Le 04 Novembre 2021 par JOHANN

Oh, je ne sais pas pourquoi mais je n'avais jamais vu que tu avais chroniqué la discographie de Michelle Branch, merci à toi, elle le mérite. Et j'en profite au passage pour te remercier, tu m'as fait découvrir pas mal d'album.

Le 04 Novembre 2021 par MB

Musicalement, c'est très poussif. Une petite poignée de chansons pas mal; mais cela manque d'inspiration dans l'ensemble. Cela fait une petite dizaine d'années que HFT semble se chercher...

Le 04 Novembre 2021 par PILGRIMWEN

J'ai kiffé ce disque, à sa sortie. S'est imprimée en moi à l'encre indélébile la chanson "Listen Children", petit bijou de Rock Mélodique. Et la pochette, quelle illustration ! Simple mais efficace !

Le 03 Novembre 2021 par FRANçOIS

Bien vu, Nono ! J'ai d'ailleurs confondu cette pochette avec celle du "Surrender Of Silence" de Steve Hackett, commenté récemment (mêmes coloris et contrastes). Quant au disque en lui-même, tu ne perds rien (non, pas pour attendre). Comme je l'indiquais, je n'y ai glané que deux-trois titres.

Le 03 Novembre 2021 par REALMEAN

Près de 45 années après « Voyage of the Acolyte », l'ami Steve a encore des cartouches sous le capot. Difficile de rester insensible aux riffs d'un "Underground Railroad" ou au crescendo d'un "Those Golden Wings", pour ne citer que quelques-unes des innombrables festivités qui parsèment cet album, 'à l'orée de la lumière'.
Pour autant, à force de fuser dans tous les sens, « At the Edge of Light » n'est pas facile à cautionner. C'est un bel album, mais la perception criante d'un patchwork de motifs instrumentaux est encore plus forte que sur les opus précédents, faisant dangereusement glisser le Prog-World de Steve vers une sorte de Prog-impro, ou quelque-chose qui ressemble à cela. Avec le récent « Surrender of Silence », j'ai encore davantage le sentiment que notre maestro ne parvient plus à définir la ligne directrice permettant d'attribuer une véritable personnalité à ses productions: la diversité est toujours là, mais (désormais ?) au détriment de l'unité.

Le 03 Novembre 2021 par NONO

Je ne connais pas cet album. Alors pourquoi je commente cet album ? Car j'ADORE sa pochette ! Une pochette d'une ironie terrible, tout est dit en une pochette, on peut le dire ! L'ineptie du système républicain, de la "démocratie" qui poussé à son extrême n'est qu'un totalitarisme de plus... New Order avait du mordant, une ironie implacable.

Le 03 Novembre 2021 par LONG JOHN SILVER

Si le premier disque des NRPS ne m'a pas laissé une grosse impression, celui-ci en revanche, je l'aime beaucoup. J'aime aussi beaucoup sa pochette très psyché. La 2e face est carrément top donc je n'hésite pas à lui coller une étoile de plus que notre vénéré chroniqueur !

Le 03 Novembre 2021 par CéDRIC

un album de thrash metal de très haut niveau un des meilleurs du groupe avec hell awaits et reign in blood

Le 03 Novembre 2021 par FRANçOIS

Merci Derwijes d'être aussi réceptif à mes propositions ! Ah, un orgue bien gras et goûtu, j'ai toujours tendance à fondre (rien à voir, on en conviendra, avec ce brave Charly Oleg à qui les néophytes pourraient associer instinctivement l'instrument) :-)

Le 02 Novembre 2021 par MR TINKERTRAIN

Nom de dieu de bordel de merde, c'est une putain de putain de bonne nouvelle*
Merci Baker

*: qd je suis très heureux, je suis très vulgaire désolé

Le 02 Novembre 2021 par MR TINKERTRAIN

A part le 1er titre et le bonus, c'est une succession de tueries, jouissif.

Le 02 Novembre 2021 par YANN

(Ma réponse fait écho à la KROS-EXPRESS de NESTOR)

Je suis un immense fan d'Alice Cooper.
Il a sorti 12 millions d'albums (je sais, j'exagère)
Beaucoup sont EXCELLENTS !
La plupart des autres sont de très bon niveau !
Et quelques rares sont faibles, voire ratés.

Où est-ce que je situe Dada ?
Dans les albums de très bon niveau !

Je n'ai quasiment rien à rajouter/reprocher à la chronique de NESTOR, SAUF (!!!) concernant l'intro ("Dada")
Je la trouve parfaite ! Voire un titre à part entière !
Pourquoi Alice ne l'a-t-il jamais utilisé en titre d'ouverture de concert ?
Je trouve que ça pose bien l'ambiance.

Le 02 Novembre 2021 par LE MOUNGEPEDOUN

Ce disque marque un changement de cap musical : fini les titres hard fm des précédents opus. Place désormais à un style métal néo-classique correspondant mieux à l'empreinte musicale du Suédois, même si l'exercice s'avère plus redoutable, tant la baisse de la qualité d'écriture des titres semble évidente, bien que Mike Vescera au chant colle à merveille à l'ambiance de l'album.

À noter qu'à partir de cet album, Yngwie n'est plus distribué par une major Company ; oui, car nous sommes en 1994, et le hard-rock traditionnel n'est plus trop au goût du jour des hits parade, si bien que la plupart des 'gros' se tournent vers des labels spécialisés. Les grandes maisons de disques préfèrent signer des courants musicaux du type R.A.T.M., R.H.C.P. et consorts...

Un juste retour à la normalité en quelque sorte.

Le 02 Novembre 2021 par BAKER

Pour les deux du fond qui ne suivraient pas : Porcupine Tree se reforme et sort un album.

...En JUIN.

Ah, et Colin Edwin ne fait plus partie du groupe. On se doute que Steven va faire la basse en studio mais, en live, c'est encore secret (je parie pour Nick Beggs).

Le 01 Novembre 2021 par YNGWIE-COOPER

7 ans, 7 ans pour ça ! Des textes à des années lumière des merveilles auxquelles Thiefaine nous avait habitués. Quelques morceaux sont sympa, mais ne resteront pas dans les annales. Ce qui me choque le plus, c'est cette batterie (boîte à rythmes?) synthétique sans aucune inspiration, sans feeling, et qui me gâche le peu de morceaux intéressants de cet album. Bref, un Thiefaine qui va rapidement prendre la poussière sur son étagère. Déception de l'année.

Le 01 Novembre 2021 par REALMEAN

Steve Hackett prend du plaisir à nous offrir, encore et toujours, du Steve Hackett.
Il n'y a rien de nouveau et le panache d'autrefois a disparu, mais avec le quatuor d'ouverture (jusqu'à "El Nino"), le Maître nous prouve que son inspiration est toujours présente, en matière d'écriture aux sons bien trempés. Un art de produire une musique progressive qui lui appartient indéniablement.
La suite, ma foi, n'est pas désagréable, et si certains morceaux peuvent sembler moins emblématiques, tous me ramènent plus ou moins aux épisodes épico-oniriques de la grande époque ; comme "West to East", prolongeant la rêverie atmosphérique de l'inoubliable « Guitar Noir ». Mention spéciale pour l'addictif "In the Skeleton Gallery", l'hypnotique à tiroirs de la sélection, tel que Steve se plaît souvent à les livrer dans le dernier quart de ses galettes. Bien dommage (et curieux) en revanche, cette production sonore sans relief qui gâche le plaisir de l'écoute. Steve ne nous a pas habitués à cela, mais je trouve que l'instrumentation et les arrangements manquent singulièrement d'aération sur cet album.

Le 31 Octobre 2021 par GOLGOTH 68

Quand "Page Noire" était sorti, j'avais été plutôt déçu du virage boîte à rythme/synth-wave (ce n'est pas trop mon style de prédilection) et moins rock. Ce style musical se retrouve tout au long de l'album et ma première écoute a été une déception également. Puis, comme c'est THIEFAINE, je devais donner une chance à l'album et ne pas le ranger directement. Après plusieurs écoutes, mon avis est beaucoup moins négatif : l'austérité de la musique colle bien avec la noirceur, "l'inespoir" et la nostalgie qui se dégagent des textes.

Cet album a aussi le mérite, contrairement à son prédécesseur, de ne pas être dans la lignée du précédent en moins bien et de proposer autre chose.

Superbe pochette au passage.

Le 31 Octobre 2021 par REALMEAN

J’avais mis un peu de temps à apprivoiser « At the Edge of Light » mais je ne crois pas que l’effort ira aussi loin avec « Surrender of Silence ». Trop de remplissage, trop de cassures de rythmes, de riffs ou d’envolées symphoniques sans émotion. Décidément, l’ami Steve me donne l’impression d’avoir délaissé l’écriture pour l’impro, la sensibilité pour la technique. Après plusieurs écoutes attentives, je ne parviens toujours pas à entrevoir l’univers de cet album ; aucun morceau n’a véritablement retenu mon attention, même s’il faut reconnaître quelques tentatives de renouvellement (les élans africains de "Wingbeats", les partitions vocales de "The Devil’s Cathedral", "Fox’s Tango"), et de rares passages hauts en couleurs.
Pour qui voudrait découvrir la discographie de Steve en commençant par la fin, je recommanderais vivement « At the Edge of Light » pour la complexité, « The Night Siren » pour l’accessibilité, ou encore « Wolflight » pour un savant dosage entre les deux.
Découvrir l’étendue du talent de Steve par « Surrender of Silence » me paraîtrait pour le moins hasardeux.

Le 31 Octobre 2021 par JASPER LEE POP

Messieurs, si vous voulez jouer à ce petit jeu, le Kick Out the Jams du MC5 se pose là.

Le 31 Octobre 2021 par LE KINGBEE

Eh ... le Pirate a bien raison, j'aurais dû signaler le Live des YARDBIRDS, d'autant plus qu'une pochette d'un single est un copié- collé d'un microsillon de leurs concitoyens The ANIMALS.