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Sherman ROBERTSON
GOING BACK HOME


Le 14 Juin 2020 par LE MERLE MOQUEUR


C'est toujours agréable de découvrir des musiciens que l'on ne connait pas. Merci à LE KINGBEE.
J'espère trouver Scherman & friends, un live avec des enregistrements de 1978 er 1980.





OPETH
IN CAUDA VENENUM


Le 13 Juin 2020 par SASKATCHEBORG


C'est le premier Opeth que j'écoute depuis Damnation, attiré par le fait que cet album est sorti en suédois.

Je serais bien en peine de dire si ce disque est du réchauffé (je n'écoute pas de rock progressif), mais je le trouve très réussi, plein de belles mélodies. C'est une musique qui évoque l'enfance, la vie familiale filmée au caméscope, les vacances chez papi et mamie...

Tiens, j'aurai l'air bête si les paroles chantent la destruction du monde. Mais pour une fois, ça fait du bien de ne pas comprendre, de se laisser bercer par une langue que l'on entend si peu.

Merci à Chipstouille pour sa belle chronique !





Marjana SEMKINA
SLEEPWALKING


Le 13 Juin 2020 par JERRY


Marjana SEMKINA démontre toute la palette de ses talents avec ce "Sleepwalking", et l'absence de Gleb KOLYADIN à ses côtés ne nuit nullement à une prestation d'ensemble de haute volée, ponctuée d'envolées lyriques tout autant que d'un travail sur les "silences" (comme en témoigne ce "Ars Longa Vita Brevis", une splendeur à chaque écoute) où Vlad AVY à la guitare et le St. Petersburg Orchestra "1703" (les arrangements pour cordes tout en subtilités de Grigorij LOSENKOV sont un des éléments "forts" de cet album) savent créer un climat onirique tout en émotions retenues (à la "IAMTHEMORNING", certes, mais en un peu plus nuancé, à mon humble avis).
"Turn Back Time" possède les germes d'un "hit" potentiel et aurait mérité une plus large diffusion. Quant aux références "obligées" à Tori AMOS, Kate BUSH et ENYA, elles s'arrêtent là... où commence le chant éthéré, délicieusement envoûtant, propice à la rêverie, mais ô combien attachant, de Marjana SEMKINA.





Sheryl CROW
THE GLOBE SESSIONS


Le 13 Juin 2020 par CLANSMAN57


C'est très nettement meilleur que "Tuesday Night Music Club".
La demoiselle chante beaucoup mieux, son timbre est désormais celui d'une jeune femme, elle a gagné en assurance et transmet davantage d'émotions.
Musicalement, c'est plus mature également et elle est entourée par d'excellents partenaires de jeu.
Le son est vraiment super, notons qu' Andy Wallace a mixé quelques titres.

Peu de points négatifs à relever, je n'y entends que de l'excellent ou au pire du bon.
Même "Subway Ride", la chanson cachée et petite soeur de "The Na-na Song" (pop/rock/rap) est sympa.
Normalement, les albums s'arrêtent sur une chanson cachée (lorsqu'il y en a une), tandis qu'ici, une douzième piste suit pour annoncer "Resuscitation".
Fait assez inhabituel... Petite maladresse?

La seconde partie de "Am I Getting Through" se lie assez mal avec la première, ça passe vraiment du coq à l'âne...
Une fois sur tout le disque, ça passe, t'en as d'autres qui font cette erreur tout le long de leur carrière.
On dirait qu'elle a essayé de composer son "Stairway To Heaven", les couplets des deux chansons ont quelques vagues ressemblances vocalement.

Excellent disque auquel il ne manque effectivement pas grand chose pour être qualifié de chef d'oeuvre.








BATTLES
MIRRORED


Le 13 Juin 2020 par FRANçOIS

Il y en a eu des groupes originaires de New-York (Brooklyn, souvent) dans les deux dernières décennies, ça pousse comme des champignons là-bas. Et ils se ressemblent tous plus ou moins. Coupe de jeunes premiers, chemises débraillées, ton enjoué et bruyant, morgue arty. Ainsi va la hype.
P.S : pas mal, "Atlas"... Tyondai Braxton a pris la poudre d'escampette peu après. Son "Central Market", publié également sur Warp, vaut le coup d’œil (enfin, d'oreille).





RUSH
A SHOW OF HANDS


Le 13 Juin 2020 par MAGNU


Ce n'est pas leur meilleur live (Exit Stage Left) mais c'est un excellent raccourci de leur carrière des années 80. Avantage : pas de longueur, interprétation hors-pair comme d'habitude, la voix de Geddie Lee enfin au top.
Effectivement, il manque sans doute 1 ou 2 titres supplémentaires à la place du solo de batterie et de "Closer to The heart", voire de "Witch Hunt "qui aurait eu toute sa sa place sur "Exit Stage Left".

Je crois bien que ce fut mon premier achat de Rush en CD et je l'ai écouté énormément.

Ça vaut bien un 4 avec tout ça !





KING CRIMSON
BEAT


Le 12 Juin 2020 par FRANçOIS

Ouille ouille ouille... Pour en remettre une couche après le com de Terry... Passez de "21st Century Schizoid Man" ou "Starless" du live au Japon de 2015 à un concert à Munich de 1982 (batterie électronique, basse slappée, costards couleur criarde à épaulettes... La totale !), y'a vraiment pas photo ! Ces années 80 auront vraiment été douloureuses pour les "dinosaures" des décennies précédentes... Ne subsiste (par moments), que la guitare "mathématique" de l'impassible Fripp...





RUSH
A SHOW OF HANDS


Le 12 Juin 2020 par LE MOUNGEPEDOUN


J'adore ce live qui conclut merveilleusement le génie créatif du groupe dans les années 80; ici, les claviers omniprésents se battent en duel avec les riffs magiques de Lifeson, le tout avec une rythmique béton.

Qui plus est, la set-list est parfaite, que des bijoux, j'aime depuis toujours ce disque, mon préféré du trio.





PORTISHEAD
ROSELAND NYC LIVE


Le 12 Juin 2020 par CLANSMAN57


C'est un bon disque, mais comme avec la plupart des produits "Live", je ne l'ai pas souvent écouté, ni gardé...
L'orchestre est vraiment très discret par ailleurs.





RUSH
A SHOW OF HANDS


Le 12 Juin 2020 par LEO


Oui, franchement A Show Of Hands est un live inintéressant car il n'apporte rien de plus par rapport aux versions en studio étant donné qu'à cette époque, RUSH utilisait à fond les sequencers ainsi que d'autres parties de claviers pré-programmées pour coller au plus près aux arrangements particulièrement chargés sur les deux ou trois précédentes livraisons.
On a donc à l'arrivée, une interprétation assez 'rigide' ne laissant que peu de place à la spontanéité avec un son moins chirurgical que dans les versions studio !
Résultat: autant s'en tenir aux versions d'origine !
Autre sujet à caution, la setlist proposée. celle-ci contient "Closer To The Heart" qui fait inutilement doublon avec le précédent live Exit...Stage Left. déjà que je ne suis pas fan de ce morceau, je ne vois pas bien le propos de l'avoir réutilisé sur ce nouvel album en public, d'autant que celui-ci était censé résumer la période allant de Signals à Hold Your Fire !
Même en faisant une légère incartade, le groupe aurait pu retenir "Limelight" (de Moving Pictures) puisqu'il n'était pas encore paru sur un live du trio à ce moment là, ou même mieux, choisir tout bonnement "New World Man" (unique autre morceau de Signals avec "Subdivisions" a avoir été joué sur la tournée 86).
Comme l'a fait justement remarquer WALTERSMOKE, il y a effectivement un déséquilibre entre les titres extraits de Signals (1) et Grace Under Pressure (2) & ceux de Power Windows (4) et Hold Your Fire (4). les deux premiers sont sous-représentés par rapport aux deux autres. le hic, c'est que mis à part "Subdivisions" et "New World Man", RUSH n'interprétait pas d'autres morceaux de Signals depuis la tournée 84 (qui n'incluait en plus que "The Weapon"). par contre le trio aurait pu faire figurer "Red Lenses", troisième titre de Grace Under Pressure à avoir été joué en 86 et 88, ce qui aurait rétabli quelque peu la balance.
En sucrant le solo de batterie superflu ("The Rhythm Method") et l'inutile "Closer To The Heart", il aurait été donc possible d'inclure à leur place "New World Man" et "Red Lenses".
Cela dit même avec ce petit changement qui aurait pu être appréciable, ce troisième album en public de RUSH n'est pas vraiment passionnant pour tout dire, car autant j'apprécie beaucoup les trois premiers albums de cette troisième tétralogie du trio Canadien (je n'y inclus pas le peu palpitant Hold Your Fire), autant en entendre des versions en concert m'ennuie prodigieusement, tellement on y entend peu de différence.
Certes, c'est bien interprété et la prise de son est impeccable (c'est quand même RUSH !) mais cela ne suffit pas pour faire de A Show Of Hands un album en concert essentiel. il serait même plutôt fort dispensable par rapport au très correct All The World's A Stage et surtout au superbe Exit... Stage Left, qui reste de mon point de vue comme le meilleur témoignage de RUSH sur scène.
Juste un tout petit 2,5/5 pour ce live que je n'ai jamais beaucoup écouté.





CHRISTIAN DEATH
ONLY THEATRE OF PAIN


Le 12 Juin 2020 par ANTI


Certainement l'un des disques les plus hallucinés du punk, hanté par la mort et la fin des temps. Du sang sur les mains et des conversations sur l'enfer. Noir de chez noir.





PORTISHEAD
ROSELAND NYC LIVE


Le 12 Juin 2020 par FRANçOIS


Mes titres préférés du groupe y sont ("Cowboys", "All Mine", "Glory Box", "Strangers"). Ce live peut éventuellement suffire. "Sour Times" est dans une version différente, sans le sample de Lalo Shiffrin. Ce qui n'est pas plus mal au final car c'est vrai que savoir qu'un titre est basé sur un sample, ça gâche un peu l'plaisir (le mien en tous cas).





KRAFTWERK
AUTOBAHN


Le 12 Juin 2020 par YANN 77

Je suis en train de l'écouter, non sans à priori vu que je n'aime absolument pas l'électro… Puis finalement ce n'est pas la cata annoncée… ça s'écoute plutôt gentiment.
Je trouve quand même le premier morceau, "Autobahn" long au bout d'un moment… Je lui préfère largement la seconde face que je trouve finalement plus intéressante.
Vais-je oser continuer dans la discographie? :)

Pas de note, vu que je ne sais absolument pas par quel bout le prendre...





Sheryl CROW
TUESDAY NIGHT MUSIC CLUB


Le 12 Juin 2020 par CLANSMAN57


Je me suis laissé tenter par Sheryl Crow la semaine dernière.
Avec l'état d'esprit du type "Allez hop!", lorsqu'on se retrouve dans un magasin d'occases et qu'on ne peut pas préparer l'achat comme on le fait par le biais d'internet.
J'en ai chopé deux... dont ce premier album et je n'aime pas trop celui-ci.
A la première écoute (et la seule d'ailleurs), je me suis dit que ce n'était pas ma tasse de thé.
Je trouve sa musique assez ennuyeuse, voire plate et sa voix n'est pas extraordinaire, pour ne pas dire banale.

Bref, parfois, on tombe sur de bonnes surprises en effectuant les achats de cette manière et de plus, ça rappelle une époque révolue.
D'autres fois, on se dit "J'aurais mieux fait de la laisser dans le bac".

Pas si grave, j'espère tout de même que l'autre est meilleur...





Masami UEDA
RESIDENT EVIL : ORIGINAL SOUNDTRACK REMIX


Le 11 Juin 2020 par DAVID


Indispensable en tant que fan du jeu. Cette bande son de Resident Evil, sortie sur la mythique Playsation en 1996, me replonge directement dans le lugubre et mystérieux manoir d'Umbrella. La musique est vraiment flippante, le remix avec l'ajout de différents bruitages faisant partie intégrante du jeu, m'immerge encore plus dans l'ambiance tout au long des 34 morceaux.
Il existe trois versions plutôt rares du cd : une japonaise (Biohazard), une européenne et une américaine sorties entre 1996 et 1998.
Pour info, de superbes éditions vinyles des différents épisodes de la saga sont éditées par Laced Records depuis l'an dernier. Le vinyle de Resident Evil 1 correspond à la version du remake sortie sur Gamecube, la version Playstation est uniquement disponible sur le cd chroniqué ici.





OPETH
IN CAUDA VENENUM


Le 08 Juin 2020 par ADXBBR


Deception…. As usual, dirais-je. Il y a bien longtemps que je ne trouve aucune passion à un album d'Opeth, depuis 20 ans pour tout dire. Pourtant j'essaye, je recherche auprès des fans ce qu'ils ont trouvé, ce qui m'aurait échappé, ce que je n'aurai pas entendu. Et tous les commentaires confirment mes impressions et me font dire que ce groupe me laisse indifférent. J'ai le même problème avec le "génie" de Devin Townsend ou avec le "folie jubilatoire" de System of the down. Les morceaux sont interminables : Ayant créé ma culture musicale dans les années 70, je suis prêt à subir des morceaux qui prennent leur temps pour révéler leur potentiel et créer l'émotion mais il faut avoir des messages à passer. Et là je m'ennuie avec des chansons trop longues. Tout n'était pas bien dans les 70's...

L'intro nous a déjà été faite des centaines de fois, le mix entre doom et metal prog n'est pas une réussite, "Charlatan" porte bien son nom

Alors si vous avez aimé les précédents albums, vous serez ravis par "les subtilités au gré d'écoutes approfondies". Ce n'est pas mon cas, à part sur le très réussi "Lovelorn crime" ou sur le perturbant "Universal Truth"

Je ne remets pas en cause le talent des membres du groupe, et la voix de Akerfeldt rend certains passages intenses, je ne parle que de mon ressenti à partir de l'audition de la version anglaise, après une dizaine d'écoutes au casque





Pat MARTINO
BAIYINA


Le 08 Juin 2020 par FRANçOIS


Ah ben tiens, moi je préfère celui-là plutôt que sa veine bop ou soul-jazz, comme quoi... Peut-être justement parce qu'il est plus atypique.





Pat MARTINO
BAIYINA


Le 08 Juin 2020 par LE MERLE MOQUEUR


Un bon disque qui me laissa sur ma faim.
Un faible pour lui tout de même car Richard Davis grande pointure bassiste y participe. Il nous faudra un jour revenir vers ce bassiste qui n'est pas n'importe qui. Et sa présence avec Martino veut très certainement dire qu'il nous faudra un jour revoir nos copies.





John WRIGHT
SOUTH SIDE SOUL


Le 08 Juin 2020 par LE MERLE MOQUEUR


Oui il y a des musiciens qui ne nous laissent pas déplumés, ils nous enrichissent par leur véracité.
Je n'ai pas dit voracité. La voracité elle est pour d'autres, ceux qui pondent trois notes et se prennent pour des stars qui ont mérité leur Rolls-Royce. Mais ce n'est pas notre propos ici.

Apprécions cette modestie tout en chaleur de John Wright.





OPETH
IN CAUDA VENENUM


Le 07 Juin 2020 par BAKER

Je parle bien de "synthétiseurs" qui ne seraient aucun des instruments que tu cites, effectivement, et jusqu'à Sorceress inclus j'entends du Mello, de l'orgue, du piano droit, à queue ou préparé, mais pas de synthé au sens euh... disons Keith Emerson du terme.

Alors que ça m'a carrément attiré l'oreille sur le premier titre de ce In Cauda, il y a une nappe avec des programmations, ou au minimum un arpégiateur. Effectivement ça n'aurait pas été possible du temps de Per Wiberg, que j'adule par ailleurs sur Ghost Reveries.







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