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RADIOHEAD
KID A


Le 16 Août 2019 par FRANçOIS

Je plussoie Richard, je plussoie :-) Je note plusieurs points communs moi aussi : voix très typée qui peut en rebuter certains (dont moi-même) dans leurs tics ou modulation ; sorties de disque la même année (à deux ou trois exceptions près) ; et même trajectoire : premiers disques pop accessibles avec "tubes" sortis en singles, clips, etc... puis à partir de l'an 2000, orientation vers une musique plus complexe, expérimentale que d'aucun (dont moi là encore) pourront trouver absconse voire prétentieuse (dans l'attitude aussi). J'ai moi aussi une nette préférence pour leur période "pop" mais ce ne sont pas (ou plus) des artistes que j'écoute souvent à vrai dire.





RADIOHEAD
KID A


Le 15 Août 2019 par RICHARD


J'ai toujours trouvé que le groupe d'Oxford avait une trajectoire similaire à celle de Björk. De Homogenic inclus pour l'Islandaise à celui-ci pour les Anglais, même goût du risque, même recherche d'inventivité sonore, un monde sans concession néanmoins ouvert au plus grand nombre...puis ensuite, la chute et l'autocaricature sans fin.





EAGLES
HOTEL CALIFORNIA


Le 15 Août 2019 par CLANSMAN57


La chanson "Hotel California" est un petit bijou.
Son introduction lugubre et les solos sont aisément rentrés dans l'Histoire, le tout s'imprime dans le cortex illico.
"New Kid In Town" et le Blues Rock musclé de "Life In The Fast Lane" sont également excellentes.
J'ai un peu plus de mal avec "Wasted Time", je n'en retiens pas grand chose, de même pour sa reprise symphonique que je trouve un peu inutile.
"Victim Of Love", dans un registre proche de "Life In The Fast Lane", me semble un brin poussive...
Les suivantes me plaisent beaucoup, "Try And Love Again" étant ma préférée.
"Pretty Maids All In A Row" m'a demandé un peu de temps avant de se dévoiler pleinement, sa lenteur y est sûrement pour quelque chose.

Excellent disque, malgré son ventre mou.





GENESIS
INVISIBLE TOUCH


Le 15 Août 2019 par JIM HOPPER


L'évolution de Genesis est logique. Le rock progressif n'avait plus sa place à la fin des 70's et le groupe avait certainement envie de toucher à autre chose. La base expérimentale originelle est devenue sous-jacente et intégrée au format FM. Si Genesis avait continué à faire du rock prog façon 70's, il aurait tout simplement disparu ou végété dans l'anonymat en classe 'has-been'. On peut contester leur démarche mais les gars de Genesis ont eu raison à tous les niveaux.

"Invisible Touch" est certainement l'album le plus tourné vers le tube fait pour être vendu : Utilisation massive des nouvelles technologies de l'époque, beaucoup d'effets, facilités structurelles et matraquage audiovisuel. Cet album tant décrié, est donc exaspérant pour les hits que sont "Invisible Touch", "In Too Deep" et "Throwing It All Away". On peut aussi rajouter Anything She Does" qui, au même titre que les 3 cités, s'est évadé d'un album solo de Collins. Il ne reste donc plus que 3 titres... . La sombre et inquiétante de "Tonight, Tonight, Tonight" nous plonge dans une autre ambiance. Il y a ici une palette d'arrangements intéressante et une structure nous rappelant que le Genesis est toujours là. "Domino" est la compo de l'album. On est dans le progressif façon 80's. C'est très bon, même si ça n'atteint pas les sommets. "The Brazilian" fait dans l'atmosphérique. Très agréable, arrangements de percussions, nappes de claviers (un peu Jarresques) et guitares bien sentis. C'est propre, même si c'est un peu succinct.

"Invisible Touch" ne cessera jamais de diviser les fans. Pour ceux de la génération Peter Gabriel (et du rock prog des 70's), les larmes montent aux yeux devant ce gâchis. Pour ceux de la génération Phil Collins (et de la pop des 80's), c'est un bon album. L'art est subjectif, dira-on. Pour ma part, d'un point de vue musical, je trouve que même si la production est parfaite, "I.T." est le moins bon album de Genesis avec Collins au chant. Avis subjectif lui aussi :).





RADIOHEAD
KID A


Le 15 Août 2019 par FRANçOIS


Je ne vais pas revenir sur ce que je pense de ce groupe (plutôt du mal, sur celui-ci j'aime bien "In limbo") mais ce n'est pas du "trip-hop", ça (pas plus que Death in Vegas d'ailleurs). Quoi de commun ici avec Massive Attack ou Portishead ? Aucune touche hip-hop, dub ou vaguement soul, rien d'"urbain" non plus...





RADIOHEAD
OK COMPUTER


Le 14 Août 2019 par GOLGOTH 68


Avec "The Bends", c'est le seul album de RADIOHEAD que j'écoute encore et j'ai eu du mal avec le virage vraiment trop électro pour moi des albums suivants qui m'a fait m'éloigner du groupe

"Paranoïd Androïd" est un sommet qui m'émeut à chaque fois.





The Jimi HENDRIX EXPERIENCE
AXIS: BOLD AS LOVE


Le 14 Août 2019 par CHRIS06


Je me souviens, lorsque j'avais écouté ce disque les premières fois, qu'il m'était impossible d'y adhérer. Je me sentais un peu coupable : Hendrix, l'idôle de tout un monde dans lequel je voulais entrer, m'était complètement inaccessible. Avec plus de maturité, le disque m'est maintenant plus sympathique. On y trouve des morceaux vraiment emblématiques (Spanish Castel Magic, LIttle Wing), et sur les autres morceaux on retrouve toujours ci et là des plans, des petits licks, des effets qui rendent le tout intéressant. Le problème finalement est la position de cet album, coincé entre un "Are you Experienced ?" révolutionnaire et un "Electric Ladyland" qui constitue le sommet d'Hendrix.





The STOOGES
RAW POWER


Le 14 Août 2019 par CHRIS06


Evidemment, un grand disque ! Le gang de Détroit est ici à son meilleur et pond un des plus grands enregistrements du petit monde du rock de part son avant-gardisme et sa qualité intrinsèque. Certains y voient la naissance du punk mais aucun de ces futurs groupes ne pourra se vanter de posséder un soliste de la trempe de Williamson. Dans cette œuvre, tout est très bien écrit. On disserte souvent de la violence de ce brûlot, mais peu d'albums peuvent se gausser de posséder des morceaux comme "Gimme Danger" ou "I Need Somebody" aux lignes mélodiques de grande qualité. Et c'est là tout le génie de Iggy Pop qui, bien que très subversif à cette époque (On ne reviendra pas sur ces frasques), était avant tout un grand artiste. A mon sens, le reste de sa discographie fera toujours pâle figure en comparaison de cette œuvre et de la précédente, un peu comme si le sommet du non-conformisme avait été atteint avec une qualité musicale de haut niveau. A posséder avec "Fun House" dans toute discothèque de rock idéale.





RENAUD
MISTRAL GAGNANT


Le 14 Août 2019 par CLANSMAN57


Les textes sont excellents sur cet album, je ne pensais pas qu'il était si bon parolier.
C'est d'une efficacité, d'un percutant!
Il possède un véritable talent de conteur, chaque chanson est un petit film.
On le sent sincère en tout cas, il a des choses à dire.

La chanson-titre est une des meilleures chansons de l'univers, elle demeure intemporelle à ce jour, sa mélancolie mêlée de nostalgie enfantine transperce l'âme, c'est d'une beauté et d'une pureté...
C'est touchant, ce papa qui raconte à sa petite comment c'était lorsqu'il était minot.
Les voir sauter dans les flaques d'eau, main dans la main, entendre le rire de la gamine qui panse les blessures du père, c'est très fort, poignant.
Quel meilleur remède que le rire d'un enfant contre les blessures de la vie?

"Baby-sitting blues" dresse le portrait de la petite qui fait des misères à sa gentille baby-sitter.
C'est hilarant, bien que ça le soit moins pour la pauvre étudiante.
"Le retour de la Pépette" est dans la même veine comique et tout aussi convaincant.
"Tu vas au bal?" aussi et je n'aimerais pas en faire une reprise...
Ou il faudrait des heures de répétitions pour en arriver à bout, malgré sa brève durée.

L'album est tour à tour drôle, émouvant, engagé, triste ou glauque (attention:malaise palpable sur "Mort les enfants").

Superbe!







The CURE
THREE IMAGINARY BOYS


Le 13 Août 2019 par RICHARD

Non Léo, je ne prévois pas de chroniquer cette compilation même si comme toi, je la trouve nettement plus fluide et au final plus intéressante que le premier effort des Anglais. Ce n'est sans doute pas un hasard si les morceaux les plus anecdotiques ne sont pas dessus.
Merci aussi pour l' intérêt porté à mes quelques lignes car ceci fait toujours plaisir et à ta fidélité au site.





The CURE
THREE IMAGINARY BOYS


Le 13 Août 2019 par LEO

Merci de ta réponse RICHARD !
Je suis bien d'accord avec toi sur le fait qu'il est plutôt judicieux de ne pas mettre les artistes sur un piédestal mais d'un autre côté, Genesis et Queen (ainsi que pas mal de groupes issus du rock progressif), ont souvent été les têtes de turc de la presse musicale, procédé que je trouve un peu facile et systématique (ce qui n'empêche aucunement de critiquer leur oeuvre pour autant).
Pour le reste, j'apprécie beaucoup tes chroniques toujours très intéressantes et pleines d'à propos !
Bien à toi
LEO

P.S. au fait, comptes-tu faire la chro de Boys Don't Cry ? qui quelque part est autant à prendre comme une compilation, que le pendant US de l'album ici présent (que je trouve personnellement plus agréable à l'écoute avec l'ajout des divers singles parus à la même époque).





SANTANA
MARATHON


Le 13 Août 2019 par METALPROG84


L'album n'est pas mauvais du tout mais franchement, on est très loin de "Abraxas", "Caravanserai" ou même "Moonflower". Vous me direz que tout groupe doit évoluer avec son temps, ok, mais "Marathon", même s'il est bien représentatif de la fin des seventies, manque un peu d'originalité.
"Lightning in the sky", "You know that I love you" ou "Stand up" sont des titres plus proches du disco que du rock: cela dit, c'est quand même du bon disco ! Heureusement, "All I ever wanted", "Love" et "Hard times" sont un peu plus consistantes alors que l'instrumentale "Aqua marine" vaut le détour.
Même s'il est plutôt (voir franchement pour certains titres) commercial, "Marathon" reste malgré tout un assez bon album.





Peter GABRIEL
II


Le 13 Août 2019 par LEO


La chro de MARCO STIVELL sur le single "D.I.Y./Mother Of Violence/Teddy Bear" m'a donné l'envie de réécouter ce deuxième album de PETER GABRIEL, ce que je n'avais pas fait depuis fort longtemps.
Contrairement au premier 33t dans lequel je n'apprécie réellement que cinq titres sur neuf et dont la production surchargée de Bob Ezrin m'a toujours déplu, j'ai de l'affection pour ce second 33t qui possède un charme certain malgré son caractère austère autant pour son contenu musical qui ne se livre pas si facilement, que dans sa forme (avec la production très crue de Robert Fripp).
Ce PG II est également plus cohérent en ce qui concerne l'orientation musicale bien plus homogène que dans le I, où ça partait vraiment dans tous les sens. ici on peut passer d'un rock brut à des ballades intimistes comme à des choses plus expérimentales sans que cela ne choque outre mesure car PETER GABRIEL et Robert Fripp ont su conserver une unité d'ensemble.
Donc au final même si je ne suis pas transporté par tous les morceaux, je trouve que chacun d'eux dégage une aura très particulière et que l'album garde une réelle harmonie tout du long.
Il y a dix ans j'avais mis un 3/5 à ce disque mais à présent je lui rajouterai une étoile sans problème tant il me semble finalement plus réussi que le IV, album que j'aimais beaucoup lors de sa parution mais que je trouve depuis quelques années entâché par quelques tics de production typique aux années 80.





The CURE
THREE IMAGINARY BOYS


Le 12 Août 2019 par RICHARD

Mea Maxima Culpa Marco et Léo :)
J'avoue avec ces quelques mots avoir fait mon Christophe Conte de Forces Parallèles. Comme devoir de vacances, je vous promets, je vais réécouter la production de GENESIS des années 70 :)
Heureusement que nos avis divergent, sans ceci, le site aurait sans doute moins de saveur ! Pour ma part, il n'est pas question de "preuve de bon goût". Je soulignais en filigrane simplement (qui a dit avec un peu de mauvaise foi ?) que GENESIS et QUEEN à leur corps un peu défendant ont été la raison de la création d'une multitude de groupes, ces derniers et c'est dans l'ordre des choses désirant faire table rase du passé musicale.
Ceci n'empêche pas parfois cependant un peu de recul, voire d'humour distancié. Je l'ai toujours pris comme ceci pour la musique.
Ce n'est un secret pour personne sur ce site. Je suis un très grand fan des CURE, d'INDOCHINE et des SMITHS entre autres. Que l'on me dise que Smith ressemble à Régine et que son dernier bon album date de 1989. C'est peut-être vrai. Que l'on me dise que Sirkis est gênant, que ses textes sont d'un niveau CE2 et que Morrissey avec ses glaïeuls dans les fesses est totalement ridicule, c'est encore peut-être vrai. Je trouve ça même plutôt sain de "désacraliser" les artistes.





Richard O'BRIEN
THE ROCKY HORROR PICTURE SHOW


Le 12 Août 2019 par GOLGOTH 68


J'ai connu la BO du film avant de voir le film (et j'ai passé des bons moment avec même sans l'avoir vu au Studio Galanade avec riz et eau à tous les étages). Cette BO donc est un très bon album de rock, bien varié, bien entrainant et bien délirant. Clairement à (ré)écouter





CRASS
THE FEEDING OF THE 5000


Le 11 Août 2019 par ARTHODZAFT


Le mouvement punk était une vaste arnaque, déjà en 1977.
Les boutonneux qui s'emmerdent et sniffent de la colle devant le CBGB en attendant d'avoir la thune pour sniffer de la coke sont arrivés au bon moment pour l'industrie musicale, qui justement en avait des saladiers pleins de cette foutue coke dans laquelle ils avaient cramé le talent de la plupart des groupes qu'ils avaient signés. Du sang neuf il fallait. Pas pour inventer, non, on s'en fout d'inventer, ce qu'il faut c'est un coup de jeune, redonner aux ados l'envie d'acheter des disques quand Pink Floyd, Yes, Genesis, Led Zeppelin, les Who... font de la musique de vieux, c'est à dire pour les plus de vingt ans.
Devant le CBGB ou dans la boutique de Westwood-Mc Laren les majors ont trouvé leur chair à canon. Marionnettes à belles gueules prêtes à jouer le jeu contre une entrée dans l'encyclopédie du rock. Prêtes à en crever aussi, mais ça fait partie du jeu non? Après tout, les hippies avant eux mouraient jeunes, et ça faisait bien vendre. On signe les contrats comme on recrute à l'usine. On étiquette punk, on balance quelques punchlines, des photos chocs et des histoires sordides dans les tabloïds, comme au bon vieux temps de l'hippixploitation, le tout sous le parrainage déphasé de Lou Reed, Bowie ou Iggy Pop qui n'ont rien vu des cinq dernières années et le tour et joué.
La machine presse du vinyle rose, vert ou bleu, les photographes et les coiffeurs y trouvent leur compte, les parents sont outrés, les gosses adorent, les tiroirs-caisses font un tube.
Et Crass dans tout ça?
Ben Crass n'était pas sur une major. Crass était un collectif, les descendants des Fugs et des Mothers of Invention. Une communauté d'idées. Crass habillait son message politique sincère d'une musique jamais entendue jusque là dans la contre-culture (sans aucune influence blues, pour faire simple). Crass a inventé sans recycler (oui, je sais c'est pas bien de ne pas recycler), et n'a pas vendu. Ne s'est jamais vendu. N'a pas montré ses jolies tronches dans les magazines mainstream tout en influençant le graphisme de la plupart des fanzines de la zone mondiale. Et pourtant, entre 1979 et 1983, ils ont composé, produit et distribué via leur label Crass Records 5 albums, tous excellents. Que je vous invite à découvrir si ce n'est déjà fait (Perso, j'ai un gros faible pour Stations of The Crass, qui j'ose l'espérer, sera un jour chroniqué sur Forces Parallèles, maintenant que l'intégrale de Sardou est, Dieu merci, définitivement et exhaustivement répertoriée par de valeureux Erwin qui, je le souhaite de tout coeur, n'a pas perdu son intégrité mentale dans cette difficile mais nécessaire épreuve).





ELECTRELANE
THE POWER OUT


Le 11 Août 2019 par FRANçOIS


Très séduit par cet album, dans un genre pourtant relativement éloigné de mes goûts. Les morceaux sont assez différents les uns des autres, dans la tonalité comme, parfois, dans l'instrumentation, ce qui fait que je ne m'y suis pas ennuyé. Et puis ma foi, ça joue. Je préfère ce côté un peu plus pop plutôt que les instrumentaux dans une veine krautrock / Sonic Youth que l'on trouve sur leurs premier et troisième albums ("Rock it to the moon" et "Axes").





Lana DEL REY
BORN TO DIE


Le 10 Août 2019 par CLANSMAN57

Avec quelques écoutes supplémentaires au compteur, je précise que les effets en arrière plan, présents sur plusieurs chansons, me font penser au chant d'un oiseau de nuit et que ça participe à cette petite touche étrange, mais également rêveuse.
Les rythmes prennent au Hip Hop, la demoiselle cite Eminem dans ses influences.
Ainsi que Jim Morrison, Janis Joplin, Nirvana, Portishead, The Beatles, Amy Winehouse, Elvis et bien d'autres, c'est Wiki qui le dit.
J'entends du Madonna, par exemple sur "Dark Paradise" ou du Sia sur le refrain de "Summertime Sadness".

Moondreamer la trouve froide, perso, je trouve qu'elle dégage au contraire beaucoup d'émotions.
C'est fascinant les ressentis en musique.
Moi-même je tique un peu lorsqu'on utilise le terme émotion pour Dream Theater, par exemple, ou Rush, deux groupes dont j'ai complètement décroché, car ils ne me transmettent rien.
Mais pourquoi pas? A chacun de voir suivant sa propre sensibilité.

Un tout petit bémol que j'aimerais encore évoquer: les breaks.
Certains auraient pu être un peu plus travaillés, histoire de relancer l'intérêt de la chanson.
Un break peu travaillé qui enchaîne sur le refrain, aussi bon soit-il, peut apporter un sentiment de lassitude lorsque celui-ci revient.
C'est le cas sur quelques chansons seulement.
Elle en est capable, "Blue Jeans" le démontre largement.

Il paraîtrait que ce n'est pas vraiment son premier album, mais son troisième.
Certains parlent de "faux" premier album.
Les deux précédents ne sont plus commercialisés ou alors j'ai mal vu.

J'ai regardé les clips de "Born To Die", "Blue Jeans" et "Summertime Sadness", je les trouve très soignés.
Elle attache beaucoup d'importance à l'image, car elle souhaite faire une musique cinématographique, d'après ce que j'ai pu lire.
David Lynch? Je ne sais pas, c'est ce qui est souvent dit, je ne connais pas tellement bien ce réalisateur.
Ah, ses paroles sont soignées également, elles ont du sens et c'est bien écrit.

Je crois que c'est à peu près tout ce que je voulais encore écrire au sujet de ce disque.





The CURE
THREE IMAGINARY BOYS


Le 10 Août 2019 par LEO

Bien d'accord avec toi MARCO STIVELL !
Que l'on puisse avoir en horreur Queen et Genesis, c'est un choix que je peux tout à fait comprendre et respecter (bien que je ne partage pas ce ressenti envers ces deux formations). moi-même je ne supporte pas certains groupes comme le Velvet Underground ou le MC5 par exemple mais ce qui me dérange dans la chro de RICHARD (qui par ailleurs est tout à fait pertinente), c'est l'ajout de "(peut-on vraiment leur en vouloir ?)", comme s'il fallait justifier cette détestation et en faire une preuve de bon goût ! de mon point de vue, ce "(peut-on vraiment leur en vouloir ?)" est de trop.





DURAN DURAN
DURAN DURAN


Le 10 Août 2019 par LEO

Merci ERWIN pour ta réponse et ton appréciation sur mes commentaires.
Mis à part ce premier 33t et Rio, la musique de DURAN DURAN ne m'a pas marqué plus que ça (contrairement à Japan, dont je n'ai pourtant mis aucune note maximum à un de leurs albums car aucun ne me paraît totalement réussi sur la longueur, c'est paradoxal), donc effectivement tout ça est une affaire d'appréciation somme toute bien personnelle.
Pour ce qui est de "Is There Something I Should Know?", j'avais bien pris en compte tes précisions sur ce single qui ne figurait pas sur l'album à l'origine, mais je voulais juste souligner la cupidité d'EMI/Capitol par rapport à l'ajout de ce single paru deux ans après la sortie initiale de ce premier album.
Au plaisir de lire une de tes prochaines chroniques,
Cordialement
LEO







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