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ZZ TOP
AFTERBURNER


Le 28 Novembre 2019 par NONO

J'ai toujours voulu savoir qui assure le jeu de claviers / synthés dans cet album ?
Est-ce un membre du groupe ? (un peu comme Eddie Van Halen, bien que guitariste, pourvoit les parties claviers dans son groupe), ou bien un musicien de session additionnel pour l'album ?


Par Forces Parallèles

Hey !
C'est Dusty qui tient les claviers, on le voit parfois en live sur certains titres à dominante synthé comme "TV Dinner".
Bien à toi





KILLING JOKE
ABSOLUTE DISSENT


Le 28 Novembre 2019 par NONO

@Leo : Killing Joke est un groupe surprenant car à la fois à 100% dans son époque (rattaché à fin-70 / début-80) et 100% indépendant. Leur style est à tendance post-punk mais toujours "sur le fil" entre le bourrin et le mélodieux, à cheval entre le hard et la new-wave.
Le tout conduit par un énergumène génial, une espèce de gourou maniant autant la musique que les idées politico-spirituelles.
Bref, Killing Joke... c'est Killing Joke !





YAZOO
UPSTAIRS AT ERIC'S


Le 28 Novembre 2019 par FRANçOIS

Ouille... Oui, la voix est intéressante mais les instrus... "Don't go" est assez précurseur de la techno et ses boucles rythmiques souvent couillonnes... Bon, tous ces groupes "new wave" à tendance synthés sont pour la plupart des "one-two-or three hits wonder". Je me rend compte que j'ai très peu d'albums des 80's, plutôt des compiles (artistes solos ou multi-artistes).


Par Forces Parallèles

Hey !

Mouais... Non ! On ne peut parler de "one, two, or even three hit wonder" à propos de YAZOO, ni à propos de personne d'ailleurs !
En effet : Alison et Vince ont sorti 4 titres légendaires avec YAZOO :
-Don't Go
-Situation
-The Other Side Of Love
-Nobody's diary

Je chipote! Mais du coup cela me permet d'établir la sainte vérité : plus d'un one hit wonder et l'appellation ne tient plus... Evidemment !
Qui plus est, vues les carrières des 2 loustics : en solo pour ALison et ses 23 millions d'albums vendus, avec DEPECHE MODE et ERASURE pour Vince, impossible d'évoquer même le concept de OHW !
ET ! Et, et... ce n'est pas de la... "New Wave" mais bien de la New Wave !
Bien à toi
Erwin





Kate BUSH
THE DREAMING


Le 28 Novembre 2019 par FRANçOIS

En tous cas, l'analogie (filiation) avec Björk (que j'apprécie également moyennement) me paraît tout à fait évidente : chanteuse à voix, univers original et excentrique, pop expérimentale, vision artistique globale (son, image...).





KILLING JOKE
MMXII


Le 28 Novembre 2019 par LEO


MMXII paru logiquement en 2012 est le quatorzième album studio de KILLING JOKE et comme son prédécesseur, je lui reprocherai un gros manque d'accroche générale, faute à des compos peu marquantes et qui ont tendance à tourner à vide d'autant quelles ont quelques longueurs pas franchement justifiées ! ainsi, le monolithique "Pole Shift" dure près de neuf minutes alors qu'il ne s'y passe pas grand chose tout du long malgré sa structure alternant calme et embrasement.
Je trouve "Fema Camp" lourd et assez monotone, tandis que le plus alerte "Rapture" est aussi peu mémorable que les deux morceaux précédents. il faut ajouter à cela, un son assez brouillon qui ne donne pas envie d'y revenir de sitôt !
Je préfère déjà bien plus "Colony Collapse" avec sa ligne de chant un peu plus mélodique sur fond de séquencers et guitare metallique, bien que le son global soit toujours aussi peu à l'avenant.
Le post-punk et rentre-dedans "Corporate Elect" est également notable avec le chant de Jaz tour à tour en voix claire ou rugueuse.
"In Cythera" (qui paru en single) est le morceau le plus marquant du lot, avec sa belle mélodie qui rappelle quelque peu la période 'new-wave' du groupe, tout comme sur "Primobile" du reste !
"Glitch" joue sur les deux versants de KILLING JOKE. celui agressif d'Extremities sur ses couplets et un chouïa plus 'new-wave' sur ses pé-refrains (qui restent brefs cela dit).
La ligne de basse (qui fait la pompe) sur "Trance" me rappelle quelque peu celle de "Pssyche" (qui était en face B du single "Wardance" en 1980). était-ce délibéré ou une pure coïncidence de la part de Youth ? mystère !
Le traînant "On All Hallow's Eve" referme l'album sur un beat froid et régulier tandis qu'il existe également un onzième titre en bonus ("New Uprising") pour la version iTunes. mêlant sequencers et guitare écorchée sur un mode post-punk-metal-indus, la compo se laisse écouter mais sans plus.
Au final, pour moi ce disque ne démarre vraiment qu'à partir de son quatrième morceau, dont certains sont loin d'être réussis ou mémorables, c'est pourquoi je mettrai exactement la même note à MMXII qu'à Absolute Dissent.





GHOST
SEVEN INCHES OF SATANIC PANIC


Le 28 Novembre 2019 par LONG JOHN SILVER

@ FAN'OUILLE
"Contrairement à la chronique, je pense que ces deux titres auraient eu leur place sans rougir sur "Prequelle""

Eh bien je ne dis pas dans ma kro que ces titres aient à rougir vis à vis de ceux inclus dans l'album Prequelle, simplement que la production voulue par Seven Inches Of Satanic Panic prend une direction très différente de celle de l'album. Je parle de la forme plus que du fond. D'ailleurs il suffit d'entendre "Mary On A Cross" en live pour s'apercevoir qu'elle prend un aspect bien plus Power Ballad heavy, avec des guitares nettement plus présentes et un jeu de batterie typique Hard Rock.
Je ne suis pas vraiment convaincu non plus par la comparaison (souvent) faite avec les DOORS, notamment concernant le jeu des claviers sur "Kiss The Goat". Ray Manzarek jouait de façon bien plus déliée que ce qu'on entend ici. De plus, niveau son, les claviers sixties, pas encore branchés sur amplis comme le ferait Jon Lord, sonnaient de façon bien plus cristalline, moins compacte qu'ici. C'est -aussi- pourquoi la référence à Arthur Brown me semble plus appropriée. Le ton y est déjà plus monolithique, mais là encore on est loin du compte. Tobias me semble bien plus convaincant quand il s"approprie les 70's et les 80's, années qui sont son véritable terrain de jeu.
La pop/rock Psyché des origines, celles des JEFFERSON AIRPLANE, des BEATLES ou celle qui commence à tourner à la gueule de bois des DOORS n'est -pour le moment- pas son ère/aire de prédilection. Les deux titres restent -eux- de fort belle facture.
Bien à toi et merci pour ton com'.





KILLING JOKE
ABSOLUTE DISSENT


Le 28 Novembre 2019 par MAGNU


Le gros reproche que je fais à cet album, c'est cette production tous potards à fonds qui rend fatigante l'écoute et puis sa longueur.





KILLING JOKE
ABSOLUTE DISSENT


Le 27 Novembre 2019 par LEO


Ce treizième album studio voit KILLING JOKE revenir à sa configuration initiale avec ses quatre membres d'origine (Jaz, Geordie, Youth et Paul Ferguson), dont le dernier 33-t avec ce line-up (Revelations) remonte à 1982 (soit, vingt- huit longues années !). Cela dit, les quatre musiciens avaient déjà recommencé à tourner sous cette configuration dès 2008 (j'ai pu assister à l'un des concerts de la reformation à cette époque où le groupe rejouait son répertoire des débuts).
Etonnamment, le son et le style musical proposé sur Absolute Dissent ne diffèrent pas tellement de ceux de l'album précédent. Les sonorités restent metalliques et la voix de Coleman en mode rauque, mais sans doute d'une manière moins extrême (quoique...), et l'on discerne bien mieux les claviers cette fois-ci. D'ailleurs, le groupe calme quelque peu le jeu sur "European Super State" dans lequel les séquenceurs mènent la danse et également sur "The Raven King" et "Honour The Fire" que l'on peut percevoir comme un bref retour à l'ère de Night Time/Brighter Than a Thousand Suns. "Ghosts Of Ladbroke Grove" est quant à lui une sorte de Reggae-Dub (à la manière de K.J bien entendu !).
Ces quatre exceptions mises à part, le reste de l'album dépote assez sévèrement, mais l'impression générale reste globalement moins virulente que sur Hosanas.
J'ai quand même le sentiment que depuis Democracy, les compos du groupe sont beaucoup moins marquantes que celles des albums Pandemonium, Extremities et ceux des early-80's. Certes, il y a de bons moments mais j'accroche moins sur la longueur d'un album.
Curieusement, et à l'inverse de STREETCLEANER qui trouve le morceau plus dispensable, "Here Comes The Singularity" est la compo de l'album que je préfère ! Peut-être parce que celle-ci a un son et un style un peu à part et bien plus typé du KILLING JOKE des débuts.
3/5 car je ne suis pas transporté, même si l'album se laisse écouter.





WISHBONE ASH
BLUE HORIZON


Le 27 Novembre 2019 par PHILIPPE G.


Bravo pour cette discographie brillamment commentée et documentée. Je l'ai savourée et j'ai découvert tout ce qui s'est fait depuis "Twin Barrels Burning", époque où j'ai laissé tomber ce groupe un peu oublié aujourd'hui, hélas !





BACHMAN TURNER OVERDRIVE
NOT FRAGILE


Le 27 Novembre 2019 par THORPEDO


Je l'ai en 33 tours, celui-là.
Il faisait partie de la collection de mon papa et il le passait quand il avait envie de me montrer qu'il écoutait lui aussi de la musique de bonhomme...

Et bien oui, ça marche, ça fonctionne et c'est bien burné.
On passe un super moment en compagnie de ce "Not Fragile", à écouter si possible en compagnie de bons potes et de quelques chopines.





TRANSATLANTIC
SMPTE


Le 27 Novembre 2019 par THORPEDO


Pas un chef d'oeuvre mais tout de même un excellent album de ce super groupe Prog.
Jugez plutôt, Roine Stolt des FLOWER KINGS, Neal Morse de SPOCK'S BEARD, Mike Portnoy de DREAM THEATER et Pete Trewavas de MARILLION, rien que ça!

Alors, certes, ils ont voulu se faire plaisir mais TRANSATLANTIC est plus qu'une simple récréation pour ces superstars du Prog, il s'agit bel et bien d'un vrai groupe.

L'album est très bon et toutes les pistes valent le détour.
Mention spéciale aux titres à rallonge spécifiques du genre, on voyage les amis.
Contrairement au chroniqueur, je trouve que la ballade "We all need some light" est particulièrement réussie, magnifique même.

L'album n'est pas parfait mais c'est toujours un plaisir de l'écouter.





GHOST
SEVEN INCHES OF SATANIC PANIC


Le 27 Novembre 2019 par FAN'OUILLE


Plus Pop, c'est impossible. Contrairement à la chronique, je pense que ces deux titres auraient eu leur place sans rougir sur "Prequelle", surtout "Mary..." Le potentiel tubesque est à son summum, au détriment d'une certaine authenticité peut-être ? Qu'importe, le but est atteint : faire kiffer l'espace d'une dizaine de minutes, asseoir le lore de GHOST et ajouter deux tubes aux setlists des concerts. On est clairement loin du son d'un "Opus..." ou de mon préféré, "Infestissumam", mais c'est frais, ça doit envoyer en live et ça permet à Tobias Forge de rendre un (léger) hommage au son 60s et 70s (on n'est pas loin de certaines sonorités de DOORS par exemple).

Ca se mange sans faim, comme diraient nos grands-mères !






GUNS N' ROSES
THE SPAGHETTI INCIDENT ?


Le 27 Novembre 2019 par THORPEDO


Sans être bien sûr un grand album des GUNS N' ROSES, il s'agit après tout d'un album de reprises, je l'aime bien ce "The Spaghetti Incident?".
J'avais même un T-Shirt tout spaghetti à l'époque, effet vomi garanti.

"Down On the Farm", "Raw Power", "Hair of the Dog", "Black Leather", "I Don't Care About You (Fuck you!!!!!) sont autant de bons titres plus punks que bon nombre de groupes pseudo-punks, oui, c'est de vous que je parle OFFSPRING et GREENDAY!

Mais surtout, cet album comprend un titre absolument magique et c'est "Ain't It Fun", en duo avec le cultissime Michael Monroe.
Ce morceau me fait autant vibrer 26 ans plus tard.
3.5/5 pour moi.





Kate BUSH
THE DREAMING


Le 27 Novembre 2019 par JUAN


Pour moi, cet album est un sommet. Vous l'écoutez une fois par an et à chaque fois vous découvrez autre chose. Néanmoins, il faut l'apprivoiser cet ovni pour en savourer tous les contours. Mais quand c'est fait, on y revient toujours avec le même délice!
Petit détail qui a son iomportance, si vous avez la version cd datant des années 80, jetez là à la poubelle, et privilégiez le vinyle ou la réédition numérique récente, il y a un gouffre entre les 2 (c'est d'ailleurs vrai pour tous les albums de KB).





Kate BUSH
THE DREAMING


Le 27 Novembre 2019 par FRANçOIS

Et bien en dehors de la poignée de "tubes" ("Wuthering Heights", "Babooshka", "Running Up That Hill"), le charme de la dame n'agit pas sur moi. Je trouve la voix et la musique un peu fatigantes. Tant pis pour moi.
(P.S : effectivement, ce n'est pas de la "new wave", même si ce genre fourre-tout englobe une multitude de styles. Disque et artiste difficilement "étiquettables" de toutes façons).





Didier SUPER
VAUT MIEUX EN RIRE QUE S'EN FOUTRE


Le 27 Novembre 2019 par BAKER


Je voulais chroniquer cet album, quelle surprise, il l'a déjà été, et TROIS fois et avec TROIS notes totalement opposées.

C'est ce que j'aime chez Didier Super. Il ne laisse personne indifférent. Musicalement ? C'est de la merde. Assumée. Amplifiée. Et mine de rien terriblement millimétrée car au niveau du rythme comique, le gars est un orfèvre.

Ou alors ça tombe comme ça vient, et c'est encore plus fort :D

Et puis un mec qui a écrit "les majorettes, moins les villes elles sont grosses et plus leurs majorettes elles le sont", ça mérite au moins le Panthéon.





KILLING JOKE
KILLING JOKE


Le 27 Novembre 2019 par MAGNU


Ce n'est pas mon préféré du groupe non plus, je l'écoute rarement en entier. Par contre, je relève quelques pépites quand même comme "The Death & Resurrection Show", "The House That Pain Built", "Seeing Red". Dave Grohl est vraiment impérial sur tout l'album mais je regrette la production un peu trop propre.





MAGMA
KOBAïA


Le 26 Novembre 2019 par LE MERLE MOQUEUR


Un langage inventé pour une musique qui honorait un dieu tutélaire disparu et qui dorénavant allait hanté de sa présence encore pendant des années tout ce monde de jazzmen en effervescence . Christian Wander mis le feu aux poudres , "au XVIe siècle, on disait "mettre le feu aux étouppes" (puis étoupes) pour "déclencher la colère" ou "déclencher une passion amoureuse". Amoureuse je ne sais, mais la colère et l'amour brulant comme une torche, la passion dévorante et brulante c'est ce qui caractérise sans aucun doute musicalement l'épopée magmaïenne depuis des années, avec Kobaïa le groupe avait frappé un grand coup...
Le reste on connait !





MAGMA
ZëSS


Le 26 Novembre 2019 par ZHEUL WORTZ MEKANIK


Et ouais, un des meilleurs albums de l'année les enfants. Et en live, alors la. Courez voir magma en concert tant que Vander est encore en vie c'est absolument essentiel et rien ne peut vraiment vous y préparer.





KILLING JOKE
HOSANNAS FROM THE BASEMENTS OF HELL


Le 25 Novembre 2019 par LEO


Sur Hosannas From The Basements Of Hell, KILLING JOKE reprend plus ou moins la même formule que sur l'album éponyme de 2003. à savoir, un Post-punk/Metal-industriel brutal au son volontairement cradingue mais avec une différence de taille, le groupe joue ici sur les contrastes alors que sur l'album précédent il n'y avait aucun rebondissement, tout y était linéaire et joué sans nuances alors que dans le cas présent, bien que ça bastonne toujours aussi sévèrement du début à la fin et que les compos soient rageuses, monolithiques et avec des durées conséquentes, il y a malgré tout des semblants de mélodies, des ambiances, des accroches instrumentales et vocales, des rebondissements. bref, des pics et des creux. et c'est ça qui fait toute la différence même si au premier abord on peut n'y entendre qu'un simple retour à l'agression sonore incontrôlée.
Cet album est généralement perçu comme ayant une prod plus sale que son prédécesseur mais pour ma part je préfère le son qui se trouve sur Hosanas car celui-ci tape plus dans les fréquences graves (et non dans les médiums comme en 2003) et on y entend un peu mieux les synthés malgré le traitement toujours aussi métallique de la guitare de Geordie Walker qui passe au premier plan. par contre, cette fois la batterie est mixée un chouïa en arrière et ça n'est pas pour me déplaire !
Je pourrais reprocher le chant rocailleux de Jaz Coleman sur la majorité des titres mais cela dit, il module plus que sur l'album précédent donc cela passe bien plus facilement d'autant que les compos sont cette fois plutôt réussies dans leur ensemble car elles installent un climat, une tension, des dénivelés (et pas juste un violent séisme ou une bouillie sonore comme sur le cru 2003).
Hosannas From The Basements Of Hell est un album ultra compact du début à la fin et il s'écoute vraiment comme un tout, c'est pourquoi je ne cite pas de morceaux en particulier, cependant c'est un disque que je n'écoute pas souvent car même si je le trouve très convaincant, il est un peu trop chargé en testostérone à mon goût.
Un bon 4/5 pour ce douzième album de KILLING JOKE.







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