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Diana ROSS
DIANA


Le 30 Mai 2020 par FRANçOIS


Pochette mythique, disque itou. 40 ans et toutes ses dents. Je craignais le disque "2 hits + 6 alibis" mais finalement non, tout se tient, bien équilibré, pas trop long. Ecouté sur Youtube, du coup je ne sais pas de quelle version il s'agît mais cela n'a pas beaucoup d'importance.





AYA NAKAMURA
NAKAMURA


Le 30 Mai 2020 par DéCONFIT Né


Finalement, "Anthologie de l'effondrement musical", ça marcherait aussi avec les mots mis dans cet ordre...





The GATHERING
IF-THEN-ELSE


Le 30 Mai 2020 par CLANSMAN57


Le moins bon de la période Anneke.
"Amity" est le meilleur morceau là-dessus, je prends encore les planantes "Herbal Movement"et "Morphia's Waltz" (à la limite celle-là), ainsi que le Rock "Rollercoaster", qui est une jolie entrée en matière avec le cor en bonus.
"Saturnine" est pas trop mal, elle me convient cependant mieux sur "Sleepy Buildings".

Il faut croire que certains fans étaient déçus du manque de grosses guitares sur le précédent, le groupe appuie à nouveau plus souvent sur la pédale de distorsion...
En résulte un album qui part un peu dans tous les sens avec deux instrumentales franchement dispensables ("Beautiful War", "Pathfinder") et des morceaux plus Rock qui ne me captivent pas tellement.
Certaines friandises qui se veulent planantes ne m'emportent nulle part et possèdent un goût d'inachevé.

L'apport des cordes, cuivres et autres vents ne sauve pas un ensemble assez terne à mon sens.

Petit coup de mou.





The GATHERING
HOW TO MEASURE A PLANET?


Le 30 Mai 2020 par CLANSMAN57


Très beau, toujours plus planant, tellement planant qu'il faut choisir le bon moment pour le remettre:)
J'avais une période où je n'y arrivais plus avec celui-ci, je pensais même qu'il n'y avait plus rien à faire, que la magie s'était définitivement estompée.
Heureusement que je l'ai gardé.

Tout est excellent, seule "South American Ghost Ride" me semble un peu inutile.
Le morceau-titre également... il n'y a rien à faire avec ce pavé de presque 30 minutes, je le trouve toujours encore aussi chiant, suffisant et inutilement long.
L'album est déjà long en soi, j'arrête l'aventure juste avant, ça pèse moins sur l'estomac, c'est pratique.






SIOUXSIE AND THE BANSHEES
PEEPSHOW


Le 29 Mai 2020 par RICHARD


Plus le temps passe et plus j'apprécie en définitive cet album. Il m'aura fallu près de trois décennies quand même pour l'apprivoiser et découvrir ses petites failles addictives. Je le trouvais parfois un peu ennuyeux mais maintenant, je prends pleinement conscience de la richesse des titres que je prenais pour de l'éparpillement. J'étais sans doute trop jeune. J'ai un petit faible pour "Rawhead And Bloodybones" (vous reprendrez bien de la glace ?). Les Anglais en avaient des idées et quelles idées. Il n'y a qu'eux pour passer d'une pop limpide ("The Killing Jar") à ce morceau d'anthologie lacrymal ("The Last Beat Of My Heart"). Siouxsie, c'est une voix, un charisme évident. Ce groupe est unique et plus que sous-estimé...c'est bien triste. Je me répète, mais tant pis...les années 80 sont aussi riches et inventives...





The GATHERING
NIGHTTIME BIRDS


Le 29 Mai 2020 par CLANSMAN57


Dans la continuité de "Mandylion", encore Metal, mais moins et parfois pas du tout.
Ce n'est donc pas une copie-carbone et c'est tant mieux!
Anneke chante encore mieux, les chansons contiennent des lignes de chants et refrains plus accrocheurs encore.
René continue de nous enchanter avec ses belles mélodies, le tout reste bien planant, inutile de gaspiller ses deniers dans des cochonneries qui ruinent la santé, The Gathering sait comment mettre l'auditeur sur orbite et c'est plus sain.

Je mets encore une fois la note maximale, bien que je préfère "Mandylion", il ne lui manque pas grand chose pour l'égaler.
Peut-être un Waldemar Sorychta.
Ou est-ce cette petite hésitation à complètement couper les ponts avec le Metal qui me gêne un tantinet.
D'après une notation sur 20, on verrait une petite différence.





KRAFTWERK
AUTOBAHN


Le 29 Mai 2020 par ARP2600


Flebelebeleb.

Non, plus sérieusement. Ma KE, comme celle de Ralf und Florian, sont peut-être un peu excessives. C'est aussi l'idée des KE, on peut se permettre de troller un peu (voire beaucoup pour certains chroniqueurs qu'on ne citera pas ;) ).
Il n'en reste pas moins que je n'aime guère Autobahn, auquel je ne mettrai jamais plus de deux. Pour moi, il ne vaut guère mieux que les deux premiers albums du groupe, si on excepte le fameux single. A bien l'écouter maintenant, je concède une certaine cohérence du concept. Ainsi, Kometenmelodie, ce sont les phares des voitures adverses la nuit, ce qui colle avec ces montées et descentes très monotones, et on doit aussi reconnaître que tout ceci préfigure le volet synthpop de la new wave... il n'y a aucun mystère là-dedans, tous les groupes importants de new wave on fait du Kraftwerk, et on peut même intégrer The Man Machine et Computer World à ce courant. Mais je n'aime quand même pas, les sonorités sont décevantes par rapport à Ralf und Florian.
D'autre part, avec trois fois rien (un seul synthé pourri ! ), Cluster a obtenu quelque chose de très propre sur Zuckerzeit. Ensuite, c'est le groupe le plus bizarre que j'ai chroniqué alors je ne reprocherai jamais à personne de ne pas accrocher. C'est de la musique abstraite, alors que Kraftwerk est décidément un groupe de musique pop, il est donc assez hasardeux de les comparer objectivement.
Si l'influence de Kraftwerk sur la techno est un fait, ils n'ont paradoxalement pas fait grand chose de proche de cette musique, là où Cluster et Göttsching, plus répétitifs et abstraits, en faisaient déjà presque en 1974. Pour moi, Zuckerzeit, c'est presque déjà un disque d'IDM, Aphex Twin n'a pas inventé grand chose à mon sens...
Mais Autobahn, bah je le trouve moche et pas riche du tout. Je ne vois pas en quoi ce serait révolutionnaire par rapport au reste de la très grande musique de la miraculeuse année 74, même au sein de la seule musique électronique... Aqua, Phaedra, Zuckerzeit, Musik von Harmonia, Cosmic Jokers, tout ça est plus intéressant musicologiquement qu'Autobahn, et de loin à mon sens.





The GATHERING
MANDYLION


Le 29 Mai 2020 par CLANSMAN57


Si je ne devais en garder qu'un seul de ce groupe, c'est "Mandylion", sans aucune hésitation.
Du Metal aussi éthéré ET réussi, je ne pense pas qu'on en trouve des centaines...

Anneke est déjà excellente, lyrique sans avoir besoin de passer par la case "chanteuse d'opéra".
Et c'est bien de pouvoir entendre une demoiselle qui peut se passer de l'ogre de service qui donne la réplique (bien que j'aime aussi).
René balance des mélodies merveilleuses avec sa guitare.
Elles sont simples, mais terriblement efficaces, c'est un guitariste exemplaire que peu semblent vouloir suivre.
Je dirais même qu'il est sacrément sous-estimé.

"Sand And Mercury", qui combine trois chansons différentes, est la pièce maitresse de l'album.
Anneke chante peu sur ce pavé de presque 10 minutes, mais son intervention est juste divine.

Un petit mot encore pour Waldemar Sorychta, un des producteurs les plus intéressants du milieu.
Lui aussi, on le passe souvent sous silence.

Bref, "Mandylion", c'est un voyage dont je ne peux pas me passer.










JUDAS PRIEST
FIREPOWER


Le 29 Mai 2020 par MR TINKERTRAIN


Ok avec le commentaire d avant. Cet album c est du Judas pur jus et du putain de Heavy Métal bien composé, bien joué et bien incisif oui. Et puis le métal god est toujours en possession de ses pouvoirs je trouve !





JUDAS PRIEST
FIREPOWER


Le 29 Mai 2020 par FRED87


Cet album est une excellente surprise de Judas Priest. Mon préféré depuis Painkiller, même si j'ai vraiment apprécié Angel of retribution et Nostradamus. Nos sexagénaires et septuagénaires ont toujours de l'énergie à revendre. Les riffs sont incisifs et les solos sont inspirés. Judas peut être fier du devoir accompli.





Alanis MORISSETTE
FLAVORS OF ENTANGLEMENT


Le 29 Mai 2020 par CENTURION IMBERBE


Cet album est un joyau de Pop sophistiquée et contient de vraies pépites. A découvrir





KRAFTWERK
AUTOBAHN


Le 28 Mai 2020 par LEO


Par rapport aux deux premiers albums plutôt hésitants et expérimentaux, le 33-tours Ralf & Florian faisait une réelle incursion dans la musique électronique. Cependant, c'est avec Autobahn que KRAFTWERK fait un grand pas en avant car ce disque est autant la fin d'un chapitre que le début d'une autre période pour la formation qui devient quatuor à partir de là.
Le morceau-titre "Autobahn" montre un réel changement de direction chez KRAFTWERK, dû en grande partie à la présence du chant dans la musique du groupe qui lui confère une couleur un peu plus 'pop' si l'on peut dire et un caractère bien plus accessible (même si la compo avoisine les 23 min et que les voix ne sont pas toujours très justes !). Certes, on peut trouver cette longueur excessive mais personnellement cela ne m'a jamais gêné car même si cette suite est très monolithique, elle contient assez de passages bien distinctifs pour ne pas lasser l'auditeur jusqu'au bout. Qui plus est, je trouve cette évocation sonore d'un voyage sur l'autoroute tout à fait réussie et convaincante !
Le son de KRAFTWERK n'est pas encore totalement électronique à cette époque puisqu'on peut y entendre à nouveau la flûte de Florian Schneider ainsi que la guitare et un violon tenus par Klaus Roeder (ou Röder selon les sources) qui ne fera pas long feu dans la formation, contrairement au percussionniste Wolfgang Flür (arrivé à la fin de l'année précédente et qui tiendra son rôle jusqu'en 87). Cette longue suite est finalement peu représentative de ce quatrième album car toutes les compos à suivre sont instrumentales et un peu plus hermétiques, mais la face B n'est pas en reste car les deux parties de "Kometenmelodie" et le sombre "Mitternacht" continuent cette exploration en territoire électronique. Ce dernier morceau est en quelque sorte un précurseur du futur "The Hall of Mirrors" que le groupe enregistrera deux ans plus tard. Il reste tout de même un soupçon de krautrock dans le champêtre "Morgenspaziergang". Certes, le lent "Kometenmelodie 1" est pauvre musicalement et a tendance à traîner en longueur avec son atmosphère à deux de tension mais il faut plutôt le prendre pour ce qu'il est : un prélude à "Kometenmelodie 2" qui reprend le schéma de base du précédent avec sa mélodie simpliste mais plus enjouée cette fois-ci, et qui malgré son caractère limité, m'est plutôt sympathique et en tout cas bien plus supportable que (Désolé ARP2600 si je te froisse !) Zuckerzeit de Cluster qui m'ennuie prodigieusement. Je n'y trouve rien d'accrocheur et ne vois pas bien en quoi cet album serait "immense" par rapport à Autobahn. Je n'y entends que des instrumentaux assez quelconques et anodins avec une mise en son somme toute très banale. Bref, Zuckerzeit et plus spécifiquement Cluster me laissent de marbre, mais il en faut pour tous les goûts comme on dit !
Ce quatrième album de KRAFTWERK est perfectible mais je lui trouve un charme certain qui ne s'est pas évaporé avec les années (sans doute aussi parce que je l'ai découvert à l'époque et que l'aspect nostalgique l'emporte, mais pas que !).
Pour moi, ce sera donc un bon 3,5/5 que j'arrondis généreusement à 4/5.





GONG
CAMEMBERT éLECTRIQUE


Le 28 Mai 2020 par ALEX F

Déjà je voudrais dire que je ne suis pas un grand fan du Gong psyché, lui préférant le Gong seconde époque, c'est-à-dire jazz rock. Mais là n'est pas la question.
Comme François, je trouve que le niveau général de la musique aujourd'hui est bien inférieur à ce qu'il était avant les années 80 si je suis sévère et avant les années 2000 si je suis indulgent (et même avant 1996 si je veux être encore plus précis).
Est-ce que les musiciens aujourd'hui sont moins bons techniquement parlant ? Non, ça je ne le crois pas, j'ai même tendance à penser le contraire, car il y a effectivement toute une flopée de musiciens virtuoses incroyables aujourd'hui, il suffit d'aller sur youtube pour s'en convaincre. Est-ce que pour autant la musique est meilleure aujourd'hui ? Eh bien non de mon point de vue comme je l'ai déjà dit plus haut. Je trouve en effet que la créativité a fait le chemin inverse et a considérablement chuté. La capacité à composer de bonnes chansons, de bonnes musiques, a quasiment disparu. La faute au tout numérique peut-être ? Plus facile de faire du copier-coller sur Pro-Tools. Et je tiens à préciser que je ne suis pas un "boomer" (ridicule cette expression "ok boomer", je pensais qu'on en avait fini avec ce truc), j'ai la trentaine, j'approche des 40. Bref, tout ça n'est qu'une affaire de goût, et n'a pas forcément de lien avec notre âge.





SHURIK'N
Où JE VIS


Le 28 Mai 2020 par MERMöTH


Étant Parisien dans l'âme et dans le coeur, cela me fait mal de mettre une aussi bonne note à des Marseillais, et supporters de l'OM de surcroît ! Mais bon, cet album ainsi que l'artiste sont tellement bons qu'il est important de considérer l'essentiel. Dans la pure lignée de l'école du micro d'argent, ce disque est un vrai chef-d'oeuvre. Je reste quand même, et sans objectivité, je le reconnais, prioritairement fan de Assassin (surtout l'album "Homicide volontaire) et le "suprême NTM".





PENDRAGON
LOVE OVER FEAR


Le 28 Mai 2020 par MERMöTH

Merci également à toi Brad pour ta réponse. Je veux bien te croire quant à l'importance d'une hiérarchisation de l'ordre des chroniques à réaliser, pour avoir été moi aussi chroniqueur. Je suis totalement d'accord avec toi concernant Steven WILSON. Ce mec a une inspiration divine et sans fin ! C'est tout bonnement hallucinant. Et le truc encore plus impressionnant, c'est que la qualité est régulièrement élevée. A des prix accessibles. Tout comme Damien Saez aussi, avec ses triple CD à parfois même moins de 20 euros.
Pour revenir à Pendragon, même à 60 euros je n'investirais pas, et ce bien que ça puisse devenir collector. Les raisons sont simples. Déjà même à ce prix là, je trouve que c'est exorbitant. Ensuite, parce que j'ai déjà acheté la version standard, donc rajouter 60 à 15 on en arrive à 75. Et enfin, cette somme, je préfère la mettre pour d'autres artistes. Je ne suis pas suffisamment connaisseur du groupe pour savoir que ce disque avait été auto-produit. Du coup, je suis doublement choqué car il y a donc encore moins d'intermédiaires et que le groupe aurait pu se permettre un prix moins élevé. Je pense notamment au "one man band" australien Midnight Odyssey (je ne sais pas si tu connais, c'est du Black Metal atmosphérique). Le musicos fait absolument tout, avec une qualité assez remarquable, et il ne propose pas ses productions à des prix de malade. Pourtant, l'album Shards of Silver Fade propose un double cd de 2H20, et il a été vendu une vingtaine d'euros avec un t-shirt. Et fait partie des plateformes de streaming, y compris Tidal que j'utilise prioritairement vu que la qualité proposée est meilleure. Ce qui est pratique, notamment en voiture quand les postes ne proposent même plus de lecteur cd. En tout cas, cette stratégie purement '"objectif thunes" (petite référence humoristique) me déplaît profondément. Enfin, tu l'auras compris.





BRAINTICKET
COTTONWOOD HILL


Le 28 Mai 2020 par FRANçOIS


Les deux premiers titres sont très bons. Hélas, les deux "Brainticket" sont deux interminables suites ultra-répétitives (de la techno avant l'heure...) à base de guitare et d'orgue, épisodiquement perturbées par une voix hallucinée et divers bruitages. Usant sur la longueur mais sans doute est-ce le but (l'esprit)...





SIMPLY RED
PICTURE BOOK


Le 28 Mai 2020 par WHATUSE?


Voici un album qui m'accompagne depuis plus de 25 ans.
Acheté chez un disquaire allemand dans le courant de l'année 94, et après m'être procuré les trois suivants, je décide de me lancer dans l'écoute de ce premier album.
Comme l'explique bien la chronique, Tonton Hucknall lassé de ses Frantic Elevators décide de mettre sur pied fin-84 une nouvelle formation composée de quelques fameux musiciens locaux: Fritz Mc Intyre aux claviers, David Fryman (qui ne restera que durant l'enregistrement de l'album) à la guitare, et surtout trois anciens collaborateurs d'un groupe dont j'ignorais tout à l'époque, à savoir The Durutti Column: Tim Kellett à la trompette et aux claviers, Tony Bowers à la basse et enfin Chris Joyce aux fûts. Le groupe devait s'appeler Red, mais quand Hucknall contacte l'organisateur de son premier concert et qu'on lui demande forcément le nom de la formation, ce dernier lui demande: "Red what?" auquel Hucknall lui répond "No, simply Red", l'histoire débute ainsi.
Revenons au disque : il a très bien vieilli car il ne porte pas trop les stigmates sonores de l'époque (à savoir réverb-à-gogo et autres synthés digitaux mal programmés). Au contraire, cette pop aux références soul et jazz bien digérées fait du bien aux oreilles et peut tenir la comparaison avec SADE, l'autre groupe U.K qui officiait alors dans le même genre.
"Come to my head" (qui sortira en single) débute avec brio. D'une pop sautillante, on passe à "Sad Old Red", un jazz feutré et cuivré du meilleur goût. "Look at you now" est certes un peu kitsch mais tient quand-même la route. Puis, vient "Heaven", une reprise assez surprenante en mode reggae-soul des Talking Heads. "Jericho" (autre single) est un des sommets du disque, tant par sa musique que par ses paroles sociales (on est bien-sûr en pleine époque Thatcher et le groupe lui rappelle bien qu'ils sont originaires de la working-class de Manchester-la-meurtrie ). Autre single et autre commentaire social "Money's too Tight (To Mention)" est une reprise du duo américain Valentine Brothers (sortie en 1982), et même si je préfère l'originale, il faut quand-même avouer qu'on est en présence d'un très bon morceau. "Holding back the Years" est une adaptation du dernier single des Frantic Elevators. Certes, ce morceau est archi-connu, mais il reste excellent. Le bluesy "Red Box" et "No Direction" ne sont pas mauvais, mais pas à la hauteur du morceau-titre qui clôt l'album avec son passage dub final. On retrouvera ce morceau dans un épisode de Miami Vice.
Bref, si toi pas aimer Simply Red pour des raisons bien compréhensibles (Mick Hucknall a quand-même été très jet-set par la suite, produisant des albums pour "ménagères de moins de 50 ans" ), vous devriez quand-même jeter une oreille sur ce "Picture Book".





QUICKSILVER MESSENGER SERVICE
HAPPY TRAILS


Le 28 Mai 2020 par SLEEPINGCARPORTER


BAAZBAAZ. Le début de ton commentaire était plutôt critique. Par contre, je ne savais pas que tu avais le pouvoir de parler et de ressentir les choses à la place de tout un chacun. Et honnêtement, laisser quelqu'un qui encense Dua lipa et BB brunes me traiter explicitement de menteur, je ne pouvais pas laisser passer. Une boîte de cotons tiges te sera livrée sous peu par mes soins.
Semi cordialement.
Adieu





EMBRYO
ROCKSESSION


Le 28 Mai 2020 par FRANçOIS

Belle découverte pour qui voudrait aller au-delà des noms connus du krautrock (Can, Neu!, Faust...). Il n'est pas fait mention dans le line-up de l'organiste américain Jimmy Jackson. Si "A place to go" est en effet trop court, on ne peut pas en dire autant d'"Entrances" qui pêche lui par l'excès inverse.





GOTTHARD
G.


Le 28 Mai 2020 par PILGRIMWEN

La durée de l'album, le nombre de pistes... Tout pour me refroidir. Et puis, en écoutant sereinement et progressivement l'album, je constate avoir fait fausse route. "G" est l'opus le plus abouti de GOTTHARD ère Hard Rock deeppurpleïenne-rainbowesque-whitesnakesque. Les Suisses frappent fort en 1996 ! Outre les influences précédemment citées, je suggère un zeste de Rock Country et Sudiste. Les années 90 ont produit des disques de Hard-Rock d'une qualité incroyable, quoi qu'en disent les tristes sires traumatisés à vie par la fameuse et bouc-émissaire vague Grunge ! Du Hard-Rock brut, dépouillé de ses froufrous, de son maquillage, paillettes et autres frivolités.







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