave Brock à Ladbroke Grove l'été dernier (même moustache, même chapeau, même dégaine), mais je n'ai pas osé aller lui parler. Parce que vous dites quoi à un gars comme ça, avec la carrière qu'il a ?





INDOCHINE
3


Le 13 Mai 2025 par JEAN


Merci Richard , idem pour moi pour Indochine . Je prends toujours un grand plaisir à écouter ce groupe , j'apprécie de plus en plus aussi l'album Babel Babel , hâte de les voir en Juin ... Jean





Steven WILSON
THE FUTURE BITES


Le 12 Mai 2025 par ELK

Assez d’accord avec la remarque sur la voix de tête de Steven : je ne suis pas hyper fan de « King Ghost » et « Man Of The People » qui en font trop dans le registre. Le reste en revanche est souvent excellent.







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