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SHEILA
LE SIFFLET DES COPAINS


Le 15 Mai 2025 par SEB


En 1963 sortait ce 33 tours, symbole de la percée de cette artiste hors du commun (mais qui néanmoins ne contient pas ses premiers enregistrements studio). La genèse connue de cet album est encore une fois une histoire de rencontres, dont une déterminante : le fameux Claude Carrère. Il fût décrié, à raison, mais il aura eu un mérite celui de découvrir et de croire à Annie...

Après avoir arpenté différents festivals depuis plusieurs mois entre ses études et les marchés avec ses parents, Mademoiselle Chancel réussit à se produire au Golf Drouot à l'Été 62. Elle y chantait des reprises de succès du moment en compagnie des Guitares Brothers rencontrés quelques temps plus tôt. Claude Carrère, de passage au Golf, cherchait une chanteuse pour incarner "Sheila", du nom du succès de Lucky Blondo dont il venait de produire le single. Après une audition privée Claude la fit entrer en studio quelques jours plus tard pour enregistrer un premier essai de 4 titres sous le nom d'Anny Chancel. Quelques jours plus tard le contrat était signé, la fusée désormais nommée SHEILA était sur la rampe de lancement...

Cet album j'en connais chaque titre par coeur. Et pour cause ma mère aimait beaucoup Sheila et passait souvent son album. Pendant longtemps je ne pouvais plus l'écouter, l'indigestion m'aura gagné au fil de mon enfance je l'avoue. Aujourd'hui il tourne parfois, pour les souvenirs et son coté désuet. Difficile d'en dégager des chansons préférées, elles ont toutes leur charme de l'époque. Celle où j'accroche le moins ce serait "Ouki-Kouki", surtout l'intro "Moi je dis Ouki-koukiiiiiiiii... Dis-moi qu'est-ce que ça veut di'e" ! Je ne comprends toujours pas le pourquoi de cette voix masculine avec accent...

Un premier jet prometteur, symbole d'une ère révolue : l'insouciance, mais qui aura marqué toute une génération. Un 3 appétissant.





Gilles SERVAT
JE NE HURLERAI PAS AVEC LES LOUPS


Le 14 Mai 2025 par MADELEINE


Quel disque ! Je viens de le réécouter une fois de plus, toujours émerveillée. Quel baume pour l'âme, en ces temps de chaos mortifère, de retrouver la "stabilité" de la puissance créatrice de Gilles dans ses disques intemporels (au moins les quatorze premiers 33 tours) ! C'est sûr que "Je ne hurlerai pas avec les loups" a pris quelques rides mais seulement pour les noms évoqués car le propos profond reste plus que jamais d'actualité. Et ce saxo, orgasmique !

Sinon j'ai réfléchi à ma définition personnelle de la violence. C'est simple : c'est chaque fois qu'un être humain se permet de prendre le pouvoir sur un autre être humain. Que ce soit par une baffe (ou une arme), une manipulation (ou une croyance) ou une loi (ou un anneau). C'est pour ça qu'avec Gilles, je suis plus que jamais anarchiste et viscéralement contre toute hiérarchie entre les êtres humains. Et je suis fière de savoir enfin dire "non".

"Le Staline d'or est toujours debout."





Michael JACKSON
THRILLER


Le 14 Mai 2025 par FRANCOIS


"Iconique" (terme horripilant à force d'être employé) évidemment, "daté" (idem. Comme quasiment toute la musique des années 80) mais horrible, rétrospectivement. Oui, cela nous rend nostalgique, phénomène inévitable, c'est le lot de toutes les générations. Mais c'est justement lui, le père (ou le grand-père...) des errements actuels pointés du doigt en fin de chronique principale et Madonna (que je préfère, musicalement parlant) en serait la grand-mère. C'est par ces deux-là que tout a commencé (ou du moins a été amplifié), avec la prise de pouvoir définitive de l'image et du marketing sur la musique en elle-même. On passe de l'artisanat (même relatif) au supermarché et à "l'industrie". Pas étonnant que cela se soit passé lors des années Thatcher / Reagan.
Pour ce qui est du disque, je ne garde que le morceau-titre, en raison de son entêtant roulis mécanique (comme sur le "I feel love" de Donna Summer).





David BOWIE
HOURS


Le 14 Mai 2025 par RICHARD


Quelle surprise que ce disque pour quiconque suivait passionnément la carrière de l'Anglais ! Évidemment, avec Bowie, il faut naturellement s'attendre à tout et c'est son charme mais après l'explosion imaginative et émotionnelle transmise par le superbe et étouffant 'Outside' et dans une moindre mesure 'Earthling', cet album a de quoi vraiment déstabiliser. Je l'ai toujours ressenti comme une forme de retour au source. A sa sortie, je le trouvais extrêmement ennuyeux, plat et scolaire, comme si le Londonien voulait revenir en effet à sa Pop racée des années 70, la flamme créatrice en moins, voire pourquoi pas en berne. Le quart de siècle a cette fois-ci joué en sa faveur et j'ai appris à aimer un peu plus ce côté soyeusement apathique. Il sonne comme un tour de chauffe pour les albums suivants où la barre sera de nouveau bien plus haut. Bowie à l'image de son concert à l'Elysée Montmartre en octobre 1999 semble apaisé, être devenu un maître zen de la Pop revenu de tout. 'Hours' en est assurément une preuve.
Note réelle : 2,5/5





Didier SUPER
VAUT MIEUX EN RIRE QUE S'EN FOUTRE


Le 13 Mai 2025 par MASTERFAN


C’est pas parce que son dernier album ‘reggae’ en 2024 est - pour une fois - intéressant musicalement qu’on doit oublier que Didier Super (à l’exception de ses reprises version « punk ») est avant tout un humoriste, et je le chroniquerai ici comme tel. Etant assez hermétique aux humoristes en général, je me demande régulièrement pourquoi des gens se marrent (il y avait un champion il y a quelques décennies, un dénommé Courtemanche qui ne m’a jamais arraché un sourire) et s’il n’y a pas des rieurs professionnels parfois engagés par les artistes pour entraîner les autres. Didier Super fait donc partie, me concernant, d’une catégorie rare, celle des humoristes qui me font (au moins de temps en temps) rire.

Côté influences, Coluche pour le côté sans filtre, son art de la répartie et son rapport interactif avec le public (qui fait partie intégrante de ses spectacles), Desproges pour le côté humour noir, Bedos pour le côté irrévérencieux, le prof Choron le côté trash, les Pistols ou Ramones pour le côté punk « je m’en fous», les personnages de De Caunes pour le côté ‘délire’ sans limite, les géniaux Deschiens pour le côté beauf assumé (qui lui permet d’aller chatouiller les zones rouges, au maximum du politiquement incorrect sans se faire toper), et enfin peut-être, pour le coté musical ‘festif et déconne’, les premiers singles des Charlots au début des 70’s.

A l’instar de Bowie et Ziggy Stardust, Olivier, l’artiste, arrive difficilement à se séparer de son double Didier, le personnage, excepté dans certaines interviews.

Si en public Didier Super excelle en improvisation, celle-ci est parfois fausse ou le fruit d’un gros travail pensé et très maîtrisé (voir la fausse dispute ‘promo’ du tout dernier album). Son génie est de passer du premier degré au second comme pour rire, pour mieux brouiller les pistes et faire en sorte qu’on se demande si ce qu’il raconte est du lard ou du cochon. En se mettant dans la peau de ses ‘victimes’ pour amplifier au maximum leurs défauts et se moquer d’eux, il ne fait rien d’autre que ce que faisait Molière à son époque (et Coluche plus tard). Seconde technique : mélanger habilement des provocations et toutes sortes d’outrages à des vérités parfois culottées, à la manière du fou du Roi qui disait au souverain ses quatre vérités sans risquer d’être décapité.

Revers de la médaille, comme choquer fait partie du personnage, il se prive forcément d’une partie d’un public potentiel (bien-pensants, bénis-oui-oui...) et reste dans une relative confidentialité. Aujourd’hui, comme disait Monsieur Cyclopède, réhabilitons Didier Super.

Le must de ce premier album reste « Le club des Catholiques », qui n’a pas fait pas forcément marrer tous les concernés (une partie quand même, heureusement). « Marre des pauvres » est à la fois pathétique et irrésistible, comme les autres classiques « Ben t’es con », « Y en a des biens ».

Dans « Arrête de te la péter », il compte les points entre les misogynes et les harpies, avant un « On va tous crever » qui fait aussi peur que rire.

Volontairement musicalement à chier (une version plus travaillée ‘pour les vieux’ sortira en 2007), ce premier envoi vaut (au moins une fois dans sa vie) l’écoute et à plus forte raison, en effet, si Télérama l’a détruit.

Après cet album, il y aura BEN QUOI en 2008 ou ressortent surtout « Ah bas les gens qui bossent »  et l’hilarant et horrible « Comme un enfant au Brésil ». Ses indispensables chefs-d’oeuvre « Rien à foutre » et « Gauche droite » figurent en 2016 sur VACANCES A VOS FRAIS. L’album du Covid en 2020 (RIRE UNE DERNIERE FOIS AVANT LA FIN DU MONDE) fait peut-être plus sourire que rire mais reste toujours sympa, même s’il est inférieur au très réussi BATARD DE VEGAN chroniqué il y a peu et par chance ici, j’y reviendrai donc un jour avec plaisir.

Apprécier Didier Super c’est pratique, on rit souvent deux fois, une première fois quand on l’écoute et une seconde fois quand on lit les propos courroucés à son encontre dans les commentaires. Tout n’est pas toujours excellent mais vingt ans de carrière devrait lui permettre un de ces jours de pouvoir sortir un ‘super’ best of. Je mets l’éval maxi ici en pensant à ce que pourrait donner un best of virtuel de cet humoriste beaucoup plus fin qu’il n’y paraît, pour l’ensemble de son œuvre.





HAWKWIND
THERE IS NO SPACE FOR US


Le 13 Mai 2025 par PSYCHODIVER

@TOMTOM : Sans le connaître physiquement, je suppose que du moment que tu ne le titille pas sur sa rivalité avec Nik Turner / les néo HAWKLORDS / les SPIRITS BURNING et que tu ne réduit pas son groupe à un mauvais cirque : tu dois pouvoir aborder bien des sujets. Ah, et évite de rejoindre au niveau zéro des commentateurs Youtube qui, sous les vidéos des récents concerts, se demandent encore "où est Stacia ?". Cela fait 50 ans qu'elle est mariée/ mère de famille et s'est reconvertie dans la peinture. Il n'appréciera pas non plus que l'on ne garde de Bob Calvert que l'image d'un fou sans talent.

Beaucoup de vieux fans du groupe n'ont pas pardonné les pitreries des années 2000 (le collectif était effectivement tombé bien bas) et affirment que les albums, même les plus récents, sont l'œuvre d'un tribute band. Certains vont jusqu'à considérer que HAWKWIND est mort dès la fin de l'aventure "Hawklords - 25 Years On", voire que dès "Quark" en 77 c'était fini. En gros, dès lors que Dave se serait vu confier le processus créatif (rappelons qu'il aurait pû le réserver à Steve Swindells si ce dernier n'avait pas opté pour un parcours en solo) : il aurait coulé le groupe. Il s'agirait d'éviter de délirer. "Xenon Codex", "Sonic Attack", "Church Of Hawkwind", le "Live Chronicles", "Electric Teepe" et "Alien4" sont tous d'un niveau qui va du solide à l'excellence. Et je suis curieux de savoir combien de sabbatiens et de branchés BCBG vont se ruer à Birmingham pour voir ce pauvre Ozzy lessivé, incapable de marcher, vampirisé par la succube qui lui sert d'épouse et trouver le moyen de faire croire à la réussite honnête du projet. À l'inverse, si les HAWKS ne peuvent évidemment plus traduire l'énergie de leur passé, le spectacle est toujours présent. Ils ont même réintroduit "Urban Guerilla" dans leur setlist actuelle.





The STRANGLERS
IN THE NIGHT


Le 13 Mai 2025 par MASTERFAN


Pourquoi faut-il toujours que le melon de certains viennent briser les bons groupes ? Jet, JJ et Dave ne s’y attendaient pas, mais Hugh a bel et bien foutu le camp, punissant tout le monde y compris lui-même, en projetant tout le monde contre le mur de l’anonymat. IN THE NIGHT, le onzième album des Stranglers en 1992, porte bien son nom.

Si on me demande de parler spontanément de cet album, je suis capable de citer trois morceaux et de fredonner leur mélodie, les efficaces « Time to die » et « Heaven or Hell », plus « Never See », le petit OVNI en piste 11, qui rappelle que les Stone Roses et les Happy Mondays ont dominé éphémèrement la pop du tout début des 90’s. C’est à peu près tout.

Le reste ferait passer TEN, l’album précédent pourtant déjà bien critiqué, pour un chef d’oeuvre. Si l’ensemble se laisse écouter, les trois titulaires habituels la joue ‘light’ et les deux remplaçants de Hugh Cornwell n’apportent pas grand chose.

Mon ressenti 2025 : TRIPPANT (5) : Néant. DELECTABLE (4,5) : Néant. SEDUISANT (4) : Never see. PLAISANT (3,5) : Time to die, Heaven or Hell. INTERESSANT (3) : Sugar bullets, Laughing at the rain, Brainbox, Grand canyon, Leave it to the dogs. EMOTION LIMITEE (2,5) : This town, Southern mountains, Gain entry to your soul, Wet afternoon. Bilan 3 et Top 5 à 3,40 : IN THE NIGHT cote pour moi 3,20 soit 12,80 /20.

Un album pas inintéressant mais lisse, sans génie, sans passion, vite écouté, vite oublié.





Alain BASHUNG
FANTAISIE MILITAIRE


Le 13 Mai 2025 par BLUEMASK


Bashung est devenu une icône, un genre de statue du commandeur du rock français. Et j'avoue ne pas adhérer. J'aime pas bien sa voix et je n'ai jamais trouvé qu'il ait été un grand songwriter. Hormis ici, 'Fantaisie militaire' est un bon disque avec des grands titres comme 'La nuit je mens', 'Angora'. Il commence également son chemin vers ce qui fera la joie de Telerama sur le disque suivant, avec quelques titres plus experimentaux, mais ici les 'Samuel Hall' ou '2043' sont encore une fois bons. Calmons bons et buvons frais, il faut quand même se fader des 'Ode à la vie', mais dans l'ensemble si il avait fait 12 albums de cette trempe, j'aurais un tout autre avis.





HAWKWIND
THERE IS NO SPACE FOR US


Le 13 Mai 2025 par TOMTOM

Très belle chronique, qui donne vraiment envie d'écouter le disque.
Anecdote : je pense avoir croisé Dave Brock à Ladbroke Grove l'été dernier (même moustache, même chapeau, même dégaine), mais je n'ai pas osé aller lui parler. Parce que vous dites quoi à un gars comme ça, avec la carrière qu'il a ?





INDOCHINE
3


Le 13 Mai 2025 par JEAN


Merci Richard , idem pour moi pour Indochine . Je prends toujours un grand plaisir à écouter ce groupe , j'apprécie de plus en plus aussi l'album Babel Babel , hâte de les voir en Juin ... Jean





Steven WILSON
THE FUTURE BITES


Le 12 Mai 2025 par ELK

Assez d’accord avec la remarque sur la voix de tête de Steven : je ne suis pas hyper fan de « King Ghost » et « Man Of The People » qui en font trop dans le registre. Le reste en revanche est souvent excellent.





Steven WILSON
THE FUTURE BITES


Le 12 Mai 2025 par DUMB AND DUMBER


Ca y est j'ai compris pourquoi cet album, pas mauvais du tout me dérangeait. En fait c'est pas la musique, c'est la voix de Sir Wilson quand il va, souvent, dans les aigus. Ca sonne pas du tout, c'est anti musical. Hey Steven, déjà les Bee Gees à l'époque c'était juste ridicule et insupportable...





INDOCHINE
3


Le 12 Mai 2025 par RICHARD

Cette petite pépite new-wave vient tout juste de fêter ce 10 mai ses 40 ans. Joyeux anniversaire et merci au quatuor initial pour cet émouvant compagnon de route qui m'accompagne depuis tout ce temps.





KMFDM
NAIVE


Le 12 Mai 2025 par BLUEMASK


Une oeuvre de jeunesse du collectif indus, qui dès le début n'a jamais brillé par son talent. Epoque oblige, 'Naïve' se fond dans le mouvement EBM 80's, type Front 242 ou le Skinny Puppy de l'époque, en plus accessible. C'est plein de gros beats, froids et rigides, et au final un peu chiants. On tend une oreille sur des parties sympas, comme le dansant 'Naïve', malgré ses choeurs tartes, sur le riff de 'Go to hell' ou 'Godlike' (forcement le riff...), la rythmique de 'Liebesleid, ou d'autres trucs éparses. mais au final, beaucoup de titres sont trop longs par rapport au peu d'idées fournies et le disque en lui même est long comme un mois de Novembre à Montargis.





Neil YOUNG
MIRROR BALL


Le 12 Mai 2025 par BLUEMASK


La collaboration avec Pearl Jam est effectivement tenu. Pas ou peu de Vedder à l'horizon et le groupe joue en se mettant dans les roues du Crazy Horse, plutôt que de garder son identité.
Au final néanmoins c'est un très bon disque du Neil Young électrique et orageux. Si il manque un peu de variétés, il ne manque pas d'excellent titres, comme ce 'I'm the ocean', qui est un des meilleurs titres électriques de Mr Jeune





Alec R. COSTANDINOS
YOU MUST BE LOVE


Le 12 Mai 2025 par NANAR

Pas que ce soit sans intérêt, je trouve ça juste inégal ;)
S’il y a un album d’Alec R. Costandinos qu’on traverse comme un portique automatique de Carrefour, c’est bien Le Group - Je M’Envole (1981), long comme un groupe sans miches… de pain.





The CURE
DISINTEGRATION


Le 11 Mai 2025 par BLUEMASK


Sompteux, majestueux, mélancolique et rêveur, ce disque est à part. À part même dans la disco du groupe. Superbe





Alec R. COSTANDINOS
YOU MUST BE LOVE


Le 11 Mai 2025 par BAKER

O_° Mais c'est quoi CE LINE-UP DE FOU ????

Mais sérieux si c'est "un album moyen sans intérêt", mais avez-vous lu ce line up de taré ??? C'est la Team A de trois pays en mode best-of. Rien que ce casting donne envie de découvrir.

....La "merde" de 1979 vaut quoi par rapport aux "génies" de 2025 ?





The SPENCER DAVIS GROUP
I'M A MAN


Le 11 Mai 2025 par ZORGLUB 2.0


C'est vrai qu'on a toujours tendance à oublier cette version au profit de celle de Chicago mais elle est pas inintéressante du tout surtout pour l'époque. J'aime les deux versions et I'm a Man est une des meilleur chanson du SDG.





TRULY
FAST STORIES...FROM KID COMA


Le 11 Mai 2025 par MAGNU


Je confirme et je note un an après, chef d’œuvre !







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