Le 17 Mars 2025 par FOUDROCK

La première fois que je l'ai écouté, cet album, je l'ai détesté, vraiment. Pourtant, j'avais adoré "Wheels of Fire" ! Cherchez pas, je devais être con, à l'époque. J'étais sûrement trop vieux à l'époque, mais je suis bien plus jeune maintenant, comme le chantait Dylan.
Un des meilleurs albums de la vague psyché britannique. Un morceau comme "Tales of brave Ulysses" suffit au bonheur du fan de psyché rock lambda.

Le 17 Mars 2025 par FOUDROCK

Excellent premier album, rempli de classiques (quand le groupe se reformera en 2005 pour leurs concerts du Royal Albert Hall, pas moins de 6 titres de cet album seront dans la setlist), parmi lesquels "N..S.U." dont je me demande bien la signification du sigle de son titre.

Le 17 Mars 2025 par FOUDROCK

Double-album sorti sous pseudonyme ronflant et sous une pochette curieuse = bide commercial assuré.
Rassurez-vous, ça a été le cas.
Mais quel album ! Clapton en parlera comme de son sommet absolu. Il a raison, le con. Complètement héroïné à l'époque, amoureux fou de la femme de son pote Harrison (elle quittera George pour Clappy en 1974. Les deux resteront, au final, moins longtemps ensemble que le couple qu'elle forma avec Harrison ; qui, lui, de son côté, trouvera l'amour avec celle qui deviendra sa veuve), il enregistre, à Miami, avec l'aide de musiciens issus du groupe de Delaney & Bonnie et l'aide du guitariste du Allman Bros Band Duane Allman, cet album magistral. Du blues-rock terminal qui n'oublie pas de rendre hommage à HENDRIX (reprise de "Little Wing") et au chien du pianiste du groupe Bobby Whitlock ("Thorn Tree In the Garden").
Le morceau "Layla", on en parle ? Non, tout a déjà été dit dessus. C'est MONUMENTAL. Comme les 13 autres titres, au passage.

Le 17 Mars 2025 par FOUDROCK

Sorti sous une pochette des plus risquées (on imagine aisément le scandale à l'époque !), cet unique album d'un supergroupe monté par deux anciens Cream et un Traffic (plus un Family) est un chef-d'oeuvre. Seulement 6 titres, dont une reprise et un morceau d'un quart d'heure dégueulant du solo par tous les orifices, mais il n'y a rien à jeter.
Les managers ont un peu trop pressé le citron à Blind Faith, l'attente était trop forte, si bien que le groupe splittera comme des connards à peine le disque sorti.
Winwood reviendra dans son Traffic après un tour chez l'Air Force de Ginger Baker, et Clapton fondera Derek & The Dominoes, prendra de la came à fond, et se lancera en solo.
Et Ric Grech ?
Ah, vous ne savez pas ? Je crois qu'on s'en fout, non ?
Plus sérieusement, pour Grech...i l suivra Winwood, en gros.

Le 17 Mars 2025 par FOUDROCK

Tuerie absolue.
Le meilleur disque de hard-rock j'ai dit "'hard rock", pas "metal") des années 80, le "Dr Feelgood" de Mötley Crüe et le "Pump" de Aerosmith juste derrière.

Le 17 Mars 2025 par FOUDROCK

Un authentique chef d'oeuvre de hard-rock surproduit et hautement jouissif, une collection de chansons mémorables, et qui se paie le luxe de se finir sur un doublé poignant ("This I love" et "Prostitute", avec ce final qui file les poils).
Totalement sous-estimé et surtout, totalement et injustement incompris.

Le 17 Mars 2025 par FOUDROCK

Un opus infernal, vraiment excellent, qui se paie le luxe de se finir sur un morceau bien bluesy et presque de rock traditionnel plutôt que de metal.
Encore une fois, pas de grosses surprises à l'horizon, mis à part ce dernier titre, mais certains albums du groupe sont plus maîtrisés que d'autres, et celui-ci l'est plutôt !

Le 17 Mars 2025 par FOUDROCK

Un bon petit cru, sans grande surprise, rien d'exceptionnel, rien de nul non plus. On passe un bon moment à l'écouter, et au casque, ça ramone bien les oreilles.

Le 17 Mars 2025 par FOUDROCK

Un opus crade, brutal, violent, sanglant, bref, du Motörhead pur jus de cabanon comme on aime. La pochette est un petit poème de subtilité.

Le 17 Mars 2025 par FOUDROCK

Un album génial, avec un morceau-titre des plus originaux (compte tenu du style du groupe et de ses sonorités habituelles) et une poignée de classiques : "Going to Brazil", "R.A.M.O.N.E.S.", "The one to sing the blues", "Love me forever", "Angel city", "No voices in the sky", et donc "1916".
On notera l'absence choquante de drapeau français sur la pochette en allusion, pourtant, à la Première Guerre Mondiale. Flash info pour Motörhead : selon nos sources, la France y a participé.

Le 17 Mars 2025 par FOUDROCK

Ecouté ce week-end sur un assez mauvais pressage vinyle, ce qui a quelque peu terni mon enthousiasme envers ce qui est très certainement un excellent opus de la bande à Lemmy (note réelle, 3.5/5 ; j'aurais donné 4/5 avec un meilleur son), avec des chansons qui envoient bien. Et surtout, après un "March Ör Die" franchement mauvais...

Le 17 Mars 2025 par MARCO STIVELL

Le grand inconnu était donc Hugues AUFRAY, chose peu pardonnable quand on sait qui a traité toute sa discographie ici... Ce sont les paroles écolo qui m'ont mis dedans, car le principal intéressé n'a jamais trop été sur ce domaine-là !

Ah et puis, pour Enrico MACIAS - "Et Revoir Constantine", je ne serais pas étonné que ce soit une façon plus ou moins subtile de tourner Patrick BRUEL et son "Café des Délices" en dérision (il faut dire qu'à l'époque, c'était une autoroute) !

Le 17 Mars 2025 par MARTIN LA BOTTE

Pas franchement client de l'entreprise, sans doute louable, mais l'imitation chantée, ça n'a jamais trop été ma tasse de thé ou alors à petite dose. En gros, je préfèrerais toujours 3 ou 4 vannes bien senties de Marc-Antoine LE BRET avec la voix de Nikos ALIAGAS que l'intégralité d'un tube de GOLDMAN ou de Joe COCKER repris fidèlement par Michaël GREGORIO, aussi bluffante soit la prestation de ce dernier. Alors si ça devient carrément un concept avec 2 douzaines de titres à se farcir, je capitule très vite... Même si la singularité de la démarche consiste justement à "faire interpréter" à des noms incontournables de la variété une chanson qui aurait très bien pu figurer dans leur répertoire alors que c'est une totale création. Je ne remets pas en question le talent de Patrick SÉBASTIEN qui a prouvé depuis longtemps qu'il savait capter bon nombre de timbres d'artistes français et souligner le tic de langage ou la mimique qui allaient faire "tilt !". Je n'ignore pas non plus les capacités d'auteur fort honorables du monsieur. Ce que j'aurais préféré oublier en revanche, c'est son ego souvent encombrant qui ne nous le présente plus depuis longtemps que sous 3 modes : le donneur de leçon avec l'air de (presque) pas y toucher, la victime accablée par les odieux responsables du PAF et le narcissique présomptueux. Et quand je lis "Copie Conforme" comme choix de titre de l'album, j'ai tendance à penser que j'ai affaire ici au 3e travers...

Donc, à la demande de BAKER, je me suis tout de même lancé dans le jeu du blind test (avec mes limites à ménager, pas plus de 30 secondes de chaque morceau, tant pis si je passe à côté d'un petit chef d'œuvre).
Je commence par les francs ratages, Julien CLERC à qui on aurait donné le gage de chanter façon "CLOCLO" ou Salvador DALI dont je me demandais ce qu'il venait foutre ici avant de percuter qu'il me fallait reconnaître NOUGARO. D'autres qui me font plus penser à la parodie de GAINSBARRE (pléonasme ?) ou à celle du "Michel Sardouille" de Groland. Aucun mérite pour le joueur sur certains titres, il sait dès les premières notes de l'intro, sans avoir même entendu le chanteur, qu'il se rend chez RENAUD ou chez Pierre PERRET (et dans son cas, c'est pas plus mal qu'on ait d'entrée l'indice instrumental...). Dans les bons points, je citerai surtout Hugues AUFRAY, ADAMO, JONASZ, voire LAVILLIERS. Mais le souci récurent c'est, qu'aussi propre soit le résultat, je ne peux pas m'empêcher d'entendre avant tout Patrick SÉBASTIEN-LAMA, Patrick SÉBASTIEN-CABREL ou Patrick SÉBASTIEN-DASSIN alors que le challenge annoncé, c'était "Copie Conforme"... N'aurait-il pas été plus modeste (et réaliste) d'appeler ça "À la manière de..." ?
Au final, ça m'a rappelé "LOL : qui rit sort" avec l'humoriste qui sort sa carte "Joker", persuadé de décaniller quelques concurrents qui ne pourront résister au caractère ultra-poilant de son sketch mais ça ne marche pas à tous les coups. Ici, c'est à l'épate que Patoche souhaite nous faire succomber. Hélas, ça n'a pas vraiment fonctionné sur moi.

Verdict : Respectable et audacieux, certes. Pour autant, SÉBASTIEN, c'est pas OUF !

Le 16 Mars 2025 par BLUEMASK

3 ans séparent ´Ultra Mega OK’ de ´Batmotorfinger’, l’œuvre majeur du groupe. Et tout est déjà là. Il manque l’ampleur de la production, ici c’est un peu rachitique, mais ‘Behind The wheels’, ´Mood for Trouble’ et son riff génial, ‘Flowers’ ou ´Incessant Mace’, hyper Sabbathien, ne dépareilleraient absolument pas.
But, car il y a toujours un mais, tout n’est pas à ce niveau: ˆHead Injury’, ´All your lies’, ‘He didn’t’ sont un peu pâlots et d’une manière générale, Cornell a encore besoin de se maîtriser.
Bon mais surtout prometteur.

Le 16 Mars 2025 par FIGHTITBACK

@ NESTOR "Blueberry..." est de "Desperados" (second de '85), ensuite j'ai eu la chance de les voir à la Loco en '91 et ils jouaient à l'époque "Transition" intégralement, un PUR BONHEUR ! Jouer des titres de cet album ou de "Big bang" avec une seule gratte serait..."risqué"! De +, les "fans" ont boudé ces albums, donc...?! Sinon, le dvd est de (très) bonne facture également (son & image) et crois me souvenir que c'était les collègues de la boîte de Daniel à cette période qui s'en était chargés ! P.S. pas assez de place sur le cd pour y mettre tous les titres du dvd je suppose (comme souvent) P.S. 2 une pensée pour Didier qui faisait son retour (court & timide) et nous a quittés depuis, R.I.P. ! :(

Le 16 Mars 2025 par KODAS

Dernier album studio de LED ZEPPELIN ,"IN THROUGH THE OUT DOOR" est la marque de fabrique de John Paul Jones, présent dans l'écriture de la plupart des morceaux, souvent comme claviériste. L'album démarre néanmoins en trombe avec la splendide "In The Evening", belle signature de Jimmy Page.

"Carouselambra", de par ses dix minutes, est un morceau varié, Rock énergique, entrecoupé de pauses et se transformant en un final disco étonnant. "South Bound Saurez" débute par le piano de Jones qui dicte un rythme Rock n' Roll classique où s'insère un joli petit solo de Jimmy Page. La très belle "All My Love" est le point culminant de la collaboration Plant-Jones. Enfin, "I'm Gonna Crawl", fantastique blues Zeppelinien par excellence, où Robert Plant se sublime dans un chant torturé rappelant la belle époque des premiers albums.

Au total, un excellent disque concluant la carrière d'un des plus grands groupes de Rock de l'histoire.

Le 16 Mars 2025 par KODAS

Pas vraiment top, la pochette du disque ! Mais bon, Iggy Pop ne fait pas dans la dentelle. Sorti en 1980, SOLDIER est pas mal du tout : c'est l’album bourré d'adrénaline du brave soldat punk. La présence de Glen Matlock à l’écriture est là pour en témoigner. Iggy Pop est au sommet de sa forme vocale dans "Mister Dynamite", "Take Care of Me". L'énergie déborde dans "I’m a Conservative", "Dog Food" ou "I Need More". "Play It Safe" rappelle quelque part la touche de David Bowie. En bref, malgré le mixage reléguant les guitares au second plan, SOLDIER est un disque fort qui vaut le détour. 3.5 /5

Le 16 Mars 2025 par KODAS

Sans atteindre le niveau de l'album précédent, WIND AND WUTHERING contient les ingrédients qui font de Genesis l’un des groupes leaders du rock progressif. Le magnifique instrumental "Wot Gorilla", "Unquiet Slumbers-in That Quiet Earth", "One For the Vine" ou "Eleventh Earl of Mar" sont autant de morceaux excellents. Dernier album où participe le guitariste (virtuose) Steve Hackett, WIND AND WUTHERING montre également les signes annonçant le virage du groupe vers une pop plus commerciale, notamment dans des titres comme "Your Own Special Way" ou "Afterglow". Il mérite pleinement sa place parmi les meilleurs disques de son répertoire.

Le 15 Mars 2025 par KODAS

Produit par Steve Lillywhite, SPARKLE IN THE RAIN affiche une tournure Rock et démarre en trombe par les rythmes syncopés de "Up on the catwalk", continue de plus belle avec" Speed your love to me" et atteint le sommet avec le splendide hymne de stade "Waterfront". Tout au long de l’album, le groupe montre une cohésion remarquable. Les performances vocales de Jim Kerr sont notables ("Book of brilliant things", "East at easter"). La rythmique, Mel Gaynor à la batterie et Derek Forbes à la basse, est impressionnante, les claviers omniprésents ("C moon cry like a baby")de Mike Mc Neil. Le guitariste Charlie Burchill est plus rythmique que soliste, tour à tour discret (Street hassle) et flamboyant (the kick inside of me).
Cet opus ,tout simplement magnifique, constitue une pierre milliaire de la discographie de Simple Minds (4,5/5).

Le 15 Mars 2025 par CLANSMAN57

Jamais aimé ce disque. Le pote qui l'a acheté le même jour que moi, car "C'est un album génial à acheter impérativement!!!" tirait la gueule lui aussi dans la voiture, lorsqu'on l'a passé.
On ne l'a que très rarement évoqué par la suite:D