Le 01 Septembre 2019 par NONO

Merci ClaNsmans 57... Là, tu vois, je l'ai écrit correctement.... LOL
Remarque, moi au moins avec "Nono" j'ai pas de problème orthographique ! (Re-LOL)

Le 31 Août 2019 par CLANSMAN57

"Portant un nom aux consonances slaves...", sinon, ça ne veut rien dire.
Je n'ai pas le souvenir d'avoir écrit "pourtant", j'ai pris l'habitude de me relire avant de poster.
Bref, bonne journée!

Le 31 Août 2019 par BAYOU

Non c'est bien un premier album avec un beau line-up en plus:

Tal Wilkenfeld: basse; Wayne Krantz: guitare; Geoffrey Keezer: piano, claviers; Keith Carlock: batterie; Seamus Blake: saxophone ténor.

Le 31 Août 2019 par ALEX F

Kitschissime. Les compos ont beau être efficaces, le son est vraiment très synthétique, encore plus que sur le précédent album, de sorte que l'on frôle l'indigestion au bout d'un moment. Malgré tout, l'album s'écoute avec un plaisir certain, donc 3 étoiles.

Le 31 Août 2019 par CLANSMAN57

@ NONO:
T'as du mal avec mon pseudo, m'enfin c'est pas grave:)
Pourtant, un nom aux consonances slaves, j'ai l'habitude d'être écorché.
Incroyable le nombre de personnes qui luttent avec, lorsqu'ils s'apprêtent à le lire, rien qu'à leur tête, je me dis "attention, qu'est-ce que ça va être cette fois-ci?".

J'ai écouté Donna Lewis et, effectivement, j'ai déjà entendu ce tube.
Etonnantes ces nappes de claviers 80's dans les 90's !
Merci du conseil!

Le 31 Août 2019 par VIV

Tout à fait d'accord avec la chronique et en patrticulier cette idée : Kraftwerk est à l'électro ce que les Beatles sont à la pop.
Rien de plus à dire si ce n'est que ces réenregistrements méritent attention.
Je n'ai écouté que la compile du coffret et c'est une petite merveille pour nos oreilles.

Le 31 Août 2019 par NONO

@Claismans : Par contre... dans ce style "pop légère" de cette époque-là (fin des années 90) : s'il y a une artiste que ne saurais assez te conseiller, c'est DONNA LEWIS.
Elle a sorti un gros tube en 1997 "I love you always forever" que tu connais surement.
J'ai son album "Now in a minute" d'où est issu ce titre.
L'album entier est une merveille, dans la même veine que ce titre, et même encore meilleur car certains titres ont une dimension quasi-progressive.
Donna Lewis est une artiste complète un peu comme Kate Bush : elle écrit ses textes, compose, produit, et joue la plupart des instruments (claviers, synthés, guitare).

Le 30 Août 2019 par BAKER

Effectivement mais de ce que j'en ai entendu c'est un CD plus de demo qu'un album de chansons comme celui-ci, c'est pourquoi j'ai parlé de premier "vrai" album. Évidemment si c'est faux je me colle à la kro du premier :)

Le 30 Août 2019 par JOEY RED

Je n'aime pas cet album. Tout est lisse et monotone. Je sais que Rush a toujours été le style de groupe ultra-homogene, même entre certains de ses albums, mais là c'est carrément carricatural. Même si ce n'est pas le cas, on dirait que tout a été joué sur les mêmes tons, et avec les mêmes instruments. Ici c'est un peu comme Deep Purple avec Now what, un bon album mais de musiciens qui ont déjà tout prouvé et qui ne se démènent plus comme à leur jeunesse, parce que trop âgés, moins motivés, etc. De plus, cet album est fatiguant à écouter, trop de cette bonne vieille "compression" du volume, ça lasse vite et je dis "oufff" quand j'arrête le disque. Dommage.

Le 30 Août 2019 par PAIN NOT GAIN

Je ne peux pas detester cet album car c'est ce 33-tours-là qui m'a fait découvrir le groupe alors que je ne connaissais que le trop connu Smoke on the Zappa. Cela dit, si je l'avais découvert après tous les autres, et récemment, je me serais demandé "Putain, c'est quoi ce truc, ils ont osé sortir ce disque ?" La qualité du son n'a rien avoir avec celle de Made in Japan. Les morceaux qui à la base en studio ne sont pas terribles du tout à part "Burn" et "Stormbringer", en live ça donne bien mieux, mais franchement il faut attendre bien longemps avant d'entendre le riff et la batterie de "You Fool No One", et puis une fois le solo de batterie fini, ça veut dire finale du morceau non ? Bah non il faut un passage blues hors contexte juste pour rallonger encore le morceau.
En plus, ça a été enregistré à l'Olympia. Ca sonne comme l'Olympia ? On dirait qu'ils jouent dans un hangard.
C'est pas un mauvais live en soi, il est un peu court, mais il y a beaucou dedans. Cela dit, c'est bien prétentieux de le nommer "made in ..." pour le comparer à Made in Japan, parce que là on n'y est pas du tout. Si le groupe avait la prétention de dire "voilà, maintenant, on sort un live mythique avec notre nouveau line-up", il s'est planté les dents en premier.

Le 30 Août 2019 par CLANSMAN57

Merci pour vos réponses, j'écouterai un bout sur YT dans ce cas pour voir ce que ça donne en dehors de "Torn".
Le mélange Alanis Morissette et Pat Benatar me fait un peu peur quand même, je n'aime pas trop ces deux-là.
Je me note ça!

Le 30 Août 2019 par RICHARD

" Stay Alive ! " comment ne pas se sentir concerné lorsque Adamson nous jette ceci au visage dans " In A Big Country" ? Je ne suis pas spécialement fan de rock "héroïque" car je vois toujours entre autres Bono époque coupe mulet mais là, je dois dire que les Écossais font vraiment fort. Puissance et émotions.

Le 30 Août 2019 par NONO

@Claismans : Pour répondre à ta question sur "Left of the middle" de Natalie Imbruglia...
J'ai l'album. Hé ben non, en ce qui me concerne, cet album n'est pas bon. Et je suis assez "large" en matère de goûts musicaux, mais la franchement, à part Torn et 2 ou 3 autres titres qui se démarquent (dont la chanson-titre qui est chouette), 80% du reste est médiocre ou nul, c'est flagrant.
Donc : je ne te conseille pas l'achat de cet album.

Le 30 Août 2019 par IEN

Je me permets de répondre à Clansman57.
"Left of the middle" est un excellent album des 90' Un mélange Alanis Morrisette/Pat Benatar bien loin de "Pornography" ;-)

Sinon "Pornography" ? Juste génial.

Le 30 Août 2019 par BAYOU

Ce Cd est le second de la bassiste.
Transformation sorti en 2007 est son premier album solo

Le 30 Août 2019 par RICHARD

Merci CLANSMAN57 :)
Concernant Natalie IMBRUGLIA, je ne connais que ce single par ondes interposées. Il est de ces titres qui sont au début de leur lancement pas foncièrement désagréables mais qui par des centaines de passage radio deviennent un peu malgré eux quasiment insupportables. Maudite année 1997. J'ai écouté de nouveau Torn en écrivant la chronique des Cure. Plus de vingt ans après, sans le matraquage, j'ai été plutôt agréablement surpris, comme quoi.

Le 30 Août 2019 par CLANSMAN57

Chouette chronique, l'ami, très intéressante.
J'aime beaucoup l'idée de l'auditeur-voyeur, c'est pas faux.
Et puisque tu en parles, il vaut le coup le "Left Of The Middle" de Natalie Imbruglia?
"Torn" m'est agréable à l'oreille, depuis tout ce temps.

Le 30 Août 2019 par CLANSMAN57

"Mais qu'est ce que c'est que cette merde???" me suis-je dis à la première écoute.
"Et ils mettent 5 étoiles sur Forces Parallèles? Je vais porter plainte!"

Avec quelques écoutes supplémentaires, ça devient un excellent disque.
Je m'attendais en fait à une musique plus conventionnelle...
Un petit temps d'adaptation est nécessaire, l'oreille doit de prime abord malaxer ces sons particuliers, à moins que ça ne soit les sons qui malaxent l'oreille, je ne sais pas Jean-Robert, t'as de ces questions de merde aussi toi.
On peut le considérer comme un moderniste de la chanson française, voire un impressionniste dans ce domaine.
Avant gardiste, tout comme son modèle Serge Gainsbourg a pu l'être.

Les textes sont beaux, les mots s'impriment assez rapidement dans la mémoire, ce qui est fascinant, car leur sens est parfois flou.
Il parait que ce disque est marqué par une déception amoureuse et ça se ressent.
L'oeuvre est tiraillée entre mélancolie et noirceur, beauté et étrangeté.

Je suis content d'avoir commencé avec le décrié "Bleu pétrole", plus abordable (bien qu'il contienne des chansons atypiques également), sinon je ne pense pas que j'aurais persévéré avec ce superbe "Fantaisie militaire".

Signalons pour terminer que ça ne prend pas une ride et que 1998 compte beaucoup d'excellents disques à mon avis.

Le 30 Août 2019 par BORIS LE BORGNE

Je ne suis pas d'accord avec la chronique et évidemment avec la note.
Pour avoir entendu, et depuis un bon moment déjà, l'animal Zorn sous moult formes (et dieu sait qu'il en possède), je ne vois objectivement qu'un seul défaut majeur à ce double disque : il aurait été mieux tout seul. Car tout s'enchaîne parfaitement ici et avec un rendu sonore bien feutré et massif en même temps, style Napalm Death en compagnie de Zoviet-France.

Le pied presque total, donc.

Le 30 Août 2019 par FRANçOIS

Quelle déception, cette nana ! Depuis... depuis quand au fait... Oh, ça doit bien faire 20 ans maintenant, ou pas loin. Et la pauvre, elle a des fans vraiment... gratinés. Mais fidèles. Heureusement pour elle d'ailleurs puisqu'il n'y a plus qu'eux qui assurent ses ventes. Evolution similaire à Madonna, son alter ego US.